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Le viol sera toujours différent des autres crimes dans la mesure où contrairement  à eux, il faut en prouver l'existence même. J'ai tendance à penser que le nombre de plaintes et de condamnations ne sera jamais optimal pour ces raisons. 

 

Marrant quand même que de Haas ne fait au final que pointer des déficits au niveau du régalien. 

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il y a 40 minutes, Rincevent a dit :

Je propose à ta sagacité cet intéressant article de Cathy Young sur le sujet, traduit par Peggy Sastre (oui je fais du name-dropping, mais l'article vaut vraiment le coup d'être lu).

 

http://www.slate.fr/story/92579/fausses-accusations-viol

 

Petit manque dans l'article tout de même, on n'y parle pas des divorces (et notamment que l'accusation, souvent fausse, d'attouchements sur les enfants est un peu la manière la plus sale et la plus efficace de se débarrasser de son ex-mari... alors que les vrais attouchements et mauvais traitements sont très souvent le fait non du père, mais du beau-père avec lequel madame refait sa vie).

 

 

Déjà lu mais merci. L'article du Guardian que j'ai linké va dans le même sens.

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il y a 1 minute, Cortalus a dit :

Personnellement, j'ai vécu la procédure du dépôt de plainte jusqu'au procès dans une affaire de viol où j'étais partie civile. La phase de dépôt de plainte et d'instruction n'a pas été facile. Même bien attentionnés, les enquêteurs n'étaient pas bien dégourdis et il y a eu des bourdes, sans conséquence pour la suite de l'instruction mais pénibles pour nous. Evidemment, il y a bien sûr eu les saloperies racontées sur notre compte par les proches du violeur, qui l'ont toujours soutenu. Saloperies sur lesquelles le juge d'instruction a dû enquêter, évidemment.

 

Cependant, ce n'est pas le traitement de la plainte qui m'a choqué, ni la longueur de la procédure judiciaire (trois ans seulement : c'était un dossier simple), mais la réponse pénale, tout bonnement incompréhensible. C'était un cas de correctionnalisation, donc le maximum encouru était de dix ans de prison ferme. Le violeur a été condamné à quatre ans dont deux ans de sursis, soit un résiduel de prison ferme de deux ans. Or, à deux ans ou moins, il n'y a pas d'incarcération : c'est aménagement de peine automatique. Pour un viol sur mineur de trois ans par personne ayant autorité, le condamné est donc reparti libre.

 

Notre avocat nous a expliqué que les juges (en tout cas dans ce tribunal correctionnel, je ne sais pas comment cela se passe ailleurs) n'envoyaient jamais en prison quelqu'un dont c'était la première condamnation, sauf s'il avait fait de la préventive. Or, la demande de détention préventive avait été refusée à l'époque (car le violeur avait avoué et fait part de ses regrets, avant de tout rétracter une fois rentré dans ses pénates). Compte tenu de la pratique de ce tribunal, la possibilité d'une condamnation à de la prison ferme réelle avait donc été fermée par le juge des libertés et de la détention, trois ans avant le procès. Pour l'anecdote, le procès avait lieu un lundi. Le lundi, c'est le jour où l'on programme les audiences correctionnelles dont on sait à l'avance qu'elles ne donneront pas lieu à un mandat de dépôt, nous a expliqué l'avocat. "Comme ça, les gendarmes n'ont pas besoin de venir."

 

Par rapport à la justice française, mes attentes étaient au plus bas, mais je peux vous assurer que je suis tombé de haut.

 

Bref, tout ça pour dire que même si la phase de dépôt de plainte et d'instruction a été assez traumatisante, ce n'était en fait rien à côté du soufflet que l'on s'est pris au moment du verdict. Chaque fois que ma fille me demande si son bourreau est bien derrière les barreaux, car elle a toujours peur qu'il revienne lui faire mal, chaque fois que je dois lui mentir, je revis ce moment de sidération absolue.

 

Il y a des parents qui stressent quand vient le moment d'expliquer à leurs enfants comment on fait les bébés, ou de leur révéler que le père Noël n'existe pas. Moi, je me prépare au jour où je devrais avouer à ma fille que je lui ai menti pendant des années, que son violeur, condamné par la justice française, n'a en fait jamais mis les pieds en prison, qu'il n'a jamais cessé de vivre à cinq minutes de chez nous, où il accueille régulièrement ses petites filles.

