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Armageddon économique ?


vincponcet

Messages recommandés

Une pensée de liquidation s'est cristallisée dans mon esprit fumeux, peut être le verra-t-on sur les écrans plasma d'ici peu.

Les volumes n'ont jamais été aussi faibles pour un tel rebond. Les seules réserves que j'entrevois sont fédérales, si tu vois ce que je veux dire… :icon_up:

Indeed, +30% avec aussi peu de volume ça ressemble plus à une baudruche qu'autre chose.

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<h1>Toyota affiche sa première perte en 59 ans

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Katsuaki Watanabe, président du constructeur nippon, sera remplacé en juin par Akio Toyoda, le petit-fils du fondateur du groupe. Crédits photo : AP

Le constructeur japonais a perdu 436,9 milliards de yens, soit 3,3 milliards d'euros pour l'exercice 2008-2009. Le groupe avertit que ses résultats pour 2009-2010 devraient s'aggraver.

coeur-.gif C'est un fait marquant pour Toyota. Comme il le craignait, le groupe affiche pour la première fois de son histoire une perte sur un an. Le premier constructeur automobile mondial a annoncé une perte d'exploitation de 461,1 milliards de yens (3,5 milliards d'euros) lors de l'exercice 2008-2009. La perte nette s'élève à 436,9 milliards de yens (3,3 milliards d'euros) pour un chiffre d'affaires en chute de 21,9% sur un an à 20529,6 milliards (155 milliards d'euros). Le groupe tablait sur une perte nette de 350 milliards et un déficit d'exploitation de 450 milliards. En 2007-2008, il avait dégagé un bénéfice net record de 1717,88 milliards de yens (11 milliards d'euros) et un bénéfice d'exploitation de 2270,38 milliards (14 milliards d'euros).

Le groupe explique cette contre-performance par la hausse des prix des matières premières, la flambée du yen et la chute de 15% des ventes mondiales de véhicules sur un an à 7,57 millions d'unités. Les effets de change ont retranché 760 milliards de yens (5,7 milliards d'euros) du résultat d'exploitation. En raison de la chute des ventes et des surcapacités de production, Toyota a revu en baisse ses estimations pour l'exercice 2009-2010.

Des prévisions alarmantes

Le groupe japonais avertit que ses résultats s'enfonceront davantage dans le rouge pour l'exercice en cours. Il anticipe désormais une perte opérationnelle de 650 milliards de yens pour l'exercice clos au 31 mars 2010, une perte nette de 550 milliards et un chiffre d'affaires de 16500 milliards (-19,6% sur un an). Ses ventes mondiales ne devraient atteindre que 6,5 millions de véhicules, à comparer au niveau record de 8,91 millions en 2007-2008. Pour faire face à la crise, son enveloppe consacrée aux investissements va se réduire, passant de 1300 milliards en 2008-2009 à 830 milliards de yens. Le petit-fils du fondateur de l'entreprise Akio Toyoda, 53 ans, qui se trouvera à la tête de Toyota le premier juin, va donc devoir relever de nombreux défis : redresser cette situation tout en évitant un maximum de suppressions d'emplois.

http://www.lefigaro.fr/societes/2009/05/08…e-annuelle-.php

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http://www.latribune.fr/entreprises/indust…-rapproche.html

General Motors : le dépôt de bilan se rapproche

Après Chrysler, le premier constructeur automobile américain pourrait également se placer sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Un scénario qui devient plus probable, selon son directeur général.

Le dépôt de bilan se rapproche pour General Motors, alors que le premier constructeur automobile américain doit présenter avant le 1er juin la nouvelle mouture de son plan de restructuration afin d'obtenir de nouveaux prêts de l'Etat américain. "Au vu des objectifs fixés, il est plus probable que (le groupe) doive atteindre ces objectifs via un processus de faillite", a ainsi expliqué ce lundi le directeur général du groupe, Fritz Henderson.

Le géant de Detroit pourrait donc se placer sous la protection du chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites, qui lui permettrait de se restructurer à l'abri de ses créanciers. "Mais il reste encore une opportunité et une chance pour que (la restructuration) soit faite en dehors d'un tribunal", a nuancé le patron de GM. Fin avril, son homologue Chrysler a été contraint de déposer le bilan, après ne pas être parvenu à trouver un accord avec certains de ses détenteurs de dette obligataire.

Pendant ce temps : http://www.boursorama.com/infos/actualites…b1e1b99a6677bb1

L'article en soi n'est pas très passionnant et très lié à aujourd'hui (baisse attendue du CAC), mais une petite ligne retient mon attention :

La journée sera, comme la veille, pauvre en indicateurs économiques, avant une fin de semaine au contraire très chargée, avec notamment aux Etats-Unis les ventes de détails (mercredi) et la production industrielle (vendredi).

