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Et vous croyez que les fabricants n'ayant pas de label vont survivre?

Ben oui évidement puisqu'ils auront cette clientèle de junkies (qui à mon avis ne pourrait qu'augmenter avec une légalisation de la drogue mais bon ce n'est qu'un avis perso).

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Ben oui évidement puisqu'ils auront cette clientèle de junkies (qui à mon avis ne pourrait qu'augmenter avec une légalisation de la drogue mais bon ce n'est qu'un avis perso).

Dans un marché libre les prix de la drogue seront bien plus bas que maintenant puisqu'il n'y aura bien moins d'intermédiaires coutant fort cher.

Et donc la différence de prix entre une drogue avec label et sans label sera minime.

Et par conséquent les fabricants n'ayant pas de label ne survivront pas.

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Quand on est bien dépendant et fauché on regarde pas les labels, on prend le premier prix pour avoir sa dose. Point barre.

Ben oui, les alcooliques pauvres ne boivent pas forcément de bons Bordeaux, mais le premier choix est toujours à la fois meilleur marché et plus sain que l'alcool de contrebande mal distillé de la prohibition.

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Dans un marché libre les prix de la drogue seront bien plus bas que maintenant puisqu'il n'y aura bien moins d'intermédiaires coutant fort cher.

Et donc la différence de prix entre une drogue avec label et sans label sera minime.

Et par conséquent les fabricants n'ayant pas de label ne survivront pas.

Dans ce cas là ça devrait être vrai actuellement pour les jambon "label rouge" et les premiers prix alors.

Et quand bien même la différence serait minime (admettons), la dépendance et la "détresse" financière du junkie feront que ces fabricants survivront.

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En fait, je me demande pourquoi on argumente là-dessus.

- Pas de crime sans victime.

- Oui mais la déchéance, les prix, les…

- Pas de crime sans victime.

- Les drogués sont moins productifs et ils sont sales et…

- Pas de crime sans victime.

- Il faut considérer les extrernalités néga…

- Pas de crime sans victime.

- […]

- Pas de crime sans victime!

Ce n'est pas un jugement moral sur le fait de consommer ou non de la drogue mais sur le fait de persécuter des gens qui ne font rien de mal aux autres gens.

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En fait, je me demande pourquoi on argumente là-dessus.

Ce n'est pas un jugement moral sur le fait de consommer ou non de la drogue mais sur le fait de persécuter des gens qui ne font rien de mal aux autres gens.

La victime c'est celui que sa dépendance (prouvée et forte concernant certaines drogues "dures", svp me parlez pas de chocolat) force à acheter sa dose.

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A ce niveau-là nous sommes tous des victimes de nous-mêmes.

Il fallait bien sûr comprendre "sans victime différente de l'auteur de l'action en question".

Mais c'est bien ce qu'il me semblait.

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A ce niveau-là nous sommes tous des victimes de nous-mêmes.

Il fallait bien sûr comprendre "sans victime différente de l'auteur de l'action en question".

Mais c'est bien ce qu'il me semblait.

Donc le toxicomane qui, poussé par le manque, se procure sa dose en est entièrement responsable (je parle de sa énième dose, pas de sa toute première) ? Tans pis si une puissante substance extérieure l'y a contraint ? Et le revendeur qui gagne de l'argent grâce à ce client captif est un entrepreneur comme un autre ?

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Donc le toxicomane qui, poussé par le manque, se procure sa dose en est entièrement responsable (je parle de sa énième dose, pas de sa toute première) ? Tans pis si une puissante substance extérieure l'y a contraint ? Et le revendeur qui gagne de l'argent grâce à ce client captif est un entrepreneur comme un autre ?

La question est plutôt : Pourquoi ce toxicomane a-t-il pris sa première dose, en connaissance de cause ? (Parce qu'aujourd'hui, faut arrêter de la jouer gnan-gnan : tout le monde connaît les effet à court et long terme des drogues…)

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Légaliser un marché pour mieux le contrôler …pas très libéral comme attitude ca.

Quand je dis "contrôle", je m'entends, c'est-à-dire qu'il n'y aura presque plus (inutile de se leurrer nous n'éliminerons jamais l'illégalité dans ce commerce) d'acteurs souterrains dans le sens où cette production se fera au grand jour. De même, je voulais évidemment mentionner une certaine information et des labels éventuels…

C'est un peu hors sujet ce que je vais dire mais …Il faut garder à l'esprit que l'ivresse est (la plupart du temps) un état temporaire qui met à peu prés au même niveau le génie, l'idiot, le réservé ou l'expansif.

On peut pas juger quelqu'un sur un état temporaire.

C'est vrai, en revanche juger quelqu'un qui s'abandonne à cet état temporaire de son plein gré est tout à fait possible.

