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Ca me gonfle ces tournures journalistiques bidonnées...

 

 

Nous y étions. Zakia et Maxime étaient à seulement trois mètres l’un de l’autre. Cela faisait des années qu’ils ne s'étaient pas vus. Récit.

 

:icon_rolleyes:

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According to George and Yarwood (2004), police have threatened 47% of male victims of intimate partner violence with arrest. George and Yarwood also found that the police ignored 35% of male victims and 21% were actually arrested instead of the female perpetrators.

 

http://www.sascv.org/ijcjs/pdfs/carolettaijcjs2010vol5iss1.pdf

 

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Même Michel Houellebecq n'avait pas osé l'inventer. Il y aurait, dans les beaux quartiers de New York, des hommes très fortunés qui verseraient à leurs épouses des primes de fin d'année pour saluer leurs performances, depuis la bonne gestion du budget familial à l'entrée des enfants dans une école prestigieuse.

L'anthropologue Wednesday Martin, l'auteure de ces révélations publiées dans une tribune du New York Times le 16 mai, dit tenir ses informations d'entretiens informels menés depuis qu'elle s'est installée dans l'Upper East Side  le quartier de Manhattan où l'on paie le plus d'impôts  où elle a pu observer les « glam SAHM » (pour glamorous stay-at-home-moms, soit «mères au foyer glamour») dans leur habitat naturel. Aucun avocat spécialisé en divorces d'ultra­riches, aucun patron de fonds d'investissement n'a pu confirmer, depuis, l'existence de ces wife bonus. Mais ça n'a pas empêché le concept, même fantasmé, de fleurir et de susciter des controverses sur les réseaux sociaux, sans doute parce qu'il correspond bien à une réalité sociologique : l'essor des femmes au foyer ­assumées et surdiplômées chez les plus aisés, de ces nouvelles femmes au foyer ne portant pas de jupe bleu marine ni de serre-tête, mais des robes Prada avec des sacs Hermès.

On pourrait croire, pour ces femmes, à un raisonnement essentiellement hédoniste : pourquoi travailler quand un mari gagne des millions ? Mais cela peut aussi être, pour leurs maris, un calcul économique. Gary Becker, Prix Nobel issu de l'école de Chicago, a déjà développé cette thèse : les hommes aux revenus élevés auraient intérêt à épouser des femmes d'accord pour ne pas en avoir, pour cultiver les avantages comparatifs de chacun et augmenter la « production combinée du ménage ».

Si les femmes sont moins nombreuses à parvenir au sommet, c'est parce qu'elles n'ont pas de femme, a déjà noté la chroniqueuse Maureen Dowd. Quand on a des millions, une épouse diplômée qui fait du bénévolat à la maison et à l'extérieur, c'est un atout supplémentaire, et les activités dont ces épouses sont chargées au-delà de la manucure deviennent stratégiques, pour tisser son réseau et investir dans la nouvelle génération. Catherine Cusset, écrivain installée à New York, fait ce constat : « Dans ces classes sociales privilégiées, être mère est considéré comme un métier à plein temps. Les candidatures pour les meilleures écoles, dès l'âge de 4 ans, prennent facilement une centaine d'heures. » Qui est mieux placé, pour s'en charger, qu'une femme elle-même passée par les meilleures écoles ?

« Ça coûte très cher de faire garder correctement un enfant aux Etats-Unis. De plus, les parents instruits sont aujourd'hui convaincus qu'on attend énormément d'eux pour faire de leurs enfants des champions des études. Il ne s'agit plus seulement de préparer des sandwichs au beurre de cacahuète pour la lunch box, mais aussi d'emmener les enfants au concert ou au cours de chinois. Ils se comportent comme les coachs de leurs enfants et jugent impossible de sous-traiter l'entraînement de leur progéniture à une nounou philippine », observe de son côté Nathalie Loiseau, directrice de l'ENA, auteure du livre sur l'égalité des sexes Choisissez tout (JC Lattès, 2014), qui a vécu cinq ans aux Etats-Unis. Selon elle, ce phénomène des femmes surdiplômées qui ne travaillent plus à rien d'autre qu'à coacher leurs poulains, est en train d'arriver en France. « Chez certaines mères éduquées, l'angoisse de ne pas donner à leurs enfants toutes les chances de réussir leurs études prend le dessus sur ­l'envie de travailler. On entend monter un discours ­alarmiste : entre les rythmes scolaires, les concertations pédagogiques, les profs qui ne finissent pas le programme, l'aide aux devoirs, le risque d'addiction aux smartphones, aux jeux vidéo et à bien d'autres choses, ces mères ne croient plus possible d'être absentes de la maison. Il se forme une nouvelle inégalité entre les familles où un parent peut suivre de près ses enfants et les autres. »

Si des épouses passées parmi les meilleures universités, les plus grands cabinets de conseil, fournissent ce travail gratuitement, pourquoi ne pas saluer leurs performances ? C'est une logique de business avec distribution de bonus pour réalisation des objectifs. On objectera que ce n'est pas parce que le raisonnement économique semble imparable qu'il fallait l'inventer

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2015/05/31/etats-unis-recettes-de-bonnes-meres_4642694_4500055.html#0WusQIIxPTvqjc1q.99

 

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*baille*

 

je n'air rien lu de meme vaguement surprenant ou nouveau dans cet article.

 

ah si, du Marxisme Kulturel

 

 Il se forme une nouvelle inégalité entre les familles où un parent peut suivre de près ses enfants et les autres. 

 

 

les gens qui pensent comme ca, j'ai beaucoup plus envie de leur mettre direct des claques que de discuter.

Pour reset le cerveau.

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Au fond dans leur logique, le violeur n'est pas responsable de son viol, vu qu'il est assujetti aux préjugés de la rape culture. Comment on peut dire d'un côté qu'on supprime la conscience des femmes par des préjugés patriarcaux sans faire valoir qu'il existe un système similaire de subversion chez les garçons ?

Ou alors ça voudrait dire que la rape culture ça marcherait que contre l'homme.

 

Zut.

 

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Some people are arguing that this is an excuse by police to increase their arrest quotas, and to crack down on undesirable ethnic minority males.

 

Le féminisme contre le racisme part I

 

C'est le moment d'aller chercher du pop-corn, de trouver un siège confortable et d'attendre le wtf qui va suivre.

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Et dire que cette histoire avait commencé il y a quelques années sur un article du Monde avec des centaines de commentaires moqueurs...

C'est ça qui est terrifiant, ils ne lâchent jamais rien. Jamais. Pas devant les preuves, pas devant les moqueries, jamais. Et à force de gueuler et de mentir ça finit par prendre.

Encore un truc qu'ils ont choppé des marxistes d'ailleurs.

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Ces gens sont vraiment des lâches, d'abominables baltringues. Si quelqu'un prend trop de place, on le lui dit poliment, on ne demande pas l'usage de la force publique, on ne le prend pas en photo pour l'humilier devant des milliers d'internautes. Bande de gros nazes. Ce genre d'individus sera le premiers à être foutu au trou le grand soir libéral. Après Gérard Filoche et les sénateurs.

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Et d'ailleurs pour ceux qui pensent que les saloperies des SJW tournent en cercle fermé chez les adolescents, hipsters et autres universitaires, voilà la preuve que les répercussions se font bien sentir dans le monde réel.

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This was manspreading at its worst and most calculated. He was groping me with his leg.

I could say something, but what? I would probably be perceived as hysterical if I jumped up and accused him of touching my knee. I imagined a sneering police officer in my head: “And tell me again how he groped you with his leg?” they would ask in a disbelieving tone.

:jesus:

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