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Je raconte my life II - Le retour


Mobius

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Les petits colis que je recois de l'étranger sont également toujours visités et il manque souvent des choses dedans, heureusement que les vendeurs renvoient les produits sans trop être regardant…

Faut faire gaffe. J'ai fait un peu de radios. Les colis éventrés ou qui n'arrivent tout simplement jamais, c'est fréquent. Le pire c'est l'été, à cause des remplaçants. Faut donc éviter de commander des objets en juillet et août.

Si tu reçois un colissimo, toujours l'ouvrir et vérifier (y compris si tu dois aller le récupérer dans un bureau de poste, ça fait souvent enrager le préposé) avant de signer le bon, sinon tu l'as dans l'os si problème avec la marchandise.

ll m'est arrivé un truc rigolo une fois : j'ai envoyé mon premier jet du mémoire de M2 à mon prof. L'enveloppe s'est ouverte dans la boîte aux lettres ou je l'avais déposée. Comme il y avait mon adresse, ils m'ont renvoyé mon travail dans un emballage en plastique. Le facteur a quand même distribué l'enveloppe vide à mon prof qui fut fort surpris de la chose.

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Assez d'accord avec Lucilio, le ton intellectualiste a mal vieilli mais les critiques ne sont pas si choquantes. Si parler de fascisme est n'importe quoi, il est vrai que la lutte contre le mal représenté par dark vador chevalier noir justifie un unanimisme des gentils assez saoulant.

Mon mari devant Dieu vient de me proposer le mariage civil*. Et pan sur le bec du fisc.

*Oui, je sais, il y a des gens bizarres sur cette planète. :icon_up:

On prévoit de servir du jus de pomme et des croissants aux invités… si toutefois il y en a.

Joyeux mariage en tout cas.

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Mon mari devant Dieu vient de me proposer le mariage civil*. Et pan sur le bec du fisc.

*Oui, je sais, il y a des gens bizarres sur cette planète. :icon_up:

On prévoit de servir du jus de pomme et des croissants aux invités… si toutefois il y en a.

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Mon mari devant Dieu vient de me proposer le mariage civil*. Et pan sur le bec du fisc.

*Oui, je sais, il y a des gens bizarres sur cette planète. :icon_up:

On prévoit de servir du jus de pomme et des croissants aux invités… si toutefois il y en a.

Sais-tu que les catholiques n'ont pas le droit de se marier religieusement avant le mariage civil? Le prêtre coupable de ce crime immonde va tout droit en prison.

Vive la Fraônce.

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Sais-tu que les catholiques n'ont pas le droit de se marier religieusement avant le mariage civil? Le prêtre coupable de ce crime immonde va tout droit en prison.

Vive la Fraônce.

Bien sûr que je le sais.

Surtout qu'on en discute depuis 2 ou 3 pages. :icon_up:

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les critiques ne sont pas si choquantes

elles sont choquantes de conformisme dans le snobisme franchouille, elles sont choquantes parce que trente ans plus tard on se rend compte que ce n'est pas de la reflexion, c'est dans la culture.

On a plus affaire a un francais qui se tortille dans ses reflexes appris qu'a un etre humain qui pense.

Et a quoi ca leur sert aux francais d'etre des intellos conformistes ? a part avoir une population d'existentialistes a deux francs si engoncés dans leur posture de blasé congénital qu'ils ne peuvent plus profiter de rien et dénigrent le fun des autres pour se donner l'impression d'avoir tout compris.

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Ben quoi, ils ont parfaitement raison à 90% (sauf quand un des types délire sur "le fascisme blanc de la scène finale du film").

Ben, à mon avis, ils ont 100% raison sur ce point. Je n'avais d'ailleurs jamais remarqué que la scène finale de l'épisode IV, avec ses alignements paradoxaux et sa pompe nurembergienne, révèle le fascisme latent des rebelles, comme si l'on ne pouvait vaincre un ennemi que par ses propres armes. Et là où les deux excellentes critiques, qui sont très positives puisqu'elles encensent la remarquable performance visuelle de Star Wars, ont encore raison, c'est lorsqu'elles comparent ce film à un opéra wagnérien et à un film sur la seconde guerre mondiale. Je ne sais pas si l'expression de space opera avait déjà été inventé à l'époque. Autre trouvaille: la comparaison entre le couple R2D2 - Z6PO et le duo Laurel et Hardy.

