Aller au contenu

Je raconte my life II - Le retour


Mobius

Messages recommandés

J'ai fracassé la vitrine de mon aillephone qui est en train d'aillegoniser.

Peu de regrets vu que c'est un très mauvais téléphone et une merde innommable mais qui bénéficie comme la plupart des produits Apple d'un crédit et d'une surestimation de valeur auprès du public qui poussent à s'interroger sur les dangers de l'adoration sectaire et des gourous.

Malheureusement comme c'est du pro, il va être remplacé par une saloperie I-dentique.

Lien vers le commentaire

Tu te fondes sur le prix des TGV Paris-Lyon, le prix d'un hôtel en région parisienne et le prix des baguettes, je pense que cela représente moins de 1% des dépenses des ménages… Tu es en mauvaise posture pour pouvoir invoquer le sérieux.

J'ai pris quelques exemples plus représentatifs que ceux de mes adversaires. Si on considère le prix des hôtels, tous les hôtels d'une catégorie donnée pratiquent des prix proches et à peu près les mêmes hausses. Ces prix et ces hausses sont fortement corrélés aux prix de l'immobilier et de la main d'oeuvre dans la région. J'aurais d'ailleurs pu prendre la côte de l'immobilier, qui a augmenté d'autant sinon encore plus vite.

Pour la quatrième fois, je te prie d'avancer les preuves que la méthodologie annoncée est suivie de façon rigoureuse et sans tricherie. Si c'est le cas, tu dois pouvoir avancer très facilement des prix de marchandises ou de services qui ont augmenté moins vite que l'inflation annoncée et qui représentent une part significative (mettons 30%) des dépenses des ménages.

Sur lib.org, la charge de la preuve incombe à celui qui croit aveuglément aux chiffres avancées par l'état, pas à celui qui les conteste.

En quoi est-ce mal de passer d'une centaine de prix à 10000+ ?

Avec plus de prix on obtient une mesure plus fiable. Le thermomètre n'est pas cassé, il est amélioré.

[/Quote]

Il n'est pas amélioré: il est changé donc je suis fondé à dire que la méthodologie suivie n'est pas rigoureuse, sinon il n'y aurait pas besoin d'en changer. Si tu penses qu'il est amélioré, c'est à toi de le montrer.

J'ai montré aussi que les anciennes méthodologies, dont on disait aussi à l'époque qu'elles étaient rigoureuses, conduisent à des chiffres de l'inflation beaucoup plus élevés que les chiffres officiels aujourd'hui. J'attends toujours ton commentaire à ce sujet.

Pour la troisième ou quatrième fois : dans l'IPC, les prix sont pondérés en fonction de la part qu'ils représentent dans la dépense totale des ménages. C'est-à-dire que l'importance n'est pas fonction de l'augmentation ou de la diminution des prix. Cette objection est donc totalement irrecevable.

Tu répètes bêtement ce que disent les statisticiens. Je dis qu'ils trichent et je l'ai prouvé avec des prix représentatifs.

Je ne vois pas en quoi il est malhonnête de tenir compte de l'innovation. L'innovation est le principal facteur de diminution des prix, […]

Je ne vois pas comment tu peux te contredire ainsi. Un airbag dans une voiture n'en diminue pas le prix, je peux te le garantir. Si l'innovation faisait baisser les prix, en retranchant son effet comme le fait l'INSEE, on aurait une hausse des prix encore plus grande… En fait, comme je l'ai expliqué, l'innovation participe au contraire à l'augmentation générale des prix.

Je pense que tu répètes bêtement ce que disent les crânes d'oeuf de l'INSEE et je ne vois pas l'intérêt de discuter plus avant avec quelqu'un qui avance de telles absurdités, manifestement contredites par ce que tout le monde peut constater dans la vie de tous les jours.

Lien vers le commentaire

Pour la quatrième fois, je te prie d'avancer les preuves que la méthodologie annoncée est suivie de façon rigoureuse et sans tricherie.

Je remarque que maintenant que j'ai démonté tes arguments visant à démontrer que la méthodologie employée n'est pas bonne, tu dévies en parlant du respect de cette méthodologie.

Sur lib.org, la charge de la preuve incombe à celui qui croit aveuglément aux chiffres avancées par l'état, pas à celui qui les conteste.

