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Le problème de certaines drogues (je pense en particulier aux opiacés) est qu'on les prend, en tout cas en Occident, essentiellement pour fuir. Elle ne sont pas plus dangereuses "en soi", mais le public qui est attiré vers celles-ci est incomparablement plus à même de devenir dépendant.

Cela me semble aussi être un point important. Les cas les plus graves sont ceux de personnes ayant déjà des problèmes auparavant. Ces problèmes étant souvent dus à un manque de volonté et donc corrélés avec un risque de dépendance.

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On en est à réinventer le terme courant de drogue. De toute évidence quand on l'évoque, on pense à la cocaïne pas à l'alcool. Dans un pays où des millions de personnes en boivent régulièrement à tous les repas, est-ce si idiot que ça ? Je ne crois pas.

Prends n'importe quelle étude de toxicologie et tu verras que le terme est utilisé sans distinction. Ce n'est pas moi qui réinvente, c'est la propagande gouvernementale. Et ce, dans le but de faire oublier aux gens que oui, tôt ou tard, on va supprimer leur whisky. La prohibition a été annulée en 1933 ; aujourd'hui, elle ne le serait pas. Regardez comment les fumeurs de tabac sont traités. On fera votre bien que vous le vouliez ou non.

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On en est à réinventer le terme courant de drogue. De toute évidence quand on l'évoque, on pense à la cocaïne pas à l'alcool. Dans un pays où des millions de personnes en boivent régulièrement à tous les repas, est-ce si idiot que ça ? Je ne crois pas.

Ce que tu appelle réinventer moi j'appelle ca pousser la définition dans ses retranchement pour voir quel est le vide conceptuel béant qu'il y a derriere.

En l'occurence la propagande étatique.

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Ce que tu appelle réinventer moi j'appelle ca pousser la définition dans ses retranchement pour voir quel est le vide conceptuel béant qu'il y a derriere.

En l'occurence la propagande étatique.

Comme avec la prostitution, où pousser le raisonnement revient à admettre qu'un mariage d'intérêt fait de la dame une pute.

Harald, nous raisonnons sans doute par rapport à nos connaissances et à notre expérience, mais toi aussi, et si je faisais ton boulot, je verrais aussi sans doute les effets négatifs de tout, tu ne crois pas ?

Sur des centaines de milliers de consommateurs de cannabis, combien sont des junkies à 2 de tension ?

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Harald, nous raisonnons sans doute par rapport à nos connaissances et à notre expérience, mais toi aussi, et si je faisais ton boulot, je verrais aussi sans doute les effets négatifs de tout, tu ne crois pas ?

Sur des centaines de milliers de consommateurs de cannabis, combien sont des junkies à 2 de tension ?

Sans vouloir faire mon prétentieux, j'ai la faiblesse de croire qu'en 17 ans de carrière j'ai certainement pu observer plus de cas (de diverses classes sociales) que la grande majorité des membres de ce forum. Sur le fond, je pourrais être d'accord avec les zélateurs de la dépénalisation, cependant être libre cela implique d'avoir non seulement une certaine maturité mais également le minimum de connaissances nécessaires pour pouvoir peser ses choix. Force est de constater que c'est loin d'être le cas pour bon nombre de nos contemporains. Il sera certainement possible d'arriver à ce résultat, encore que je sois plutôt sceptique, mais cela demandera pas mal d'années avant d'y arriver. Pour l'heure, dépénaliser cela reviendrait à donner un flingue à un gosse de 8 ans. Et puis la drogue, c'est loin de se limiter au cannabis.

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Sans vouloir faire mon prétentieux, j'ai la faiblesse de croire qu'en 17 ans de carrière j'ai certainement pu observer plus de cas (de diverses classes sociales) que la grande majorité des membres de ce forum. Sur le fond, je pourrais être d'accord avec les zélateurs de la dépénalisation, cependant être libre cela implique d'avoir non seulement une certaine maturité mais également le minimum de connaissances nécessaires pour pouvoir peser ses choix. Force est de constater que c'est loin d'être le cas pour bon nombre de nos contemporains. Il sera certainement possible d'arriver à ce résultat, encore que je sois plutôt sceptique, mais cela demandera pas mal d'années avant d'y arriver. Pour l'heure, dépénaliser cela reviendrait à donner un flingue à un gosse de 8 ans. Et puis la drogue, c'est loin de se limiter au cannabis.

