Aller au contenu

Messages recommandés

Et bientôt on pourra débattre de l'avortement des uterus artificiel /love

 

La perspective que je trouve intéressante c'est le déplacement dans un utérus artificiel comme alternative à l'avortement.

Lien vers le commentaire

Techno-féminisme et cyber-féminisme en application

 

Recherche sur les grands prématurés + augmentation de la durée moyenne des études = Avènement du nouvel ère féminin. Le moyen d'émancipation le plus efficace des femmes modernes, c'est l'Utérus Artificiel

 

Quand les femmes pourront se passer de la gestation biologique et confier le désir d'enfant à des laboratoires de gestation extra corporelle, de grandes économies seront faites pour les Etats et les entreprises (9 mois de congès maternité économisés). Mutualisation de la Win

 

Merci, ce truc est définitivement cool.

Lien vers le commentaire

Techno-féminisme et cyber-féminisme en application

 

Recherche sur les grands prématurés + augmentation de la durée moyenne des études = Avènement du nouvel ère féminin. Le moyen d'émancipation le plus efficace des femmes modernes, c'est l'Utérus Artificiel

Autant je trouve l'idée intéressante, autant le discours féministe à côté est un peu useless.

Lien vers le commentaire

Autant je trouve l'idée intéressante, autant le discours féministe à côté est un peu useless.

 

Ce qui pourrait devenir complètement useless à l'avenir, ce sont les hommes. Une femme avec un utérus artificlel est potentiellement autosuffisante. Depuis une dizaine d'année, on arrive à féconder des ovules de souris par simple stimulation électrique

 

http://www.transfert.net/Que-reste-t-il-aux-hommes

 

 

Une équipe de scientifiques australiens est parvenue à féconder des ovules de souris sans utiliser de sperme.
 

Faire un bébé toute seule, sans homme ? On y vient. Doucement, mais sûrement. Orly Lacham-Kaplan, chercheuse à l’Institut de reproduction et de développement de l’université australienne de Monash, a annoncé que sa technique de fécondation d’ovule sans sperme était au point. Elle est parvenu à féconder un ovocyte de souris à l’aide de cellules somatiques. Des cellules non reproductives qui, selon elle, pourraient théoriquement être remplacées par n’importe quelle cellule du corps.

 

Stimulation électrique

 

Pour parvenir à un tel résultat, les chercheurs ont dû résoudre un problème lié aux chromosomes. Car lors d’une procréation traditionnelle, les cellules reproductives mâles et femelles (les gamètes) ne comportent qu’un exemplaire de chaque paire de chromosome. Contrairement aux cellules somatiques, dont les chromosomes se présentent par paire. À l’aide de son équipe, Orly Lacham-Kaplan est parvenu à surmonter ce problème : en stimulant électriquement la cellule et la soumettant à un composé chimique, elle a réussi à exclure un élément de chaque paire de chromosome. Cette technique a permis aux chercheurs de féconder des œufs de souris femelles avec des cellules de souris mâles. Aujourd’hui, les embryons de souris ainsi conçus se développent de façon apparemment normale dans le laboratoire de l’institut australien.

 

Utiles, les hommes ?

 

Bien entendu, il faudra encore de longues études et des recherches complémentaires pour appliquer cette technique à l’homme. Une technique prometteuse, puisqu’elle permettrait à des hommes stériles d’avoir des enfants possédant leur patrimoine génétique. Elle autoriserait aussi deux femmes à faire un enfant... de sexe féminin. Les femmes ne possédant pas de chromosome Y, il leur serait en effet impossible d’avoir un enfant de sexe masculin. Sans oublier l’application la plus étonnante : cette méthode permettrait aux femmes de faire des enfants sans homme. En théorie. "Ce n’est que de la théorie, a précisé, maligne, la scientifique aux journalistes du Jerusalem Post. Mon opinion personnelle, c’est que nous ne devons pas encore abandonner les hommes. Ils sont encore très utiles pour nous, les femmes. "

 

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/en/0/04/Y_-_The_Last_Man_23_-_Widow's_Pass_03_-_00_-_FC.jpg

Lien vers le commentaire

Le principe c'est de remplacer la gamète masculine par n'importe quelle cellule. Du coup si on féconde une femme avec une de ses propres cellules, ça fait un clone non ? Ça m'étonne qu'ils n'en parlent pas.