 

Si les militants "féministes" s'intéressaient réellement au vécu des victimes de viol, ils commenceraient par demander une réforme de la justice et du système pénal, pas des formations à la con qui ne changeront rien sauf pour les associations qui empochent les euros. Qu'on commence par mettre les violeurs condamnés en prison.

 

En tout cas, si jamais vous ou l'un de vos proches avez le malheur d'être victimes d'un viol, n'oubliez pas : pour vous c'est une tragédie, pour la justice, c'est un lundi.

 

Voilà. Merci.

Et, encore une fois, rien à voir avec une culture du viol, le patriarcat ou que sais-je. On est dans la faute professionnelle, la gestion médiocre, le je-m'en-foutisme. 

 

Ce dont la justice a besoin, ce n'est pas d'infractions pénales plus lourdes, ni de formation (idéologique, bien entendu). C'est (i) de virer les infractions inutiles pour traiter convenablement les infractions essentielles, (ii) revoir l'exécution des peines et (iii) avoir un management efficient (c'est-à-dire assurant une bonne administration de la justice).

La correctionnalisation, c'est une pratique qui interpelle : je comprends le choix du procureur de préférer la certitude d'une infraction du type "attouchement sur mineur" à l'incertitude des assises (cela se justifie, en opportunité). Il n'en reste pas moins que ça interpelle quelque peu.

 

Ton post me donne envie de devenir magistrat.

  • Yea 7
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La hiérarchie des peines à la française c'est le truc incompréhensible qui fait que moins de gens ont confiance en elle (avec la longueur des procédures), on entend très souvent des histoires comme ça et par contre les prisons n'ont jamais été aussi surchargées... allez comprendre.

  • Yea 3
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il y a 1 minute, Flashy a dit :

La correctionnalisation, c'est une pratique qui interpelle : je comprends le choix du procureur de préférer la certitude d'une infraction du type "attouchement sur mineur" à l'incertitude des assises (cela se justifie, en opportunité). Il n'en reste pas moins que ça interpelle quelque peu.

 

Ton post me donne envie de devenir magistrat.

 

On a beaucoup hésité sur la correctionnalisation. L'avocat ne nous a pas caché que s'il y avait condamnation, elle serait certainement plus lourde aux assises. Mais qu'il y avait compte tenu du dossier un risque pas négligeable d'acquittement par un jury, alors que la condamnation était certaine en correctionnel. Mais si on nous avait dit clairement quelle était le barème du TC, on aurait probablement pris une autre décision. L'impossibilité d'obtenir une information sur le barème des peines réellement prononcées empêche en la matière toute décision informée. Et c'est l'ensemble de la profession (juges, parquet, avocats) qui fait bloc pour empêcher l'accès du public à ce genre de renseignements. Au nom du "chaque cas est particulier", on refuse aux parties civiles comme aux inculpés une information qui pourrait éclairer leurs choix dans la procédure.

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il y a une heure, Cortalus a dit :

mais la réponse pénale, tout bonnement incompréhensible.

 

Non seulement incompréhensible mais dangereuse pour la société. Lorsque la justice n'est plus rendue, l'individu ne peut-être qu'être tenté d'appliquer la loi naturelle façon état de nature lockéen.

 

A titre de comparatif historique, en Égypte pharaonique, le viol était puni de mort.

 

Nous on laisse sortir des gens et on fout d'autres dedans pour avoir fumer de l'herbe.

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il y a 22 minutes, Fagotto a dit :

La hiérarchie des peines à la française c'est le truc incompréhensible qui fait que moins de gens ont confiance en elle (avec la longueur des procédures), on entend très souvent des histoires comme ça et par contre les prisons n'ont jamais été aussi surchargées... allez comprendre.

 

Il y a clairement un très gros travail à accomplir sur ce point.
Une chose qui m'a toujours choqué, c'est le fait d'aggraver les peines sil'infraction a été commise sur internet. 

Genre, montrer ta teub à des CP, c'est moins grave si tu le fais en vrai que sur internet. WTF.

 

Quant aux prisons surchargées, il faut bien voir que le problème n'est pas vraiment l'immense sévérité de la justice mais (i) l'existence d'infractions ne nécessitant pas, à mon sens, une réponse pénale du type "prison", réponse qu'on devrait réserver à certains délits et aux crimes et (ii) à la présence massive de bon gros cas sociaux qui font tout pour finir en taule. 

