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Le rapport que je viens de citer montre une corrélation entre l'absence d'éducation égalitaire dans les foyers (conservatisme religieux, répartition sexuée des tâches, représentations symboliques) et une plus forte propension aux violences.

 

 Si ce genre de choses s'observe souvent d'homme à femme c'est parce que les hommes sont globalement plus forts que les femmes, et que l'individu qui a la personnalité de "bully" choisi naturellement une victime plus faible.

 

Une étude montrant que le taux de violences conjugales augmente avec la masse musculaire de l'auteur(e) serait la bienvenue.

 

 

Edit : je viens d'y penser : peut-être faut-il chercher du côté de la testostérone ?

 

 

 

 

 

 

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Mais c'est quoi la définition de grands frères ? Ex jeune à problème repenti ?

Quant à voir le Maghreb comme méditerranéen c'est vrai et faux dans le même temps, pour avoir des origines espingouines je vois bien ce qui rapproche le Maghreb de l'Espagne mais étant allé en Italie (Toscane et Sicile principalement) j'y ai bien plus vu de similitudes avec l'Espagne (avec des différences bien sûr), me faisant dire que la religion compte. Le concept de famille étendue me semble moins prégnant en méditerranée non maghrébine ou tout au moins différent : cela n'a pas manqué une fois ma famille installée en France.

Possible aussi que les conditions de départ jouent : pour mes grands parents le billet pour la France était un billet aller simple, aucun compte de fées sur un possible retour au village. Et surtout le départ de l'Espagne était volontaire. Alors qu'il me semble avoir lu que chez certains algériens c'était plus ou moins forcé, sans même parler de la politique française très arrangeante à contre courant d'ailleurs de l'avis des français en ces temps-là (regroupement familial ?).

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Si je résume :

- les parents des jeunes arabes et jeunes noirs n'ont jamais posé de problème.

- leurs enfants eux, aux yeux de certains, posent problème.

Donc :

- arabe = pas de problème.

- arabe + né en France = problèmes parfois.

La conclusion : ce qui pose problème, c'est "arabe". Je dois avoir un problème de compréhension.

Et comme le dit Johnnieboy : allez à Alger, et passez une main au cul d'une femme. Ce sera votre dernier geste.

 

+1 pour l'inférence bancale, mais pas pour la partie défense des femmes dans les pays arabes.

Il n'y a pas que les viols dans la vie, les yeux tout bleu ou les mâchoires cassées c'est aussi fréquent et pour le coup elle ne portent jamais plainte.

J'ai entendu des histoires de chirurgien là-bas, ça vaut peau de balle statistiquement parlant, mais le ressenti c'était que les femmes ne savent vraiment pas prendre les escaliers, ou alors que les meubles bougent tout seuls.

Et effectivement, qu'un blanc touche une femme arabe, c'est un peu certain que ce sera son arrêt de mort, mais l'inverse j'ose en douter. C'est pas la défense de la femme, dans le sens qu'on peut très bien imaginer la même réaction si le blanc s'en prenait à un autre homme ou à une chèvre.

Par exemple lors des manifs au Caire, il ne s'est trouvé personne pour faire la peau aux violeurs de journalistes en pleine action. J'ai jamais entendu de femmes violées à Paris lors de manifs, n'y d'émeutes d'ailleurs.

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Euh, zoubida n'est pas noire non plus, et comme dit haykal il y a peu de chances qu'une noire soit la soeur ou la cousine d'une connaissance si le mec vit dans une communauté maghrébine. Donc la parole se délie. Le racisme, c'est pas que entre blancs et le reste du monde, hein.

 

Le comportement des racailles envers les femme n'est pas motivé par le racisme, ils abordent n'importe quelle fille qui leur semble accessible avec la même vulgarité. 

 

 

 

Une étude montrant que le taux de violences conjugales augmente avec la masse musculaire de l'auteur(e) serait la bienvenue.

 

La faiblesse n'est pas forcément physique, il s'agit également du caractère. 

 

Celui qui veux s'en prendre à quelqu'un choisira plus faible que lui, c'est une simple évidence. Bien plus évident que des liens de "corrélations" qui ne démontrent strictement rien. 

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"Arabe", de nos jours, ici et maintenant, c'est un groupe linguistique et culturel. C'est un terme de même niveau que "occidental" si tu veux, pas du même niveau que "blanc".

 

Hmm en général je préfère différencier les deux cultures, mais bon.