Ce n'est pas une question de lieu mais d'hygiène intellectuelle. Il est quasiment impossible de démontrer qu'une méthodologie est suivie ou n'est pas suivie.

Alors qu'il est beaucoup plus facile de montrer qu'elle est mauvaise (chose que tu as échoué à faire).

Si tu penses qu'il est amélioré, c'est à toi de le montrer.

J'ai vais m'épargner d'expliquer pourquoi une mesure se fondant sur une dizaine de milliers de prix est meilleure qu'une mesure se fondant sur une centaine de prix.

J'ai montré aussi que les anciennes méthodologies, dont on disait aussi à l'époque qu'elles étaient rigoureuses, conduisent à des chiffres de l'inflation beaucoup plus élevés que les chiffres officiels aujourd'hui. J'attends toujours ton commentaire à ce sujet.

Je dois avouer que je ne suis pas très au fait des détails de ces modifications, je suppose que toi non plus. Des modifications peuvent être parfaitement légitimes. Par exemple la structure des dépenses des ménages varie dans le temps, il est normal d'adapter la méthode pour en tenir compte. Les différences peuvent s'expliquer par la moindre adéquation des anciennes méthodes par rapport à la réalité d'aujourd'hui.

Je ne vois pas comment tu peux te contredire ainsi. Un airbag dans une voiture n'en diminue pas le prix, je peux te le garantir. Si l'innovation faisait baisser les prix, en retranchant son effet comme le fait l'INSEE, on aurait une hausse des prix encore plus grande… En fait, comme je l'ai expliqué, l'innovation participe au contraire à l'augmentation générale des prix.

L'innovation fait baisser le prix à qualité égale. Je n'avais pas précisé "à qualité égale" tellement cela me semblait évident. Un airbag dans une voiture augmente la qualité de celle-ci, par conséquent le prix augmente. Et il est normal de prendre en compte en même temps que l'augmentation du prix, l'augmentation de la qualité.

Pour connaitre l'inflation sur les voitures, tu fais une comparaison entre le prix d'une 305 et le prix d'une 308. Pour que cela ait un sens il faudrait qu'une 305 ait une qualité égale à celle de la 308, or ce n'est pas le cas, donc ton calcul est dénué de sens. Et se reposer sur ce genre de calculs bidons pour prendre de haut les statisctiens de l'INSEE, ça ne fait pas sérieux.

Je pense que tu répètes bêtement ce que disent les crânes d'oeuf de l'INSEE et je ne vois pas l'intérêt de discuter plus avant avec quelqu'un qui avance de telles absurdités, manifestement contredites par ce que tout le monde peut constater dans la vie de tous les jours.

Il arrive que le bon sens soit loin de la vérité. Etre d'accord avec "ce que tout le monde peut constater" n'est pas forcément bon signe.

Puisqu'on en est aux confidences, je pense que tu as le même discours que l'average Joe qui croit que son ressenti correspond à la réalité, et que tu en diffères seulement par une rationalisation un peu plus poussée de ce préjugé.

Lien vers le commentaire

Ayant pas mal de difficulté à saisir cet article, je vous demande votre aide, si cela ne vous embarrasse pas, afin de m'en présenter les principaux arguments voir discuter les conclusions de l'auteur (en espérant que cette explication soit utile pour d'autres internautes) :

Now that the Greek bailout is topic front and center for the second year

in a row, it means that it is time for the mainstream media to once

again prove to the world that in the past year it has learned precisely didley squat about

how the more complicated securities used in capital markets operate.

Such as CDS. Just like in May 2010, the prevalent trope among the clickbaiters

is that CDS written against Greece will destroy the world, in

superficial attempts to bring about panic induced by the faulty

conventional wisdom that CDS was the cause for the implosion of AIG.

Well, wrong.

