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Je raconte my life II - Le retour


Mobius

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Je dirais par souci de conciliation que tu as un combat de retard. L'élite bourgeoise a déjà été remplacé par une élite bien-pensante, faite d'une combinaison des mutins de panurges et des bourgeois qui ont su voir l'avènement de ceux-là.

Au contraire je calcule avec un coup d'avance, car celle-ci malgré le soutien du clergé culturel, est déjà entrée en décadence, nourrit ses ennemis et sera bientôt balayée avec ses oripeaux.

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"Bien-pensant" est un concept creux et totalement dénué d'intérêt d'ailleurs, dans la mesure où chacun est le bien-pensant d'un autre. Je n'arrive pas à comprendre en quoi il est utile, si ce n'est pour insulter poliment son contradicteur

Tu rate une partie du sens du terme « bien pensant », il est lié a l’air du temps, ce n’est pas l’idéologie elle-même qui est condamnée en la qualifiant de bien-pensance, mais le fait qu’elle est tellement consensuelle qu’elle n’a pas a être défendue rationnellement et que celui qui s’y oppose est automatiquement voué a l’opprobre scandalisée et non au débat.

Au contraire je calcule avec un coup d'avance, car celle-ci malgré le soutien du clergé culturel, est déjà entrée en décadence, nourrit ses ennemis et sera bientôt balayée avec ses oripeaux.

Ce qui me semble vrai mais ne dit pas lequel de ses ennemis va la remplacer, après tout, Mélenchon n'en fait pas partie (alors que le NPA s’est laissé boboïser).

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Ca y est, j'ai vu le V avant hier et le VI hier. (Star Wars)

Alors le V est genial, les decors, les combat, … Le VI est surprenant, On dirait qu'il etait a cours de budget, qu'il a recyclé les decors du IV et du V. La tribus d'Ewokes est comiques, limite insultante pour les vrais tribues mais passons, ce qui est vraiment idiot c'est qu'une bande nounours en peluches armés d'arc a fleches et de gros caillous fasse tomber l'armee imperiale equipee d'armure, d'armes a feux de gros calibres et d'armes de destruction massives.

Le combat avec l'empereur et Darth Vader est pas mal, je ne m'attendais pas a voir le vrai visage de Darth Vader ni de le voir rejoindre le bon cote de la force.

Pour le reste le coup du "je suis ton pere, t'es ma soeur, …" ca fait un peu trop Santa Barbara a mon gout, mais je ne peux pas dire que le film ne m'a pas plus. J'ai notemment beaucoup apprecié le palais de Jubba, le gros devorreur qui meurt et le combat dans le desert.

AU final, je me suis bien marré, j'ai passé un bon moment, mais je n'en ai pas pris plein la vue comme dans les deux premiers.

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"Bien-pensant" est un concept creux et totalement dénué d'intérêt d'ailleurs, dans la mesure où chacun est le bien-pensant d'un autre. Je n'arrive pas à comprendre en quoi il est utile, si ce n'est pour insulter poliment son contradicteur ("tu es un bien-pensant" c'est plus classe que "ce que tu dis c'est de la merde").

La déf sur wp est pas mal du tout : La bien-pensance désigne une attitude intellectuelle jugée conformiste, moraliste, parce qu'elle adopte un point de vue, généralement progressiste, qui répète les valeurs putatives de l'ordre établi ou les idées du milieu d'appartenance.

S'il est vrai que tout le monde se lance du "bien-pensant" à la figure des autres, certains ont plus raison que d'autres.

Au contraire je calcule avec un coup d'avance, car celle-ci malgré le soutien du clergé culturel, est déjà entrée en décadence, nourrit ses ennemis et sera bientôt balayée avec ses oripeaux.

Balayée par qui ? Pourquoi te plains-tu du renversement - que tu prévois - de l'élite actuelle ?

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Les mecs, ils ont encore des armures mais un caillou les assomme quand même. Ils ont des zincs qui vont dans l'espace, mais les mecs font encore des dog fights. Sont vraiment pas doués.

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On s'est couché tard avec Aurel pour que tu puisses en voir plein sur Paris :icon_up:

Malheureusement, elles avaient été presque entièrement arrachées. Si je ne les connaissais pas avant, je n'aurai pas su de quoi cela parlait. Les gauchistes sont plus nombreux, ils poursuivent inlassablement leur entreprise d'uniformisation intellectuelle.

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Tu rate une partie du sens du terme « bien pensant », il est lié a l’air du temps, ce n’est pas l’idéologie elle-même qui est condamnée en la qualifiant de bien-pensance, mais le fait qu’elle est tellement consensuelle qu’elle n’a pas a être défendue rationnellement et que celui qui s’y oppose est automatiquement voué a l’opprobre scandalisée et non au débat.