 

C'est ce que je pensais, les célibataires pourront produire une reproduction d'eux mêmes. ça a l'air cool comme idée.

 

Lien vers le commentaire

L'Utérus artificiel, ça permet aussi aux hommes de faire des enfants sans femmes non ?

Le Dr Ethan Urquhart, médecin accoucheur responsable des réplicateurs utérins, est furieux : le Conseil de la Population vient de le désigner pour aller faire un tour dans la galaxie. En effet, les cultures ovariennes que les Pères Fondateurs ont apportées sur Athos, voici deux siècles, s'épuisent et il faut aller en chercher d'autres. Alors il va devoir quitter sa planète douillette où l'on vit tranquillement entre hommes, sans rien demander à personne... Et, pour la première fois de sa vie, rencontrer des... - Dieu du ciel, le mot à lui seul est un véritable péché - des femmes !

Lien vers le commentaire

Les connes volent en escadrille. Je sens venir une commission et une nouvelle loi bien démago.

 

 

«Osez le féminisme!» veut inscrire le féminicide dans le code pénal

 
Le collectif «Osez le féminisme!» a réclamé vendredi l’inscription du féminicide dans le code pénal, dénonçant un système législatif défaillant, alors que de nombreuses femmes continuent de mourir assassinées par des hommes.
«Les meurtres de femmes ne sont pas de simples faits divers», a déclaré Claire Serre-Combe, porte-parole du collectif, lors d’une conférence de presse.
 
«Une femme sur 10 serait victime de violence au cours de sa vie», a-t-elle relevé, précisant qu’aucune enquête complète et précise n’existait sur le sujet.
 
A l’approche de la Journée de lutte contre les violences faites aux femmes, le 25 novembre, cet organisme féministe a lancé une nouvelle campagne pour faire reconnaître la dimension machiste comme circonstance aggravante d’un meurtre.
 
Une pétition adressée à la ministre de la Justice, Christiane Taubira, et à la secrétaire d’Etat aux Droits des femmes, Pascale Boistard, circule pour que la classe politique se saisisse de ce thème.
 
Très peu de recherches juridiques ont été réalisées sur la question du féminicide. Aux yeux de l’avocate pénaliste Isabelle Steyer, spécialiste du sujet, c’est en partie parce que certains termes n’existent pas dans la loi, qu’elle n’hésite pas à qualifier de «misogyne». Le droit français ne parle pas de «violences conjugales» et encore moins de «féminicide».
 
«Il y a des failles judiciaires» qui peuvent s’avérer être de véritables «linceuls pour les femmes», a-t-elle encore dénoncé lors de la conférence.
 
«Pour combattre le féminicide, il faut commencer par le nommer pour ensuite en repérer les mécanismes, qui sont toujours les mêmes», soutient pour sa part Pauline Arrighi, responsable de la campagne lancée par le collectif.
 
«Osez le féminisme!» entend aussi faire évoluer les mentalités, car «l’impunité des agresseurs» est directement liée au sexisme présent dans la société, estiment ses responsables.
 
Pour cela, le collectif demande, entre autres, que la notion de «crime passionnel», reconnu par le droit français, disparaisse du vocabulaire journalistique.

http://www.liberation.fr/societe/2014/11/21/osez-le-feminisme-veut-inscrire-le-feminicide-dans-le-code-penal_1147831
 

Lien vers le commentaire

Ah j'adore les féministes qui citent des stats hyper-générales sans contexte ni référence. "1 femme sur 10 victime de vilence dans sa vie" dans quel pays ? C'est plus ou moins que les hommes ? Infligée par qui et plutôt vers quel âge ? Quels types de violences sont comptés ou pas, lesquels sont prépondérants ?

