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Si la pratique d'une méthode d'autodéfense était une injonction sociale faite aux femmes, au même titre que l'épilation des aiselles, tu sauverais des milliers de gonz' chaque année.

 

Je préfère être méfiant ! Une victime qui cesse de se débattre pendant son viol et on explique qu'elle a finalement consenti au rapport sexuel. Une victime qui ne quitte pas le domicile conjugal après un viol et on explique qu'elle est consentante sinon elle aurait déjà fui. Une victime qui dénonce son agresseur après plus d'un an et on explique qu'elle a finalement changé d'avis et qu'il ne s'agissait pas d'un viol au départ. J'espère juste que l'on ne reprochera pas demain à une victime de ne pas avoir porté de coup mortel à son mari ou bien de ne pas avoir une arme sur elle lorsqu'elle sort dans la rue. Quand on est assez stupide pour tenir des raisonnements comme ceux que j'ai cité au dessus, je crois que l'on est capable également d'émettre celui-ci.

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Les propositions du CFCV tendent toutes à la même chose : contraindre des gens neutres (la police, la justice) à prendre obligatoirement un certain nombre de mesures qu'ils peuvent déjà prendre s'ils le souhaitent et qu'ils ne jugent pas utiles. Autrement dit, traiter un accusé comme s'il était déjà reconnu coupable du seul fait de la parole de son accusateur. C'est digne de l'IPJ.

Mis à part l'examen médical en unité spécialisée pour la conservation des preuves (qui devrait inclure une CPG pour retrouver des traces de drogues de violeurs), des mesures administratives de bon sens qui pourraient être appliquées à d'autres affaires (horaires décalées etc) et le rappel des droits du plaignant (de ne pas répondre à une question HS, d'être assisté) ces mesures sont du grand n'importe quoi.

La pire serait l'éloignement automatique et la modification du délit de dénonciation calomnieuse. Cela revient à dire qu'on exercerait une contrainte sur un accusé, foutant potentiellement sa vie en l'air, sur la base d'une simple accusation, sans examen d'une personne neutre. C'est juste la fin de la civilisation et le retour de l'arbitraire. Que des crimes soient horribles (viol, terrorisme, pédophilie, crimes racistes divers) ne justifie pas de retourner à l'âge de pierre et d'oublier un des piliers des droits humains : la présomption d'innocence.

Je passe sur les conneries sur le travail sexuel. #rightsnotrescue

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Je préfère être méfiant ! Une victime qui cesse de se débattre pendant son viol et on explique qu'elle a finalement consenti au rapport sexuel. Une victime qui ne quitte pas le domicile conjugal après un viol et on explique qu'elle est consentante sinon elle aurait déjà fui. Une victime qui dénonce son agresseur après plus d'un an et on explique qu'elle a finalement changé d'avis et qu'il ne s'agissait pas d'un viol au départ. 

 

Qui est "on" ? 

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le plus bizarre c'est qu'elles vont au gym sans rechigner

 

 

Plus d'un post "intelligent" c'était surement trop demandé. :icon_rolleyes:

 

 

genre je vais repondre a ton wall of text, juste parce que tu sautes sur les mines que Snow pose.Tout le monde s'en fout.

Jabial a super bien repondu.nuff said.

 

 

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Si la pratique d'une méthode d'autodéfense était une injonction sociale faite aux femmes, au même titre que l'épilation des aisselles, tu sauverais des milliers de gonz' chaque année.

Mais tout l'intérêt du marxisme culturel c'est d'avoir des victimes. C'est tellement gratifiant de les défendre. Ce serait dommage qu'il y en ait moins. Au contraire, on va étendre le plus possible la définition du viol et essayer de faire en sorte que toutes les femmes se considèrent comme des victimes. Le paradis quoi.

 

Une victime qui cesse de se débattre pendant son viol et on explique qu'elle a finalement consenti au rapport sexuel. Une victime qui ne quitte pas le domicile conjugal après un viol et on explique qu'elle est consentante sinon elle aurait déjà fui. Une victime qui dénonce son agresseur après plus d'un an et on explique qu'elle a finalement changé d'avis et qu'il ne s'agissait pas d'un viol au départ.