Un réchauffiste te dira que l'air du temps, la bien-pensance, c'est le productivisme débridé, les plateforme pétrolières implantées partout, etc. Un anti-réchauffiste te dira que l'air du temps, la bien-pensance, c'est Yann Artus-Bertrand, Nicolas Hulot, le Grenelle de l'Environnement. Un lepéniste te dira que l'air du temps, c'est celui de l'immigrationnisme, celui de l'ouverture tous azimut des frontières. Un libéral comme moi dira que l'air du temps est à la bunkerisation de la France.

Sans vouloir faire le relou : une notion qui désigne des réalités différentes selon le locuteur, c'est une notion bidon, une façon "polie" et "mesurée" de jeter son adversaire dans les ténèbres, plutôt que de le traiter directement de "tocard" ou de "connard".

Regarde par exemple l'évolution du sens de l'expression "politiquement correct". Au début, c'est une notion qui correspondait à l'adoucissement de certains qualificatifs : "aveugle" devient "non-voyant", "handicapé" devient "personne à mobilité réduite", etc. Maintenant, cela n'a plus rien à voir avec cela.

La déf sur wp est pas mal du tout : La bien-pensance désigne une attitude intellectuelle jugée conformiste, moraliste, parce qu'elle adopte un point de vue, généralement progressiste, qui répète les valeurs putatives de l'ordre établi ou les idées du milieu d'appartenance.

Excellent : c'est la notion de "d'où tu parles", qui prouve donc bien que mon intuition de départ était la bonne.

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Un réchauffiste te dira que l'air du temps, la bien-pensance, c'est le productivisme débridé, les plateforme pétrolières implantées partout, etc. Un anti-réchauffiste te dira que l'air du temps, la bien-pensance, c'est Yann Artus-Bertrand, Nicolas Hulot, le Grenelle de l'Environnement. Un lepéniste te dira que l'air du temps, c'est celui de l'immigrationnisme, celui de l'ouverture tous azimut des frontières. Un libéral comme moi dira que l'air du temps est à la bunkerisation de la France.

Sans préjuger de qui a raison ou a tort sur le fond, on ne peut pas nier que l'air du temps est au réchauffisme par exemple, sur le multiculturalisme, c'est plus discutable, c'était vrai il y a une dizaine d'année.

Il y a bien souvent une opinion 'officielle' qu'il n'est pas nécéssaire de justifier et une opinion tabou dont l'expression meme permet d'ignorer les arguments, ce n'est en rien un critere de vérité de l'opinion sacrilege, mais il y a bien une bien-pensance factuelle et le fait que des bien-pensants usent parfois du terme pour désigner leurs ennemis ne permet pas de jouer le jeu de l'équivalence des deux positions du dominant culturel et du dominé culturel.

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Sans préjuger de qui a raison ou a tort sur le fond, on ne peut pas nier que l'air du temps est au réchauffisme par exemple, sur le multiculturalisme, c'est plus discutable, c'était vrai il y a une dizaine d'année.

Ça me paraît de moins en moins clair pour l'écologie.

Il y a bien souvent une opinion 'officielle' qu'il n'est pas nécéssaire de justifier et une opinion tabou dont l'expression meme permet d'ignorer les arguments, ce n'est en rien un critere de vérité de l'opinion sacrilege, mais il y a bien une bien-pensance factuelle et le fait que des bien-pensants usent parfois du terme pour désigner leurs ennemis ne permet pas de jouer le jeu de l'équivalence des deux positions du dominant culturel et du dominé culturel.

Je ne crois pas. Ou alors, tu devrais appeler cette notion "opinion mainstream" ou "opinion populaire", auquel cas ce n'est plus notion bidon mais une notion triviale. (ex : "les fonctionnaires, y'en a des qui font du bon boulot, y'en a des qui sont des fainéants", sans aller plus loin dans l'analyse)

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Je ne crois pas. Ou alors, tu devrais appeler cette notion "opinion mainstream" ou "opinion populaire", auquel cas ce n'est plus notion bidon mais une notion triviale.

La spécificité, c’est que ce n’est pas seulement une opinion majoritaire, il y a des tas d’opinions majoritaires qui ne sont pas susceptibles d’être taxées de bien-pensance, mais d’une opinion auto-justificatrice, qu’il n’est pas nécessaire de la défendre rationnellement et qui fait que celui qui se place dans l'opposition est conspué sans besoin de le contredire dans un débat, l’antiracisme est un exemple particulièrement pur, l'écologisme aussi.