 

Une dépénalisation massive, ou à tout le moins une "contraventionnalisation" couplée au rétablissement de la peine de mort et au développement de peines alternatives pour certains délits mineurs, ça ferait le ménage. Ajoutons à cela une refonte complète de l'exécution des peines, notamment JLD et exécution systématique des peines prononcées, y compris en deçà de deux ans. C'est conceptuellement (et en pratique...) dégueulasse de voir que le peuple français prononce une peine qui va immédiatement être aménagée (...contredite?) par un autre juge, et ce dans la foulée. C'est désastreux. 

 

il y a 17 minutes, Cortalus a dit :

On a beaucoup hésité sur la correctionnalisation. L'avocat ne nous a pas caché que s'il y avait condamnation, elle serait certainement plus lourde aux assises. Mais qu'il y avait compte tenu du dossier un risque pas négligeable d'acquittement par un jury, alors que la condamnation était certaine en correctionnel. Mais si on nous avait dit clairement quelle était le barème du TC, on aurait probablement pris une autre décision. L'impossibilité d'obtenir une information sur le barème des peines réellement prononcées empêche en la matière toute décision informée. Et c'est l'ensemble de la profession (juges, parquet, avocats) qui fait bloc pour empêcher l'accès du public à ce genre de renseignements. Au nom du "chaque cas est particulier", on refuse aux parties civiles comme aux inculpés une information qui pourrait éclairer leurs choix dans la procédure.

 

Le souci, c'est que le barème va varier d'un tribunal à l'autre, voire parfois d'un magistrat à l'autre.
C'est terrible. Mais nécessaire, je le crains : oui, il faut tenir compte des éléments du dossier, de la personnalité du prévenu, du contexte, tu es obligé d'adapter la peine, et les sensibilités vont nécessairement différer...

 

il y a 11 minutes, Cortalus a dit :

Il y a un passage de Kahneman dans Système 1 / Système 2 sur cette problématique. Il concluait que des algorithmes produiraient des peines plus équitables pour les condamnés avec une hiérarchie plus compréhensible par le citoyen.

 

Mais en France on a le dogme de l'individualisation des peines.

 

Mouais. J'attends de voir la tronche des algorithmes. 

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il y a 7 minutes, Flashy a dit :

Une dépénalisation massive, ou à tout le moins une "contraventionnalisation" couplée au rétablissement de la peine de mort et au développement de peines alternatives pour certains délits mineurs, ça ferait le ménage.

:o ooooh, tu crois ?

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il y a 29 minutes, Cortalus a dit :

 

Il y a un passage de Kahneman dans Système 1 / Système 2 sur cette problématique. Il concluait que des algorithmes produiraient des peines plus équitables pour les condamnés avec une hiérarchie plus compréhensible par le citoyen.

 

Mais en France on a le dogme de l'individualisation des peines.

 

Mon point de vue c'est que le concept d'individualisation des peines est mal compris en France.

On condamne trop en fonction de l'individu et non principalement en fonction de l'acte. Chaque acte est different ce qui doit amener à des peines différentes mais les qualités de l'individu qui commet l'acte ne devrait pas compter. La seule chose qui devrait compter c'est s'il est responsable pénalement.

 

Ca amène à deux aberrations à mon avis : l'exonération sur fond de psychanalyse à deux balles des pires crimes et une justice plus sévère avec les pauvres ce qui ne les aide pas et peut-être pas assez sévère avec ceux qui sont plus riches ce qui donne le sentiment de passe droits qui n'aident pas au respect de l'institution et de la loi.

  • Yea 1
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Il y a 5 heures, Rincevent a dit :

Les hommes ont une pulsation de testostérone toutes les 20 minutes.

 

Le féminisme ignorantin et anti-scientifique, merci, mais non merci. 

 

 

Hmm, je m’y connais pas mais, il me semble que tu lui donnes raison, non ? Le rythme n’est pas le même. De plus, les hormones ne sont pas les mêmes, non plus. L’effet doit donc être différent, non ?

il y a 25 minutes, Bisounours a dit :

:o ooooh, tu crois ?

 

 

Ça changerait quoi ? À part tuer des innocents ou ne pas être appliqué et donc être inefficace.

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il y a 2 minutes, Johnnieboy a dit :

Ça changerait quoi ? À part tuer des innocents ou ne pas être appliqué et donc être inefficace.