First, for those who actually care, CDS is nothing more than a low margin synthetic method to express a bearish position on an underlying credit (such as US government bonds), in the process facilitating market clearance and price discovery. Period. And as long as there is an idiot who is willing to take the other side of a trade which expresses nothing more than appreciation of risk, CDS can be written into existence (which is how Paulson made his Abacus money) or traded on the secondary market (the fact that said idiot is still trading CDS is thanks to the US government policy of making financial risk and failure a thing of the past, but that is the topic for another post). Another key CDS feature that is constantly ignored by nearly everyone is variation margin, or the daily posting of cash collateral based on intraday moves of CDS. This was extensively discussed in our post on the threats posed by the $600 trillion OTC market. A third key fact is that all the data on Greek CDS is publicly available yet nobody bothers to actually check it: after all why let facts stand in the way of a good story. So here are the facts: there is $5 billion in net notional daily margined risk exposure on the Hellenic Republic (also known as Greece). This is a 28% reduction in net notional risk over the past year, the largest drop in risk exposure of any of the top 30 credits tracked by DTCC. The total notional of Greek CDS outstanding is the 21st biggest in the world, behind such names as Italy (at the top), France, Spain, Goldman, JPMorgan, Berkshire and Wells Fargo. Lastly, 5 Year Greek CDS (at last check about 45 points upfront) is currently trading wide of cash bonds, which upon an event of default will likely rise on short covering and higher recovery expectations, which means that sellers of protection will actually receive a cash payment from this point until an actual EOD occurs when the basis between cash and CDS collapses.

The truth is that there is certainly risk from a Greek contagion effect, and far more than a risk - it is a certainty, and the catalyst will be none other than the world's largest and most undercapitalized hedge fund - the ECB, which holds tens of billions of Greek debt as cash collateral which would have to remarked 50% lower in the process making the key European liquidity backstopper insolvent (in practice if not in theory: after all the ECB will just print more €), forcing a self-fulfilling liquidity run prophecy. But the contagion risk is not in Greek CDS, where risk sellers have not only contracted their exposure by the largest amount of the most active contracts, but where daily steady cash outflows to satisfy variation margin mean that banks have "overreserved" for an event of default, and may in fact be cash inflow beneficiaries.

As the DTCC-sourced chart below shows Greek CDS has seen the largest drop in net notional outstanding among the 30 largest positions. Furthermore, as can be seen it is well down on the table. The names in the top 5 positions should be a far greater source of risk, as that is where the perception of risk, and the market "reality" have not yet converged.

CDS%20DTCC%20Update_1_0.jpg

Most important, at least in our opinion, in the table above is not the 21st ranked name, but the 26th one, which has seen the change in its net notional CDS outstanding increase by 136%, or the most of the top 30, over the past year.

It should be rather obvious which "entity" is ranked #26… soon to be #1.

And for those who missed it, such as the entire mainstream media, here is your guide to the uber secret intricacies (yet completely public to those who search) that actually happen in CDS daily margin flows.

CCPs typically rely on four different controls to manage their

counterparty risk: participation constraints, initial margins, variation

margins and non-margin collateral.

A first set of measures are
participation constraints
, which aim to prevent CCPs from dealing with counterparties that have unacceptably high probabilities of default.

The second line of defense is
initial margins
in

the form of cash or highly liquid securities collected from

counterparties. These are designed to cover most possible losses in case

of default of a counterparty. More specifically, initial margins are

meant to cover possible losses between the time of default of a

counterparty,8 at which point the CCP would inherit its positions, and

the closeout of these positions through selling or hedging. On this

basis, our hypothetical CCP sets initial margins to cover 99.5% of

expected possible losses that could arise over a five-day period. CCPs

usually accept cash or high-quality liquid securities, such as

government bonds, as initial margin collateral.

As the market values of counterparties’ portfolios fluctuate, CCPs collect
variation margins
,

the third set of controls.
Counterparties whose portfolios have lost

market value must pay variation margins equal to the size of the loss

since the previous valuation. The CCP typically passes on the variation

margins it collects to the participants whose portfolios gained in

value. Thus, the exchange of variation margins compensates participants

for realised profits/losses associated with past price movements while

initial margins protect the CCP against potential future exposures.

Variation margins, typically paid in cash, are usually collected on a

daily basis, although more than one intraday payment may be requested if

prices are unusually volatile.

