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il y a 8 minutes, Johnnieboy a dit :

 

Je n'ai pas parlé des alcooliques, pour qui j'ai le plus grand respect. 

Ouais enfin.... tous les alcoloos n'ont pas le style ou la classe de Bukowski ou Hemingway, hein... espèce de romantique, va :P

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La reflection de Lancelot est sans probleme, jb est juste triggered.Comme si le mouvemt #metoo etait autre chose qu'un torrent de merde mentale, ce qui explique la presence de connasses hypocrites dans ses rangs.

 

En revanche Goldie Hawn a dit des trucs pas cons aujourd'hui.

 

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Il y a 9 heures, Brock a dit :

La reflection de Lancelot est sans probleme, jb est juste triggered.Comme si le mouvemt #metoo etait autre chose qu'un torrent de merde mentale, ce qui explique la presence de connasses hypocrites dans ses rangs.

 

En revanche Goldie Hawn a dit des trucs pas cons aujourd'hui.

 

 

 

Je suis ps triggered, sa phrase est juste bête. Si j'apprenais qu'un prêtre avait tripoté des gamins et que je disais "je mentirais si je disais que j'étais surpris", ça serait tout aussi con.

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15 hours ago, Hayek's plosive said:

http://madame.lefigaro.fr/bien-etre/charge-mentale-couple-coup-de-gueule-australienne-constance-hall-120218-147026

 

Charge mentale 2, le retour. 

 

Où même donner des ordres c'est de la charge mentale. 

 

Je découvre ce concept de "charge mentale" que je trouve intéressant, et quand on s'intéresse à ce qu'en dit une psychiatre c'est tout de suite moins idiot que "l'inégale répartition des tâches ménagères".

http://madame.lefigaro.fr/bien-etre/charge-mentale-bd-emma-interview-psychiatre-aurelia-schneider-livre-070218-146891

 

- Définie comme "le coût psychologique et physiologique d’une accumulation de charges",

- cela concerne aussi bien les hommes que les femmes,

- mais hommes et femmes vivent différemment cette charge mentale car :

  • ils n'ont pas la même façon de gérer le temps
  • ils ne placent pas leur priorité aux mêmes endroits (par exemple les hommes souffrent nettement moins du "perfectionnisme domestique")

- cette façon de vivre différemment cette charge mentale s'explique par :

  • des différences de profils et de caractères (perfectionnisme, intolérance à l'incertitude, appréciation du temps...)
  • une différence physiologique : la chronobiologie.
    "Nous avons dans notre tête des sécrétions d’hormones déclencheuses du système d’ovulation, et nous avons des pulsations toutes les 60 ou 90 minutes, selon le moment du cycle. Ce que les hommes n’ont pas, évidemment. Dans nos têtes, nous avons donc des sous-comptages très subtils, et nous sommes rythmées d’une façon très méthodique. (...) Finalement, nous sommes amenées à tout calculer, prévoir, en permanence, nous passons notre vie à avoir cette lecture de l‘environnement. Cela pourrait éventuellement expliquer une prédisposition à la charge mentale."

 

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il y a 6 minutes, Largo Winch a dit :

 

Je découvre ce concept de "charge mentale" que je trouve intéressant, et quand on s'intéresse à ce qu'en dit une psychiatre c'est tout de suite moins idiot que "l'inégale répartition des tâches ménagères".

- Définie comme "le coût psychologique et physiologique d’une accumulation de charges"

 

ça revient à dire que le travail / l'effort pour retenir une diversité de tâches / appréhender la complexité, fatigue.

Je ne crois pas que ce soit l'idée du siècle.

  • Yea 1
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5 minutes ago, Johnathan R. Razorback said:

 

ça revient à dire que le travail / l'effort pour retenir une diversité de tâches / appréhender la complexité, fatigue.

Je ne crois pas que ce soit l'idée du siècle.

 

L'intérêt d'un concept ne réside jamais dans sa simple définition. La lune et le doigt...