Le problème, c'est que si c'est vrai (et je n'en doute pas vraiment), c'est la notion même de majorité (et de responsabilité) légale qu'il faut revoir, pas uniquement des ajustements a la marge sur les armes ou la drogue, ou le droit des contrats pour protéger les inconscients.

Or si je suis personnellement de l’avis que la majorité de la population est devenue (par assistanat et par culture) dépendent et « mineure », le pouvoir de déclarer un homme irresponsable est tellement dangereux que je ne le donnerai a personne.

Ne serait il pas plus juste de prétendre que tout le monde sauf les exceptions d’évidence : pré-ados, attardés mentaux graves, est responsable, même si il ne s’agit que d’une fiction légale ?

Je vais encore paraitre paranoïaque, mais qui d’entre nous ne pourrait pas être déclaré irresponsable par quelques-uns (je ne sais pas moi, pour négationnisme climatique par exemple…)

Pour revenir au sujet brulant, et au risque d’être tactiquement un gros Etatiste, une dépénalisation du cannabis de production locale (mais en conservant les frontières ‘étanches’ qui sont nécessaires a nos accords internationaux) et une légalisation des drogues ‘dures’, mais avec une forte taxe sur celles-ci (comme sur l’alcool) permettrai aux consommateurs ‘propres’ de continuer leur consommation privée (je pense en particulier aux milliers de consommateurs de cocaïne qui, bien que majoritairement des riches connards, ne font de mal a personne par leur consommation) tout en limitant fortement les revenus des gros importateurs et en libérant les policiers pour poursuivre les dealers des drogues les plus dangereuses ou le rapport épave/utilisateur mature est nettement plus indubitablement en direction des épaves.

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Le problème, c'est que si c'est vrai (et je n'en doute pas vraiment), c'est la notion même de majorité (et de responsabilité) légale qu'il faut revoir, pas uniquement des ajustements a la marge sur les armes ou la drogue, ou le droit des contrats pour protéger les inconscients.

Or si je suis personnellement de l’avis que la majorité de la population est devenue (par assistanat et par culture) dépendent et « mineure », le pouvoir de déclarer un homme irresponsable est tellement dangereux que je ne le donnerai a personne.

C'est un problème complexe qui dépasse largement le strict cadre du droit. Très schématiquement, dans les société traditionnelles (païennes puis chrétiennes) la jeunesse suivait un parcours initiatique où l'on acquiérait les outils nécessaires pour appréhender et comprendre le monde, se structurer et de fait trouver quelle était sa place au sein de ce dernier. La sécularisation a balayé tout cela et le dernier rituel qui permettait de se confronter avec l'autorité, la vie en groupe et donc l'expérimentation/négociation qui la fonde a été abandonné. Par ailleurs la société de consommation n'arrange rien ayant évacué depuis longtemps la morale au profit de l'utilitarisme.

Partant de là, est-il si étonnant que bon nombre de jeunes sombrent soit dans l'alcool, soit dans la drogue ? Est-il si étonnant que la responsabilité soit quelque chose d'aussi peu répandu ?

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Partant de là, est-il si étonnant que bon nombre de jeunes sombrent soit dans l'alcool, soit dans la drogue ? Est-il si étonnant que la responsabilité soit quelque chose d'aussi peu répandu ?

Eh oui, pas de responsabilité sans liberté. (interdictions toussa quoi)

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Sans vouloir faire mon prétentieux, j'ai la faiblesse de croire qu'en 17 ans de carrière j'ai certainement pu observer plus de cas (de diverses classes sociales) que la grande majorité des membres de ce forum. Sur le fond, je pourrais être d'accord avec les zélateurs de la dépénalisation, cependant être libre cela implique d'avoir non seulement une certaine maturité mais également le minimum de connaissances nécessaires pour pouvoir peser ses choix. Force est de constater que c'est loin d'être le cas pour bon nombre de nos contemporains. Il sera certainement possible d'arriver à ce résultat, encore que je sois plutôt sceptique, mais cela demandera pas mal d'années avant d'y arriver. Pour l'heure, dépénaliser cela reviendrait à donner un flingue à un gosse de 8 ans. Et puis la drogue, c'est loin de se limiter au cannabis.