Source : http://www.zerohedge…ontagion-threat

Lien vers le commentaire

(juste pour ton info, sur ZH, Tyler Durden est un spécialiste des phrases à rallonge dans un style typiquement américain)

(et c'est moi, franchouille spécialiste des phrases à rallonge, qui dit ça :mrgreen: )

Lien vers le commentaire

Si c'est le cas, tu dois pouvoir avancer très facilement des prix de marchandises ou de services qui ont augmenté moins vite que l'inflation annoncée et qui représentent une part significative (mettons 30%) des dépenses des ménages.

Selon l'INSEE, ce qui a augmenté moins vite que l'inflation entre 1998 et 2011:

Produits Manufacturés

Habillement et chaussures

Produits de santé

Services de Santé

Transport et communication

(on doit bien être à 30% de la consommation)

http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=78&date=20120119

Lien vers le commentaire
Selon l'INSEE, ce qui a augmenté moins vite que l'inflation entre 1998 et 2011:

Produits Manufacturés

Habillement et chaussures

Produits de santé

Services de Santé

Transport et communication

(on doit bien être à 30% de la consommation)

http://www.insee.fr/…8&date=20120119

Avec les pondérations de l'INSEE dans le calcul de l'Indice des Prix à la Consommation (IPC), en effet. Mais les pondérations de l'INSEE sont très différentes des principaux postes de dépenses de consommation des Français, que l'INSEE publie également, par exemple ici:

http://www.journaldunet.com/economie/indicateurs/repartition-depenses-de-consommation/index.shtml

On y apprend que le logement est le principal poste de dépense, à environ 25%. Or dans la pondération de l'IPC, les loyers et autres sont à 7,4% seulement. En fait, le prix de l'immobilier à l'achat n'est pas du tout pris en compte dans l'IPC, même par les intérêts bancaires, comme rappelé par un intervenant précédemment et comme indiqué ici:

http://www.parlons-finance.fr/taux-inflation-immobilier-message-17806681.html

Ainsi, l'IPC ne tient pas compte du principal poste de dépense des Français et de l'une des principales causes de la crise. Le tout justifié par un argument fallacieux que je cite:

http://www.insee.fr/fr/methodes/sources/pdf/Indice_des_prix.pdf

Lorsqu’il s’agit d’un logement destiné à être occupé par son propriétaire, quel que soit le poids de l’effort d’épargne pour l’acheter ou le faire construire, il s’agit là encore d’un placement, qui rapportera à son auteur d’être logé, et non d’une consommation.

A ce compte-là, le loyer rapporte aussi au locataire "d'être logé" (fabuleux investissement).

Mais ce n'est pas tout.

La note méthodologique (http://www.insee.fr/fr/indicateurs/ind78/method_idconj_29.pdf ) indique:

L'IPC est un indice de Laspeyres chaîné annuellement. Outre la composition de l'échantillon, les pondérations utilisées pour agréger les 21 000 indices élémentaires (croisement variété x agglomération dans le cas général) sont également mises à jour chaque année. Ces pondérations représentent la part des dépenses associées à l'agrégat concerné au sein de l'ensemble des dépenses de consommation des ménages couvertes par l'IPC.

Elles sont obtenues, pour la plupart, à partir des évaluations annuelles des dépenses de consommation des ménages réalisées par la Comptabilité Nationale.

J'aime bien le "pour la plupart", qui indique que certains coefficients ne sont pas déterminés par la "Comptabilité Nationale". Et comment alors ? Au pif ? Et dans quelle proportion du total ? Mystère. La part des produits manufacturés, dont le prix moyen est à peu près constant, est de 30%, soit 4 fois plus que les loyers. Etrange et pas justifié vu que la case "autres produits manufacturés" est à 21%. Au vu de ces pondérations, justifiées correctement nulle part, je maintiens que c'est là que l'on trouve une source essentielle de manipulation.

Et enfin, la méthodlogie suivie est tellement rigoureuse que le gouvernement envisage de casser à nouveau le thermomètre, comme indiqué ici:

http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/pouvoir-achat-insee/pouvoir-achat-entre-perception-realite-comment-mesurer.html

Lors de la conférence sur l’emploi et le revenu du 14 décembre 2006, le Premier ministre a évoqué la mise en place d’un nouvel indice des prix, incluant le logement, l’énergie, l’eau et le téléphone afin qu’il soit plus représentatif. Lors de sa conférence trimestrielle du 19 décembre 2006, le ministre des finances a annoncé l’ouverture de 3 chantiers : la mise en place d’indices catégoriels, la mise à l’étude par l’INSEE d’une meilleure prise en compte des dépenses de logement des ménages et l’élaboration d’un « bouquet de services-type », élaboré sur la base des dépenses mensuelles avec les associations de consommateurs, permettant le suivi des dépenses dites « contraintes ».
Lien vers le commentaire

L'indice des prix à la consommation n'est pas un indice des prix tout court. Il ne prend en compte qu'une partie du système de prix. La partie liée à la consommation.