 

Je suis tombé la dessus récemment : L'Islam et l'arabisation de la Berbérie et en passant sur les bugs d'OCR, le texte est assez intéressant à lire.

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Je suis désolé que tu aies pris pour tout le monde, tu sais l'amitié que je te porte.

Cependant j'en ai marre, marre, marre, de lire que les BJORNS comme on dit si poétiquement sur ce forum posent problème pour ceci, posent problème pour cela, etc.

Enfin bref.

C'est compréhensible.

Mais ce n'est absolument pas ce que j'ai dit.

J'ai répondu au "c'est une question de faiblesse et de manque d'éducation", par "non, parfois il y a mauvaise éducation à cause du contexte" (un ensemble de facteurs, dont l'origine, la religion, la culture, mais aussi d'autres choses).

Et tu as fait un raccourci, en lisant ce que tu voulais lire.

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La distinction a du sens en Afrique du Nord, mais pas en banlieue où les gens ne sont ni de culture arabe, ni de culture berbère, mais bien de culture occidentale.

 

Non, pas vraiment, ne seraient-ce que les habitudes alimentaires, cf le phénomène du halal. Ce n'est ni la culture occidentale, ni la culture du bled, mais celle de la banlieue, à savoir un amalgame dans une sous-culture tribale et urbaine.

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Les types dont on parle, ces jeunes (ou moins jeunes) qui emmerdent les filles ont un sex appeal égal à zéro. Ils n'ont pas un bon taf, ils n'ont pas d'argent, ils n'ont pas de tchatche, ils ne savent pas draguer les filles.

Ils n'ont aucune chance d'avoir une meuf un jour. Absolument aucune. Et ils en sont frustrés parce que en plus ils le savent.

 

Un ban de filles genre thon, avec un QI d'huitre et sans un rond, ben j'ai jamais entendu qu'elles aient emmerdé un pauvre petit gars qui rentrait peinard chez lui après une soirée ciné.

Expliquez moi la différence, et je précise que je suis pas du genre féministe-goudou-mal-baisée

 

Il existe des petits cumulards du handicap, mental, intellectuel, culturel, tout ceci forme un joli gloubi boulga explosif bien entassé dans un bel ensemble bétonné ou des quartiers abandonnés par les mieux lotis.

Mais il me semble tout de même que la culture méditerranéenne a de la femme une vision plus traditionnelle, dirons nous, où le mâle est bien dominant et a à ce titre des prérogatives plus ou moins importantes 

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Un ban de filles genre thon, avec un QI d'huitre et sans un rond, ben j'ai jamais entendu qu'elles aient emmerdé un pauvre petit gars qui rentrait peinard chez lui après une soirée ciné.

 

Tu vas rire, mais ça m'est déjà plus ou moins arrivé. (c'est juste l'exception qui confirme la règle :mrgreen:)

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Non, pas vraiment, ne seraient-ce que les habitudes alimentaires, cf le phénomène du halal. Ce n'est ni la culture occidentale, ni la culture du bled, mais celle de la banlieue, à savoir un amalgame dans une sous-culture tribale et urbaine.

 

Non, à moins de réduire la culture au mode de consommation de la viande. La culture des banlieue appartient à la culture occidentale. En France elle peut être mêlée à quelques ajouts du bled, mais ces ajouts sont mineurs.

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Et maintenant, les anecdotes. Un jour dans le métro, un jeune blanc s'assoit près de moi. Il avait une tête de victime.

Arrivent deux jeunes arabes, qui s'assoient près de nous. L'un d'eux s'adresse au blanc en lui disant qu'il avait vraiment une tronche de cake. Le petit blanc rougit (il devait flipper, alors qu'on était en plein jour et qu'après tout il n'avait affaire qu'à un malpoli). Du coup en bon redresseur de tort, j'interviens :

Chitah : "Ce n'est vraiment pas très gentil ce que vous venez de dire"

Arabe 1: "bah pourquoi".

Chitah :online2long: "Hé bien vous vous adressez à quelqu'un qui ne vous a rien demandé en des termes très désobligeants"

Arabe 1 : "Bah quoi, vas-y, droit d'opinion quoi"

Chitah : "Liberté d'expression vous voulez dire"

Arabe 2 : "Là il t'a cassé le mec, ha ha ha"

Arabe 1 : "y m'a surtout cassé la tête celui-là, allez vient cousin on se casse"

Chitah : "Au revoir jeunes gens"

Arabe 2 : "Ouais vas-y au revoir monsieur"

Au fond ça illustre bien un décalage, mais entre introvertis et extravertis. Si il n'y avait pas eu un Chitah pour répondre aux deux "agresseurs" dans un langage d'extraverti ça aurait pu moins bien finir : l'introverti s'offense qu'on s'adresse cavalièrement à lui alors qu'il n'a rien demandé, l'extraverti s'offense qu'on ne daigne même pas lui répondre.