 

  • Yea 2
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il y a 45 minutes, Adrian a dit :

"L'Etat est complice de ces crimes de masse que sont les viols", juge Caroline De Haas

 

Il faut former et ça tombe bien j ai une société dédiée.

 

 

La formulation est outrancière mais, à part ça, je suis plutôt d’accord avec le reste. Dans une perspective étatiste, il fau reconnaître que plusieurs milliers de viols par an, c’est un problème de santé publique. Et que si une si petite proportion de violeurs sont condamnés, c’est qu’il y a encore beaucoup de prévention et de formation à faire.

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à l’instant, Johnnieboy a dit :

La formulation est outrancière mais, à part ça, je suis plutôt d’accord avec le reste. Dans une perspective étatiste, il fau reconnaître que plusieurs milliers de viols par an, c’est un problème de santé publique. Et que si une si petite proportion de violeurs sont condamnés, c’est qu’il y a encore beaucoup de prévention et de formation à faire.

 

N'importe quoi.

Tu veux former qui? Les professionnels? Pour leur expliquer ce qu'est un viol? 

Je n'ai pas de mots pour qualifier le grotesque d'une telle proposition, d'une telle idée, même.

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à l’instant, Johnnieboy a dit :

plusieurs milliers de viols par an, c’est un problème de santé publique

ah bon ? c'est quoi ta définition de la santé publique ? pour moi c'est une épidémie de grippe aviaire, ou une mega pollution de l'eau, bref, un événement qui atteint un max de gens par le biais de mcirobes ou des trucs comme ça.

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il y a 7 minutes, Bisounours a dit :

ah bon ? c'est quoi ta définition de la santé publique ? pour moi c'est une épidémie de grippe aviaire, ou une mega pollution de l'eau, bref, un événement qui atteint un max de gens par le biais de mcirobes ou des trucs comme ça.

 

Ben, si des milliers de personnes sont violées tous les ans, ça fait beaucoup de gens avec de potentiels troubles psychologiques. Ma définition, sinon, c’est qu’il s’agit d’un problème de santé qui ne concerne pas que la santé. Concernant le nombre de personnes qui doivent être touchées, je n’en sais rien. 

 

il y a 7 minutes, Flashy a dit :

 

N'importe quoi.

Tu veux former qui? Les professionnels? Pour leur expliquer ce qu'est un viol? 

Je n'ai pas de mots pour qualifier le grotesque d'une telle proposition, d'une telle idée, même.

 

 

Former à accueillir les victimes, par exemple ? 

http://www.slate.fr/story/153032/depot-plainte-viol

 

  • Yea 1
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il y a 5 minutes, Johnnieboy a dit :

 

Former à accueillir les victimes, par exemple ? 

http://www.slate.fr/story/153032/depot-plainte-viol

 

 

il y a 2 minutes, Hayek's plosive a dit :

 

Et comment on sait si ce sont de vraies victimes et pas des #MiTou ? 

C'est pas faux tout de même qu'il est pertinent que l'accueil en commissarait ou gendarmerie de victimes supposées de viols ou d'agression doit être accompli par des gens un minimum formés : technique d'interrogatoire, comportement adéquat (par exemple pour les jeunes enfants victimes, l'approche est différente)

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il y a 18 minutes, Flashy a dit :

 

N'importe quoi.

Tu veux former qui? Les professionnels? Pour leur expliquer ce qu'est un viol? 

Je n'ai pas de mots pour qualifier le grotesque d'une telle proposition, d'une telle idée, même.

 

 

C’est justement parce que tu trouves une telle idée grotesque que le féminisme est encore pertinent de nos jours en France. 
Suffit de lire l’article que j’ai linké : 

 

Comment explique-t-on ces comportements du côté institutionnel? Au commissariat de Corbeil-Essonnes (91), nous rencontrons deux policières, l'une commandante et l'autre enquêtrice spécialisée au sein du groupe «atteintes aux personnes», qui ont souhaité rester anonymes. La première n'est pas surprise des témoignages que nous avons recueillis:

«Certaines victimes sont mal accueillies. On a des spécialistes chez nous et c'est intolérable. J'ai déjà vu une femme arriver devant un commissariat, expliquer avoir été victime d'agression sexuelle et se voir demander à l'interphone: Ah oui ? Racontez-moi”, au lieu d'être invitée à entrer. Parfois, c'est par pure méconnaissance du sujet, parfois certains collègues sont simplement stupides», dit-elle.