Cet état de fait est d'ailleurs potentiellement très problématique étant donné que les banquiers centraux utilisent les indices de prix à la consommation pour connaître l'inflation, ce qui élimine tout une partie du système de prix de leur surveillance. D'aucuns pensent qu'avec un indice qui tiendrait compte de la totalité du système de prix, la masse monétaire serait beaucoup mieux gérée.

Mais cela ne change rien au fait que l'immobilier est bel et bien un investissement, et que si l'on se met à prendre en compte les investissements, il faut, par la même logique, également prendre en compte le prix des actifs financiers. Et ainsi transformer l'indice de prix à la consommation en indice de la totalité du système de prix. Ce serait sans nulle doute une grande amélioration pour les banquiers centraux, mais ce serait un indice dont l'utilité est déjà beaucoup plus discutable pour les ménages.

Et le fait que l'IPC ne soit pas la panacée et soit perfectible n'explique toujours pas en quoi il est manipulé par l'état et ses statisticiens chauves stipendiés. Et pourquoi il faudrait davantage faire confiance aux chiffres d'un mec qui vend sa newsletter sur internet.

Lien vers le commentaire

[…] Mais cela ne change rien au fait que l'immobilier est bel et bien un investissement,

Non, l'achat d'une résidence principale n'est en général pas du tout un investissement. C'est la consommation d'un bien encore plus durable que les biens dits durables dans la méthodologie de l'IPC. Un investissement est une dépense immédiate supposée rapporter une somme d'argent dans le futur.

et que si l'on se met à prendre en compte les investissements, il faut, par la même logique, également prendre en compte le prix des actifs financiers. Et ainsi transformer l'indice de prix à la consommation en indice de la totalité du système de prix. Ce serait sans nulle doute une grande amélioration pour les banquiers centraux, mais ce serait un indice dont l'utilité est déjà beaucoup plus discutable pour les ménages.[/Quote]

Ha oui, pourquoi ? Aucun ménage n'achète jamais d'actions, d'assurance-vie et d'autres actifs financiers ?

Et le fait que l'IPC ne soit pas la panacée et soit perfectible n'explique toujours pas en quoi il est manipulé par l'état et ses statisticiens chauves stipendiés. Et pourquoi il faudrait davantage faire confiance aux chiffres d'un mec qui vend sa newsletter sur internet.

Ta réponse est plutôt paradoxale. En effet, l'IPC est utilisé par les banquiers centraux pour contrôler la masse monétaire. Et tu admets toi-même que ce n'est pas le bon indice pour cela. Mais ta conclusion est fausse puisque tu m'appelles à proposer mieux, ce que je n'ai jamais prétendu faire. Je me contente de critiquer et d'exhiber l'inefficacité et l'incohérence étatique, c'est déjà pas mal. En tout cas ça me paraît plus intelligent que croire aveuglément à ce que les statisticiens manifestement intéressés racontent (je ne te vise pas en particulier).

Lien vers le commentaire

Aujourd'hui, j'ai été à l'université pour observer les cours. Deux heures de droits privé et deux heures d'histoire de l'économie depuis le 18 eme siècle.

D'abord, le cours de droit. C'est une femme qui donne cours. Apparemment certains ne sont absolument pas responsables de ce qu'ils font. Je savais plus ou moins pour le droit des enfants. Mais même l'employé. Il peut faire ce qu'il veut ce n'est pas lui qui paie, et le patron n'a même pas le droit de le prouver que l'employé est responsable si c'est le cas. Il n'avait qu'à pas l'engager, point.

Enfin la femme qui présentait n'avait pas l'air de prendre position, elle se contentait de décrire le droit…

Deuxième cours, histoire de l'économie.