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Ben, à mon avis, ils ont 100% raison sur ce point. Je n'avais d'ailleurs jamais remarqué que la scène finale de l'épisode IV, avec ses alignements paradoxaux et sa pompe nurembergienne, révèle le fascisme latent des rebelles, comme si l'on ne pouvait vaincre un ennemi que par ses propres armes. Et là où les deux excellentes critiques, qui sont très positives puisqu'elles encensent la remarquable performance visuelle de Star Wars, ont encore raison, c'est lorsqu'elles comparent ce film à un opéra wagnérien et à un film sur la seconde guerre mondiale. Je ne sais pas si l'expression de space opera avait déjà été inventé à l'époque. Autre trouvaille: la comparaison entre le couple R2D2 - Z6PO et le duo Laurel et Hardy.

A propos de l'interprétation fascisante et pour Laurel et Hardy, il n'est pas inintéressant de savoir qu'entre autres muliples inspirations l'histoire, les personnages et plusieurs visuels sont tirés d'un film de Kurosawa de 1958 Kakushi toride no san akunin (la forteresse cachée) qui se déroulait dans le Japon médiéval. Les robots C3PO et R2D2 sont le résultat de la "transcription" des deux personnages grotesques du film Tahei and Matashichi (joués par Minoru Chiaki and Kamatari Fujiwara).

Georges Lucas l'a reconnu lui même, (mais en fait il suffit de voir les deux films pour s'en convaincre immédiatement) :

an interview for the Criterion collection DVD, George Lucas stated that while this film is a story about a princess and her protectors that this was not the primary element that he employed in Star Wars. He stated that he was more concerned with the way that Hidden Fortress is told through the eyes of two lesser characters. In Hidden Fortress it is the two thieves; in Star Wars it is C3PO and R2D2. In both films the comical interplay between the two characters is a major theme.
http://www.imdb.com/title/tt0051808/trivia

La scène finale et ses alignements de soldats est un repompage hommage à la même scène du film de Kurosawa.

Voir aussi : http://secrethistoryofstarwars.com/kurosawa1.html

http://www.moongadget.com/origins/kurosawa.html

http://www.megaessays.com/viewpaper/25004.html

Bref, attention aux interprétations sauvages.

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Je ne sais pas si l'expression de space opera avait déjà été inventé à l'époque.

Elle a pris son envol dans les années 40-50, me semble-t-il.

Autre trouvaille: la comparaison entre le couple R2D2 - Z6PO et le duo Laurel et Hardy.

Ce n'est pas une trouvaille, j'avais déjà entendu ce parallèle plusieurs fois. En revanche, on voit que le "critique" n'a pas vu le film quand il les décrit comme un couple (homosexuel ?) se faisant des avances devant la camera.

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A propos de l'interprétation fascisante et pour Laurel et Hardy, il n'est pas inintéressant de savoir qu'entre autres muliples inspirations l'histoire, les personnages et plusieurs visuels sont tirés d'un film de Kurosawa de 1958 Kakushi toride no san akunin (la forteresse cachée) qui se déroulait dans le Japon médiéval. Les robots C3PO et R2D2 sont le résultat de la "transcription" des deux personnages grotesques du film Tahei and Matashichi (joués par Minoru Chiaki and Kamatari Fujiwara).

Georges Lucas l'a reconnu lui même, (mais en fait il suffit de voir les deux films pour s'en convaincre immédiatement) :

http://www.imdb.com/title/tt0051808/trivia

La scène finale et ses alignements de soldats est un repompage hommage à la même scène du film de Kurosawa.

Voir aussi : http://secrethistoryofstarwars.com/kurosawa1.html

http://www.moongadget.com/origins/kurosawa.html

http://www.megaessays.com/viewpaper/25004.html

Bref, attention aux interprétations sauvages.