La commandante tient toutefois à préciser que certaines questions sont systématiquement posées à la victime pendant une audition, notamment pour confronter sa version à celle du mis en cause –vêtements portés, pourquoi on se trouvait à tel endroit à tel moment, détails «intimes»–, mais que tout policier averti se doit d'informer sur le déroulé des choses et d'interroger sans jugement.

«On explique pourquoi on bouscule, pourquoi on va relever certaines incohérences sans pour autant mettre en doute leur parole. Cela peut être mal vécu», complète l'enquêtrice spécialisée. «Je pense qu'on manque de formation», poursuit-elle. «Cela se voit sur certaines plaintes “bateaux” où l'on comprend que la personne qui l'a rédigée n'avait pas “l'envie” et ne connaissait pas la procédure.»

 

 

 

 

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il y a 10 minutes, Johnnieboy a dit :

Former à accueillir les victimes, par exemple ? 

http://www.slate.fr/story/153032/depot-plainte-viol

 

 

Déjà le cas, depuis longtemps.
Et ton article, c'est de la merde. On prend une poignée de témoignages pour en faire des généralités, en amalgamant la faute professionnelle caractérisée -qui n'a rien à voir avec un défaut de formation-, l'absence "d'empathie" (or ce n'est pas le rôle de la Police ou de la Justice, au stade de l'ouverture d'une enquête, ni pendant l'enquête, de valider un statut de victime : la distance, les questions froides et précises, c'est normal), le refus de plainte.

 

Quant à l'absence de plainte, c'est là encore logique. Rien à voir avec une question de formation. C'est profondément stupide, de penser que c'est lié à un défaut de formation. 

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il y a 2 minutes, Flashy a dit :

 

Déjà le cas, depuis longtemps.
Et ton article, c'est de la merde. On prend une poignée de témoignages pour en faire des généralités, en amalgamant la faute professionnelle caractérisée -qui n'a rien à voir avec un défaut de formation-, l'absence "d'empathie" (or ce n'est pas le rôle de la Police ou de la Justice, au stade de l'ouverture d'une enquête, ni pendant l'enquête, de valider un statut de victime : la distance, les questions froides et précises, c'est normal), le refus de plainte.

 

Quant à l'absence de plainte, c'est là encore logique. Rien à voir avec une question de formation. C'est profondément stupide, de penser que c'est lié à un défaut de formation. 

 

 

Cesse de te draper dans la toge du détenteur de la vérité lorsqu’il s’agit de la justice, c’est fatigant. Tu bosses dans les RH. Les témoignages dans cet article viennent aussi de policières qui me semblent quelque peu mieux informées que toi à ce propos. Elles disent elles-mêmes qu’elles manquent de formation.

 Bref...

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il y a 1 minute, Adrian a dit :

Caroline de Haas, militante féministe et diplômé d'histoire, va expliquer à des connaisseurs du droit (policier, justice, ...) la définition du viol.

 

Oui, c’est exactement ce qu’elle dit. Tu peux citer le passage où elle dit ça ? Je le retrouve plus

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il y a 5 minutes, Johnnieboy a dit :

Cesse de te draper dans la toge du détenteur de la vérité lorsqu’il s’agit de la justice, c’est fatigant. Tu bosses dans les RH, les témoignages dans cet article viennent aussi de policières qui me semblent quelque peu mieux informées que toi à ce propos. N’as-tu pas dit récemment que tu n’étais pas spécialiste dans le pénal ? Bref...

 

Deux témoignages de policières, prises anonymement, te permettent d'établir un lien de causalité entre la faiblesse des plaintes pour viols et la formation préconisée par l'autre grognasse? Témoignages dont l'objet, d'ailleurs, ne concerne pas un tel lien de causalité? 