C'était intéressant, mais ce serait un euphémisme de dire que le prof était assommant.

Il explique l'évolution de la consommation depuis le18 eme siècle jusque maintenant.

A la pause, bande annonce d'un film à débat que les étudiants verront la semaine prochaine. C'est l'histoire d'un pauvre malheureux qui est obligé de braque un hôpital parce qu'il est victime du système de santé états-uniens. Son fils est trop malade pour l'assurance et il n'a pas les moyens de payer l'hôpital (avec le son des violons en musique de fond). tout le monde applaudit, je fais comme si c'était normal.

Ensuite le prof reprend le cours, parle des différentes idées économique.

John Stuart Mill et Ricardo, ensuite Karl Marx. Il pend un peu plus de temps pour ce dernier. Le prochain point est le marginalisme avec l'école autrichienne, Carl Menger,etc,… Mais le cours est fini, c'est pour la prochaine fois…

Lien vers le commentaire

L'utopisme de gauche :

Comment décririez-vous le monde de demain ?

Une société moins marchande, moins soumise à la compétition, moins cupide et organisée autour du temps libre. J'ai coutume de dire que dans les cinq plus beaux moments d'une vie, il y a un (ou des) coup(s) de foudre amoureux, la naissance d'un enfant, une belle performance artistique ou professionnelle, un exploit sportif, un voyage magnifique, enfin n'importe quoi mais jamais une satisfaction liée à l'argent. Donc c'est un monde de pratiques culturelles et sportives intenses, de temps familial abondant, de soins aux enfants et de retour à des relations amicales festives.

http://www.lemonde.f…19_1471069.html">(badurl) http://www.lemonde.f…19_1471069.html (badurl)

Lien vers le commentaire

J'arrive pas à comprendre comment on peut être une personnalité politique de premier plan.

D'aller régulièrement dans les médias.

Etc.

Et de ne pas connaitre 2 chose:

Le prix du ticket de métro et celui de la baguette de pain.

Qu'il pense qu'un camembert coute 15€ et un Ipad 50, tout le monde s'en fout.

Mais tout politicien devra répondre un jour à la question:

Quel est le prix de la baguette de pain et du ticket de métro?

Ne pas les connaitre commence à devenir de la faut professionelle, surtout quand ce n'est pas de 10% que l'on se trompe mais de 130% .

Lien vers le commentaire

Rigolo : après avoir exposé mes idées philosophico-politico-économiques, on m'a dit : "Mais en fait t'es un révolutionnaire qui veut renverser le système ! T'es un anarchiste, un anarchiste libéral !". Pourtant je ne suis même pas pour cantonner strictement l'Etat aux seules fonctions régaliennes - alors le supprimer totalement, vous pensez bien ! - même pas !

Moins rigolo : être libéral, c'est un handicap pour se faire des amis. Quelqu'un m'a supprimé de sa liste d'amis Facebook en découvrant l'effroyable vérité !… Pourtant moi ça ne me dérange pas d'avoir des amis qui ne pensent pas comme moi : frontistes, communistes, chrétiens, etc. :(

Lien vers le commentaire

De retour de La Plagne, 10 jours de vacances, un régal, une neige d'enfer, mais trop de skieurs, trop de familles, trop de gosses, trop de débutants, trop de monde sur les remontes-pentes, …

Plus jamais pendant les vacances, mes amis profs (2/10) skierons sans le reste du groupe à l'avenir :icon_biggrin:

Lien vers le commentaire

J'arrive pas à comprendre comment on peut être une personnalité politique de premier plan.

D'aller régulièrement dans les médias.

Etc.

Il y a quelques années, c'était Mariton qui s'était pris les pieds dans ce tapis.

Lien vers le commentaire

J'arrive pas à comprendre comment on peut être une personnalité politique de premier plan.

D'aller régulièrement dans les médias.

Etc.

Et de ne pas connaitre 2 chose:

Le prix du ticket de métro et celui de la baguette de pain.

Qu'il pense qu'un camembert coute 15€ et un Ipad 50, tout le monde s'en fout.

Mais tout politicien devra répondre un jour à la question:

Quel est le prix de la baguette de pain et du ticket de métro?

