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Ce n'est pas ce qui est dit.

 

 De toutes façons H16, on est passés de "c'est de la voyance et de la PNL" à "c'est plus pathétique qu'un mec qui va aux prostituées."  Il ne s'agit plus de "ça marche ou ça marche pas", il ne s'agit plus de "c'est de la PNL".

  Ca demanderait d'étayer, de dire quel auteur utilise la PNL, dans quel livre... ou même de relater l'expérience de quelqu'un qu'ils connaissent et qui a déjà essayé, et a donné son avis.  Mais pour ça, il faudrait admettre qu'on ne sait pas quelque chose, et faire preuve d'ouverture d'esprit. 

 

   "Les plus petits esprits ont les plus gros préjugés". V.H

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De toutes façons H16, on est passés de "c'est de la voyance et de la PNL" à "c'est plus pathétique qu'un mec qui va aux prostituées." Il ne s'agit plus de "ça marche ou ça marche pas", il ne s'agit plus de "c'est de la PNL".

Ca demanderait d'étayer, de dire quel auteur utilise la PNL, dans quel livre... ou même de relater l'expérience de quelqu'un qu'ils connaissent et qui a déjà essayé, et a donné son avis. Mais pour ça, il faudrait admettre qu'on ne sait pas quelque chose, et faire preuve d'ouverture d'esprit.

"Les plus petits esprits ont les plus gros préjugés". V.H

C'est comme le communisme, il faut l'avoir vécu ou entendre la parole de ceux qui l'ont vécu pour comprendre que c'est de la merde en théorie comme en pratique. Sinon c'est une théorie qui est bien hein.

"Les idiots sont vraiment bêtes"

C.Tron

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C'est comme le communisme, il faut l'avoir vécu ou entendre la parole de ceux qui l'ont vécu pour comprendre que c'est de la merde en théorie comme en pratique. Sinon c'est une théorie qui est bien hein.

"Les idiots sont vraiment bêtes"

C.Tron

 

 

   A la différence du communisme, savoir séduire marche! Comme savoir vendre. A l'opposé du communisme, ça repose sur le consentement des deux parties, donc, ta comparaison ne tient pas. 

 

 Et je connais des gens qui ont vécu en pays communistes, ils en disent du mal. Qui connais-tu qui a acheté ou lu un bouquin de séduction? En as-tu lu un seul? 

 

   Je me demande bien quel genre de conseils tous ces "anti" que vous êtes, donneriez à quelqu'un qui n'a pas confiance en lui, s'y prend mal, et ne sait pas y faire avec les femmes. Quelle serait votre alternative?

La critique, c'est facile, mais, vous proposez quoi alors?  

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Ils ne font même plus semblant :

Le Monde.fr - L’égalité femmes-hommes loin d’être une priorité financière en France

Un rapport, intitulé « Où est l’argent pour les droits des femmes ? », va être présenté jeudi après-midi à la ministre des droits des femmes, Laurence Rossignol.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/09/15/l-egalite-femmes-hommes-loin-d-etre-une-priorite-financiere-en-france_4997855_3224.html

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En 2016, le budget consacré au programme pour l’égalité entre les sexes dépendant du ministère était de 26,9 millions d’euros, soit en augmentation de 6,7 % par rapport l’année précédente.

Cependant, si « l’on soustrait les 2,8 millions de transferts venant d’autres ministères, le budget dédié à ces actions [baisse] en réalité de près de 1,5 million par rapport à 2015 », avait souligné le député Christophe Sirugue (PS) à l’automne dernier, lors de la présentation du projet de budget, rappelle l’étude.

 

Gnié ? Le débit augmente mais comme il vient de tuyaux secondaires c'est mal ? Est-ce cela que les vieux mystiques qui vivent au sommet des montagnes appellent le Pipeau ?

 

 

En 2016, tous ministères confondus, l’Etat a ainsi consacré 0,05 % de son budget à l’égalité femmes-hommes, soit 221,2 millions d’euros. C’est tout de même presque cinq fois plus qu’en 2005.

 

"Loin d'être une priorité financière."

 

Face à cette situation, le rapport propose la création d’un fonds national alimenté par 1 % des rentrées fiscales annuelles issues de la lutte contre l’évasion.

 

Rolfmao. La proposition sans rapport avec le sujet, tirée du chapeau. On sent que ceux qui ont pondu le rapport ont de la suite dans les idées. Il fallait trouver une proposition avant d'envoyer à l'imprimerie, comme un lycéen qui cherche désespérément quoi dire dans la conclusion de sa dissert' ? La prochaine fois qu'ils proposent directement de mettre 120 M€ sur la table. ça ne marchera pas plus, mais ça sera moins ridicule.