C'est  @Flashy qui évoque le rétablissement de la peine de mort ; je suis contre cette idée, même si à titre perso, je crèverais d'envie de zigouiller celui qui ferait du mal à ma fille

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9 hours ago, Largo Winch said:

 

Je découvre ce concept de "charge mentale" que je trouve intéressant, et quand on s'intéresse à ce qu'en dit une psychiatre c'est tout de suite moins idiot que "l'inégale répartition des tâches ménagères".

http://madame.lefigaro.fr/bien-etre/charge-mentale-bd-emma-interview-psychiatre-aurelia-schneider-livre-070218-146891

 

- Définie comme "le coût psychologique et physiologique d’une accumulation de charges",

- cela concerne aussi bien les hommes que les femmes,

- mais hommes et femmes vivent différemment cette charge mentale car :

  • ils n'ont pas la même façon de gérer le temps
  • ils ne placent pas leur priorité aux mêmes endroits (par exemple les hommes souffrent nettement moins du "perfectionnisme domestique")

- cette façon de vivre différemment cette charge mentale s'explique par :

  • des différences de profils et de caractères (perfectionnisme, intolérance à l'incertitude, appréciation du temps...)
  • une différence physiologique : la chronobiologie.
    "Nous avons dans notre tête des sécrétions d’hormones déclencheuses du système d’ovulation, et nous avons des pulsations toutes les 60 ou 90 minutes, selon le moment du cycle. Ce que les hommes n’ont pas, évidemment. Dans nos têtes, nous avons donc des sous-comptages très subtils, et nous sommes rythmées d’une façon très méthodique. (...) Finalement, nous sommes amenées à tout calculer, prévoir, en permanence, nous passons notre vie à avoir cette lecture de l‘environnement. Cela pourrait éventuellement expliquer une prédisposition à la charge mentale."

 

 

J'ai discuté avec une copine enseignante hier. Elle disait qu'au cours des générations d'élèves qui se succédaient, elle avait noté que la proportion d'élèves ne supportant pas le stress et/ou angoissaient pour peu de chose augmentait considérablement chaque année.

Je me pose la question du fait que si tout cela n'est pas dû au fait qu'on n'ait plus de problèmes sérieux : savoir si on va pouvoir manger ce soir, comment on va boucler la fin du mois, pas de guerre dans les tranchées en prévision, etc. Est-ce que du coup on ne s'invente pas des gros problèmes et on fait pas des montagnes de choses qui à la base sont quand même particulièrement minimes.

 

7 hours ago, Johnnieboy said:

 

 

La formulation est outrancière mais, à part ça, je suis plutôt d’accord avec le reste. Dans une perspective étatiste, il fau reconnaître que plusieurs milliers de viols par an, c’est un problème de santé publique. Et que si une si petite proportion de violeurs sont condamnés, c’est qu’il y a encore beaucoup de prévention et de formation à faire.

 

Souci majeur dans ses déclarations :

- Elle mélange "violences sexuelles" et "violences sexistes". Qui sont quand même deux notions particulièrement différentes. Et déjà, ça c'est une erreur non seulement grossière mais en plus idiote.

> Ras le bol de voir parler des violences sexuelles et sexistes envers les femmes. Soit tu es contre les violences sexuelles en général, soit tu fais clairement de la discrimination. Tous les exemples donnés ne portent jamais que sur les femmes. => Les féministes à l'heure actuelle font quand même clairement de la discrimination et en ont au global clairement rien à faire du problème des "violences sexuelles".

 

Franchement, si on arrêtait d'emmerder les dealers et consommateurs de drogue et si on arrêtait d'emmerder les gens parce qu'ils ont pas payé leur parcmètre ou parce qu'ils roulaient à 95km/h au lieu de 90km/h on ferait gagner beaucoup de temps aux forces de l'ordre pour s'occuper réellement de ce type de problèmes qui pour le coup sont vraiment graves.

 

7 hours ago, Johnnieboy said:

 

 

À ton avis, le taux de faux témoignages concernant les viols est estimé à combien ?

 

Je pense que c'est plus haut que ce qu'on peut penser au final.

  • Yea 1
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il y a 3 minutes, Citronne a dit :

J'ai discuté avec une copine enseignante hier. Elle disait qu'au cours des générations d'élèves qui se succédaient, elle avait noté que la proportion d'élèves ne supportant pas le stress et/ou angoissaient pour peu de chose augmentait considérablement chaque année.