Il y a des tas de labels de qualité parfaitement privés et légitimes.

Exact.

Dans un marché libre les prix de la drogue seront bien plus bas que maintenant puiqu'il n'y aura bien moins d'intermédiaires coutant fort cher.

Et donc la différence de prix entre une drogue avec label et sans label sera minime.

Et par conséquent les fabricants n'ayant pas de label ne survivront pas.

Entièremment d'accord, les gens souhaitent tout de même un minimum d'information en règle générale…

La question est plutôt : Pourquoi ce toxicomane a-t-il pris sa première dose, en connaissance de cause ? (Parce qu'aujourd'hui, faut arrêter de la jouer gnan-gnan : tout le monde connaît les effet à court et long terme des drogues…)

Ca n'est pas notre problème…

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Donc le toxicomane qui, poussé par le manque, se procure sa dose en est entièrement responsable (je parle de sa énième dose, pas de sa toute première) ? Tans pis si une puissante substance extérieure l'y a contraint ? Et le revendeur qui gagne de l'argent grâce à ce client captif est un entrepreneur comme un autre ?

Captif, peut être, mais de lui même, pas de son dealer (dans la majorité des cas, il y a des cas d'esclavage ou la drogue est utilisée comme moyen de contrôle, mais elle n'est pas utilisée seule), et la dépendance physique c'est très surfait, arrêter brutalement est douloureux, potentiellement dangereux sans aide médicale, mais pas impossible, au contraire, quand la dépendance est uniquement physique les établissements de cure "fermés" fonctionnent très bien.

Ceux qui n'arrêtent pas le font pour deux raison, la première est qu'ils ne le souhaitent pas parce que les effets bénéfiques perçus leurs semblent compenser les effets négatifs, la deuxième est la peur (mal placée en l'occurrence) d'être dénoncé a la police par des personnels médicaux qui pourraient les aider (ce qui peut arriver dans un hôpital public généraliste, mais pas dans une structure d'accueil spécialisée, du moins pas sans une très bonne raison)

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La question est plutôt : Pourquoi ce toxicomane a-t-il pris sa première dose, en connaissance de cause ? (Parce qu'aujourd'hui, faut arrêter de la jouer gnan-gnan : tout le monde connaît les effet à court et long terme des drogues…)

Dans le cas d'une personne informée la raison importe peu finalement (s'est laissé influencer par des "amis", n'a pas voulu voir les risques, etc), on pourrait dire que c'est comme quelqu'un qui contracte un crédit (pour une raison X ou Y) et qui se retrouve plus tard sur-endetté. Sauf que celui qui a signé le crédit savait combien il aurait à rembourser et pour combien de temps, contrairement au toxicomane qui signe une sorte de contrat d'esclavage à vie. Il n'avait qu'a pas signer ?

Ca rejoint le débat sur l'esclavage volontaire (et illimité) pour moi.

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Sauf que celui qui a signé le crédit savait combien il aurait à rembourser et pour combien de temps, contrairement au toxicomane qui signe une sorte de contrat d'esclavage à vie. Il n'avait qu'a pas signer ?

La sortie d'une drogue dure a un cout constant, passer quelques semaines en centre fermé, ce n'est pas a la portée de tout le monde, mais après tout, on peut toujours prendre un crédit :icon_up:

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Captif, peut être, mais de lui même, pas de son dealer (dans la majorité des cas, il y a des cas d'esclavage ou la drogue est utilisée comme moyen de contrôle, mais elle n'est pas utilisée seule), et la dépendance physique c'est très surfait, arrêter brutalement est douloureux, potentiellement dangereux sans aide médicale, mais pas impossible, au contraire, quand la dépendance est uniquement physique les établissements de cure "fermés" fonctionnent très bien.

Arrêter la drogue dans une cure n'est pas pour moi "arrêter seul", et ça coute de l'argent une cure …

Ceux qui n'arrêtent pas le font pour deux raison, la première est qu'ils ne le souhaitent pas parce que les effets bénéfiques perçus leurs semblent compenser les effets négatifs, la deuxième est la peur (mal placée en l'occurrence) d'être dénoncé a la police par des personnels médicaux qui pourraient les aider (ce qui peut arriver dans un hôpital public généraliste, mais pas dans une structure d'accueil spécialisée, du moins pas sans une très bonne raison)

Il n'y a plus de dépendance finalement ?

Celui qui n'arrête pas c'est uniquement par un choix raisonné ?

Quelle drogue crée une dépendance totale dès la première prise ?

Je ne répondrais pas à ca puisque ça va partir inévitablement en comparaison de drogues, de "balancages" successifs d'études contradictoires au visage de l'autre, en "oui comme le chocolat …", etc.

Je te répondrais plutôt : en quoi est-ce important ?