La solution à ce dilemme est simple et j'en avais parlé au début du fil: poser une limite d'âge au-dessous de laquelle l'acquisition de cannabis et autres drogues sera interdite.

Le problème, c'est que si c'est vrai (et je n'en doute pas vraiment), c'est la notion même de majorité (et de responsabilité) légale qu'il faut revoir, pas uniquement des ajustements a la marge sur les armes ou la drogue, ou le droit des contrats pour protéger les inconscients.

Or si je suis personnellement de l’avis que la majorité de la population est devenue (par assistanat et par culture) dépendent et « mineure », le pouvoir de déclarer un homme irresponsable est tellement dangereux que je ne le donnerai a personne.

Ne serait il pas plus juste de prétendre que tout le monde sauf les exceptions d’évidence : pré-ados, attardés mentaux graves, est responsable, même si il ne s’agit que d’une fiction légale ?

Je vais encore paraitre paranoïaque, mais qui d’entre nous ne pourrait pas être déclaré irresponsable par quelques-uns (je ne sais pas moi, pour négationnisme climatique par exemple…)

Pour revenir au sujet brulant, et au risque d’être tactiquement un gros Etatiste, une dépénalisation du cannabis de production locale (mais en conservant les frontières ‘étanches’ qui sont nécessaires a nos accords internationaux) et une légalisation des drogues ‘dures’, mais avec une forte taxe sur celles-ci (comme sur l’alcool) permettrai aux consommateurs ‘propres’ de continuer leur consommation privée (je pense en particulier aux milliers de consommateurs de cocaïne qui, bien que majoritairement des riches connards, ne font de mal a personne par leur consommation) tout en limitant fortement les revenus des gros importateurs et en libérant les policiers pour poursuivre les dealers des drogues les plus dangereuses ou le rapport épave/utilisateur mature est nettement plus indubitablement en direction des épaves.

Encore une fois, je constate que je ne suis pas le seul à entretenir un certain dégoût pour les consommateurs de ces produits :icon_up: …tout en défendant leurs droits! Oui, c'est exactement ce que je vois comme avantages (qui semblent en l'occurrence largement surpasser les coûts); des forces de police moins prises pouvant s'attaquer à des problèmes plus graves, au final un démantelement (qui ne sera jamais total, nous le savons tous) de l'industrie narcotique illégale (il faudrait pour cela que la légalisation des drogues se fasse sur une échelle autrement plus étendue que le seul Hexagone)… En revanche, j'ai du mal à suivre votre raisonnement sur les taxes pour les drogues dures; si celles-ci sont élevées, n'y aurait-il pas plutôt une forte incitation à la production pour des acteurs illégaux qui peuvent proposer des produits détaxés sur des marchés noirs totalement hors du circuit économique officiel? Pour finir, je partage votre inquiétude sur la fixation arbitraire du critère de responsabilité, j'en tremble à la pensée de ce qui pourrait se produire si une autorité placée au-dessus des individus devait déterminer celle-ci…

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Eh oui, pas de responsabilité sans liberté. (interdictions toussa quoi)

Je peux te trouver des pays avec des interdictions encore plus sévères et une jeunesse "saine". Il y a autre chose, et c'est probablement le fait qu'on met la défonce sur le compte du "vivre libre" et du "cool". Et ça c'est l'idéologie libertaire.

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Sans vouloir faire mon prétentieux, j'ai la faiblesse de croire qu'en 17 ans de carrière j'ai certainement pu observer plus de cas (de diverses classes sociales) que la grande majorité des membres de ce forum.

Mais en tant que policier, il faut voir avec quel biais - tu as vu ce qui précisément pose problème.

Tu n'as pas vu les jeunes bourgeois en écoles d'ingé qui fument des joints dans leur salon souvent, si?

Pour l'heure, dépénaliser cela reviendrait à donner un flingue à un gosse de 8 ans.