:mrgreen: Je suppose qu'il faut que je lise le livre pour comprendre comment une civilisation d'hommes peut vivre sans sexe sans s’entre-tuer ?

Qui a dit que c'était sans sexe ? :lol:

D'ailleurs, tu ne dois pas connaître beaucoup de gamers célibataires endurcis pour dire ça :lol:

Lien vers le commentaire

Est-ce qu'une étude sérieuse a déjà été écrite sur les nouveaux modes de reproductions et l'influence que ça peut avoir sur le visage futur de l'humanité ? Notamment le fait que les gens avantagés sur le plan de la reproduction sont les gens qui veulent des enfants/sont trop stupides pour utiliser des contraceptifs/ trop de moralité pour avorter ?

 

Je me souviens que F.Mas avait cité Schrödinger sur la question dans un article, et j'ai vu Idiocraty aussi, mais c'est tout ce qui me vient à l'esprit.

Lien vers le commentaire

Réponse à Anton_K :

De mon point de vue, ce qui t'es imposé c'est ce à quoi quelqu'un t'empêche d'échapper par la force ou la menace de la force. Exemple : l'impôt est imposé, une peine de prison est imposée, le service militaire était imposé, si quelqu'un te tue, il t'impose la mort, si on veut.

1/ En ce sens ce que j'entends par imposé rejoint une définition de la coercition qui s'oppose à la liberté au sens "absence de contrainte par un tiers".

Si le fait que quelque chose soit imposé ou non est un critère normatif pour la morale ou le droit, on ne peut pas dire que la nature impose, même si la nature peut t'empêcher physiquement d'échapper à quelque chose. Ou en tout cas la nature n'impose rien en un sens normativement pertinent pour nous, à mon avis. 2/ En ce sens la question de ce qui est libre et ce qui est imposé me semble limitée aux interactions entre des individus humains isolables.

3 /Au contraire, à chaque fois que tu acceptes volontairement d'agir d'une manière qui t'es disponible, par exemple pour maximiser tes chances de trouver un emploi, des amis, un partenaire sexuel, on ne peut pas dire que ces normes te soient imposées puisqu'il n'y a pas un agent particulier qui t'empêche d'échapper à la norme par la force ou la menace de la force.

Je rejoins donc Lancelot, il y a plein de normes qui émergent juste parce que les gens choisissent librement de s'y conformer. 4/ Mais ce conformisme ne résulte pas du fait qu'une norme soit imposée, sinon par une tendance propre à la nature humaine, mais qui n'est exercée par aucune personne particulière contre la volonté d'une autre personne particulière.


1/ Je conçois effectivement que l'on entende le terme "imposer" comme renvoyant à une contrainte légale ou physique. Mais pourquoi ne pas considérer qu'elle puisse être également psychologique ou sociale ?
Si on prend l'exemple de l'État ce qui pousse les individus à se conformer à ses règles, aussi arbitraires soit elles, c'est la menace de la punition sans possibilité d'y échapper (monopole de la violence, etc...). De la même manière si on considère la loi du plus fort, c'est le risque de subir la violence sans être capable de rivaliser ou de pouvoir se défendre. Je te rejoins donc sur la constatation que dans ces deux configurations, lorsqu'on se voit imposer quelque chose ce qui détermine le succès de cette action c'est notre incapacité à y échapper ou à s'y soustraire.

Mais on peut également étendre cette observation au harcèlement : quand bien même il n'y ai pas de sévices physiques, la victime est prisonnière de son bourreau. Je pense d'ailleurs que c'est une démarche que l'on retrouve chez certains régimes totalitaires qui martèlent leur idéologie pour l'imposer dans les esprits les plus retors. Idem pour la pression sociale lorsqu'elle passe par la stigmatisation ou l'exclusion, lorsqu'elle pousse des individus dans la marginalité, la précarité ou plus généralement dans une position de faiblesse (voire très clairement de détresse). Le groupe utilise alors le jugement normatif pour prendre en otage l'individu : soit il se soumet à ce qu'on lui impose, soit il est puni.