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Ca n'est pas notre problème…

Je me suis mal exprimé : c'est bien ce que je veux dire.

Dans le cas d'une personne informée la raison importe peu finalement (s'est laissé influencer par des "amis", n'a pas voulu voir les risques, etc), on pourrait dire que c'est comme quelqu'un qui contracte un crédit (pour une raison X ou Y) et qui se retrouve plus tard sur-endetté. Sauf que celui qui a signé le crédit savait combien il aurait à rembourser et pour combien de temps, contrairement au toxicomane qui signe une sorte de contrat d'esclavage à vie. Il n'avait qu'a pas signer ?

Ca rejoint le débat sur l'esclavage volontaire (et illimité) pour moi.!

Exact : "Il n'avait qu'à pas signer." Ce n'est pas parce qu'un contrat est flou/imprécis qu'il est invalide pour autant. Si tu signes en connaissance de cause (même floue), c'est ton problème !

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Sauf que celui qui a signé le crédit savait combien il aurait à rembourser et pour combien de temps, contrairement au toxicomane qui signe une sorte de contrat d'esclavage à vie. Il n'avait qu'a pas signer ?

La sortie d'une drogue dure a un cout constant, passer quelques semaines en centre fermé, ce n'est pas a la portée de tout le monde, mais après tout, on peut toujours prendre un crédit :icon_up:

Il n'y a plus de dépendance finalement ?

Celui qui n'arrête pas c'est uniquement par un choix raisonné ?

La dépendence physique, ca veux juste dire qu'on est malade (très, ce n'est pas une petite douleur qu'on peut ignorer facilement) quand on n'en prends pas, pas que la volonté est supprimée, ca rends tres difficile d'arreter seul, mais ca ne rends pas difficile de demander de l'aide.

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Exact : "Il n'avait qu'à pas signer." Ce n'est pas parce qu'un contrat est flou/imprécis qu'il est invalide pour autant. Si tu signes en connaissance de cause (même floue), c'est ton problème !

Ok tu est pour l'esclavage volontaire donc.

La dépendence physique, ca veux juste dire qu'on est malade (très, ce n'est pas une petite douleur qu'on peut ignorer facilement) quand on n'en prends pas, pas que la volonté est supprimée, ca rends tres difficile d'arreter seul, mais ca ne rends pas difficile de demander de l'aide.

"T'avais qu'a pas signer !"

(et la dépendance psychologique …?)

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L'argument utilitariste selon lequel en gros la drogue, c'est mauvais et nuisible à la santé, donc pour maximiser le bonheur collectif il faut l'interdire, ne tient pas la route. Car il n'y a aucune difficulté à se procurer la plupart des produits stupéfiants sur le marché noir, sauf qu'on ne peut jamais connaître la qualité du produit par avance, s'il est frelaté ou bien au contraire trop pur. La plupart des overdoses viennent de là.

Les prohibitionnistes version utilitariste sont donc soit des menteurs, soit de dangereux empoisonneurs publics qu'il faudrait écarter de la société pour le bien de la jeunesse, population la plus exposée aux risques. Du point de vue utilitariste, la prohibition encourage la criminalité et incite nombre de jeunes gens soit à fréquenter des criminels, soit à devenir eux-mêmes membres de réseaux mafieux. Son utilité marginale est faible, comme le montre l'échec des wars on drugs, qui ont fait exploser la consommation depuis qu'elles sont conduites par des Etats interventionnistes pratiquant le fascisme sanitaire.

D'autre part ces poncifs sur les méfaits de "la drogue" comme l'on parle des méfaits du capitalisme, s'inscrit dans la pensée magique et l'animisme primaire. Dans la réalité, il y a des drogues différentes pour des usages différents. On ne peut pas comparer l'usage ethnologique d'un psychotrope hallucinogène, avec celui du camé aux narcotiques ou opiacés. Ni l'usage récréatif du cannabis avec celui d'un gros fumeur de shit, ni celui du cadre dynamique ou du chef d'entreprise usagers de coke. Comme on ne peut comparer un amateur de grands crus classés avec les épaves humaines que sont les alcooliques accros aux alcools supérieurs à 40°.

L'addictologie nous enseigne que tout peut être une drogue, c'est le rapport au produit qui est déterminant dans la conduite addictive.

Je voudrais aussi souligner l'hypocrisie monstrueuse de notre société qui pourchasse les consommateurs comme des criminels, alors même que par son système si généreux de sécurité sociale, la surconsommation d'antidépresseurs en tous genres est encouragée. Cette toxicomanie subventionnée par le trou de la sécu rend accro une partie de la population à des produits dont la dangerosité n'a rien à envier aux produits illicites.