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Sans déconner ? Raconte !

 

Rhoo tout de suite :mrgreen:

 

Ça devait être en 95 ou 96, je sortais du lycée avant la fin des cours du coup c'était plutôt vide dans la rue et derrière moi à une dizaine de mètre il y avait trois filles plus âgées (jamais vues au lycée), le genre tartine de maquillage, fringues bien voyantes et proto-pseudo-parler-de-banlieue, qui marchaient dans le même sens. Dès qu'elles m'ont remarqué elles ont commencé à parler de moi bien assez fort pour être sûr que j'entende, et j'y ait eu droit tout le long de la rue (et elle est longue).

 

Je te passe les détails sur le contenu de leur discussion, mais bon sur un point elles avaient raison : j'ai de belles fesses  :icon_wink: (de l'avis de toutes les filles que j'ai connu). Depuis je sais un peu ce que peut ressentir une jolie fille qui suscite des commentaires désobligeants à tous les coins de rue.

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à moins de réduire la culture au mode de consommation de la viande. La culture des banlieue appartient à la culture occidentale. En France elle peut être mêlée à quelques ajouts du bled, mais ces ajouts sont mineurs.

 

Non, c'est autre chose, d'ailleurs le halal ne se limite pas à la consommation de viande. Cette autre identité vaut aussi pour les moeurs, les structures familiales, linguistiques (on y parle peu de langues européennes), religieuses, musicales, etc. La banlieue c'est la banlieue, avec ses frontières, ses codes propres. Si c'était le cas, on ne parlerait pas de multiculturalisme, la question de la cohabitation ne serait pas si pressante, on nous bassinerait moins avec le vivre-ensemble. La faute en revient comme le disait Ventura, à la perte d'attractivité et de crédibilité des moeurs occidentales en voie de lopettisation.  

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Le comportement des racailles envers les femme n'est pas motivé par le racisme, ils abordent n'importe quelle fille qui leur semble accessible avec la même vulgarité. 

Il existerait selon eux même, une protection  contre cette forme de drague un peu abusive, à savoir l'habillement pudique. (voile pas de jupe pas de maquillage)

Ce qui est d'ailleurs vraiment amusant car les femmes les plus maquillées et soignées que j'ai pu connaître étaient arabes justement (pas forcément maghrébine d'ailleurs).

C'est vraiment un cocktail fameux entre frustrations/fantasmes chez ces paumés.

J'imagine aussi très bien que les règles d'inférence à la con auxquelles Chitah faisait allusion peuvent très bien émerger chez eux.

Femme blanche pas voilée => femme blanche est une pute. Une fois fois arrivée à ce stade de la déduction toute les dérives racistes sont envisageables. Je ne vois pas d'ailleurs ce qui pourrait être un frein à ces raisonnements, hormis une bonne paire de claque et s'échapper du milieu dans lequel ils baignent.

 

Et concernant le nombre de viols enregistré en Suède ou autre pays nordique, ça ne m'étonnerait pas qu'ils aient le taux de déclaration le plus élevé.

Les femmes ne se laissent pas faire là bas, au contraire de certain pays comme le Maroc (sauf à passer par le suicide) où la tradition a fini par "régler" le problème par le mariage. (Assagne d'un côté vs Amina de l'autre)

Cf ce que je disais sur les journalistes violées au Caire vs les chances d'un homme blanc de s'en sortir vivant après avoir pincés les fesses d'une algéroise.

Même si l'algéroise appréciera sans doute la correction infligée au goujat, je n'imagine pas la même chose arriver à un algérois qui aurait pincé les fesses d'une parisienne sans attache locale en visite.

 

Et par attache je ne pense pas à famille nécessairement (ce qui reviendrais à dire de souche ou non), je pense par exemple à une fille qui bosserait dans un café pour ses études à Alger le fait d'être connue du quartier, de faire partie des meubles. Dans ce cas je peu très bien imaginé que les hommes la défendent comme une autochtone, pour peu qu'elle ne passe pas pour une traînée.

 

Tout ça s'en parler des chutes d'escaliers inopportunes.