Pour moi il y a clairement un processus de domestication en cours (depuis très longtemps),

qui s'applique à ceux qui veulent bien se le voir appliquer,

et il est normal que l'application constante de ce processus génère des bestioles de plus en plus anxieuses.

Tout le système législatif tend à ce but : qu'un maximum de personnes aient peur d'absolument tout et n'importe quoi, comme cela l'état n'a qu'à piocher dans ce qui lui pète pour se poser en protecteur.

Il n'y a pas de complot pour arriver à ça, mais on y arrive quand même.

On prend n'importe quel risque, même avec une proba à 10^-9, avec le barnum quivabien on le fait passer dans la tête des gens devant des risques qui sont à 10^-6 ou plus.


Petite digression : il y avait l'autre jour une discussion sur la domestication du loup en chien. Combien de générations ?

Et bien il se trouve qu'un forestier à fait l'expérience (au siècle dernier ou avant) avec des renards.

à chaque portée, il a gardé les plus apprivoisables.

8 générations ont suffi pour obtenir des renards domestiques.

 

Comme bien des phénomènes biologiques, les comportements humains suivent des gaussiennes.

Mon sentiment est que les ventres des gaussiennes deviennent plus gros avec simultanément un resserrage autour de la moyenne. Bref des pentes de gaussiennes plus raides.

Mais cela ne se fait pas au détriment des queues de distribution.

Le truc c'est que l'écart entre les populations du ventre et des queues/bords s'accroît.

C'est pour cela que l'état n'est pas prêt de disparaître.

Par contre, est-ce qu'il est tenable pour les individus qui refusent le sort "moyen" d'être toujours plus l'objet d'un traitement de cheptel ?

Perso j'en doute, et c'est pour cela que je vois se profiler une séparation physique des 2 populations.

Déjà en cours bien sûr, mais qui va s'accentuer et finir pas se traduire macroscopiquement.

 

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il y a 5 minutes, Rübezahl a dit :

Et bien il se trouve qu'un forestier à fait l'expérience (au siècle dernier ou avant) avec des renards.

à chaque portée, il a gardé les plus apprivoisables.

8 générations ont suffi pour obtenir des renards domestiques.

 

Ce sont des chercheurs russes et l'expérience est toujours en cours. 

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9 minutes ago, Bisounours said:

Ce n'est plus du féminisme, mais de la bitophobie 

Selon Caroline de Hass (hole )

 


Read more at http://www.atlantico.fr/pepites/pour-caroline-haas-homme-deux-ou-trois-est-agresseur-3308858.html#dJOQzqSfzZ8lOVI8.99

 

 

Il lui manque quelques éléments de mathématiques et un peu plus en terme de QI...

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apres elle s'etonne de se faire chier dessus.

Je sais quoi repondre: une femme sur trois est une hysterique.En plus je sais que c'est probablement plutot trois sur trois.

 

En tout cas cela eclaire a merveille les intentions des feministes qui sont de 1.mettre tous les hommes dans le meme panier 2.en faire des coupables, peu importe le raisonnement. 3.pedaler en arriere des qu'on parle des hommes non blancs.

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En même temps c'est un raccourci super courant.

 

Tu te fais agresser une fois par un arabe, tu te fais agresser 2 fois par un nouarabe. Ben la 3ème fois beaucoup auront mis tous les arabes dans le même sac et certains politiques vont reprendre ça pour leur carrière.

 

Là ils remplacent arabe par homme, mais le raisonnement est le même.

 

La différence c'est qu'il y a des -isme qui passent mieux que d'autres selon les sensibilités politiques.

 

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ces femmes veulent le flot constant d'attentions de la part des hommes qu'elles ont deja, mais juste de la part d'hommes beaux et sympas et qui ont des carrieres.

Quand une youtubeuse se plaint d'agression simplement parce qu'un vieil homme a ose lui dire bonjour, on peut effectivement dire que tous les hommes sont des agresseurs.Je me demande d'ailleurs dans quelle mesure les feministes les plus militantes ne font pas cela par jalousie de celles qui se font draguer.Ca sonne pathetique mais je rencontre des comportements de ce niveau constamment chez mes collegues adultes feminines

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Il y a 1 heure, Bisounours a dit :

pour être honnête, il m'est arrivée de traverser des zones de turbulences hystérogènes, mais je me suis soignée

Les fameux échauffements climatériques ? :lol:

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