 

Je vais le reformuler plus clairement, car tu as l'air mal réveillé ce matin : la formation préconisée ne sert à rien et n'a rien à voir avec la faiblesse des condamnations pour viol. Rien. Que dalle. Niet. Peau de zob. 

Un cerveau en état de fonctionnement devrait permettre de percevoir où le bât blesse. 

 

Un indice : le problème n'est pas lié au fait que le personnel judiciaire n'est pas "conscientisé" convenablement, à la sauce idéologue débile.

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il y a 2 minutes, Flashy a dit :

 

Deux témoignages de policières, prises anonymement, te permettent d'établir un lien de causalité entre la faiblesse des plaintes pour viols et la formation préconisée par l'autre grognasse? Témoignages dont l'objet, d'ailleurs, ne concerne pas un tel lien de causalité? 

 

Je vais le reformuler plus clairement, car tu as l'air mal réveillé ce matin : la formation préconisée ne sert à rien et n'a rien à voir avec la faiblesse des condamnations pour viol. Rien. Que dalle. Niet. Peau de zob. 

Un cerveau en état de fonctionnement devrait permettre de percevoir où le bât blesse. 

 

C’est plutôt toi qui as l’air de t’être réveillé du mauvais pied.

Je n’ai établi ce lien de causalité nulle part. Où alors je me suis mal exprimé mais tu vas devoir me le démontrer, quand même. 

 

 

 

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il y a 3 minutes, Johnnieboy a dit :

 

J’ai failli répondre sérieusement ! :D

 

C'est une vraie question pourtant. Qu'est-ce qui fait qu'un flic prend son histoire à la légère ? Est-ce que c'est parce que c'est un trou du cul qui en a rien à battre, ou est-ce qu'il a déjà fait l'expérience de femmes mythomanes qui veulent détruire la vie d'hommes innocents ?

 

Cet article est à charge parce qu'il ne raconte que l'histoire des vraies victimes et pas des fausses (cf mon #MiTou). 

 

Moi j'ai un pote nigérien (ça aide vraiment pas) qui m'a raconté avoir fait 48h de GAV où les flics à 3h du mat mettent un coup de latte dans la porte pour te casser le sommeil pour mieux te cuisiner. A la fin tu sais plus ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas. Les flics n'en avaient rien à battre et ne cherchaient qu'à prouver sa culpabilité, facile d'avoir des aveux comme ça.

Jusqu'à ce qu'il voie une psychologue qui pige que les flics font de la merde. Résultat les flics font un contre-interrogatoire à la nana où ils comprennent qu'elle les a menés en bateau depuis le début. 

 

Bon bah si le premier flic de Karine est un des flics qui a interrogé mon pote, forcément, le doute s'installe.

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à l’instant, Hayek's plosive a dit :

 

C'est une vraie question pourtant. Qu'est-ce qui fait qu'un flic prend son histoire à la légère ? Est-ce que c'est parce que c'est un trou du cul qui en a rien à battre, ou est-ce qu'il a déjà fait l'expérience de femmes mythomanes qui veulent détruire la vie d'hommes innocents ?

 

Cet article est à charge parce qu'il ne raconte que l'histoire des vraies victimes et pas des fausses (cf mon #MiTou). 

 

Moi j'ai un pote nigérien (ça aide vraiment pas) qui m'a raconté avoir fait 48h de GAV où les flics à 3h du mat mettent un coup de latte dans la porte pour te casser le sommeil pour mieux te cuisiner. A la fin tu sais plus ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas. Les flics n'en avaient rien à battre et ne cherchaient qu'à prouver sa culpabilité, facile d'avoir des aveux comme ça.

Jusqu'à ce qu'il voie une psychologue qui pige que les flics font de la merde. Résultat les flics font un contre-interrogatoire à la nana où ils comprennent qu'elle les a menés en bateau depuis le début. 

 

Bon bah si le premier flic de Karine est un des flics qui a interrogé mon pote, forcément, le doute s'installe.

 

 

À ton avis, le taux de faux témoignages concernant les viols est estimé à combien ?

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