Je raconte my life II - Le retour

[Marlenus]

C'est pas compliqué pourtant.

Non effectivement, avec la définition de Lucilio qui est qu'elles sont là pour nous distraire, effectivement ce n'est pas compliqué.

[Invité]

Non effectivement, avec la définition de Lucilio qui est qu'elles sont là pour nous distraire, effectivement ce n'est pas compliqué.

Elles sont là pour ménager, pour nous distraire il y a les types comme toi qui essaient de contredire Lucillo.

[Marlenus]

pour nous distraire il y a les types comme toi qui essaient de contredire Lucillo.

Ou ceux comme toi qui essaye de faire leurs propres armes à feu.

[Miss Liberty]

En tout cas c'est toujours marrant de voir certains défendre le libre arbitre et asséner dérrière:

"Les femmes doivent faire le ménage, c'est dans leur gênes, pas dans ceux des hommes" sans sourciller

Il n'y a pas de dissonnance logique entre le fait de défendre la liberté des femmes à choisir leurs activités, et le fait de remarquer que naturellement les deux sexes n'ont pas les mêmes préférences. A partir du moment où tu crois avoir remarquer qu'une femme préfère faire le ménage, ou y arrive mieux qu'un homme, cette attitude est logique.

Elle est même plus honnête que celle des féministes, qui oblige quasiment les femmes à faire autant d'activités "féminines" que "masculines", quelque soit leur préférence, sous peine d'être qualifiée de rétrograde et de danger pour l'avenir des femmes.

Ceci dit, moi qui suis la première à reconnaître que certaines qualités et certains loisirs sont féminins, je trouve que pour le ménage l'argument frise la mauvaise foi.

Ca n'est pas plus difficile pour un homme de faire le ménage que pour une femme. Il le fera différemment (entre autres parce qu'il gère moins bien plusieurs activités à la fois), mais il le fera tout aussi bien. Il n'y a pas besoin d'être un génie pour savoir frotter avec une éponge et lire les étiquettes des produits ménagers, faut juste se retrousser les manches. Et c'est très physique et très fatiguant (pour le dos, par exemple) : la galanterie de l'homme fort devrait jouer dans ce domaine comme dans les autres … si vous n'étiez pas aussi prompts à trouver des excuses en prétendant que comme on le fait plus, on aime ça!

Je reconnaît que les femmes remarquent souvent des détails à nettoyer/parfumer/décorer que les hommes ne remarqueraient pas, et qu'elles sont généralement plus génées par la saleté. Mais ce n'est pas parce que ça les gène plus ou qu'elles le font plus en profondeur qu'elles aiment ça! (je dis "elles", parce que moi en plus de ne pas aimer ça, je m'en fous tant que personne d'autre que moi ne rentre dans la maison.)

Ah, et concernant la possibilité pour les femmes d'écrire ici : ne t'inquiète pas, Marlenus, le milieu libéral (et le milieu des gens politisés en général) est tellement masculin, et surtout tellement mysogine, qu'on s'habitue… Mais c'est vraiment parce qu'on aime défendre nos idées (et qu'on sait que les mysogines cachent généralement un gros complexe d'infériorité )!

[Invité]

Ou ceux comme toi qui essaye de faire leurs propres armes à feu.

Et encore j'aurais mieux fait mon job si j'avais eu ma cam.

[Esperluette]

Miss L., ne prends pas trop au sérieux les plaisanteries délicieusement trollesques du coin.

[Marlenus]

Elle est même plus honnête que celle des féministes, qui oblige quasiment les femmes à faire autant d'activités "féminines" que "masculines", quelque soit leur préférence, sous peine d'être qualifiée de rétrograde et de danger pour l'avenir des femmes.

Ces personnes sont au féminisme ce qu'Al Qaïda est à l'Islam. C'est d'ailleurs dommageable que maintenant on associe féminisme à ces personnes (tout comme c'est dommageable que pour certains islam=Al Qaïda)

Le féminisme, en tant que tel, ne défend que le libre choix de chacun sans que l'on parque une personne selon son sexe.

