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Ah ah, c'est un secret.

 

La réponse se trouve quelque part dans la république, l'apologie de Socrate, les lois de Platon, le livre X de l'éthique à Nicomaque, les mémorables de Xénophon...et certaines pièces d'Aristophane.

 

:icon_rolleyes:

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Et encore une fois, s'il n'y a pas de construction ou d'héritage collectif, comment expliquer cette répartition homme / femme dans certaines filières ?

 

 

 

Pour l'informatique je pense que c'est une sorte de gène "gout de l'informatique" qu'on retrouve beaucoup moins fréquemment chez les femmes (et qui n'est pas obligatoire pour travailler dans l'informatique).

Quand l'informatique n’était encore pas vraiment une filière ni une carrière, que c’était un truc inconnu un peu bizarre, si on s'y intéressait c’était forcement par gout.

Et a cette époque il n'y avait absolument aucune femme qui s'y intéressait.

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Pour l'informatique je pense que c'est une sorte de gène "gout de l'informatique" qu'on retrouve beaucoup moins fréquemment chez les femmes (et qui n'est pas obligatoire pour travailler dans l'informatique).

Quand l'informatique n’était encore pas vraiment une filière ni une carrière, que c’était un truc inconnu un peu bizarre, si on s'y intéressait c’était forcement par gout.

Et a cette époque il n'y avait absolument aucune femme qui s'y intéressait.

*Presque* aucune. Il y avait quand même Grace Hopper, Adele Goldberg, Barbara Liskov... M'enfin, ça c'était avant les tricheuses comme "Audrey" Tang ou "Sophie" Wilson. Et je ne parle même pas de Ada Lovelace, ni de l'équipe des programmeuses de l'ENIAC.
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*Presque* aucune. Il y avait quand même Grace Hopper, Adele Goldberg, Barbara Liskov... M'enfin, ça c'était avant les tricheuses comme "Audrey" Tang ou "Sophie" Wilson. Et je ne parle même pas de Ada Lovelace, ni de l'équipe des programmeuses de l'ENIAC.

 

Katherine Johnson aussi, dans un autre registre (http://www.nasa.gov/centers/langley/news/researchernews/rn_kjohnson.html)

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Je te propose un truc, smart guy, donne-moi ta définition de la théorie des cordes en deux trois lignes, ensuite on rediscute Philosophie und Gesetz :P

 

Quand il pleut des cordes, il vaut mieux se tenir à l'abri.

 

 

 

 

...

 

 

 

 

 

 

 

:jesors:

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Heu, tu tires un peu tout ça par les cheveux.

Il pourrait tout aussi bien avoir la trique en sachant qu'elle est dans la pièce à coté, ou ailleurs... et alors ?

Tu te mets à poil à côté d'un mec hétérosexuel, il va avoir la trique et c'est ta faute. Ça ne l'autorise à rien, mais tu te crois où, sur Mars ?

Et franchement c'est pas spécifiquement masculin. Je sais pas moi merde, tu dormirais avec ta copine lesbienne ?

Je vois pas comment tu peux faire passer plus clairement le message que t'as envie de les sauter mais que t'assumes pas et que tu veux qu'ils fassent le premier pas. Après évidemment si tu dis non, c'est non, mais se scandaliser qu'il ait pas compris, c'est trop gros, faut pas se foutre du monde.

Je peux dormir à côté d'une jolie femme à poil et rien faire du tout. Je peux aussi passer une journée de jeûne à côté d'une cuisine où on cuit un gigot. Mais je le ferai pas. L'un d'entre nous ira dormir ailleurs. Je suis pas maso. Faut être cinglé ou castré pour faire des trucs pareils, sauf situation d'urgence qui impose cette proximité.

 

Heu, selon la même logique les femmes qui se font violer alors qu'elles portaient une mini jupe sont responsables dudit viol...

 

Ce double sophisme est du terrorisme intellectuel et il est insupportable. D'abord, la mini-jupe n'est pas une provocation. Se glisser dans le lit de quelqu'un, si. Ensuite, tu penses que tu peux faire n'importe quoi et t'attendre à ce que le monde s'adapte à tes gamineries ? Dans le monde des adultes il y a des codes. La provocation inutile et immature de suffisamment de gens finira par rencontrer le succès en la personne d'un délinquant ou d'un criminel.

Contrairement à l'opinion de la Cour de cassation, t'es jamais responsable d'une agression, parce que l'agresseur reste toujours le seul à décider de la commettre.

Mais ça change rien au fait que le mec qui va se payer le luxe de se balader dans le pire quartier de Marseille avec des billets de banque dans un sac en plastique transparent cherche les problèmes. Le flingue du flic existe pour te protéger mais il est loin, très loin, quand le diable que tu as été tenter est, lui, tout près.