Ici on part du présupposé qu'il y a eu viol, donc objectivement toutes les objections à ce présupposé sont fausses. Le problème c'est que dans la réalité les gens ne sont pas omniscients et donc ils ont raison d'exercer leur esprit critique, de douter, de ne pas faire une confiance aveugle à une partie juste parce qu'on a lancé le mot magique "viol".
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Ici on part du présupposé qu'il y a eu viol, donc objectivement toutes les objections à ce présupposé sont fausses. Le problème c'est que dans la réalité les gens ne sont pas omniscients et donc ils ont raison d'exercer leur esprit critique, de douter, de ne pas faire une confiance aveugle à une partie juste parce qu'on a lancé le mot magique "viol".

Et c'est d'autant plus nécessaire que si il y a un procès la fille devra prouver qu'il y a eu viol, sans cela elle n'aura aucune chance au tribunal ce qui pourrait être encore plus traumatisant.

Les policiers sont non seulement neutres, mais en plus ils ont aussi l'expérience des accusation fallacieuses lancées dans le seul but de nuire. Donc s'ils soumettent la version de la victime à autant de question c'est aussi pour s'assurer que sa version tiendra devant un tribunal. 

Malgré toute la compassion qu'on peut éprouver pour celles qui se sont faites attaquées et même si à titre individuel on peut les croire et mener une vengeance héroïque pour parler comme neuneu2k, la justice doit refuser de condamner.

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Ici on part du présupposé qu'il y a eu viol

 

 

c'est donc hors sujet quand on aborde l'auto-defense et les armes.

Phil a l'air super chaud sur ;aide aux victimes, mais pour la prevention on fait quoi? si j'ai bien compris la prevention c'est l'apopologie du viviviol @ troporibl

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C'est scandaleux mais, il y a un fond de vérité, c'est qu'il ne faut pas tendre le bâton pour se faire battre. Avant de me faire insulter je précise que la culpabilité et la reponsabilité juridique autant que morale sera toujours du côté de l'agresseur, il faut juste prendre en compte que nous vivons pas dans un monde de bisounours

 

 

citation initiale de Atika qui pose le contexte.Phil peut aller directement aux chiottes avec ses viols conjuguaux et autres soutiens aux victimes.

La fille qui se fait violer par son pere, c'est parce qu'elle etait en tenue de soiree completement bourree dans la rue? non, bon alors.

 

Des trucs de prevention anti-viol vachement bien penses, j'en ai entendu plein: au dojo.Jamais dans aucun discours d'aucune assoce de victimes.

C'est clair que dans le contexte francais aller jusqu'au au pistolet est un poil reveur, mais un simple coude fait l'affaire....SAUF quand on est raide bourree.

 

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Je suis geek un peu gamer, l'image qui me vient quand on parle de viol et de violeur dans la culture contemporaine, c'est le loser ultime, le prédateur sans courage, le type beauf à souhait et qu'on évite parce qu'il pue et qu'il est super-lourd. Dupont-Lajoie, quoi. Donc "culture du viol" c'est un mystère pour moi.

Les victimes de viol avec qui j'ai eu des occasions de discuter (contexte de kink-aware therapy) étaient toujours en situation de vulnérabilité hors de leur contrôle (trop jeune, ou situation très encadrée/contrôlée par quelqu'un qui s'est avéré malveillant), et là parler d'autodéfense c'est hors-sujet, désolé Jim. Y a que la prévention qui marche pour cela mais organisée en amont, les histoires de "pas se beurrer la gueule avec des inconnus" ou "éviter les tenues provocantes" ou "yes means yes" c'est tout aussi hors-sujet. Ça concerne une micro-minorité de cas flous qui de toute façon se règlent ou s'évitent mieux autrement. C'est selon moi la responsabilité du patron des lieux quand ils sont privés, de la police quand ils sont publics, d'organiser ça. Je pense que les campagnes de "sensibilisation" se gourrent de cibles.

Mais tout l'intérêt du marxisme culturel c'est d'avoir des victimes. C'est tellement gratifiant de les défendre. Ce serait dommage qu'il y en ait moins. Au contraire, on va étendre le plus possible la définition du viol et essayer de faire en sorte que toutes les femmes se considèrent comme des victimes. Le paradis quoi.