Cela ne dérangera pas un(e) féministe normalement constitué(e) qu'il y ait 90% de femmes dans la section couture et 90% de mecs à la section rugby.

Cela le(la) dérangera si on interdit (ou que l'on dénigre fortement) à une fille d'aller faire du rugby ou un garçon de faire de la couture.

Ceci dit, moi qui suis la première à reconnaître que certaines qualités et certains loisirs sont féminins, je trouve que pour le ménage l'argument frise la mauvaise foi.

Ca n'est pas plus difficile pour un homme de faire le ménage que pour une femme. Il le fera différemment (entre autres parce qu'il gère moins bien plusieurs activités à la fois)

Je viens de lire une étude disant que c'était faux.

Mais que c'était une bonne excuse pour en faire moins.

Faudra que je la retrouve.

, mais il le fera tout aussi bien. Il n'y a pas besoin d'être un génie pour savoir frotter avec une éponge et lire les étiquettes des produits ménagers, faut juste se retrousser les manches. Et c'est très physique et très fatiguant (pour le dos, par exemple) : la galanterie de l'homme fort devrait jouer dans ce domaine comme dans les autres … si vous n'étiez pas aussi prompts à trouver des excuses en prétendant que comme on le fait plus, on aime ça!

Je reconnaît que les femmes remarquent souvent des détails à nettoyer/parfumer/décorer que les hommes ne remarqueraient pas, et qu'elles sont généralement plus génées par la saleté. Mais ce n'est pas parce que ça les gène plus ou qu'elles le font plus en profondeur qu'elles aiment ça! (je dis "elles", parce que moi en plus de ne pas aimer ça, je m'en fous tant que personne d'autre que moi ne rentre dans la maison.)

Je pense que la grosse différence, c'est un homme sait que socialement c'est acceptable que son intérieur ne soit pas nickel donc il n'a pas besoin de se forcer.

Alors que socialement, il faut que l'intérieur d'une femme soit bien entretenu.

Et que dans le cadre d'un couple, la société tiens la femme pour responsable de cet intérieur.

Ah, et concernant la possibilité pour les femmes d'écrire ici : ne t'inquiète pas, Marlenus, le milieu libéral (et le milieu des gens politisés en général) est tellement masculin, et surtout tellement mysogine, qu'on s'habitue… Mais c'est vraiment parce qu'on aime défendre nos idées (et qu'on sait que les mysogines cachent généralement un gros complexe d'infériorité )!

C'est désolant quelque part

[Miss Liberty]

Miss L., ne prends pas trop au sérieux les plaisanteries délicieusement trollesques du coin.

Oh, ne t'inquiète pas, je ne formaliserai jamais de quelque chose dit sur un forum. Non seulement on n'a pas le ton, mais en plus certains s'en servent de défouloir.

Pour ce qui est de la mysoginie, c'est 7 ans de militantisme qui me font dire ça, pas les pots gentiment provocateurs qui peuvent traîner sur le fil!

[Filthy John]

on sait que les mysogines cachent généralement un gros complexe d'infériorité !

Tu confonds misogynie (note au passage la position du "y") et frustration beaufesque. Il est pourtant aisé, pour une demoiselle, de savoir les différencier.

Chez le blaireau (une sous-espèce très répandue de l'homme), la détestation de la femme est une rationalisation a posteriori de son infériorité en matières de choix sexuels. Demandeur sur le très compétitif marché de l'affection féminine, sans toutefois être capable d'y mettre le prix (qui se compte en kilos de burnes pesés lors de régulières sessions de posage de couilles sur la table), ce type d'individu souffre en permanence d'un vide émotionnel dont il reportera la responsabilité sur les femmes qui l'échaudent.