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La spécificité, c’est que ce n’est pas seulement une opinion majoritaire, il y a des tas d’opinions majoritaires qui ne sont pas susceptibles d’être taxées de bien-pensance, mais d’une opinion auto-justificatrice, qu’il n’est pas nécessaire de la défendre rationnellement et qui fait que celui qui se place dans l'opposition est conspué sans besoin de le contredire dans un débat, l’antiracisme est un exemple particulièrement pur, l'écologisme aussi.

Par exemple : les arabes sont des voleurs.

C'est majoritaire mais ce n'est pas bien pensant.

Moi je dis ça, je ne suis pas raciste hein, j'ai un CD des Fugees.

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La bien-pensance désigne un discours qu'il faut tenir pour être du coté des bonnes personnes. Il désigne le consensus mou du bon type.

Il s'agit presque de la position qui permet de ne pas avoir d'ennuis.

Il faut distinguer deux types de bien-pensant:

1. Le fanatique: celui qui fait pression.

2. Le quidam: celui qui ne veut pas froisser, qui préfère aller dans le sens du vent.

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La bien-pensance désigne un discours qu'il faut tenir pour être du coté des bonnes personnes. Il désigne le consensus mou du bon type.

Et c'est quoi la différence entre un bon et un mauvais chasseur? (cf sketch des inconnus).

Je ne comprends pas cette notion comme quoi il serait "bien" de penser ceci ou cela. En général, quand c'est le cas, cela dure très peu de temps, non pas parce que les gens se réveillent, mais parce qu'ils s'en foutent en fait, et passent à autre chose.

L'antiracisme, passée la décennie 1980, est passé dans le domaine du bruit de fond où l'a rejoint par la suite ATTAC, et bien d'autres mouvements qui ont eu leur quart d'heure warholien et puis pouf. L'Obamania, il en reste quoi aujourd'hui? L'opposition à la guerre en Irak qui a jeté tant de français dans la rue, qu'en reste-t-il, à l'heure du bourbier afghan?

Bref, tout cela c'est du vent, des petites modes sans importance que l'on position comme le paradigme structurant de l'époque.

Je sais bien que les libéraux sont orphelins du communisme, n'ont plus de GRAND ENNEMI, mais de là à choisir une rimbambelle de trucs sans importance comme l'antiracisme, l'écologisme, le mangerbougisme etc. c'est se tromper de combat. Quand l'Etat dit "je vais désormais taxer tel comportement parce que blablabla " (à la place de blablabla, mettre "parce que cela nuit à la planète", "parce que c'est pas une bonne hygiène de vie", etc.), la raison, le blablabla, importe peu, puisque dans 5, 10, 15 ans, il aura bientôt changé.

Et la "bienpensance" avec d'ailleurs.

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Et c'est quoi la différence entre un bon et un mauvais chasseur? (cf sketch des inconnus).

Je ne comprends pas cette notion comme quoi il serait "bien" de penser ceci ou cela. En général, quand c'est le cas, cela dure très peu de temps, non pas parce que les gens se réveillent, mais parce qu'ils s'en foutent en fait, et passent à autre chose.

L'antiracisme, passée la décennie 1980, est passé dans le domaine du bruit de fond où l'a rejoint par la suite ATTAC, et bien d'autres mouvements qui ont eu leur quart d'heure warholien et puis pouf. L'Obamania, il en reste quoi aujourd'hui? L'opposition à la guerre en Irak qui a jeté tant de français dans la rue, qu'en reste-t-il, à l'heure du bourbier afghan?

Bref, tout cela c'est du vent, des petites modes sans importance que l'on position comme le paradigme structurant de l'époque.

Je sais bien que les libéraux sont orphelins du communisme, n'ont plus de GRAND ENNEMI, mais de là à choisir une rimbambelle de trucs sans importance comme l'antiracisme, l'écologisme, le mangerbougisme etc. c'est se tromper de combat. Quand l'Etat dit "je vais désormais taxer tel comportement parce que blablabla " (à la place de blablabla, mettre "parce que cela nuit à la planète", "parce que c'est pas une bonne hygiène de vie", etc.), la raison, le blablabla, importe peu, puisque dans 5, 10, 15 ans, il aura bientôt changé.

Et la "bienpensance" avec d'ailleurs.

Tu es…très très optimiste.

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Pas de commentaire sur la tenue de Leia dans la palais de Jabba ?

Il y a quand meme une partie du film qui t'a échappé :icon_up:

Ben disons que j'aurais apprecié de voir au moins un bogosse, meme pas en string, je ne suis pas exigeant, mais Leia, ca me fait le meme effet qu'a toi si Luke ou Han avait ete a sa place dans la meme tenue.

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Et la "bienpensance" avec d'ailleurs.

Il y a une part mouvante, mais aussi une part fixe, qui est le progressisme. Mais ce qu'on reproche à la bien-pensance ce n'est pas tant une idée que le pourquoi de cette idée : à savoir le conformisme intellectuel, le désir d'être du bon côté de l'histoire, le pouvoir de stigmatiser les déviants, tout cela camouflant en fin de compte la vacuité.