 

Disons un féministe qui n'est pas totalement pussywhipped.

En général, les seuls bons féministes sont des femmes. Les hommes sont culpabilisés que c'en est affolant.

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Jabial, tu as déterré le fil... et la hache de guerre. :D

C'est pas moi qui ai déterré la hache de guerre. J'ai simplement décidé qu'une agression non dirigée contre moi était mon affaire.

La violence passive-agressive reste de la violence (c'est pas moins grave dire dire à quelqu'un "avec cette logique on massacre des juifs dans des camps" que "sale con", c'est plus grave) et sortir en moins de 3 posts à la fois "je fais ce que je veux avec mes cheveux vous avez qu'à regarder ailleurs" et "RAAAAAAAAAAAAPE" méritait une réaction appropriée, qui curieusement n'est pas venue pendant que tu te faisais pourrir.

Je me ferai un immense plaisir de continuer cette conversation.

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Je ne crois pas que ce soit très instructif ou même intéressant de discuter ensemble à partir du moment où tu considères en a priori, que le problème auquel je m'intéresse n'existe pas. Si cela n'aboutit à rien, tu peux même te permettre de ne plus lire ce que j'écris, cela préservera au moins tes yeux. :icon_wink:

Donc toute personne qui ose émettre un doute sur la véracité d'une situation décrite par les féministes, sur le fait que ce soit un problème ou sur la pertinence des solutions est forcément dans le déni et ferait mieux de la fermer ?

Je dis que c'est un problème imaginaire parce que j'ai posé des questions sur ces trois points sans recevoir d'élément concluant.

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Donc toute personne qui ose émettre un doute sur la véracité d'une situation décrite par les féministes, sur le fait que ce soit un problème ou sur la pertinence des solutions est forcément dans le déni et ferait mieux de la fermer ?

Le fait que la Terre soit plate, ou que le socialisme aide les pauvres, n'a pas besoin d'être prouvé voyons.

C'est évident. Regarde autour de toi.

Ça se voit que tu es un homme et riche hein. Et puis blanc.

Shake ton privilège.

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Tu te mets à poil à côté d'un mec hétérosexuel, il va avoir la trique et c'est ta faute. Ça ne l'autorise à rien, mais tu te crois où, sur Mars ?

Et franchement c'est pas spécifiquement masculin. Je sais pas moi merde, tu dormirais avec ta copine lesbienne ?

Je vois pas comment tu peux faire passer plus clairement le message que t'as envie de les sauter mais que t'assumes pas et que tu veux qu'ils fassent le premier pas. Après évidemment si tu dis non, c'est non, mais se scandaliser qu'il ait pas compris, c'est trop gros, faut pas se foutre du monde.

Je peux dormir à côté d'une jolie femme à poil et rien faire du tout. Je peux aussi passer une journée de jeûne à côté d'une cuisine où on cuit un gigot. Mais je le ferai pas. L'un d'entre nous ira dormir ailleurs. Je suis pas maso. Faut être cinglé ou castré pour faire des trucs pareils, sauf situation d'urgence qui impose cette proximité.

 

 

Ce double sophisme est du terrorisme intellectuel et il est insupportable. D'abord, la mini-jupe n'est pas une provocation. Se glisser dans le lit de quelqu'un, si. Ensuite, tu penses que tu peux faire n'importe quoi et t'attendre à ce que le monde s'adapte à tes gamineries ? Dans le monde des adultes il y a des codes. La provocation inutile et immature de suffisamment de gens finira par rencontrer le succès en la personne d'un délinquant ou d'un criminel.

Contrairement à l'opinion de la Cour de cassation, t'es jamais responsable d'une agression, parce que l'agresseur reste toujours le seul à décider de la commettre.

Mais ça change rien au fait que le mec qui va se payer le luxe de se balader dans le pire quartier de Marseille avec des billets de banque dans un sac en plastique transparent cherche les problèmes. Le flingue du flic existe pour te protéger mais il est loin, très loin, quand le diable que tu as été tenter est, lui, tout près.

 

Disons un féministe qui n'est pas totalement pussywhipped.

En général, les seuls bons féministes sont des femmes. Les hommes sont culpabilisés que c'en est affolant.

 

Heu, t'as juste rien compris à ce que je disais, et tu me rebalances cet homme de paille dans la tronche deux semaines plus tard ? Ca va bien la tête ?

 

Je n'ai jamais parlé de "faute", ni fait de "gamineries".

J'ai juste dit qu'un mec ça a la trique quel que soit l'endroit où la femelle-donneuse-de-trique se trouve, que ce soit juste à côté ou dans une autre ville à 1000 kilomètres de distance (et quelle que soit sa tenue vestimentaire, d'ailleurs je n'ai pas parlé de situation où elle serait à poil dans ton lit, ça va bien la tête ?). En gros, j'ai juste décrit la nature humaine. Point barre. 