Cet animal ne connait pas les femmes, étant totalement coupé de l'offre. Devant son incapacité à pouvoir jouir de leur présence, il ne peut que rationaliser et mener à des élucubrations qui puent dans un style "Les filles sont vraiment trop connes", car refusant de le considérer à une juste valeur qu'il refuse d'ailleurs à afficher. Cette frustration se transformera bientôt, chez le blaireau, en véritable mépris à l'égard de la femme.

Le misogyne n'est rien de tout cela. Le misogyne aime les femmes. Et c'est parce qu'il les aime qu'il a appris à les détester.

D'une part, parce qu'il les côtoie, et donc les connait. Grand amoureux de la Femme, le misogyne n'est pas en position de demandeur. Il est l'offre. Et dans un marché nettement moins concurrentiel. Cette position lui assure une perpétuelle promiscuité avec l'autre sexe, et lui permet de mesurer tous les stratagèmes, tous les mensonges, toutes les bassesses, que les demoiselles sont prêtes à mettre en place pour obtenir ce qu'elles veulent (le plus souvent : lui-même). Après avoir vu cela, il est naturellement enclin à être des plus suspicieux envers ce qu'il sait être "le sexe faible".

D'autre part, cet amour pour la gent féminine est pour lui une faiblesse. Il ne sait que trop bien que la femme exerce sur lui une subjugation à même de lui faire perdre le contrôle de la situation, ce qui l’amènerait immanquablement à se retrouver dans la situation du blaireau. Son seul moyen de rester du bon côté du marché affectif est de se convaincre qu'il n'est pas demandeur. Se convaincre, qu'après tout, il n'aime pas tant les femmes.

[Apollon]

Tu confonds misogynie (note au passage la position du "y") et frustration beaufesque. Il est pourtant aisé, pour une demoiselle, de savoir les différencier.

Chez le blaireau (une sous-espèce très répandue de l'homme), la détestation de la femme est une rationalisation a posteriori de son infériorité en matières de choix sexuels. Demandeur sur le très compétitif marché de l'affection féminine, sans toutefois être capable d'y mettre le prix (qui se compte en kilos de burnes pesés lors de régulières sessions de posage de couilles sur la table), ce type d'individu souffre en permanence d'un vide émotionnel dont il reportera la responsabilité sur les femmes qui l'échaudent.

Cet animal ne connait pas les femmes, étant totalement coupé de l'offre. Devant son incapacité à pouvoir jouir de leur présence, il ne peut que rationaliser et mener à des élucubrations qui puent dans un style "Les filles sont vraiment trop connes", car refusant de le considérer à une juste valeur qu'il refuse d'ailleurs à afficher. Cette frustration se transformera bientôt, chez le blaireau, en véritable mépris à l'égard de la femme.

Le misogyne n'est rien de tout cela. Le misogyne aime les femmes. Et c'est parce qu'il les aime qu'il a appris à les détester.

D'une part, parce qu'il les côtoie, et donc les connait. Grand amoureux de la Femme, le misogyne n'est pas en position de demandeur. Il est l'offre. Et dans un marché nettement moins concurrentiel. Cette position lui assure une perpétuelle promiscuité avec l'autre sexe, et lui permet de mesurer tous les stratagèmes, tous les mensonges, toutes les bassesses, que les demoiselles sont prêtes à mettre en place pour obtenir ce qu'elles veulent (le plus souvent : lui-même). Après avoir vu cela, il est naturellement enclin à être des plus suspicieux envers ce qu'il sait être "le sexe faible".

D'autre part, cet amour pour la gent féminine est pour lui une faiblesse. Il ne sait que trop bien que la femme exerce sur lui une subjugation à même de lui faire perdre le contrôle de la situation, ce qui l’amènerait immanquablement à se retrouver dans la situation du blaireau. Son seul moyen de rester du bon côté du marché affectif est de se convaincre qu'il n'est pas demandeur. Se convaincre, qu'après tout, il n'aime pas tant les femmes.

superbe rationalisation !