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Il y a une part mouvante, mais aussi une part fixe, qui est le progressisme. Mais ce qu'on reproche à la bien-pensance ce n'est pas tant une idée que le pourquoi de cette idée : à savoir le conformisme intellectuel, le désir d'être du bon côté de l'histoire, le pouvoir de stigmatiser les déviants, tout cela camouflant en fin de compte la vacuité.

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Il y a une part mouvante, mais aussi une part fixe, qui est le progressisme. Mais ce qu'on reproche à la bien-pensance ce n'est pas tant une idée que le pourquoi de cette idée : à savoir le conformisme intellectuel, le désir d'être du bon côté de l'histoire, le pouvoir de stigmatiser les déviants, tout cela camouflant en fin de compte la vacuité.

La question est de savoir pourquoi la bien-pensance est aussi puissante parmi les élites intellectuelles et leurs affidés, journalistes et gens des médias.

Mimétisme?

Pour savoir in petto ce qu'est la bien-pensance, il suffit de lire n'importe quel numéro du Monde ou de Libé.

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La question est de savoir pourquoi la bien-pensance est aussi puissante parmi les élites intellectuelles et leurs affidés, journalistes et gens des médias.

Mimétisme?

Parce que la bien-pensance est majoritaire, certainement pour causes de paresse intellectuelle et de manque de culture politique, et qu'il faut bien flatter et caresser dans le sens du poil pour vendre des journaux et des livres.

Tandis que les courants minoritaires ont eux aussi leurs niches mais qui rapportent moins que le courant majoritaire.

C'est juste une supposition qui me ferait bien rire : que le marché soit le premier véhicule d'idées anti-marché.

Et pour contredire Chitah, il n'y pas que des effets de mode, ou alors il y a des modes qui durent des siècles : essaie donc de critiquer radicalement la démocratie de nos jours !

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La question est de savoir pourquoi la bien-pensance est aussi puissante parmi les élites intellectuelles et leurs affidés, journalistes et gens des médias.

Mimétisme?

Pour savoir in petto ce qu'est la bien-pensance, il suffit de lire n'importe quel numéro du Monde ou de Libé.

Mimétisme, conformise, ça a toujours été comme ça. Faire partie des élites n'a jamais été une garantie d'avoir de la personnalité. En démocratie, on se fait aimer en disant aux gens des trucs gentils qu'ils ont envie d'entendre, ça n'engage personne, ça permet de vendre du papier ou d'asseoir une audience. Les gens courageux sont toujours des singularités dans le paysage et bien rares sont les gens courageux qui sont récompensés.

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La question est de savoir pourquoi la bien-pensance est aussi puissante parmi les élites intellectuelles et leurs affidés, journalistes et gens des médias.

Mimétisme?

Pour savoir in petto ce qu'est la bien-pensance, il suffit de lire n'importe quel numéro du Monde ou de Libé.

Je préfère encore lire la bien-pensance du Monde que la démagogie nationale-socialiste de Marianne. Quant à Libération c'est faire beaucoup d'honneur à ce journal de lui reprocher en premier sa bien-pensance.

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ce qu'on reproche à la bien-pensance ce n'est pas tant une idée que le pourquoi de cette idée : à savoir le conformisme intellectuel, le désir d'être du bon côté de l'histoire, le pouvoir de stigmatiser les déviants, tout cela camouflant en fin de compte la vacuité.

En fin de compte, ce que tu reproches à la bien-pensance, c'est de s'appuyer sur des travers humains connus.

Du coup je comprends mieux : à partir de travers connu, on les regroupe (voir ta liste non-exhaustive ci-dessus) et on appelle cela la bien-pensance.

C'est donc bien ce que je disais : la bien-pensance n'est pas une idée (au sens d'un contenu), mais juste une posture.

En d'autres : parmi nous, les libéraux, ici même, il y a certainement des bien-pensants, je me trompe?

Je préfère encore lire la bien-pensance du Monde que la démagogie nationale-socialiste de Marianne. Quant à Libération c'est faire beaucoup d'honneur à ce journal de lui reprocher en premier sa bien-pensance.

Ben dis donc, toi qui d'habitude fais le flic pour les propos trop outranciers, là tu m'épates.

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Oui Jerry sur le blog d'Apollon quand il qualifie la presse de nationale socialiste.

Alors où trouve-t-on les plus belles concentrations de monmlfp ? Réponse : dans les courriers des lecteurs et plus particulièrement chez lemonde.fr, qui a sa rubrique dédiée aux réactions (je ne parlerais même pas de la presse nationale-socialiste)

Collector.

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