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Non, c'est autre chose, d'ailleurs le halal ne se limite pas à la consommation de viande. Cette autre identité vaut aussi pour les moeurs, les structures familiales, linguistiques (on y parle peu de langues européennes), religieuses, la musique, etc. La banlieue c'est la banlieue, avec ses frontières, ses codes propres.

 

En ce cas on est bien loin de la culture banlieusarde, le banlieusard de base est bien loin dans son comportement, ses moeurs et son système de valeur du dévot musulman. Les quelques éléments empruntés à la culture du bled n'ont rien de structurels, il s'agit au mieux d'esthétique. 

 

Si c'était le cas, on ne parlerait pas de multiculturalisme, la question de la cohabitation ne serait pas si pressante, on nous bassinerait moins avec le vivre-ensemble.

 

Parler de multiculturalisme est effectivement une erreur. Les bas-quartiers parisiens du 19ème siècle possédaient un langage, des moeurs et une vison du monde qui leur était propres, mais ils étaient une émanation de l'occident, tout comme le ghetto ethnique américain est une émanation occidentale, tout comme son équivalent français qui en est l'imitation via la culture rap et le cinéma est une émanation occidentale.

 

La faute en revient comme le disait Ventura, à la perte d'attractivité et de crédibilité des moeurs occidentales en voie de lopettisation.  

 

A ce propos il faut bien se rendre compte que si un petit blanc a une probabilité non négligeable de se faire agresser ce n'est pas parce qu'il est blanc mais parce qu'il parait faible. Le réflexe de la bande de prédateurs urbains n'est pas "il est blanc, on va se le faire" mais bien "c'est une fiotte, on va se le faire".

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Parfois, même en pantalon et sans maquillage, on se fait emmerder. Comme quoi, le critère n'est pas d'avoir l'air abordable.

Il suffit d'avoir une poitrine généreuse, ou une bouche pulpeuse, ou de jolies fesses, ou même rien de tout cela mais de tomber un jour de grande frustration.

Le critère serait donc plutôt "j'ai envie de me la faire / qu'elle me fasse une pipe / etc."

Et avec la bonne éducation, ce genre de choses ne se disent pas à voix haute brutes de décoffrage.

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Il existerait selon eux même, une protection  contre cette forme de drague un peu abusive, à savoir l'habillement pudique. (voile pas de jupe pas de maquillage)

Ce qui est d'ailleurs vraiment amusant car les femmes les plus maquillées et soignées que j'ai pu connaître étaient arabes justement (pas forcément maghrébine d'ailleurs).

C'est vraiment un cocktail fameux entre frustrations/fantasmes chez ces paumés.

J'imagine aussi très bien que les règles d'inférence à la con auxquelles Chitah faisait allusion peuvent très bien émerger chez eux.

Femme blanche pas voilée => femme blanche est une pute. Une fois fois arrivée à ce stade de la déduction toute les dérives racistes sont envisageables. Je ne vois pas d'ailleurs ce qui pourrait être un frein à ces raisonnements, hormis une bonne paire de claque et s'échapper du milieu dans lequel ils baignent.

 

Ce n'est pas lié à la race, les nanas arabes ou noire des banlieues qui s'habillent comme des pou... avec frivolité se font traiter comme des pouffes de la même façon.  

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Parfois, même en pantalon et sans maquillage, on se fait emmerder. Comme quoi, le critère n'est pas d'avoir l'air abordable.

 

Parce qu'une femme en pantalon et sans maquillage n'a pas l'air abordable ? 

Allons, la notion d'abordabilité est toute relative, et il ne faut pas négliger le contexte. Une bande qui n'a pas vu passé de nanas de la journée pourra se "jeter" sur la première venue, même si elle n'est pas très alléchante.

 

Le critère serait donc plutôt "j'ai envie de me la faire / qu'elle me fasse une pipe / etc."

 

Je pense que ce critère s'applique à la totalité des femmes :D

 

Et avec la bonne éducation, ce genre de choses ne se disent pas à voix haute brutes de décoffrage.

 

Eh bien voilà, mais qui les éduque ? Pas leurs parents, c'est certain. Ednat, pis la télé, et le pron sur le net.

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Ce n'est pas lié à la race, les nanas arabes ou noire des banlieues qui s'habillent comme des pou... avec frivolité se font traiter comme des pouffes de la même façon.

Et puis il y a une différence entre une robe élégante et une tenue de chaudasse ; différence qui a l'air fort peu intégrée.