[Miss Liberty]

@ Filthy John : Sacha Guitry, on t'a reconnu!

Je crois que la confusion est bien de ton côté et non du mien : ce que tu décris n'est pas un misogyne, c'est un homme comme un autre, qui aime les femmes. Le moment où tu le fais basculer dans la misogynie est justement le moment où ils se sent contrôlé par les femmes (si ça c'est pas un complexe d'infériorité). D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi, étant un "grand amoureux de la femme", il serait l'offre et non le demandeur.

Tous les beaux gosses, qui sont "l'offre" et qui ont les femmes à leurs pieds, ne sont pas tous misogynes. A vrai dire, j'ai même du mal à en trouver un seul de ma connaissance qui le soit.

Un misogyne pour moi est quelqu'un qui méprise les femmes ; je les classerais en plusieurs catégories :

l'homo refoulé, ou le frustré moche, qui ne trouvent pas leur place et en déduisent que la femme ne sait pas se faire aimer parce qu'elle n'est pas aimable

l'intello qui considère qu'une femme ne peut pas être aussi intelligente que lui

le pseudo intello qui se sent menacé dans sa virilité quand une femme est plus intelligente que lui

le gros beauf, qui n'est pas capable de comprendre que quelqu'un qui n'aime pas ce qu'il aime (le tuning, par ex) n'en est pas moins respectable. Mais ça ça n'est pas à proprement parler un misogyne, c'est avant tout un gros con.

La plupart des misogynes croisés en politique se rangeaient dans la catégorie intello ou pseudo intello.

[Kuing Yamang]

La plupart des misogynes croisés en politique se rangeaient dans la catégorie intello ou pseudo intello.

J'appellerais plutôt ces mecs-là des phallocrates.

[Invité]

Il y a aussi le myso pour la simple et bonne raison qu'on leur a dit trop de fois que la femme était l'égale de l'homme (mais l'inverse en revanche… ) . Et quand on répète des messages, il y a toujours des types pour aller consciemment à contre sens, leur nature étant toujours de défier l'autorité ou la majorité.

[john_ross]

J'ai une question, y a t'il des hommes qui ont déjà vu une femme nettoyer correctement un réfrigérateur, c'est à dire l'intérieur pas les traces de doigts sur la porte?

[José]

…le milieu libéral … tellement mysogine …

Rien à voir avec la choucroute.

Le libéral est réaliste, il se base sur le réel et comprend qu'il faut essayer de vivre en accord avec la Loi naturelle.

Est-ce par hasard que ceux qui prônent le partage des tâches ménagères votent socialistes ? Non, n'est-ce pas.

Il y a longtemps, Schnappi militait pour un lifestyle libéral ; sa femme est retournée aux fourneaux.

…on sait que les mysogines cachent généralement un gros complexe d'infériorité…

Ces rhétoriques du soupçon typiques des escrocs socialistes n'impressionnent personne.

[Ray]

[soral]Il y a aussi le misogyne qui l'est parce qu'il avait une vision idéalisée et poétique de la femme, et le jour où il découvre que la femme est simplement un être humain avec une tonne de défauts, il se met à mépriser la femme réelle pour n’être pas au niveau de la femme fantasmée.[/soral]

[Esperluette]

Un misogyne pour moi est quelqu'un qui méprise les femmes ; je les classerais en plusieurs catégories

Tu en oublies une, chère forumeuse.

Ca me fait toujours bien rigoler de voir des gens se précipiter vers des plans tordus et ensuite pleurnicher qu'ils tombent sur des personnes peu équilibrées.

[free jazz]

La misogynie est une éthique de la galanterie, mais surtout une connaissance des véritables vertus féminines, des instincts qu'il faut apprivoiser par la ruse, la flatterie et la corruption.

[Miss Liberty]

La misogynie est une éthique de la galanterie, mais surtout une connaissance des véritables vertus féminines, des instincts qu'il faut apprivoiser par la ruse, la flatterie et la corruption.