"Ils devraient indiquer que le pire est passé, la consommation des ménages pouvant même surprendre agréablement les investisseurs, notamment grâce à la mise en place des baisses d'impôts du plan Obama", estime le courtier Aurel dans une note.

Or ça, c'est la démonstration type d'un optimisme basé sur du vent (aucun fondamental qui n'a changé réellement sur les 3 derniers mois), exactement à l'identique des précédents rebonds qui se sont tous soldés par une redescente aux enfers. Je dis ça, je dis rien.

Mais je le dis quand même.

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Question conne à poser à ceux qui s'imaginent que l'économie est un jeu à somme nulle : "Si la richesse ne se crée pas, mais seulement se transfère ; si les riches sont riches parce que les pauvres sont pauvres ; maintenant qu'avec la crise financière les riches sont plus pauvres, les pauvres sont-ils plus riches ?" :icon_up:

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Question conne à poser à ceux qui s'imaginent que l'économie est un jeu à somme nulle : "Si la richesse ne se crée pas, mais seulement se transfère ; si les riches sont riches parce que les pauvres sont pauvres ; maintenant qu'avec la crise financière les riches sont plus pauvres, les pauvres sont-ils plus riches ?" :icon_up:

J'ai bien peur qu'on te réponde un truc du genre "ah mais à cause à la crise, les riches vont faire des bonnes affaires et s'enrichir encore plus sur le dos des pauvres et des petits porteurs."

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Question conne à poser à ceux qui s'imaginent que l'économie est un jeu à somme nulle : "Si la richesse ne se crée pas, mais seulement se transfère ; si les riches sont riches parce que les pauvres sont pauvres ; maintenant qu'avec la crise financière les riches sont plus pauvres, les pauvres sont-ils plus riches ?" :icon_up:

la richesse, c'est comme la vieillesse:

Définition courante:

Un vieux, c'est quelqu'un qui a 10ans de plus que moi, moi, je suis jeune…

Il y aura toujours un riche plus riche que moi, et la plupart de nos concitoyens sont incapables de concevoir des riches "plus pauvres"

Hélas, ta remarque est excellente, mais à réserver …actuellement à un fort petit nombre de personnes…

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Question conne à poser à ceux qui s'imaginent que l'économie est un jeu à somme nulle : "Si la richesse ne se crée pas, mais seulement se transfère ; si les riches sont riches parce que les pauvres sont pauvres ; maintenant qu'avec la crise financière les riches sont plus pauvres, les pauvres sont-ils plus riches ?" :icon_up:

Non mais les inégalités se resserrent et c'est la l'essentiel ce qui est intolérable ce n'est pas la pauvreté ce sont les inégalités.

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France: crise et plan de relance creusent le déficit de l'Etat (43,7 mds)

Le déficit budgétaire de la France s'est creusé à 43,7 milliards d'euros fin mars 2009, contre 22,5 milliards d'euros à la même date de 2008, notamment sous l'effet du coût du plan de relance et de la baisse des recettes fiscales, a annoncé mardi le ministère du Budget.

Fin février, le déficit de l'Etat était de 29,9 milliards d'euros.

http://www.cbanque.com/actu/9959/france-cr…deficit-de-etat

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France: crise et plan de relance creusent le déficit de l'Etat (43,7 mds)

Ca aura servi à nous relancer dans le mur. Déjà le plan a eu un effet ce qui n'était pas évident…

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Ouf, seulement 90% de pertes. Vite vite, on décharge, ça sera bientôt pire. Les hauts placés dans GM expriment leur confiance dans l'avenir du titre:

REPORT: Execs including Bob Lutz, Troy Clarke dump GM stock

by Dan Roth on May 12th 2009 at 9:28AM

As General Motors teeters on the brink of bankruptcy, several major executives have just taken advantage of an opportunity to sell their stock shares just after the company's quarterly earnings report came out in May. Among them, Bob Lutz, Troy Clarke, Thomas Stephens and several others decided that it was better to cash out and get something, no matter how paltry.

As the June 1 deadline for a workable restructuring plan or bankruptcy filing looms, the suits grabbed what may be their last chance to get rid of their holdings. Departing Vice Chairman Lutz took in $130,989.60 from the sale of his 81,360 shares. GM North America President Troy Clarke sold 21,380 shares for a return of $31,001 – not exactly a ringing vote of confidence in the automaker, but you'd expect so many thousands of shares would bring more money. Ouch.

