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57 minutes ago, Romy said:

"C'est comme quelqu'un qui entend une blague salace et qui la relaie, c'est totalement inapproprié"

C'est l'histoire de deux juges soviétiques qui discutent à la sortie d'un tribunal; l'un deux est hilare.

Le premier demande: Pourquoi ris-tu camarade ?

Le second en larme: Parce que j'ai entendu hihi la meilleur blague de toute ma vie, mffrrr hahaha.

Le premier: Et bien vas-y camarade raconte:

Le deuxième qui se reprend: HA non, je viens de condamner celui qui me l'a racontée à 10 ans de travaux forcés.

  • Haha 7
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  • 2 weeks later...
Il y a 3 heures, Soda a dit :

J'en ai pas trouvé avec les traductions, et puis on met bien des vidéos de Usul ou de SJW... le message compte plus que le messager.

Désolé mais on a pas trop envie de se retrouver en référenceur d'égalité et réconciliation, qui de toute façon n'est pas comparable à usul & co

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Vu que c'est une vidéo Youtube, je ne pense pas que ça influence le référencement (mais les algos de Google sont peut-être plus évolués que je ne le pense).

 

Pour tout ce qui est lien direct, pensez à utiliser l’icône badurl (tout à droite sur la première ligne avec la tête de Walt dans Breaking Bad).

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  • 2 weeks later...
19 minutes ago, Johnathan R. Razorback said:

Même si j'ai 10 à 15% de divergences avec les thèses défendues, je trouve ce compte-rendu de Renou vraiment très remarquable: http://aristidebis.blogspot.com/2019/01/liberons-nous-du-feminisme-oui-mais-pas.html

 

Un lien très intéressant, merci

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il y a une heure, Johnathan R. Razorback a dit :

Même si j'ai 10 à 15% de divergences avec les thèses défendues, je trouve ce compte-rendu de Renou vraiment très remarquable: http://aristidebis.blogspot.com/2019/01/liberons-nous-du-feminisme-oui-mais-pas.html

 

J'ai environ 90% à 95% de divergences avec cet article.

 

Si le but est de discréditer ce combat politique à coup de caricatures, alors c'est réussi. Il y aurait donc trois catégories d'hommes, vraiment ? Selon qui ?

Première question : de quel féminisme parle-t-on ? Ou plutôt : de quelles féministes ?

 

Je valide l'argument selon lequel il est insupportable d'entendre des gens parler au nom des autres. Typiquement au sujet de la prostitution ou de la pornographie. C'est quelque chose qui m'énerve aussi assez régulièrement. Maintenant ce serait bien de présenter honnêtement les différents arguments, précisément parce qu'il n'y a pas d'unanimité à ce sujet chez les féministes. A mon avis, le problème n'est pas que des femmes et des hommes s'orientent généralement dans des domaines différents ; la question est de savoir pourquoi ils le font, qu'est-ce qui les a poussé à le faire, et pourquoi remarque-t-on une telle différence. Il est là le sujet.

 

Quant à la liberté d'expression, affirmer que les catho pro famille (who cares ?) sont peu audibles, ça me laisse pantoise. Il y a suffisamment de journaux de droite pour véhiculer ces idées. Donc la question n'est pas de savoir si elles peuvent s'exprimer, mais plutôt pourquoi sont-elles autant désapprouvées (et peut-être aussi parce que le temps n'est plus aux mœurs du XVIIème siècle). Mais j'admets que le débat intellectuel est actuellement détestable, c'est une évidence. Et qu'il y a bien des pressions exercées par des militants particulièrement bruyants et intolérants aux idées différentes des leurs. Je pense aux boycotts de conférences-débats dans des universités américaines. Donc un peu de nuance.

 

Ensuite, "la complémentarité naturelle des hommes et des femmes", de quoi s'agit-il ? Pour procréer oui, évidemment. Autrement ,cette phrase n'a selon moi aucun sens la complémentarité existe avant tout entre des individus, et avoir des organes sexuels différents ne préjuge en rien ma prétendue "complémentarité" avec quelqu'un d'autre. Concernant la séduction ou le libertinage, n'importe quelle féministe sera d'accord pour dire que seul le consentement importe. A moins d'être dogmatique. Pour finir, je serai très intéressée par les études scientifiques sur ces "différences d'ordre psychologique" entre h/f, s'il en existe.

  • Yea 1
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Il y a 2 heures, poincaré a dit :

Pour finir, je serai très intéressée par les études scientifiques sur ces "différences d'ordre psychologique" entre h/f, s'il en existe.