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Je tombe sur un article expliquant que le classement des écoles d'ingénieur a changé.

Donc, pour noter les meilleurs on fait en fonction de :

- Nombre de startups créées. Ok.

- Salaire annuel brut à la sortie. Ok, c'est le marché.

- Nombre de doubles diplômes étrangers. Ok.

- Nombre de publications scientifiques. Ok.

- Part de filles représentées dans le cycle ingénieur.WUT??

 

Donc (clic)

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Est-ce du marxisme?

Du marxisme culturel (même si ça fait hurler les puristes du marxisme) dans le sens où ça applique la rengaine marxiste collectiviste et émancipationniste. En gros la société peut se comprendre en termes d'une division entre un groupe dominant et un groupe dominé, cette domination étant une constante prenant de multiples formes au cours de l'Histoire, et il convient de renverser cette tendance pour arriver à un état d'égalité "réelle" où les deux groupes seraient indiscernables en attaquant tant que c'est possible le groupe dominant et en distribuant des privilèges au groupe dominé.

Il n'y a plus qu'à remplacer groupe dominant/groupe dominé par bourgeois/ouvrier, homme/femme, blanc/coloré, cis/trans...

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Y avait un texte sur Marcuse (inventeur du marxisme culturel en gros) assez interessant (bien qu'apologétique) ici, mais il n'est plus dispo maintenant:

http://bibliobs.nouvelobs.com/idees/20160831.OBS7224/ce-que-la-gauche-doit-a-herbert-marcuse-par-andre-gorz.html

 

Y a ça sinon:

 

"Herbert Marcuse se réfère au jeune Marx et aux Manuscrits de 1844. Le capitalisme ne se réduit pas un système économique. Marx observe également une logique marchande et une aliénation qui s’étendent sur tous les domaines de la vie. L’aliénation renvoie à trois dimension. Le travailleur semble séparé de son produit. Il n’a aucun contrôle sur le processus de production. Il n’est pas propriétaire des moyens de production et doit se contenter de se vendre lui-même. Cette dépossession résulte donc de la propriété privée et du salariat. Ensuite, le travail renvoie à une activité mécanique, instrumentale. Le travail demeure routinier et se distingue d’une activité ludique et créative.

Herbert Marcuse estime que ces Manuscrits s’apparentent à « de nouvelles sources pour établir les fondements du matérialisme historique ». La réflexion de Marx permet de mettre en avant les concepts de travail, d’aliénation, de dépassement, d’État, de propriété, de famille."

"En 1955, Herbert Marcuse propose une réflexion freudo-marxiste. A partir des outils de la psychanalyse, il estime que seul un changement de société peut permettre un épanouissement individuel et collectif. Il montre que « l’ordre social établi est principalement à l’origine du mal-être névrotique individuel comme du mal-être général », résume Claude Dupuydenus. Une nouvelle société doit se fonder sur la construction d’un autre principe de réalité aussi peu répressif que possible. Cette nouvelle société doit laisser libre court au principe de plaisir.

Contrairement à Freud, Herbert Marcuse estime que l’ordre social n’est pas naturel et auto-entretenu. Comme Marx, il estime que des forces sociales ont intérêt à maintenir l’ordre établi. La répression apparaît comme le résultat d’un rapport de force historique. Herbert Marcuse pense qu’il est possible de s’appuyer sur l’imagination, au croisement de la sensualité et de la rationalité pour attaquer l’ordre social. Il insiste sur la force libératrice de l’art et de l’esthétique."

http://www.zones-subversives.com/2015/07/herbert-marcuse-philosophe-radical.html

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J'avais lu L'Homme unidimensionnel de Marcuse, il y a quelque années, et ça m'avait paru remarquablement faible. Et bien peu marxiste.

Marcuse fait partie d'une tendance de la gauche anticapitaliste qui considère que la "société de consommation" a neutralisé le potentiel subversif de la classe ouvrière, et qu'il faut en conséquence attaquer le capitalisme sur le plan "qualitatif", en le critiquant comme aliénant (plutôt que source d'exploitation), cause de misère sexuelle, de pollution, etc. Du coup, les concepts de base de l'analyse marxiste (classes, rapports de production, socialisme, etc), ont tendance à s'évaporer au profit du "désir", censément révolutionnaire. Tout ça aura un certain succès en 68 et ensuite, mais à long terme, force est de constater que l'injonction à être créatif et libéré n'a pas renversé le capitalisme. C'est le début du triomphe des créatifs culturels et "minorités" sur la figure homogène, unitaire et majoritaire de la classe ouvrière (reniée car restée sous la direction du PCF. Il y a d'ailleurs un texte du Castoriadis marxiste de l'époque qui montre bien ce déplacement:

 


« Il est capital de le dire fortement et calmement : en Mai 68 en France le prolétariat industriel n’a pas été l’avant-garde révolutionnaire de la société, il en a été la lourde arrière-garde. Si le mouvement étudiant est effectivement parti à l’assaut du ciel, ce qui a plaqué par terre la société à cette occasion a été l’attitude du prolétariat, sa passivité à l’égard de ses directions et du régime, son inertie, son indifférence par rapport à tout ce qui n’est pas revendication économique. Si l’horloge de l’histoire devait s’arrêter à cette heure, il faudrait dire qu’en Mai 68 la couche la plus conservatrice, la plus mystifiée, la plus prise dans les rets et les leurres du capitalisme bureaucratique moderne a été la classe ouvrière, et plus particulièrement sa fraction qui suit le P.C. et la C.G.T. Sa seule visée a été d’améliorer sa situation dans la société de consommation. Même cette amélioration, elle n’imagine pas qu’elle puisse l’accomplir par une activité autonome. Les ouvriers se sont mis en grève, mais en ont laissé aux organisations traditionnelles la direction, la définition des objectifs, le choix des méthodes d’action. Tout naturellement, ces méthodes sont devenues des méthodes d’inaction. Lorsque l’histoire des événements sera écrite, on découvrira dans telle ou telle entreprise, dans telle ou telle province, une tentative d’un secteur ouvrier d’aller au-delà. Mais l’image massive, sociologique, est nette et certaine : les ouvriers n’ont même pas été physiquement présents. »

L’expérience de l’aliénation dans le travail, celle de l’usure de la société de consommation, le prolétariat n’est plus le seul à la faire : elle est faite par toutes les couches de la société. On est même en droit de se demander si cette expérience n’est pas faite de façon plus aiguë hors du prolétariat proprement dit. La saturation par rapport à la consommation, le dévoilement de l’absurdité de la course vers toujours plus, toujours autre chose, peuvent être plus facilement acquis par des catégories moins défavorisées quant au revenu. L’aliénation dans le travail, l’irrationalité et l’incohérence de « l’organisation » bureaucratique peuvent être plus facilement perçues par des couches qui travaillent hors de la production matérielle ; dans celle-ci, en effet, la matière elle-même impose une limite à l’absurde bureaucratique, cependant que celui-ci tend à devenir infini dans les activités non-matérielles qui ne connaissent aucun sol, aucune butée matériels.
[…] Il faut briser les cadres traditionnels de la réflexion sociologique (y compris marxiste), et dire : dans les sociétés modernes la jeunesse est comme telle une catégorie sociale sous-tendue par une division de la société à certains égards plus importante que sa division en classes. […] La division pertinente devient aujourd’hui celle entre ceux qui acceptent le système et ceux qui le refusent. » -Cornelius Castoriadis, Mai 68 – La Révolution anticipée. Texte diffusé sous forme de brochure par des anciens camarades de Socialisme ou Barbarie à la fin du mois de mai, repris avec des textes d’Edgar Morin et de Claude Lefort dans La Brèche, Fayard, juin 1968.



Bref, en exégérant un peu, on peut dire que c'est la naissance de la ligne Tera Nova, qui allait faire les beaux jours de la gauche non-communiste (jusqu'à aujourd'hui).

Le freudo-marxisme a influencé les "nouveaux mouvements sociaux" (et donc la sociologie de ces mouvement, Touraine, etc), et un certain nombre d'auteurs (je trouve significatif que Gorz rende hommage à Marcuse, Gorz ayant lui-même produit une critique du marxisme qui m'a influencé à une certaine époque), dont les post-modernistes, l'écologisme et le féminisme...On peut considérer que le gauchisme culturel vient de là (cf: http://oratio-obscura.blogspot.fr/2016/09/le-gauchisme-culturel-des-origines-au.html). Mais ça n'a effectivement pas grand-chose à voir avec le marxisme, et d'ailleurs les marxistes n'ont pas manqué de critiquer tout cela (Clouscard en particulier et avant tous le monde. Ou, de nos jours, Boltanski, Isabelle Garo... voire même Michéa, mais là on descend plusieurs étages dans l'abîme du nawak).

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Sans doute pour ça que la gauche se permet de mépriser l'ouvrier, ce beauf rustre, ignorant, raciste, alcoolique, consanguin etc etc.
Sauf s'il est exotique. Là, quelle noblesse !

 

Le peuple ayant déçu la gauche, la gauche veut changer de peuple.

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