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Je raconte my life II - Le retour


Mobius

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Je crois surtout que c'est très féminin (enfin, plutôt : "féminin" comme l'entendent les féministes) de vouloir à tout prix vivre avec quelqu'un qui partage ses idées. Les hommes s'en foutent davantage.

plus 1 (enfin, dans mon cas, pourvu que l'élue de mon coeur ne soit pas bolchevique, nazie ou proche de mouvements fondamentalistes religieux; bref, si elle est libérale modérée, socialiste modérée ou encore centriste … modérée :icon_up: , cela ne m'empêchera pas de dormir.

Ainsi, j'ai récemment entretenu une relation avec une dame de sympathie ecolo.

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Petit tour de VTT au saut du moine. Histoire bien particulière d'ailleurs quant à la toponymie de ce lieu : au XIII ème un moine qui se jette dans le vide car il ne pouvait pas rester fidèle … à son engagement religieux. La belle marie était trop belle :icon_up:

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En allant à la Fnac des Ternes mon amie m'a poussé à laisser ma voiture au laveur auto du parking sous-terrain. Résultat, un travail de sagouin, une facture de 190 euros, et une légère douleur au cul…

Plus déprimant, je viens d'appendre que le propriétaire du salon de thé en face de chez moi a reçu un redressement fiscal avant-hier. Il est mort d'une crise cardiaque dans la nuit…

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Pareil, tout comme j'ai du mal avec une fille conne, ou qui écoute du r&b.

Tu aurai pu dire "et qui écoute du R'nB", les filles qui écoutent du R'nb sont forcément connes. Pour ma part je n'en ai jamais connu.

Mais je dois dire que souvent je suis interloqué quand je marche dans la rue, de voir des filles qui foutent cette musique à fond sur leurs portables, et qui en plus puent le glucose, oui oui le glucose. C'est assez étrange, je me suis renseigné, on m'a dit que c'était à cause d'une sorte de rouge à lèvres sucré appelé "gloss". :icon_up: Si on ajoute à cela cette mode de mettre des lunettes énormes….

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Plus déprimant, je viens d'appendre que le propriétaire du salon de thé en face de chez moi a reçu un redressement fiscal avant-hier. Il est mort d'une crise cardiaque dans la nuit…

J'hésite : :doigt: ou :icon_up:

Je présume que ça ne va pas stopper le redressement fiscal ?

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!

D'où la douleur au cul… J'avais pris la formule complète (intérieur, extérieur, polissage, lustrage etc.).

J'hésite : :doigt: ou :icon_up:

Je présume que ça ne va pas stopper le redressement fiscal ?

La somme est trop importante pour être payée. Le commerce va fermer à priori.

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D'où la douleur au cul… J'avais pris la formule complète (intérieur, extérieur, polissage, lustrage etc.).

La pommade s'appelle mauvaise pub, je suis sûr que tu connais. :icon_up:

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Plus déprimant, je viens d'appendre que le propriétaire du salon de thé en face de chez moi a reçu un redressement fiscal avant-hier. Il est mort d'une crise cardiaque dans la nuit…

L'Etat est à la dèche grave. Il en est à essayer de rattraper les double dépositaires d'un livret A.

Je me pose la question : l'état français verra-t-il janvier 2009 ?

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Soirée nanarde :

Vu deux films fantastiques mutilés par leur producteur.

Névrose, une adaptation pesante et kitsch de Fall of the House of Usher, par Jesus Franco (1982).

(Ceci dit, le matériau tourné par l'Espagnol était déjà quelque peu… approximatif, dirais-je.)

La Maison de l'exorcisme, un remontage de Lisa et le Diable réalisé par Mario Bava. Le cinéaste italien a renié ce tripatouillage opportuniste (conçu dans la foulée du succès de L'Exorciste), au point de refuser que son nom figure au générique.

Et maintenant, sur ARTE : Curse of the Crimson Altar (1968), avec Boris Karloff, Christopher Lee et Barbara Steele.

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Et maintenant, sur ARTE : Curse of the Crimson Altar (1968), avec Boris Karloff, Christopher Lee et Barbara Steele.