Je ne vois pas comment tu peux sérieusement arriver à cette conclusion. Le cannabis au moins est d'une accessibilité supérieure à celle d'un paquet de marlboro.

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Avec cette logique, il faut interdire tout ce qui est potentiellement dangereux de toute façon.

Ca me fait sincèrement mal au coeur que des gens puissent aspirer à ce type de société.

C'est toi qui est illogique. Pourquoi respecterait-on ton droit de propriété ?

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C'est toi qui est illogique. Pourquoi respecterait-on ton droit de propriété ?

Déjà pourquoi souhaites tu piétiner ma propriété ?

Je sais pas, je me lève pas le matin en me disant "tiens je vais violer ma voisine, ah nan zut c'est interdit je peux pas". :icon_up:

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Je peux te trouver des pays avec des interdictions encore plus sévères et une jeunesse "saine". Il y a autre chose, et c'est probablement le fait qu'on met la défonce sur le compte du "vivre libre" et du "cool". Et ça c'est l'idéologie libertaire.

:icon_up: Pourtant ton pseudo pouvait laisser penser que tu étais du côté des libertaires en ce qui concerne la fumette.

Plus serieusement, la prohibition qui traduit pénalement la politique de contrôle hygiéniste de la population par le gouvernement, relève typiquement d'une idéologie progressiste visant l'amélioration de la société par la santé publique et le système de sécurité sociale. Un corps sain dans un esprit sain, c'est-à-dire corvéable et docile, une jeunesse sportive et immunisée contre les vices, voilà un principe qui émerge des objectifs de la social-démocratie. La prohibition des drogues est une étape incontournable de ce programme, celui de la marche utopique et forcée vers le progrès social.

D'ailleurs les drogues ont circulé pendant des siècles sans que les autorités traditionnelles ne cherchent à réguler ou empêcher ce phénomène aussi vieux que l'humanité. Il y avait une consommation socialement intégrée, plutôt bourgeoise. Ce sont des Etats interventionnistes qui ont instauré ce régime de prohibition et ce contrôle sanitaire au XXè siècle, en faisant exploser les profits pour les mafias et donc la consommation. Les problèmes modernes engendrés par la prolifération de la criminalité liée au trafic, sont des conséquences des politiques modernes de gestion politique de la vie médicale des individus.

Aussi, ça me fait doucement rigoler quand de prétendus conservateurs défendent la prohibition, d'accord en cela avec tous les régimes progressistes.

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D'ailleurs les drogues ont circulé pendant des siècles sans que les autorités traditionnelles ne cherchent à réguler ou empêcher ce phénomène aussi vieux que l'humanité. Il y avait une consommation socialement intégrée, plutôt bourgeoise. Ce sont des Etats interventionnistes qui ont instauré ce régime de prohibition et ce contrôle sanitaire au XXè siècle, en faisant exploser les profits pour les mafias et donc la consommation. Les problèmes modernes engendrés par la prolifération de la criminalité liée au trafic, sont des conséquences des politiques modernes de gestion politique de la vie médicale des individus.

Aussi, ça me fait doucement rigoler quand de prétendus conservateurs défendent la prohibition, d'accord en cela avec tous les régimes progressistes.

Sur le premier point je suis tout à fait d'accord. Seulement il ne faudrait pas occulter que la consommation bougeoise socialement intégrée était le fait d'individus éclairés qui avaient les armes intellectuelles pour peser les conséquences de leurs actes ce qui est très loin d'être le cas à notre époque de consommation de masse.

Mais en tant que policier, il faut voir avec quel biais - tu as vu ce qui précisément pose problème.

Tu n'as pas vu les jeunes bourgeois en écoles d'ingé qui fument des joints dans leur salon souvent, si?

Non seulement j'en connais, mais j'en ai fréquenté un certain nombre durant mon adolescence. J'ai également pu en voir se démolir totalement à l'héroïne et enchaîner les cures de désintox.

Eh oui, pas de responsabilité sans liberté. (interdictions toussa quoi)

C'est plutôt l'inverse : pas de liberté sans responsabilité. Or sans une éducation appropriée, considérer que l'individu est libre cela revient à laisser la bride sur le cou à un ado.