Il en existe probablement des centaines, peut-être des milliers. Tu veux qu'on commence par où ? :)

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7 hours ago, poincaré said:

Concernant la séduction ou le libertinage, n'importe quelle féministe sera d'accord pour dire que seul le consentement importe. 

Certaines parlent du désir, ce qui est différent du consentement qui peut être donné par résignation.

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Il y a 12 heures, Johnathan R. Razorback a dit :

Même si j'ai 10 à 15% de divergences avec les thèses défendues, je trouve ce compte-rendu de Renou vraiment très remarquable: http://aristidebis.blogspot.com/2019/01/liberons-nous-du-feminisme-oui-mais-pas.html

 

 

C'est un libéral conservateur. Concernant les différences homme femme, il a raison, il y a bien évidemment des différences de nature que l'on ne peut pas nier, mais il y aussi évidemment une part acquise socialement. Il a tort de considérer que la famille doit nécessairement être équilibrée avec une femme qui dirige le foyer, la maison. Nombre de femmes n'ont pas de qualités ni d'envie pour ce rôle, et un certain nombre d'hommes s'en chargent de façon très honorable.  Il n'y a pas de raison d'enfermer les uns et les autres dans des rôles déterminés, l'équilibre d'un couple ou d'une famille relève de la liberté et de l'indépendance de la sphère privée.

Renou fait un travail relativement fouillé sur son blog, et n'est pas imperméable à la critique, cela dit, il défend parfois  des thèses bien arrêtées sur les différences de QI entre races par exemple. Mon sentiment général c'est qu'il a tendance à faire des différences de nature entre individus des différences essentielles, beaucoup trop à mon sens. On dirait que son conservatisme se base sur une vision figée de la nature humaine et des individus, plus que sur un choix de valeurs morales.

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Il y a 5 heures, Restless a dit :

 

Cet article est excellent, en particulier cette section que je n'hésiterais pas à ressortir la prochaine fois que je tombe sur un relativiste qui explique que la science ne sert à rien:

 

"On voit donc que différentes théories des causes du viol ont potentiellement des implications différentes, en ce qu’elles suggèrent des politiques d’éducation et de prévention différentes, qui peuvent ou pas conduire à diminuer l’incidence des viols. Il importe donc d’avoir la bonne théorie, celle qui est la mieux soutenue par les faits. C’est un cas de figure exemplaire où avoir une compréhension scientifique correcte d’un phénomène est indispensable pour concevoir des politiques efficaces."

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Il y a 10 heures, poincaré a dit :

Quant à la liberté d'expression, affirmer que les catho pro famille (who cares ?) sont peu audibles, ça me laisse pantoise. Il y a suffisamment de journaux de droite pour véhiculer ces idées.

 

Les cathos sont peu audibles et ils ont peu de canaux médiatiques. Des journaux de droite mainstream, il n'y a qu'un: Valeurs.

Par contre, les idées nauséabondes des cathos extrémistes sont mises en avant par tous les médias, hélas.

 

  • Yea 1
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1 hour ago, POE said:

il y a bien évidemment des différences de nature que l'on ne peut pas nier, mais il y aussi évidemment une part acquise socialement

 

C'est assez superficiel de mettre les deux en opposition. Depuis quand, ou plutôt comment, le social se développerait indépendamment du biologique ? En fait les deux sont intimement liés. Les considérer comme séparés (car la culture implique des préférences sexuelles et in fine agit sur la biologie également) est une simplification qui apporte plus de confusion qu'autre chose.

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L'article est inexact quand il parle d'un féminisme dans un premier temps allié avec la libération sexuelle, avant de révéler sa vraie nature qui serait puritaine. Les deux courants ont toujours cohabité (et cohabitent toujours) au sein du féminisme, mais s'il y a eu une évolution, elle va dans l'autre sens : le féminisme des années 70 -80, c'est Adrea Dworkin et Catharine McKinnon, alors que celui des années 90 à aujourd'hui, c'est celui de Judith Butler et de Erika Lust. Au niveau académique en tout cas, l'orthodoxie féministe est clairement pro-sexe. Si concrètement, au niveau politique, les seules "victoires" féministes sont du coté puritain, c'est sans doute grâce au soutient des conservateurs.