 

Ah, et oui, si un mec a la trique en pensant à moi, ce n'est pas MA faute, ni celle du mec non plus. 

Et ce n'est pas un gaminerie que de le dire. Avoir la trique n'est pas une faute, ce n'est ni bien ni mal, c'est. Tout simplement.

 

Ce qui est bien où mal c'est ce que tu en fais.

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Laurett et Jabial : vous essayez de prouver la même chose tous les deux, à la base - que contrairement aux interactions entre individus (qui ont une valeur éthique) les actions qui ne concernent que la personne seule sont hors de l'éthique, et donc que les féministes se gourrent souvent de combat.

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Heu, t'as juste rien compris à ce que je disais, et tu me rebalances cet homme de paille dans la tronche deux semaines plus tard ? Ca va bien la tête ?

Je pense avoir très bien compris au contraire.

 

Je n'ai jamais parlé de "faute", ni fait de "gamineries".

J'ai juste dit qu'un mec ça a la trique quel que soit l'endroit où la femelle-donneuse-de-trique se trouve, que ce soit juste à côté ou dans une autre ville à 1000 kilomètres de distance (et quelle que soit sa tenue vestimentaire, d'ailleurs je n'ai pas parlé de situation où elle serait à poil dans ton lit, ça va bien la tête ?). En gros, j'ai juste décrit la nature humaine. Point barre.

Si un mec a la trique en pensant à une fille qui est à 1000 km, ou même juste en face de lui en jupe, c'est sa faute à lui, pas celle de la fille.

Si un mec a la trique parce qu'une fille est volontairement dans son plumard, c'est sa faute à elle, pas celle du mec. Ça ne lui donne aucun droit particulier mais nier qu'elle a provoqué sciemment cette excitation serait totalement ridicule.

Rentrer dans le lit de quelqu'un dont les préférences sexuelles coincident avec ton sexe en lui disant "mais en toutbientoutonneur hein" c'est un exemple on ne peut plus typique de comportement ambigu pour ne prendre aucun risque émotionnel (alors que le mec, lui, prend un risque pénal et peut littéralement tout perdre). La meilleure chose à faire pour un mec dans ce genre de situation, c'est, sans bouger un sourcil, de faire des avances verbales très explicites de manière à lever l'ambiguïté. Une fois et pas deux. Et si la réponse est négative, se lever et aller ailleurs.

 

Ah, et oui, si un mec a la trique en pensant à moi, ce n'est pas MA faute, ni celle du mec non plus. 

Et ce n'est pas un gaminerie que de le dire. Avoir la trique n'est pas une faute, ce n'est ni bien ni mal, c'est. Tout simplement.

La gaminerie c'est de considérer que tout acte légitime est moralement positif ou neutre.

 

Ce qui est bien où mal c'est ce que tu en fais.

Même si trop de femmes en sont traitées à tort, les allumeuses existent. Et même si ça ne justifie en aucun cas un viol ou une agression sexuelle (physique… j'insiste vu l'extension sans fin du sens de ce terme) c'est définitivement mal de se comporter ainsi.

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Heu être séduisante à 1000km de quelqu'un ou dans un lit commun, ce n'est pas vraiment la même chose.

C'est exactement ce que je voulais dire. Être séduisant(e) à 1000km, ça réduit grandement les risques que le désir se concrétise tout de même. C'est en cela que j'entendais que dormir dans le même lit créait une "situation" d'ordre sexuel. Parce que dans l'autre cas, ça crée un désir, c'est tout. La situation est avec soi-même.

Pour prendre tout de même la défense de Laurett, son discours n'était pas très clair donc je n'aurais pas extrapolé en lui attribuant l'opinion "je peux dormir à poil à côté d'un mec, où est le problème?"

Sauf que Laurett, je ne te suis pas sur "ça n'est qu'une trique, c'est naturel". Dans ma conception des choses, bien que la manifestation physique du désir soit mécanique et naturelle chez l'homme comme la femme, il arrive que l'on doive maîtriser et supprimer ce désir, parce que le désir lui-même peut constituer une faute. Bien évidemment, à partir du moment où j'ai dit que laisser se développer son désir peut être une faute en soi, il me semble évident que se mettre dans des situations où les facteurs excitants seront à 3m au lieu de 1000km est un peu délicat. Mais je commence à franchement sortir du sujet initial du "être au lit avec une bombasse crée-t-il une situation sexuelle? ", et je tombe dans le verbiage.