Ne pas les connaitre commence à devenir de la faut professionelle, surtout quand ce n'est pas de 10% que l'on se trompe mais de 130% .

Le pire n'est pas dans l'ignorance du prix mais surtout de donner un chiffre complétement farfelu. On dirait Romney qui parie 10k $ sur un coup de tête.

C'est encore plus grave quand on sait que NKM avait fait la leçon à Huchon 2 ans auparavant sur la même question !

08 mars 2010

Jean-Paul Huchon cloué au pilori par l’UMP pour… un ticket de métro

Pauvre Jean-Paul Huchon ! Il s’est planté sur le prix du ticket de métro… Gravissime. Il faut voir comment les UMP qui sans nul doute prennent le bus, le métro et le RER tous les jours et même plusieurs fois par jour à n’en point douter, lui tombent sur le râble à bras raccourcis ! Un vrai festival… A lire Libération Le ticket de métro m'a tuer qui en donne le florilège.

De Balkany : «Jean-Paul Huchon incapable de donner le prix d’un ticket de métro ce matin sur France Info. Edifiant»… Certainement plus édifiant que d’avoir été condamné pour avoir employé du personnel municipal à son domicile, n’est-il pas ? A Yves Jégo – qui ne craint pas de proposer un très démagogique tarif unique de la carte Navigo à 30 euros… qui ne verrait sans doute jamais le jour parce que les finances du STIF n’y survivraient pas ! – qui lance sur son blog un laconique «incroyable mais vrai» en passant par Nathalie Kosciusko-Morizet qui feint de s’interroger : «Méconnaissance des tarifs ou annonce de hausse si réélection ?»…De plus pure mauvaise foi, on ne saurait mieux trouver : ils seraient les premiers à prôner une augmentation, à peine arrivés à la tête de la Région… que Dieu nous en préserve !

Lien vers le commentaire

Comme "quels sont vos qualités et vos défauts?", c'est une question à la con à laquelle un candidat doit s'attendre. S'il est incapable de répondre dignement, c'est qu'il est mal préparé et donc pas sérieux.

Tiens, d'ailleurs, que faut-il répondre pour les défauts ? La réponse cliché : perfectionniste ?

Lien vers le commentaire

Tiens, d'ailleurs, que faut-il répondre pour les défauts ? La réponse cliché : perfectionniste ?

Il ne faut pas mentir mais il faut apprendre à présenter ses défaut de façon positive en fonction du job. Exemple: un candidat vendeur ne dira pas "je suis trop bavard" mais "je parle beaucoup car j'aime argumenter". Un gros paresseux comme moi fera valoir sa capacité à trouver la solution la plus efficace. Dans le cas du prix du ticket de métro, le candidat ignorant ne répondra pas "j'ai un chauffeur" mais "j'ai un abonnement donc je ne sais pas exactement mais la dernière fois que j'ai regardé, c'était à peu près tant" (donner un chiffre crédible).

Ca me rappelle que Martine Aubry s'était fait avoir. C'est une histoire que j'ai déjà racontée. Ca devait être pendant la campagne des législatives en 1997. On lui avait démandé si elle connaissait le prix d'une demi-livre de beurre et elle avait répondu: "mais bien sûr, je fais mes courses moi-même, je vais vous dire ça tout de suite, une demi-livre de beurre, ça coûte entre 2F50 et 4F" (admirez la précision de la fourchette). La journaliste, assez sympa, essaie de lui faire comprendre qu'elle s'est un peu trompée (une demi-livre de beurre coûtait à l'époque environ 8F50): "vous savez, dans les petits commerces, une demi-livre de beurre coûte plutôt 10F". Et la mère emptoire de s'exclamer: "ha mais moi je fais mes courses dans les grandes surfaces !"

Modifié par Sous-Commandant Marco
Lien vers le commentaire

Il ne faut pas mentir mais il faut apprendre à présenter ses défaut de façon positive en fonction du job. Exemple: un candidat vendeur ne dira pas "je suis trop bavard" mais "je parle beaucoup car j'aime argumenter". Un gros paresseux comme moi fera valoir sa capacité à trouver la solution la plus efficace.

Pas mal, je note.

Lien vers le commentaire
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
×
×
  • Créer...