Film moins mauvais que ce à quoi je m'attendais. Les scènes les plus réussies sont celles où pèse une menace latente sans qu'on sache trop pourquoi (notamment, les moments où les protagonistes dégustent du brandy).

Néanmoins, les scènes purement fantastiques sont ratées (excepté le final) : Le maquillage de B. Steele est grotesque. Quant à ses assistants, ils semblent sortis d'une parodie de BDSM.

Reste surtout la confrontation historique entre deux monstres sacrés qui ont campé chacun, à vingt-cinq et trente ans de distance, la créature de Frankenstein, la Momie et le Dr Fu Manchu.

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Film moins mauvais que ce à quoi je m'attendais. Les scènes les plus réussies sont celles où pèse une menace latente sans qu'on sache trop pourquoi (notamment, les moments où les protagonistes dégustent du brandy).

Là, c'est une menace latente de biture, je suppose.

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Là, c'est une menace latente de biture, je suppose.

Absolument, car le personnage principal se fait remettre à sa place par le vieillard qu'interprète Boris Karloff * et qui lui fait remarquer combien il boit en sagouin sans apprécier la beauté du brandy. Une légende court d'ailleurs à propos de ces quelques scènes : Lucilio y aurait doublé le vieux comédien, trop fatigué.

___________

* Private joke : lorsque le protagoniste visite la maison ensorcelée, il dit à son hôtesse : "C'est assez lugubre; il ne manquerait plus que Boris Karloff apparaisse".

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Je pense plutôt que la plupart des femmes se fiche de la politique, ainsi, elles peuvent sortir avec des libéraux sans problème. Sinon, vos femmes seraient libérales (elles peuvent l'être sans le savoir d'ailleurs)…

Je suis sorti avec une fille de la LCR il y a quelques temps, enfin m'en suis rendu compte après elle n'avait pas le look typique ( oui des fois on peut avoir honte d'avouer certain trucs :icon_up: ).

L'Etat est à la dèche grave. Il en est à essayer de rattraper les double dépositaires d'un livret A.

Je me pose la question : l'état français verra-t-il janvier 2009 ?

La chasse devient un sport nationale visiblement, surtout que pour ces livret A j'ai entendu que les mairies les crées à la naissance, on risque de payer pour leurs conneries erreurs. Bref bientot plus pourchassés que pour un crime de sang …

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Je suis furaxe. Je viens de me faire chourrer mon exemplaire des "Principes de Politique", de Benjamin Constant, avec tout le travail que j'avais réalisé dessus depuis au moins deux semaines. Je suis résolument, objectivement, paroxysmalement, profondément furaxe.

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Je suis furaxe. Je viens de me faire chourrer mon exemplaire des "Principes de Politique", de Benjamin Constant, avec tout le travail que j'avais réalisé dessus depuis au moins deux semaines. Je suis résolument, objectivement, paroxysmalement, profondément furaxe.

C'est sans doute un coup signé Furax.

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Là, c'est une menace latente de biture, je suppose.

Autre film de biture avec Chris Lee, que j'ai vu ce soir :

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C'est sans doute un coup signé Furax.

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Je pourrais en faire mon avatar ce soir, tiens. Deuxième saison : le bouquin sacré. :icon_up:

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J'étais à Bruxelles, je suis rentré à Paris en voiture. Il faisait beau, la route a été agréable. Je dors sur le campus ce soir.

Tu as de l'argent à jeter par les fenêtres à garder une chambre sur le campus alors que tu n'as plus de cours…

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Je suis furaxe. Je viens de me faire chourrer mon exemplaire des "Principes de Politique", de Benjamin Constant, avec tout le travail que j'avais réalisé dessus depuis au moins deux semaines. Je suis résolument, objectivement, paroxysmalement, profondément furaxe.

http://www.librairal.org/wiki/Benjamin_Con…es_de_politique

http://books.google.fr/books?id=XwQvbqevu7…id%C3%A8rent%22

J'étais à Bruxelles, je suis rentré à Paris en voiture. Il faisait beau, la route a été agréable. Je dors sur le campus ce soir.

Bon début, mauvaise fin :icon_up:

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