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J'ai bien lu des textes d'Ibn Khaldun qui relèvent de la théologie, ceux que j'ai en tête se trouve dans sa Muqaddima auxquels se rajoute un autre qui concerne le soufisme (qui m'intéresse particulièrement), mais en faire un théologien me semble abusif. Je retiens bien plus de ses écrits ce qu'il a eu à dire dans le domaine de l'histoire et c'est bien la raison pour laquelle je me suis intéressé à lui en premier lieu. Ses textes sont aussi très intéressants concernant la société arabe et les Bédouins, la politique et l'État.

La discussion rationnelle chez lui s'arrête à la religion, il me semble (donc à la différence de Pascal que j'avais cité). Ça se voit particulièrement à un moment dans la Muqaddima où une démarche philosophique se développe, mais où la mystique l'emporte sur le rationnel. Je l'ai tout de même trouvé proche de la philo sur certains points ; je sais qu'il est dit qu'il a lu Platon, mais sa démarche est, je crois, plus proche d'Aristote en tout cas dans sa pensée politique.

Bref, en clair, ce que je viens de dire en fait plus un penseur qu'un philosophe.

Averroès me semble clairement être un philosophe et non un théologien (Al-Ghazali que je cite dans le post auquel tu réponds est d'ailleurs bien plus un théologien, il rejète aussi bien Aristote que Platon et s'oppose à Averroès ; je connais moins Al-Farabi, dont Malky a parlé, mais il me semble plus proche de ce que l'on nomme philosophe). La discussion rationnelle a une grande place chez lui. J'ai principalement lu des commentaires sur Aristote de sa part, mais j'ai cru comprendre qu'il en avait fait un aussi sur la République de Platon (je n'en sais pas vraiment plus sur ce texte, que des avis faits par des philosophes contemporains - élite éclairée, toussa).

Avec Al-Farabi, de tous les auteurs que j'ai pu cité, Avicenne est celui que je connais le moins bien. J'ai commencé à écrire dessus, puis je me suis dit que j'allais laisser mon niveau de conneries débités où il est pour l'instant. :D

Je me suis fait piéger ?

 

Non, tu ne t'es pas fait piégé, ou alors si peu :D Pour ce qui est d'Ibn Khaldoun, tu me dis que la discussion s'arrête là où commence l'autorité de la religion. La question que je pose est donc : quelle est le statut de la raison face à la révélation ? Qui est apte à raisonner et à quelles fins ? Qu'ont-ils (je pense aussi à Averroès) cherché dans la philosophie platonicienne, particulièrement dans leur lecture des Lois ? Sinon, Platon, c'est un philosophe du cru ? :) Même remarque pour Averroès d'ailleurs.

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Tu as répondu avec des arguments et des informations à une affirmation extraordinaire vide de tout argument comme si la charge de la preuve était dans ton camp. Donc oui. 

 

Hou il est vexé ! :)

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La meilleure chose à faire pour un mec dans ce genre de situation, c'est, sans bouger un sourcil, de faire des avances verbales très explicites de manière à lever l'ambiguïté. Une fois et pas deux. Et si la réponse est négative, se lever et aller ailleurs. 

 

lol

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Je pense avoir très bien compris au contraire.

 

Si un mec a la trique en pensant à une fille qui est à 1000 km, ou même juste en face de lui en jupe, c'est sa faute à lui, pas celle de la fille.

Si un mec a la trique parce qu'une fille est volontairement dans son plumard, c'est sa faute à elle, pas celle du mec. Ça ne lui donne aucun droit particulier mais nier qu'elle a provoqué sciemment cette excitation serait totalement ridicule.

Rentrer dans le lit de quelqu'un dont les préférences sexuelles coincident avec ton sexe en lui disant "mais en toutbientoutonneur hein" c'est un exemple on ne peut plus typique de comportement ambigu pour ne prendre aucun risque émotionnel (alors que le mec, lui, prend un risque pénal et peut littéralement tout perdre). La meilleure chose à faire pour un mec dans ce genre de situation, c'est, sans bouger un sourcil, de faire des avances verbales très explicites de manière à lever l'ambiguïté. Une fois et pas deux. Et si la réponse est négative, se lever et aller ailleurs.

 

La gaminerie c'est de considérer que tout acte légitime est moralement positif ou neutre.

 

Même si trop de femmes en sont traitées à tort, les allumeuses existent. Et même si ça ne justifie en aucun cas un viol ou une agression sexuelle (physique… j'insiste vu l'extension sans fin du sens de ce terme) c'est définitivement mal de se comporter ainsi.

 

Non, t'as rien pigé au contraire, parce que je n'ai jamais parlé d'une situation très particulière où une allumeuse se glisserait volontairement à poil dans ton lit, vois-tu...

Et je répète qu'avoir la trique n'est pas une faute, ou alors tu es hypercontrolant et tu arrives à réfréner le sang qui afflue dans ton entrejambe... Avoir la trique n'est pas un acte.

 

Sur ce, vu que tu ne piges pas ce que je dis, je vais manger mes oeufs au plat.

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