 

A propos des différences innées h/f : il ne faut pas oublier que c'est seulement tendanciel, et très multifactoriel... Je soupçonne la culture d'avoir joué un rôle d'amplificateur. Pour des raisons biologiques, quelques personnes ont des caractères sexuels secondaires (physiques et comportementaux) particulièrement marqués, et sont donc plus remarquées. C'est à partir d'eux ensuite que l'on créer les stéréotypes de rôles sexuels, qui vont devenir des normes implicites. Sauf que malgré ces tendances générale, un très grand nombre d'individus, sans doute la plupart des gens, se retrouvent en décalage par rapport à ces stéréotypes sur pas mal de points. Autant dans une petite société, assez fixe, les cas les plus extrêmes de chaque bulle sociale peuvent facilement être marginalisés (incitant les autres, récupérables, à ne pas trop dépasser de leur rôle), autant dans une société plus fluides, comme celle des villes actuelles, on se met à se regrouper par affinité, et certains mécanismes de normalisation ne peuvent juste plus fonctionner.

Je ne pense pas qu'il faille livrer une guerre à tous les vecteurs de transmissions des rôles sexuels, hein. Ils sont utiles, et on a tous besoin à un moment ou un autre de nous appuyer sur un tuteur (au sens du jardinage) pour nous comprendre nous même, et éviter certaines erreurs... Mais chercher à s'y tenir tout entièrement n'est sans doute ni possible ni souhaitable. Il y a sans doute un juste milieu à trouver.

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3 minutes ago, Mégille said:

Si concrètement, au niveau politique, les seules "victoires" féministes sont du coté puritain, c'est sans doute grâce au soutient des conservateurs.

 

Intéressant, je l'avais jamais vu sous cet angle. Quels exemples en particulier te viennent à l'esprit ?

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il y a 3 minutes, Extremo a dit :

 

Intéressant, je l'avais jamais vu sous cet angle. Quels exemples en particulier te viennent à l'esprit ?

 

Oh, et bien même si on a en France des Boutin pour défendre les "gauloiseries", je ne suis pas sûr que toute la droite française soit radicalement opposé à la lutte contre le harcèlement de rue. D'autant plus que le stéréotype du harceleur, ce n'est pas un toubab (je n'ai pas la moindre idée de la pertinence de ce stéréotype). Mais je spécule. Sinon, aux USA, on a le combat de McKinnon contre la pornographie qui avait des soutient conservateurs. Je serais curieux aussi de voir d'où viennent les législations anti-porn en Angleterre.

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Il y a 1 heure, Kassad a dit :

 

C'est assez superficiel de mettre les deux en opposition. Depuis quand, ou plutôt comment, le social se développerait indépendamment du biologique ? En fait les deux sont intimement liés. Les considérer comme séparés (car la culture implique des préférences sexuelles et in fine agit sur la biologie également) est une simplification qui apporte plus de confusion qu'autre chose.

 

Je ne crois pas les avoir opposés. Par contre, je ne vois pas bien comment la culture agit sur la biologie, à moins que tu veuilles dire que la distribution de rôles sociaux finit par un phénomène évolutif à une spécialisation des sexes ? C'est cela ?

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Il y a 1 heure, POE a dit :

Par contre, je ne vois pas bien comment la culture agit sur la biologie

Une culture fonctionnelle permettra à ses adhérents de mieux survivre, toutes choses égales par ailleurs. Et les paramètres culturels du choix du partenaire influenceront la sélection sexuelle, par définition. 

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2 hours ago, POE said:

 

Je ne crois pas les avoir opposés. Par contre, je ne vois pas bien comment la culture agit sur la biologie, à moins que tu veuilles dire que la distribution de rôles sociaux finit par un phénomène évolutif à une spécialisation des sexes ? C'est cela ?

 

Une des raisons est celle que je mentionnais : la culture influe sur la sélection sexuelle :  disons pour simplifier que les femmes choisissent les hommes les plus compétents pour avoir une descendance, or la hiérarchie des compétences est en partie une production culturelle. 

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5 hours ago, Mégille said:

Au niveau académique en tout cas, l'orthodoxie féministe est clairement pro-sexe.

Ça dépend de quel sexe parce qu'entre le male gaze, la culture du viol, la toxic masculinity et consorts il ne reste plus grand chose de la sexualité masculine.

Les féministes accordent aux femmes le droit d'avoir du sexe féministe, c'est pour ça qu'elles luttent par exemple contre les femmes sexy dans les médias, la pornographie et la prostitution (et les sexbots).

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Il y a 5 heures, Lancelot a dit :

Ça dépend de quel sexe parce qu'entre le male gaze, la culture du viol, la toxic masculinity et consorts il ne reste plus grand chose de la sexualité masculine.

Les féministes accordent aux femmes le droit d'avoir du sexe féministe

 

Une sexualité féministe qui tend vers une sexualité sans homme.

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