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Sur le premier point je suis tout à fait d'accord. Seulement il ne faudrait pas occulter que la consommation bougeoise socialement intégrée était le fait d'individus éclairés qui avaient les armes intellectuelles pour peser les conséquences de leurs actes ce qui est très loin d'être le cas à notre époque de consommation de masse.

Non seulement j'en connais, mais j'en ai fréquenté un certain nombre durant mon adolescence. J'ai également pu en voir se démolir totalement à l'héroïne et enchaîner les cures de désintox.

Les élites "éclairées" estiment que ce mode de vie est supérieur aux autres, mais jugent que le populo est trop con pour s'y adonner (peut-être est-il doté d'un peu plus de bon sens pour s'y risquer). Donc, "restons entre initiés" se disent-elles, tout en jouant la carte des martyrs de la liberté… alors qu'elles donnent le ton, des plateaux télé aux magazine people et/ou branchés.

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Les élites "éclairées" estiment que ce mode de vie est supérieur aux autres, mais jugent que le populo est trop con pour s'y adonner (peut-être est-il doté d'un peu plus de bon sens pour s'y risquer). Donc, "restons entre initiés" se disent-elles, tout en jouant la carte des martyrs de la liberté… alors qu'elles donnent le ton, des plateaux télé aux magazine people et/ou branchés.

Je parlais des élites à l'époque où ce terme voulait encore dire quelque chose. Je vous parle d'un temps que les moins de 120 ans ne peuvent pas connaître… :icon_up:

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C'est plutôt l'inverse : pas de liberté sans responsabilité. Or sans une éducation appropriée, considérer que l'individu est libre cela revient à laisser la bride sur le cou à un ado.

C'est ca, quand le peuple sera bien formaté, on pourra le libérer. Ca me fait penser à quelque chose.

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C'est ca, quand le peuple sera bien formaté, on pourra le libérer. Ca me fait penser à quelque chose.

Il ne te parle pas du peuple, mais des mineurs.

Ne prête pas à autrui tes vices de raisonnement (cf. ton "les ennemis du libéralisme sont ceux qui ne le connaissent pas").

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C'est ca, quand le peuple sera bien formaté, on pourra le libérer. Ca me fait penser à quelque chose.

Qui parle de formater ? Je constate simplement qu'à une époque ancienne où l'on faisait encore ses humanités il y avait bien plus d'esprits libres aptes à penser par eux-mêmes que de nos jours où parce que l'on est capable de réciter ad nauseam n'importe quelle vulgate un tant soit peu originale (dans le sens ou elle sort du mainstream, je ne parle pas de véritable originalité, hein) on se sent obligé d'en faire partager la "substantifique" moelle et on s'imagine libre.

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Qui parle de formater ? Je constate simplement qu'à une époque ancienne où l'on faisait encore ses humanités il y avait bien plus d'esprits libres aptes à penser par eux-mêmes que de nos jours où parce que l'on est capable de réciter ad nauseam n'importe quelle vulgate un tant soit peu originale (dans le sens ou elle sort du mainstream, je ne parle pas de véritable originalité, hein) on se sent obligé d'en faire partager la "substantifique" moelle et on s'imagine libre.

Oui oui c'etait mieux avant :icon_up:

Si comme tu dis à l'époque la jeunesse était bien éduquée, on en serait pas là aujourd'hui :doigt:

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Oui oui c'etait mieux avant :icon_up:

Si comme tu dis à l'époque la jeunesse était bien éduquée, on en serait pas là aujourd'hui :doigt:

C'est à la Renaissance que ça a foiré, à cause de la crème intellectuelle de l'époque : ceux qui voulaient promouvoir un individu souverain et autocentré, imperméable à une réalité autre que ses propres idées. Un peu un ancêtre du libéral et du socialo, quoi.

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Si, un peu quand même vu qu'il refuse le principe d'une légalisation. Il ne dit pas "ah oui mais ça doit être interdit aux mineurs".

Sans vouloir me faire son porte-parole, il me semble plutôt que Harald estimait qu'il y avait plus urgent que cette question de légalisation.

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