On pourrait estimer que c'est tout à fait son droit [au groupe] d'essayer de maintenir son identité, ses caractéristiques ou je ne sais quoi, en écartant les individus qui refusent d'y adhérer. Le préjudice est assez maigre lorsqu'il est le fait de petits groupes agissant à leur échelle et n'ayant qu'une influence restreinte. Par contre, je crois que c'est beaucoup plus grave lorsque ce phénomène devient systématique au point de se transformer en un véritable acte de violence, qui vise essentiellement à nuire à l'autre. Je ne parle pas de "petites discriminations" entre individus, mais bien de choses conséquentes et d'ampleur comme le racisme, le sexisme, l'homophobie, la transphobie, etc...

2/ Je ne vois pas pourquoi on devrait se contenter de réfléchir à partir d'individus isolables, alors que ce que j'essaye justement de dénoncer est l'action d'un groupe imposant sa norme à une poignée d'individus, à une minorité. On peut très bien raisonner en n'observant que les interactions entres individus mais on se refuse alors à voir des mécaniques plus générales, qui sont l'expression d'une multitude d'individus et qu'on peut qualifiées de systémiques. Le raciste (ou l'homophobe, etc...) ne serait qu'un parmi d'autres et on occulte donc tous les points communs, tous les raisonnements qu'il partage justement avec ses confrères. Or ce dont souffre les victimes de ces discriminations, c'est justement qu'ils ne sont pas uniquement le fait d'actes isolés ou exceptionnels, mais qu'ils s'inscrivent dans une mécanique récurrente et omniprésente.

3/ En bref, et s'il y a une multitude d'agents qui agissent tous de la même manière de telle sorte que tu ne puisses pas agir autrement que d'accepter leur norme ? Ne peut on pas dire alors qu'ils te l'imposent ?

4/ Si c'est véritablement une affaire de liberté et que les individus peuvent adhérer selon leur volonté propre à ces normes, très bien. Mais qu'en est-il alors lorsqu'ils décident de s'en écarter ou de s'en détacher ? Lorsque le préjudice ne se limite pas à la fin d'une entente entre individus mais signifie au contraire que certains vont subir des violences : je ne crois pas que l'on puisse alors considérer que ces derniers soient véritablement libres.
 

Tout dépend de quel côté de la ligne de pertinence les pressions, stigmatisations et les exclusions sociales dont tu parles tombent. Si une norme sociale se met à être sanctionnée dans le droit par des peines de prison, des sévices corporelles ou la peine de mort, à mon avis elle est imposée.

Or cette dernière distinction me semble la plus certaine. A mon avis tant qu'une liberté (au sens où je l'ai défini) n'est pas menacée, on ne peut pas dire qu'une norme est imposée à proprement parler.

5/ Il me semble qu'un autre problème est que beaucoup de situation qu'on appelle "exclusion sociale" ou "discrimination" et que beaucoup de gens considèrent aujourd'hui comme injustes sont juste des situations dans lesquelles un individu n'arrive pas à obtenir le consentement d'un autre pour s'engager dans une certaine relation (par exemple, la norme de la minceur imposée aux gros, qui les empêche de trouver des partenaires sexuels). Sous cette description il me semble qu'on se rend facilement compte qu'en fait cette injustice n'en est pas une, car on ne peut reprocher à personne ne refuser son consentement.