Peut-être que c'est ça, alors, la vraie culture du viol ? Violiculture... avec des assos de soutien aux victimes pleines d'aliénés de la repentance. Des violiculteurs.
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Le sifflet c'est bien. En plus c'est légal. Toute personne avisée devrait avoir un sifflet sur soi. Surtout les femmes.

Ça existe même en version électronique. D’ailleurs ça me fait penser qu’un système de défense olfactif serait potentiellement assez efficace : c’est assez difficile de violer quelqu’un tout en retenant sa respiration.
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En passant, l'excitation sexuelle inhibe le dégoût, dont le fait de réagir aux odeurs nauséabondes.

Tu peux toujours essayer avec les azanes si ça t’amuse, mais il va te falloir un sacré rut pour esquiver ce genre d’odeur. Et là c’est juste un échantillon gratuit de ce que la chimie est capable de produire.

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desole Jesrad mais c'est toi qui es hors sujet puisque le sujet c'est l'auto-defense.Peu importe que ce soit le cas minoritaire.

Que je sache, si j'ai envie de parler des gens qui rattrapent leur crash a moto en faisant un salto avant sur le toit de la voiture, je peux, puisqu'il existe un cas documente.

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Tu peux toujours essayer avec les azanes si ça t’amuse, mais il va te falloir un sacré rut pour esquiver ce genre d’odeur. Et là c’est juste un échantillon gratuit de ce que la chimie est capable de produire.

 

ca s'appellerait Portaskunk

 

skunk-smell-300.jpg

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Petit retour d'un lecteur…

Salut, je regarde pas mal tes vidéos et ton blog.

A un moment tu as parlé d' EDC pour ta femme. Tu as parlé du sifflet. J'en ai mis un sur le porte clef de ma femme. Elle s'en est servit hier soir...

Pour faire bref, il faisait nuit, il y a deux mecs chiants et bourrés qui commence à la faire chier et elle leurs dit:

-"Barrez vous ou je rameute tout le quartier!"

-"Comment tu vas faire? lol"

Ni une ni deux elle a soufflé comme une dingue dans son sifflet et quelques secondes après les lumières des appartements s'allument u peu partout. Ils ont arrêté et sont parti.

Ils vaut mieux crier AU FEU que AU SECOURS. Il vaut mieux SIFFLER que CRIER... les gens sont curieux... du genre "c'est quoi ce sifflet dehors?".

Bye. Merci. Stay safe...

 

 

 

je m'insurge contre ce sifflet qui legitimise la culture du viol

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On fait tout le temps de petits arbitrages entre liberté et sécurité. On peut se dire à chaque fois qu'on adopte un comportement préventif, que c'est la menace qu'on veut éviter qui a gagné, mais tant que ça reste des comportements émergents, je vois ça comme le feedback normal entre les contraintes de la réalité et notre idéal dans l'absolu. Après on n'est pas obligé non plus de rouler à 0km/h avec sa voiture pour éviter les accidents : on tâtonne collectivement pour trouver le moment où se croisent la courbe du risque qu'on prend et celle du sacrifice qu'on consent pour l'éviter (et l'imprudence commence à parti d'un certain écart favorable au risque par rapport au consensus social).

Pour le viol, le problème est ailleurs je crois. Personne n'imagine que la victime d'un cambriolage est consentante, tandis que le viol, sa nature sexuelle fait que c'est un crime symbolique centré sur la question de consentement. Pour reprendre sa vie, la victime semble avoir besoin d'un sentiment absolu d'"innocence" et la simple évocation d'une imprudence fissure le mur très fragilisé de sa propre valeur, de son honneur. On marche sur des œufs, bref, on peut vite être très blessant. Avec ma fille, je pense que j'essaierai d'avoir une approche comportementale plus générale que spécifiquement centrée sur la question du viol.

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Pour le viol, le problème est ailleurs je crois. Personne n'imagine que la victime d'un cambriolage est consentante, tandis que le viol, sa nature sexuelle fait que c'est un crime symbolique centré sur la question de consentement. Pour reprendre sa vie, la victime semble avoir besoin d'un sentiment absolu d'"innocence" et la simple évocation d'une imprudence fissure le mur très fragilisé de sa propre valeur, de son honneur. On marche sur des œufs, bref, on peut vite être très blessant. Avec ma fille, je pense que j'essaierai d'avoir une approche comportementale plus générale que spécifiquement centrée sur la question du viol.