Je n'ai pas vu le film de Kurosawa, mais sa fiche imdb indique que la princesse y est membre du clan défait. Il y a donc bien symétrie entre le clan de l'étoile noire et celui des rebelles. Les trois premiers épisodes, quoique moins bons, témoignent aussi de cette rivalité, au sein de la fédération ou je-ne-sais-plus quelle assemblée démocratique.

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A propos de l'interprétation fascisante et pour Laurel et Hardy, il n'est pas inintéressant de savoir qu'entre autres muliples inspirations l'histoire, les personnages et plusieurs visuels sont tirés d'un film de Kurosawa de 1958 Kakushi toride no san akunin (la forteresse cachée) qui se déroulait dans le Japon médiéval. Les robots C3PO et R2D2 sont le résultat de la "transcription" des deux personnages grotesques du film Tahei and Matashichi (joués par Minoru Chiaki and Kamatari Fujiwara).

Georges Lucas l'a reconnu lui même, (mais en fait il suffit de voir les deux films pour s'en convaincre immédiatement) :

http://www.imdb.com/title/tt0051808/trivia

La scène finale et ses alignements de soldats est un repompage hommage à la même scène du film de Kurosawa.

Voir aussi : http://secrethistoryofstarwars.com/kurosawa1.html

http://www.moongadget.com/origins/kurosawa.html

http://www.megaessays.com/viewpaper/25004.html

Bref, attention aux interprétations sauvages.

Pour la guerre 39-45, en revanche, les combats entre le Faucon et la chasse impériale sont calqués sur les films de la période WW2. Comme quoi …

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Pour la guerre 39-45, en revanche, les combats entre le Faucon et la chasse impériale sont calqués sur les films de la période WW2. Comme quoi …

Rien que de très normal : Star Wars, c'est le nec plus ultra du repompage et du recyclage tous azimuts. Costumes et typologies repiquées à la Fantasy, scènes de guerres recyclées des films de guerre classiques, quelques repompages de mauvaises qualité d'Asimov, etc.

Tout cela n'aurait pu faire de Star Wars qu'une bouse infecte… sans la maestria des effets spéciaux et l'introduction d'une nouvelle grammaire visuelle. Ceux qui ont moins de 40 ans ne peuvent pas se rendre compte de l'impact visuel de ce film à l'époque tant cette grammaire est devenue classique aujourd'hui. Mais il faut avoir vu, comme moi, à la sortie du film, sur grand écran, en 1977, la première scène du film lorsque apparaît immensément immense ce croiseur impérial pourchassant le vaisseau rebelle en fuite. Dès la première minute, tu restes scotché à ton siège jusqu'à la fin du film. Alors même que l'histoire racontée est d'un conne banalité (la plupart des films de Disney semblent être de l'Ingmar Bergman à côté de Star Wars).

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Elle a pris son envol dans les années 40-50, me semble-t-il.

Ce n'est pas une trouvaille, j'avais déjà entendu ce parallèle plusieurs fois. En revanche, on voit que le "critique" n'a pas vu le film quand il les décrit comme un couple (homosexuel ?) se faisant des avances devant la camera.

:icon_up:

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Quoi qu'il en soit..

30 plus tard Star Wars trouve toujours énormément de fans.

Et je ne pense pas qu'on puisse encore dire que c'est à cause de ses effets spéciaux :')

Justement, il y a 6 épisodes aujourd'hui. Ce qui est drôle, c'est qu'à l'époque les critiques jugeaient sur un seul film qui - il est vrai - à lui seul n'a pas le souffle épique de la saga entière. L'idée serait de savoir ce qu'on peut penser de Star Wars IV pour lui-même, chose impossible pour ma part.

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J'aime beaucoup L'empire contre-attaque, mais j'ai été très déçu d'Un nouvel espoir. Je l'ai vu en troisième après les épisodes 5 et 6, je l'ai trouvé vieillot et pas très intéressant. Le retour du Jedi a eu de bons moments, mais sans plus. Sinon, malgré ses défauts, je trouve que La revanche des Sith est tout à fait potable, notamment tout le duel final sur Mustafar et l'"ordre 66".