Mais sous mon analyse également, cette norme ne semble pas être imposée car aucune liberté au sens ou je l'ai définie, n'est menacée. Avoir des relations sexuelles avec n'importe quel individu consentant est évidemment une liberté, mais trouver un partenaire sexuel ne saurait être une liberté, puisque cela nécessite le consentement d'un autre. Si demain la norme sociale devient de ne plus avoir de relations sexuelles avec les gros, la norme de la minceur ne sera pas pour autant imposée aux gros, non seulement au sens où personne ne les empêchera par la force d'être gros, mais également au sens où personne ne restreindra leur liberté à cause de leur grosseur.

edit : Okay, si c'est pas super clair dites le moi, je reviendrai dessus plus tard, possible que je me sois emmêlé les pinceaux vers la fin.


5/ Je ne rebondirai sur l'exemple des personnes en surpoids... Mais sans connaître les situations que tu pointes du doigt dans ta remarque, je cherche personnellement à mettre en avant ce que des individus subissent et non pas seulement de manière anecdotique ou extraordinaire. Il suffit de se pencher sur les témoignages de ces individus pour comprendre qu'ils ne se plaignent pas seulement des actes (ou du refus / non-consentement) d'untel ou untel, mais qu'il s'agit bien d'un phénomène plus global. Il y a probablement un biais dans notre manière d'aborder celui-ci puisqu'à l'heure actuelle la justice s'attaque justement à des individus dans le cas d'affaires de racisme ou d'homophobie par exemple. On perçoit donc ces violences comme de simples actes individualisés, car c'est le seul angle d'attaque que possède précisément la justice pour définir des peines. Néanmoins, le jugement normatif ou la stigmatisation ne sont jamais l'objet d'un seul individu : ils ont besoin d'un rapport de force en leur faveur pour s'exercer et donc du soutient d'une masse conséquente d'individus.


Pour illustrer un peu tout ça et profiter de l'actualité, il y a peu (le 20 Novembre exactement) c'était le Transgender Day of Remembrance. Ne peut on pas estimer dans le cas des individus transgenres que ceux-ci se font imposer une norme ? Ou bien là aussi, l'utilisation du terme « imposer » n'est pas justifiée car l'État (ou bien un individu utilisant la force) ne les oblige en rien à changer de sexe / genre ou au contraire à en conserver un bien spécifique ? J'ai plutôt (même totalement) tendance à croire que justement il subisse une violence (transphobe) car refusant de respecter une norme (cis) et que cela à des conséquences évidentes sur leur personne. Il suffit de se pencher sur leurs témoignages ou sur les chiffres des taux de suicide chez les trans.

Si les tentatives de suicide étaient aussi nombreuses chez une autre population, le gouvernement déclarerait qu’il s’agit d’un cas de santé publique. A en croire une étude récente de l’Institut Williams et de la fondation américaine pour la prévention des suicides, 46% des trans hommes et 42% des trans femmes aux Etats-Unis ont déjà fait une tentative de suicide. C’est un chiffre extrêmement plus élevé que la moyenne nationale (4,6%) et c’est plus de deux fois la moyenne des gays et lesbiennes (10-20%). Et le constat ne s’arrête pas là, puisque les chiffres montrent que les trans sont aussi victimes de pauvreté extrême, de violences domestiques, de maladies mentales, de violences sexuelles et de discriminations à l’embauche dans des proportions bien plus élevées que la population générale.

 

Je ne vois pas comment on pourrait considérer que ce n'est pas un problème, que ces individus ne sont pas opprimés et qu'il est simplement question de consentement et d'individus libres d'adhérer ou non à une norme.

Lien vers le commentaire

 

VIDEO. Quand les Femen enlèvent (pour de faux) un prêtre Les militantes féministes ont mis en scène un faux rapt dans une vidéo relayée sur leur compte Twitter.

Nouveau coup d’éclat des Femen. Les militantes féministes ont revendiqué dans une vidéo relayée sur Twitter, ce vendredi 21 novembre, l’enlèvement (pour de faux) d’un prêtre.         

Dans la vidéo mise en ligne dans l’après-midi, on peut distinguer un prêtre catholique, en col romain, être enlevé par des militantes, seins nus et têtes cagoulées. Leur revendication : demander l'annulation de la venue du Pape François le 25 novembre au Parlement européen.