D'après cette définition, tu serais donc le plus galant et le plus connaisseur des hommes. J'ai des doutes…

Je suppose que tu ne prends pas réellement la mouche et que c'est de l'humour, Lucilio.

Tu as probablement eu l'intelligence de voir que je ne parle pas des libéraux en particulier, mais des hommes impliqués en politique (ceux que je connais de près étant soit libéraux soit royalistes). Loin de moi l'idée de faire un lien entre libéralisme et misogynie, ça serait absurde.

Ca doit être vrai ce que tu dis, que le fait que les libéraux soient plus proches de la loi naturelle doit être un gros plus par rapport à des militants socialistes… mais je prends bien soin de ne jamais me rapprocher à moins de 10m de ce genre de personnages, donc je ne les connais pas bien.

D'ailleurs, pourquoi diable aurais-je la quasi totalité de mes amis dans les deux cercles sus-cités si je les trouvais si rustres que ça?

[Marlenus]

D'ailleurs, pourquoi diable aurais-je la quasi totalité de mes amis dans les deux cercles sus-cités si je les trouvais si rustres que ça?

Parce que si tu veut des amis qui en ait un peu dans le ciboulot question politique tu n'as pas le choix? (quoique pour les monarchistes je me demande. Tiens au fait, tu es orléaniste, légitimiste, survivaliste, bonapartiste, sauveur de la nation ?).

[José]

Je suppose que tu ne prends pas réellement la mouche et que c'est de l'humour, Lucilio.

Chaque fois qu'une femme se pique d'humour, je ressens un grand trouble dans la Force.

[Invité]

Le Pen v. blonde est plus (+) choquée par la taxe sur les boissons gazeuses que sur l'alcool !

Elle est fada.

[José]

Elle est fada.

Une femme.

[free jazz]

Chaque fois qu'une femme se pique d'humour, je ressens un grand trouble dans la Force.

Là tu es de mauvaise foi, il y a quand-même Sophia Aram, Florence Foresti et Ségolène Royal.

[Invité]

"Je veux reconstruire l'égalescalier social."

Ségolène.

[Kuing Yamang]

• "Je veux reconstruire l'égalescalier social" Ségolène.

Toi aussi tu as noté

J'ai dit à Mme Yamang: "tiens, elle veut tellement placer son "égalité" qu'elle s'emmêle les pinceaux".

Puis j'ai abandonné leur émission après le blabla de Hollande, je peux pas je peux pas je peux pas, ils m'énervent vraiment trop…

[Invité]

Toi aussi tu as noté

Elle imagine toujours en lisant un texte qu'elle ne comprend pas de nouvelles formes lexicales d'une créativité insolente et profonde. Elle est dans ce sens beaucoup plus hors course qu'Obama par exemple qui est la référence en matière de lecture de prompteur dans le monde. Une outsider en quelque sorte.

[free jazz]

"Je veux reconstruire l'égalescalier social."

Ségolène.

Son bouquin doit être une source phénoménale de calembours.

J'offrirai ce slogatron à h16 pour le remercier de ses bons conseils.

[Invité]

"Il est impossible de laisser notre éducation nationale dans l'Etat où elle est. " Flamby,

J'approuve, on devrait la délocaliser.

Son bouquin doit être une source phénoménale de calembours.

Oui mais elle n'est probablement pas l'auteur donc sans la saveur et l'interprétation unique qui fait le charme de l'artiste.

[Invité]

Toi aussi tu as noté

J'ai dit à Mme Yamang: "tiens, elle veut tellement placer son "égalité" qu'elle s'emmêle les pinceaux".

Puis j'ai abandonné leur émission après le blabla de Hollande, je peux pas je peux pas je peux pas, ils m'énervent vraiment trop…

ça rejoint le design de l'escalier où toutes les marches sont en descente pour que la montée soit moins pénible.