 

La voix de la sagesse.

 

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Des trucs de prevention anti-viol vachement bien penses, j'en ai entendu plein: au dojo.Jamais dans aucun discours d'aucune assoce de victimes.

C'est clair que dans le contexte francais aller jusqu'au au pistolet est un poil reveur, mais un simple coude fait l'affaire....SAUF quand on est raide bourree.

 

+1

 

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1/ citation initiale de Atika qui pose le contexte.Phil peut aller directement aux chiottes avec ses viols conjuguaux et autres soutiens aux victimes.

La fille qui se fait violer par son pere, c'est parce qu'elle etait en tenue de soiree completement bourree dans la rue? non, bon alors.

2/ Des trucs de prevention anti-viol vachement bien penses, j'en ai entendu plein: au dojo.Jamais dans aucun discours d'aucune assoce de victimes.

C'est clair que dans le contexte francais aller jusqu'au au pistolet est un poil reveur, mais un simple coude fait l'affaire....SAUF quand on est raide bourree.

 

1/ Oui, le sujet initial concernait les conseils débiles de la police hongroise mais il a ensuite dérivé plus largement sur le viol.

2/ Probablement parce que la principale mission des associations d'aide aux victimes est de s'occuper des victimes et plus certainement car tu ne connais rien aux associations d'aide aux victimes ou aux mouvements qui s'intéressent au problème du viol. Il existe même des clubs de boxe féministes et des groupes qui proposent des formations de self défenses, exemple : Diana Prince Club à Paris.

 

J'ai une question simple, c'est quoi la culture du viol ? Ça se manifeste comment ?

Tu peux lire beaucoup de choses sur internet à ce sujet. Sinon, plusieurs manifestations de la culture du viol on déjà été évoqué ici :

Au contraire, je crois que l'on a déjà exposé ici plusieurs éléments qui trahissent assez bien cette perception du viol, que ce soit les mythes qui la construise, le traitement réservé aux victimes, les conseils donnés aux femmes pour ne pas attirer les violeurs, etc... De plus, comment peut on expliquer le retentissement du "procès du viol" de 1974 (puisqu'on en a parlé), les réactions et les discours des défenseurs des violeurs, ou le silence qui existait alors autour du viol ? Vu l'ampleur du phénomène est-ce que là aussi la culture du viol n'est qu'une supposition ? Pourtant, il y a tout : refus de considérer leur viol comme un véritable crime, accusation contre les victimes, stigmatisation de leur comportement... et il ne s'agissait évidemment pas d'un cas exceptionnel mais d'une mécanique récurrente.

Qui est "on" ?

 

Tu veux des noms en particuliers ? Je te renvoie sur l'article à propos des mythes sur le viol où l'on trouve des citations de personnalités plus ou moins connues. Sinon, tu peux jeter un coup d’œil à la presse, aux articles qui traitent de viols et aux commentaires des lecteurs / internautes (ça marche aussi avec les médias plus classiques : télé, radio, journal papier...). Enfin tu peux regarder le reportage sur le "procès du viol" de 1974 et écouter les défenseurs des violeurs. Et si tu es bien attentif tu remarqueras que ces "on" ne sont pas des cas isolés mais constitue bien un phénomène d'ensemble et récurrent, d'où le concept de culture du viol.

 

Mais tout l'intérêt du marxisme culturel c'est d'avoir des victimes. C'est tellement gratifiant de les défendre. Ce serait dommage qu'il y en ait moins. 1/ Au contraire, on va étendre le plus possible la définition du viol et essayer de faire en sorte que toutes les femmes se considèrent comme des victimes. Le paradis quoi.

 

2/ Ici on part du présupposé qu'il y a eu viol, donc objectivement toutes les objections à ce présupposé sont fausses. Le problème c'est que dans la réalité les gens ne sont pas omniscients et donc ils ont raison d'exercer leur esprit critique, de douter, de ne pas faire une confiance aveugle à une partie juste parce qu'on a lancé le mot magique "viol".