En ce qui concerne les batailles spatiales, elles ne m'ont pas vraiment emballées, je préfère la méthode décrite par Ronald D. Moore, ci-dessous :

Notre but n'est pas moins que la réinvention de la science-fiction télévisée. Nous considérons comme convenue l'idée que le space opera traditionnel, avec ses personnages stéréotypés, ses blablas techniques, ses aliens aux têtes bizarroïdes, ses acteurs théâtraux et son héroïsme creux a fait son temps, et qu'une nouvelle approche est nécessaire. Cette nouvelle approche consiste à introduire du réalisme dans ce qui jusqu'ici était un genre agressivement non réaliste.

Appelons cela « Science-fiction naturaliste ».

Cette idée, la présentation d'une situation fantastique en termes naturalistes, imprègnera chaque aspect de notre série :

Visuel. La première chose qui sautera aux yeux des spectateurs est l'usage dynamique du style documentaire, ou cinéma-vérité. A travers l'utilisation importante de caméras portées, d'éclairage pratique et d'un décor fonctionnel, le battlestar Galactica ressemblera dans le moindre détail à un endroit vraiment existant.

Ce changement dans le ton et le visuel ne pourra être exagéré. Notre intention est de livrer un programme qui ne ressemble à aucune autre série de science-fiction déjà produite. Un spectateur lambda doit pouvoir croire pendant un moment qu'il ou elle est tombé(e) sur un documentaire consacré à la vie sur un porte-avions jusqu'à ce que quelqu'un commence à parler des Cylons et des Battlestars.

Cela ne veut pas dire que nous allons tourner en vidéo sous un éclairage fluorescent, mais nous allons nous efforcer d'atteindre une simili-vérité qui manque cruellement dans toutes les autres séries de science-fiction à ce jour. Nous recherchons une vérité filmique, non une « jolie image » ou un facteur « cool ».

Sans nul doute rien ne sera plus surprenant que nos effets spéciaux. Nos vaisseaux seront traités comme de vrais vaisseaux que quelqu'un aura du filmer de dehors avec une vraie caméra. Cela ne signifie pas de plans panoramiques « héroïques » et de zooms sauvages par le biais de la souris. Les questions que nous nous poserons avant chaque plan incluant des effets spéciaux seront du genre : « Comment avons-nous filmer ce plan ? Où est la caméra ? Qui la tient ? Le caméraman est-il sur un autre vaisseau ? La caméra est-elle fixée sur une aile ? ». Cette philosophie génèrera des images qui présenteront à un public blasé et fatigué des traditionnels « Wow ! Des images de synthèse ! » une texture différente et un langage cinématographique qui les forcera à réévaluer leurs notions de science-fiction.

Un autre moyen de stimuler visuellement le public sera notre usage intensif de prises de vues multiples. En combinant ces angles multiples durant les combats, par exemple, nous pourrons ainsi présenter une toute nouvelle approche sur ce qui est devenu une séquence familière et lassante qui n'a pas matériellement changé depuis que George Lucas l'avait établie vers le milieu des années 70.

Enfin, notre style visuel reposera aussi sur les possibilités inhérentes au concept de la série lui-même pour nous livrer une imagerie non typique de ce genre. En effet, l'inclusion d'une variété de vaisseaux civils qui auront chacun des propriétés et des références visuelles uniques pourra être mis en contraste avec la vie à bord du Galactica. Par exemple, nous avons un vaisseau dans notre flotte fugitive qui a été conçu pour être un environnement de marché ou de parc urbain dans l'espace (le Cloud 9, ndlr). La juxtaposition de cette atmosphère chic et sexy contre la réalité graveleuse d'une histoire de survie nous donnera plus de textures et de niveaux avec lesquels jouer que dans n'importe quel genre.