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Parce qu'une femme en pantalon et sans maquillage n'a pas l'air abordable ?

Allons, la notion d'abordabilité est toute relative, et il ne faut pas négliger le contexte. Une bande qui n'a pas vu passé de nanas de la journée pourra se "jeter" sur la première venue, même si elle n'est pas très alléchante.

Eh bien voilà, mais qui les éduque ? Pas leurs parents, c'est certain. Ednat, pis la télé, et le pron sur le net.

C'est ce que je dis : ça n'a rien à voir avec le fait d'être accessible ; c'est dû au fait qu'ils croient pouvoir prendre tous ce qu'ils veulent.

Je dis que comme personne ne les éduque, ils se laissent imprégner par l'exemple de ceux qui traitent les femmes comme de la merde .

Je ne nie pas le manque d'éducation initiale, je dis qu'il laisse la porte grande ouverte pour tous les mauvais exemple.

Tous ceux qui ne sont pas éduqués ne tournent pas comme ça : certains trouvent dz bons modèles.

Les mecs qui se comportent comme ça en ont trouvé, des modèles. Des mauvais.

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Shoto met le doigt sur le noeud du problème.

Les types dont on parle, ces jeunes (ou moins jeunes) qui emmerdent les filles ont un sex appeal égal à zéro. Ils n'ont pas un bon taf, ils n'ont pas d'argent, ils n'ont pas de tchatche, ils ne savent pas draguer les filles.

Ils n'ont aucune chance d'avoir une meuf un jour. Absolument aucune. Et ils en sont frustrés parce que en plus ils le savent.

 

Ah bah mince alors, j'ai voulu dire exactement le contraire. :online2long:

 

Quand j'étais au collège, c'était les chahuteurs qui avaient le plus de succès avec les filles. La misère sexuelle se trouvait plutôt du coté des mecs respectueux.

2e chose : A cette époque, Internet était encore confidentiel, on n'était donc pas "abreuvés de porn". Le post de H.Rearden est donc doublement à coté de la plaque.

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En ce cas on est bien loin de la culture banlieusarde, le banlieusard de base est bien loin dans son comportement, ses moeurs et son système de valeur du dévot musulman. Les quelques éléments empruntés à la culture du bled n'ont rien de structurels, il s'agit au mieux d'esthétique. 

 

 Les bas-quartiers parisiens du 19ème siècle possédaient un langage, des moeurs et une vison du monde qui leur était propres, mais ils étaient une émanation de l'occident, tout comme le ghetto ethnique américain est une émanation occidentale, tout comme son équivalent français qui en est l'imitation via la culture rap et le cinéma est une émanation occidentale.

 

Sociologie de comptoir, ne serait-ce que rapportée au critère linguistique et à l'expérience courante dans les quartiers. 

Ce qui a toujours existé, c'est la relégation des classes populeuses vers les faubourgs. Pour le reste, si tu as lu Zola et les romanciers naturalistes ce dont je doute vu ton aversion à la lecture, ce qui caractérisait la banlieue (qui ne s'appelait pas encore comme ça), mais aussi la province, était l'imitation des moeurs parisiennes, pas le rejet ni la revendication d'une identité communautaire propre. Les immigrés bretons, aveyronnais et auvergnats essayaient de dissimuler leur accent étranger. A part les faubourgs les plus crasseux autour du canal de l'Ourq ou la porte de la Chappelle, la banlieue avait plutôt bonne réputation au XIXè, et le bourgeois parisien venait s'y promener le dimanche.

 

Je n'ai pas parlé du dévot musulman, en tout cas on y voit le même islam d'importation qui se développe actuellement dans le maghreb. Mais tout cela nous éloigne du sujet "féminisme et sexisme imaginaire".

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C'est ce que je dis : ça n'a rien à voir avec le fait d'être accessible ; c'est dû au fait qu'ils croient pouvoir prendre tous ce qu'ils veulent.

 

Ce n'est pas être, c'est sembler. 

 

Je dis que comme personne ne les éduque, ils se laissent imprégner par l'exemple de ceux qui traitent les femmes comme de la merde .

Je ne nie pas le manque d'éducation initiale, je dis qu'il laisse la porte grande ouverte pour tous les mauvais exemple.

Tous ceux qui ne sont pas éduqués ne tournent pas comme ça : certains trouvent dz bons modèles.

Les mecs qui se comportent comme ça en ont trouvé, des modèles. Des mauvais.

 

Voui.

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