 

1/ C'est exactement ce que l'on a reproché à ceux qui défendaient l'idée que le viol conjugal existe : un détournement injustifié de la définition de viol !

9% des hommes et 5% des femmes  pensent qu'un mari qui utiliserait la force physique pour avoir un rapport sexuel ne commettrait pas un viol et 31% des hommes et 19% des femmes pensent que le non consentement des femmes ne constitue pas un viol.

Mais tu peux croire au grand complot féministe si ça t'amuse...

 

2/ C'est systématique ! On ne demande pas de lyncher le "potentiel criminel" mais de respecter la "potentielle victime" et de ne pas toujours faire porter la charge de la suspicion sur cette dernière. Lorsqu'on ne sait pas ce qui s'est passé, on adopte une position raisonnable et on attend le développement de l'enquête. Aujourd'hui ce n'est pas le cas : les victimes de viol qui essayent de faire valoir leurs droits en justice sont systématiquement exposés à ces remarques et à ces pressions. Elles étaient telles d'ailleurs, qu'avant 1974, qu'il existait une véritable omerta sur le sujet du viol, les victimes restaient terrées dans la honte et le silence. De plus, même lorsque les faits sont reconnus par l'agresseur, voire quand il est finalement condamné, on continue de le défendre, de critiquer le comportement de la victime, etc...

 

Et c'est d'autant plus nécessaire que si il y a un procès la fille devra prouver qu'il y a eu viol, sans cela elle n'aura aucune chance au tribunal ce qui pourrait être encore plus traumatisant.

Les policiers sont non seulement neutres, mais en plus ils ont aussi l'expérience des accusation fallacieuses lancées dans le seul but de nuire. Donc s'ils soumettent la version de la victime à autant de question c'est aussi pour s'assurer que sa version tiendra devant un tribunal. 

Malgré toute la compassion qu'on peut éprouver pour celles qui se sont faites attaquées et même si à titre individuel on peut les croire et mener une vengeance héroïque pour parler comme neuneu2k, la justice doit refuser de condamner.

 

Aujourd'hui, les policiers ne sont clairement pas neutres. Il y a encore de nombreux témoignages de victimes qui ont été confrontés à des réactions anormales et injustes lorsqu'elles ont été (ou simplement essayé de) déposer leur plainte. C'est d'autant plus remarquable pour les cas de viol conjugal où lorsque les victimes sont des hommes :

Une étude américaine de 2008  montre que  19% des officiers de police  interrogés seront tentés de ne pas croire une femme qui dit avoir été violée par son époux.

[...]

Une étude américaine de 2008  montre les préjugés auxquels sont soumis les officiers de police de  7 départements de police et 4 départements de sheriffs du sud des Etats-Unis. Ainsi seulement 66% d'entre eux croient que n'importe quel homme peut être violé et 48% croiront un homme qui viendrait porter plainte pour viol.

 

C'est pour ces raisons que les associations qui luttent contre le viol réclament l'application effective de lois déjà existante :

Rendre effective l’obligation faite aux policiers ou aux gendarmes de prendre les plaintes pour viols ou autres agressions sexuelles, avec des consignes fermes afin d’éviter les refus de plainte(Application stricte de l’article 15-3 du Code de Procédure Pénale)

Le respect de l’obligation faite au Procureur de la République de motiver tout classement sans suite.

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1/ Oui, le sujet initial concernait les conseils débiles de la police hongroise mais il a ensuite dérivé plus largement sur le viol.

 

 

ahhh vazy mais ta gueule,

toi et les gens dans ton genre vous arrivez toujours pour faire changer la discussion et dire ce que vous avez envie de dire.

Peu importe si le sujet est different, tu n'es a strictement rien a foutre du moment que tu peux reorienter la conversation et ramener ta science.

Ca fait trois pages qu'on repete des choses deja dites dont tout le monde se fout, juste parce que t'es arrive comme un taureau sur le drapeau avec une reaction epidermique toute pourrie qui nous a bien fait rigoler; alors c'est sur maintenant ca roule sur le sujets dont TU voulais parler, mais ne viens pas nous faire croire que c'etait ca le sujet et que 'ty es pour rien.

Fuck.

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