CEO Fritz Henderson keeps intimating that bankruptcy is where General Motors is headed, and the stock has taken a 90+ percent beating this past year, making all financial activities look like preparation for a bankruptcy filing. Or just an example of rearranging deck chairs on the Titanic. Thanks for the tips, everyone.

http://www.autoblog.com/2009/05/12/report-…-dump-gm-stock/

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La vie du rail, la vie déraille : http://www.boursorama.com/infos/actualites…f143545b7fc54b4

Rattrapée par la crise, la SNCF est en perte de vitesse

Rattrapée par la crise, l'activité de la SNCF a subi un brusque coup de frein au premier trimestre, sous l'effet de la chute du trafic fret, et même le TGV, principale source de profits de l'entreprise ferroviaire, est en perte de vitesse.

"2009 est une année de récession, les gens voyagent moins et nos profits vont baisser", a reconnu ce week-end le PDG de la SNCF, Guillaume Pepy. Mais la SNCF ne réduit pas la voilure et "prépare déjà l'anti-crise" en augmentant ses investissements.

Alors que la SNCF a vu depuis 2001 son activité croître à un rythme soutenu, son chiffre d'affaires a baissé de 7,5% au premier trimestre, à 5,6 milliards d'euros, selon les chiffres publiés mardi.

Du coup, l'entreprise publique pourrait être amenée à revoir ses prévisions pour l'année 2009: le budget table en effet sur une hausse de 6,9% à 27 milliards d'euros, un pari qui paraît difficile à tenir à la lumière de la crise.

Les buses de la société publique avaient donc, dans leur grande clairvoyance, tablé en 2009 sur une hausse de 6.9% du budget (donc, a priori, du CA) . Malins comme des singes.

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Rattrapée par la crise, la SNCF est en perte de vitesse

Rattrapée par la crise, l'activité de la SNCF a subi un brusque coup de frein au premier trimestre, sous l'effet de la chute du trafic fret, et même le TGV, principale source de profits de l'entreprise ferroviaire, est en perte de vitesse.

"2009 est une année de récession, les gens voyagent moins et nos profits vont baisser", a reconnu ce week-end le PDG de la SNCF, Guillaume Pepy. Mais la SNCF ne réduit pas la voilure et "prépare déjà l'anti-crise" en augmentant ses investissements.

Alors que la SNCF a vu depuis 2001 son activité croître à un rythme soutenu, son chiffre d'affaires a baissé de 7,5% au premier trimestre, à 5,6 milliards d'euros, selon les chiffres publiés mardi.

Du coup, l'entreprise publique pourrait être amenée à revoir ses prévisions pour l'année 2009: le budget table en effet sur une hausse de 6,9% à 27 milliards d'euros, un pari qui paraît difficile à tenir à la lumière de la crise.

La SNCF n'a jamais fait de profits. :icon_up:

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Lu et vu sur PF. C'est proprement hallucinant :

Video: Federal Reserve Cannot Account for $9 Trillion

Tuesday, May 12, 2009 12:30 PM

By: Julie Crawshaw

The Federal Reserve apparently can't account for $9 trillion in off-balance sheet transactions.

When Rep. Alan Grayson (D-Orlando) asked Inspector General Elizabeth Coleman of the Federal Reserve some very basic questions about where the trillions of dollars that have come from the Fed's expanded balance sheet, the IG didn't know.

Worse, nobody at the Fed seems to have any idea what the losses on its $2 trillion portfolio really are.

"I am shocked to find out that nobody at the Federal Reserve is keeping track of anything," Grayson says.

Grayson asked Coleman if her agency had done any research into the decision not to save Lehman Brothers, which “sent shockwaves through the entire financial system,” Coleman said it had not.

“What about the $1 trillion plus expansion of the Federal reserve’s balance sheet since last September?” Grayson asked.

“We have different connotations,” Coleman replied. “We’re actually conducting a fairly high-level review of the various lending facilities collectively.”

Translation: Nobody at the Fed knows where the money went.

Do you know what who got the $1 trillion or more in the Fed's expansion of its balance, Grayson pressed.

"I do not know. We have not looked at this specific area at the particular point on that specific review," Coleman answer.

What about the trillions of off-balance transactions since last September, Grayson asked.

Coleman demurred again, saying the IG does not have jurisdiction to audit the Federal Reserve.

Grayson pointed out that it was the inspector general's job to audit such spending and asked again if the office had done any investigation at all.

Coleman's answer: Not enough yet to even respond. "We are in not a position to say if there losses."

Grayson concluded, "I am shocked to find out that nobody at the Federal Reserve, including the inspector general, is keeping track of this."

Meanwhile, Federal Reserve Chairman Ben Bernanke says the bank is working on ways to rein in the massive balance sheet commitments.

"A majority of the members who made these projections just recently took 2 percent as being an appropriate number" for inflation, Bernanke said Monday.

"Somewhere between 1-1/2 to 2 percent is basically the number that our committee has individually stated is the appropriate medium-term inflation rate.