FEMEN kidnappe un prêtre et demande l'annulation de la venue du Pape le 25 novembre au Parlement européen contre la libération de l'otage. Dieu n'est pas un magicien. Le Pape n'est pas un politicien", peut-on lire dans un message écrit dans la vidéo.

Trois heures après la publication de la vidéo, le groupe a également posétée sur Twitter une photo du "prêtre" censé être leur otage.

 

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/vu-sur-le-web/20141121.OBS5841/quand-les-femen-enlevent-pour-de-faux-un-pretre.html

Lien vers le commentaire

Tu confonds contrainte et influence comme tu confonds morale et justice.

Dans une société saine les normes morales se diffusent par influence, la justice s'applique au besoin par la contrainte. Essayer de changer ou faire diffuser les premières par les moyens de la seconde, rend la société très malsaine et injuste.

Tout ça pour dire: quand ces normes morales existent sans contrainte c'est parce qu'elles répondent à des besoins, et il n'est en aucune façon fondée de les remettre en question par quelque forme de contrainte que ce soit. Si tu veux les changer limite-toi à l'influence (culturelle, religieuse, etc).

C'est ce que je reproche aux féministes, et je ne crois pas être seul dans ce cas.

Lien vers le commentaire

Le président islamo-conservateur turc, Recep Tayyip Erdogan, a affirmé lundi sans détour que les femmes ne pouvaient pas être naturellement égales aux hommes et a critiqué vertement les féministes, les accusant d'être opposées à la maternité.

"Notre religion (l'islam) a défini une place pour les femmes (dans la société) : la maternité", a lancé M. Erdogan à Istanbul devant un parterre très largement féminin réuni pour un sommet sur la justice et les femmes.

"Certaines personnes peuvent le comprendre, d'autres non. Vous ne pouvez pas expliquer ça aux féministes parce qu'elles n'acceptent pas l'idée-même de la maternité", a-t-il ajouté.

Sur sa lancée, le chef de l’État a assuré qu'hommes et femmes ne pouvaient pas être traités de la même façon "parce que c'est contre la nature humaine".

"Leur caractère, leurs habitudes et leur physique sont différents (...) vous ne pouvez pas mettre sur un même pied une femme qui allaite son enfant et un homme", a-t-il insisté.

"Vous ne pouvez pas demander à une femme de faire tous les types de travaux qu'un homme fait, comme c'était le cas dans les régimes communistes", a également estimé le président Erdogan, "vous ne pouvez pas leur demander de sortir et de creuser le sol, c'est contraire à leur nature délicate".

Le parti de M. Erdogan, qui dirige sans partage la Turquie depuis 2002, est régulièrement accusé par ses détracteurs de dérive autoritaire et de vouloir islamiser la société turque, notamment en limitant les droits des femmes.

L'actuel président, qui a dirigé le gouvernement pendant onze ans avant son élection à la tête de l’État en août, a suscité à de multiples reprises la colère des mouvements féministes turcs en tentant de limiter, sans succès, le droit à l'avortement et en recommandant aux femmes d'avoir au moins trois enfants.

 

http://www.liberation.fr/monde/2014/11/24/pour-erdogan-c-est-evident-la-femme-ne-peut-pas-etre-l-egale-de-l-homme_1149641

Lien vers le commentaire

c'est un forain bon sang.

Dans la mentalite socialiste l'enfant est plus a l'abri chez d'acceptables adoptants que chez un parent gueux, du monde de la fete pour gueux.Si on laisse l'enfant dans cet environnement, aucune chance qu'il devienne socialiste !

 

Imaginez la longue chaine de hauts fonctionnaires innocents et de conseilleres bien intentionees que ca prend pour assurer qu'on ne rende pas un enfant a son pere naturel.Combien de lampadaires? dix, vingt?

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...