Montage. Notre style évitera le cliché du montage cut à la MTV en même temps que le lugubre et pompeux schéma caractéristique de Star Trek. S'il y a un modèle ici, il serait vaguement hitchcockien - c'est-à-dire un sentiment de suspense croissant et de tension dramatique qui projettent le public dans la réalité de l'action plutôt que de le distraire avec l'utilisation ostentatoire de schémas de montage.

Scénario. Nous éviterons les habituelles histoires d'univers parallèles, de voyage temporel, de contrôle mental, de jumeaux maléfiques, de pouvoirs divins et tous les autres clichés de ce genre. Notre série est tout d'abord et fondamentalement un drama. Cela parle de personnes. De réelles personnes auxquelles le public s'identifiera et qui les feront s'impliquer avec elles. Ce n'est pas une série sur des technologies ou des cultures aliens bizarroïdes. C'est une série sur nous. C'est une allégorie de notre société, de notre propre peuple, et cela devrait être immédiatement reconnu par tous les spectateurs.

Science. Nos vaisseaux spatiaux ne font pas de bruit parce qu'il n'y a pas de bruit dans l'espace. Le son proviendra de sources se situant à l'intérieur des vaisseaux - le vrombissement d'un moteur audible par un pilote par exemple. Nos chasseurs ne seront pas des avions et ne seront pas restreints par les conventions des combats de la Seconde Guerre Mondiale. La vitesse de la lumière est une loi et il n'y en aura pas de violation.

Et finalement, les personnages. Il s'agit peut-être ici du plus grand départ de la norme de la science-fiction. Nous n'avons pas « l'impertinent », « le bavard », « le cerveau », « l'allié alien farfelu » ou aucun autre personnage habituel qui peuple les séries de l'espace. Nos personnages sont des personnes qui vivent et respirent, avec toute la complexité émotionnelle et les contradictions présentes dans des dramas de qualité tels que « The West Wing » (A la Maison Blanche, ndlr) ou « The Sopranos ». De cette façon, nous espérons mettre au défi notre public d'une façon que les autres pièces du genre ne font pas. Nous voulons que le public considère les personnages de Galactica comme des personnes. Nos personnages ne sont pas des super-héros. Ils ne forment pas une élite. Ce sont des gens de tous les jours rescapés d'un énorme cataclysme et qui essaient de survivre du mieux qu'ils peuvent.

Ils sont vous et moi.

Dans l'ensemble, on ne peut pas me considérer comme un fan de Star Wars, mais c'est toujours divertissant. Certains jeux vidéos issus de la franchise sont d'ailleurs excellents : Episode 1: Racer, Jedi Academy, KOTOR (que je n'ai jamais essayé, mais que je connais de réputation), et le prochain MMORPG à venir, The Old Republic.

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J'apprécie ces convalescences calmes chez mes parents. Ce soir, ils évoquaient leurs voyages, dans les années 70 et 80, derrière le Rideau de Fer, ce qu'ils y ont vu, ce qu'ils ont entendu auprès des ressortissants*, ce qu'ils ont lu, pourquoi les nostalgiques leur donnent la nausée.

Encore des mémoires à transmettre à mes neveux et nièces puis à leurs mouflets, incha Allah.

* Je vous avais déjà raconté que notre nounou est Polonaise ? :icon_up:

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Rapide réaction pour Star Wars : La partie la plus intéressante n'est pas la période des trilogies, mais selon moi, l'ère de l'ancienne république. Elle est bien plus féconde et moins étriquée que l'autre et la période suivant les films (qui n'est en fait que la répétition du cycle république-empire-république-etc.).

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Les effets spéciaux sont tellement ordinaires qu'ils n'en méritent pas le nom.

Star Wars est une daube épique. Des dogfights dignes de la guerre mondiale, pas un seul ne connait les missiles. Des robots avec des voix stupides qui font "ow" quand on détruit leurs jambes. Et un Anakin qui tourne du côté obscur dans le laps de temps qu'il vous a fallu pour lire cette phrase. Puis les personnages avec leur nom…. pourquoi ne pas les appeler directement "Bien" ou "Mal" ?

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