"To achieve that we need to demonstrate that we will be able to exit from the balance sheet position that we currently have, and have been working on this intensively," Bernanke said in response to questions after a speech to a conference organized by the Federal Reserve Bank of Atlanta, reported by Reuters.

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Toyota, GM… Parlez aussi de Volkswagen, Ford, Fiat, et vous verrez que ce soi disant armageddon n'est qu'une tempête de courte durée.

Vous pouvez regarder aussi HSBC, Eli Lilly, Wal-Mart, Telefonica etc.

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Plus exactement, l'État allemand a voulu échapper à la charge des réparations en faisant tourner la planche à billet. Il ne cherchait pas à strictement parler à créer une hyperinflation, mais bien à payer en douce les Alliés en monnaie de singe, générant ainsi inévitablement une inflation. Sinon, l'hyper inflation a bien débarassé l'État allemand de pratiquement toute sa dette - auprès des Alliés et de tous ceux qui lui avaient prêté le moindre pognon. Et le soupçon sur le fait que l'hyperinflation était bien voulue ou au moins assumée, c'est bien le fait que du jour au lendemain, celle-ci prit fin dès que le gouvernement allemand décida d'y mettre fin - curieusement dès que sa dette fut éteinte.

Possible, après tout Mises parle des Autrichiens et non des Allemands. Quoi qu'il en soit, les Allemands ont peut-être joué au malin mais ils l'ont payé très cher : hyperinflation et donc destruction de la société civile allemande, illégitimité de la République de weimar, affaiblissement de la classe moyenne et le nazisme au bout.

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Toyota, GM… Parlez aussi de Volkswagen, Ford, Fiat, et vous verrez que ce soi disant armageddon n'est qu'une tempête de courte durée.

Vous pouvez regarder aussi HSBC, Eli Lilly, Wal-Mart, Telefonica etc.

Merci Timur Lang. Que ferions-nous sans toi?

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Ah je n'avais pas vu ces messages. C'est soutenu par Mises je ne sais plus où. Il sait certainement de quoi il parle vu ses responsabilités au trésor autrichien. On a beaucoup expliqué l'hyperinflation des pays allemands par la volonté d'échaper au paiement des réparations. L'explication de Mises est plus convainquante : incompétence des dirigeants.
Possible, après tout Mises parle des Autrichiens et non des Allemands. Quoi qu'il en soit, les Allemands ont peut-être joué au malin mais ils l'ont payé très cher : hyperinflation et donc destruction de la société civile allemande, illégitimité de la République de weimar, affaiblissement de la classe moyenne et le nazisme au bout.

[Apollon]Source? [/Apollon]

L'incompétence n'est pas l'idée que j'ai retenue de Mises, qui parle plutôt d'aveuglement collectif, en ce sens que les croyances inflationnistes étaient ancrées dans la mentalité du socialisme germanique de l'époque, malgré la parenthèse capitaliste précédent la première guerre mondiale. Mais Lucilio a raison, croire qu'on peut impunément éteindre une dette par de l'inflation faisait partie de ces croyances, puisqu'en finançant ce remboursement en monnaie de singe par l'émission de billets, il doit immanquablement arriver un jour où le système monétaire poursuivant ce chemin s'effondre totalement. Et là on peut parler d'une politique délibérée pour tromper le peuple, que Mises qualifie d'antidémocratique - quant à moi je dirais plutôt démagogique, donc démocratique. Cela a été tenté, c'est ce qui est arrivé.

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Possible, après tout Mises parle des Autrichiens et non des Allemands. Quoi qu'il en soit, les Allemands ont peut-être joué au malin mais ils l'ont payé très cher : hyperinflation et donc destruction de la société civile allemande, illégitimité de la République de weimar, affaiblissement de la classe moyenne et le nazisme au bout.

à l'époque, les échanges internationaux étaient encore en or.

La dette de réparation de guerre soumise à l'Allemagne était exprimés en mark ?

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Lu et vu sur PF. C'est proprement hallucinant :

Nous n'avons pas spécifiquement étudié ce point particulier dit-elle comme pour suggérer qu'il encule les mouches alors qu'il lui parle de 30.000 Dollars pris à chaque américaine, qu'elle ait 8 mois ou 102 ans (bon elle, elle peut s'en inquiéter un peu moins).

Chapeau aux PF de nous avoir grillé comme des bleus sur ce coup. Damn, ça dort là dedans, vous vous croyez à la Federal Reserve ou quoi?

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Toyota, GM… Parlez aussi de Volkswagen, Ford, Fiat, et vous verrez que ce soi disant armageddon n'est qu'une tempête de courte durée.

Vous pouvez regarder aussi HSBC, Eli Lilly, Wal-Mart, Telefonica etc.

Je le note. Nous le ressortirons.

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