Hypocrisie célébrée dans un reportage récent où l'on voyait des douaniers adipeux, le nez bouffi par l'alcool, se féliciter de leur saisie de cannabis en s'ennivrant comme des soudards devant les caméras. Et ces badernes ont des pouvoirs exorbitants, comme celui de désosser votre voiture sur simple présomption. Sans parler des vie brisées pour de simples passeurs.

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"T'avais qu'a pas signer !"

(et la dépendance psychologique …?)

Depuis quand le fait q'un homme soit trop faible pour resister a ses envies en fait-il une victime ?

Je pense que certaines drogues sont dangereuses, je pense que certains sports sont dangereux, je pense que certains comportements sont dangereux, ce n'est pas une raison pour les interdir.

La dépendence psychologique c'est totalement indépendent du produit, tout peut etre psychologiquement addictif, donc il faut probablement tout interdir…

Et oui, la responsabilité individuelle ça existe,c'est fou hein !

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Quelle drogue crée une dépendance totale dès la première prise ?

D’autant que dépendance "totale", ca ne veux strictement rien dire, il n’y a pas de drogue qui annule la volonté sélectivement est un mythe (supprimer totalement la volonté par contre, oui, mais c’est nécessairement temporaire, ca s’appelle une sédation ou une anesthésie générale).

La drogue qui laisse le consommateur suffisamment fonctionnel pour retourner en acheter a son dealer mais sans possibilité de résister consciemment au besoin, c’est un mythe, si la résistance physique simple est extrêmement difficile du au manque, la résistance accompagné ne l’est pas tant que ça, même si ça pose des vrai problèmes éthiques quand le patient, volontairement interné pour traitement, se met à hurler qu’il faut le libérer, l’esclavage volontaire n’est pas là ou on croit…

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Le sexe?

:icon_up:

La sortie d'une drogue dure a un cout constant, passer quelques semaines en centre fermé, ce n'est pas a la portée de tout le monde, mais après tout, on peut toujours prendre un crédit :mrgreen:

L'individu libre doit assumer ses choix seuls, dans le cas d'un consommateur de drogue, celui-ci a tout à fait le droit d'absorber cette substance, mais qu'il ne réclame pas l'aide de la société pour défaire la boucle qu'il a sciemment commencé, donc d'accord avec toi.

Ok tu est pour l'esclavage volontaire donc.

"T'avais qu'a pas signer !"

(et la dépendance psychologique …?)

On s'en moque… Si l'individu se complaît dans cette servitude qu'il a instauré de son propre gré, cela le regarde, en quoi est-ce notre problème?

Comme on ne peut comparer un amateur de grands crus classés avec les épaves humaines que sont les alcooliques accros aux alcools supérieurs à 40°.

Je ne suis pas le seul à avoir cette opinion, alors! :doigt:

Je voudrais aussi souligner l'hypocrisie monstrueuse de notre société qui pourchasse les consommateurs comme des criminels, alors même que par son système si généreux de sécurité sociale, la surconsommation d'antidépresseurs en tous genres est encouragée. Cette toxicomanie subventionnée par le trou de la sécu rend accro une partie de la population à des produits dont la dangerosité n'a rien à envier aux produits illicites.

+1 Bien vu, les psychotropes sont loins d'être si inoffensifs, d'autant plus qu'ils sont affreusement dispendieux…

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La victime c'est celui que sa dépendance (prouvée et forte concernant certaines drogues "dures", svp me parlez pas de chocolat) force à acheter sa dose.

Il peut assigner sa dépendance à comparaitre devant une cour de justice ? Non ? Bon, alors de deux choses l'une. Soit il a créé lui-même sa dépendance, auquel cas il doit assurer les responsabilités de ses conneries. Soit quelqu'un d'autre a fait de lui un être dépendant, et il peut l'assigner à comparaitre pour empoisonnement.

Quelle drogue crée une dépendance totale dès la première prise ?

Totale je ne dirais pas, mais très forte dès les premières prises, il y a héroïne, crack, méthamphétamine (hors doses médicales), et sans doute d'autres produits.

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Il peut assigner sa dépendance à comparaitre devant une cour de justice ? Non ? Bon, alors de deux choses l'une. Soit il a créé lui-même sa dépendance, auquel cas il doit assurer les responsabilités de ses conneries. Soit quelqu'un d'autre a fait de lui un être dépendant, et il peut l'assigner à comparaitre pour empoisonnement.

Mouais, le coup du tribunal, c'est un peu facile compte tenu que la dépendance en question est illégale. On peut en effet remarquer que les revendeurs de drogue font rarement mention des effets secondaires de leurs produits (la dépendance notamment) tout en profitant de la dépendance en question. Cependant, ce n'est pas en rendant ces contrats clandestins que l'on peut améliorer les choses et moraliser ces pratiques.

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