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Armageddon économique ?


vincponcet

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Je n'y crois pas une seconde.

Eh bien je n'y crois pas non plus. Je pense que l'Allemagne va se montrer toute molle elle aussi.

Elle en prend d'ailleurs le chemin.

Ce qui me fascine dans ce noeud de pb, c'est que la solution connue de tous qui devrait être d'imprimer de l'euro … semble hors de portée. C'est une situation inédite, intéressant.

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Ce système de sanction évidemment inapplicable a été construit spécialement pour être inapplicable
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Pourquoi?

Je me rappel de ce que nous disait mon prof de monnaie en 3e année de licence d'éco au sujet de l'euro et ce qui se passe était tout à fait prévisible sans mécanisme efficace pour lutter contre les "passagers clandestins" de l'euro …

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Pourquoi?

Je me rappel de ce que nous disait mon prof de monnaie en 3e année de licence d'éco au sujet de l'euro et ce qui se passe était tout à fait prévisible sans mécanisme efficace pour lutter contre les "passagers clandestins" de l'euro …

Ben justement : si c'était prévisible, pourquoi rien n'a été prévu ?

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Les critères définissaient les bornes, et il y avait bien des sanctions prévues, jamais appliquées pour personne…

Quand je vous dis que le pouvoir n'est pas à la Commission, mais chez les chefs d'états… et comme ils n'aiment pas trop se tirer dans les pattes…

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On en revient toujours on même problème croire que les organismes de contrôles au sein de l'UE sont de natures à pouvoir faire plier les Etats membres.

Ce n'est pas la commission qui a imposé un plan de réduction des dépenses à la Grèce, mais bel et bien les états membres de l'Euro groupe.

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http://www.economist.com/daily/chartgaller…e=features_box4

L'article n'apporte rien de très nouveau, ce sont les commentaires qui valent la peine d'être consultés:

Le plus recommandé, de très loin:

Considering financial institutions managed to legally hijack trillions worth of taxpayer money, while avoiding any meaningful modification to the system that enabled this hijacking, I think bonuses are well-deserved. Mission accomplished. Time to party again.

Le second plus recommandé, d'encore plus loin:

I wonder how we managed to have a working financial system in 1989 when we paid so much less? Surely the staff, seeing such poor incentives, would have left in droves for jobs in the real economy? Since then, of course, our financial management has improved out of all recognition! (pity about the rest of the economy?).

La suite est à 90% identique… et c'est The Economist !

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Après la créatrice des CDS qui se nomme Blythe Masters, je vous présente Antigone maitresse d'œuvre de la tragédie grecque.

Grèce : le montage financier pour dissimuler la dette passait par la City

[ 23/02/10 - 13H43 - AFP ]

Le montage financier qui a permis à la Grèce de dissimuler l'ampleur de sa dette s'est fait au moyen d'une société basée à la City de Londres, et sous la direction d'une cadre de la banque Goldman Sachs, révèle le Wall Street Journal dans son édition de mardi.

Antigone Loudiadis, 46 ans, l'une des responsables de Goldman Sachs à Londres en 2001, est décrite par le quotidien comme "l'architecte" du montage financier en cause. Elle aurait permis à sa banque d'engranger 300 millions de dollars de rémunérations pour ces transactions.

Après 2005, la banque grecque National Bank of Greece (NBG) a remplacé Goldman Sachs comme partenaire de la Grèce sur les marchés financiers, indique le quotidien, Goldman restant associée en tant que conseil.

Le mécanisme, très complexe, implique une société située au coeur du quartier financier de Londres, Titlos PLC, créée en 2009, mais considérée par le journal comme "la descendante d'un accord de 2001 pour aider à cacher la dette" de la Grèce.

La révision récente du déficit public de la Grèce lui a valu ces dernières semaines une perte de sa crédibilité sur les marchés internationaux et d'être la cible des spéculateurs. Elle a plongé la Grèce dans une crise sans précédent avant sa mise sous une surveillance stricte par ses partenaires européens.

Le pays est également accusé d'avoir sous-évalué l'ampleur de ses déficits et de sa dette pour pouvoir se qualifier à l'entrée dans la zone euro en 1999.

Copyright © 2005 AFP. Toutes les informations reproduites dans cette rubrique (ou sur cette page selon le cas) (dépêches, logo) sont protégées pas des droits de propriété intellectuelle détenus par l'AFP. Par conséquent, aucune des informations ne peut être reproduite, modifiée, rediffusée, traduite, exploitée commercialement ou réutilisée de quelque manière que ce soit sans l'accord préalable écrit de l'AFP. L'AFP ne pourra être tenue pour responsable des délais, erreurs, omissions qui ne peuvent être exclus, ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations."

http://www.lesechos.fr/info/inter/afp_0023…m?xtor=RSS-2065

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En fait ce qui est vraiment nuisible pour les marchés, c'est l'illusion d'une certaine sécurité.

Paradoxalement, plus la législation est contraignante, plus l'illusion de cette sécurité est grande et donc plus le risque de bulle est important.

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Ce qui me fascine dans ce noeud de pb, c'est que la solution connue de tous qui devrait être d'imprimer de l'euro … semble hors de portée. C'est une situation inédite, intéressant.

Pas si hors de portée. La BCE accepte les bons du trésor de l'Etat grec comme collatéral et les banques empruntent de l'argent à la BCE avec un taux d'intérêt très faible. L'Etat grec a donc des acheteurs et émet des bons en bénéficiant de taux d'intérêt qu'une situation de marché ne permettrait pas. Des euros qui ne devraient pas exister sont ainsi émis pour renflouer l'Etat grec.

Yet, the whole debate is misleading: Greece is already being bailed out by the rest of the union. The European Central Bank (ECB) accepts Greek government bonds as collateral for their lending operations.[1] European banks may buy Greek government bonds (now paying a premium in comparison to German bonds of more than 3%) and use these bonds to get a loan from the ECB at 1% interest — a highly profitable deal.

The banks buy the Greek bonds because they know that the ECB will accept these bonds as collateral for new loans. As the interest rate paid to the ECB is lower than the interest received from Greece, there is a demand for these Greek bonds. Without the acceptance of Greek bonds by the ECB as collateral for its loans, Greece would have to pay much higher interest rates than it does now. Greece is, therefore, already being bailed out.

The other countries of the eurozone pay the bill. New euros are, effectively, created by the ECB accepting Greek government bonds as collateral. Greek debts are monetized, and the Greek government spends the money it receives from the bonds to secure support among its population.

http://mises.org/daily/4091

Vincent Bénard en parle dans son blog:

Si la banque ne remboursait pas son prêt à la banque centrale, celle ci serait censée se payer par la liquidation de l'actif toxique déposé en collatéral. Sauf que cet actif toxique ne valant plus qu'une fraction de son nominal, la banque centrale aura peu de chance de voir revenir tout l'argent créé. Et voilà qu'auront été créés plusieurs milliards d'unités monétaires sans création de valeur en contrepartie dans "l'économie réelle". Ce qui, dès que la base monétaire ainsi gonflée se remettra à circuler, nous ramènera vers des inflations telles que celles des années 70, entre 10 et 20% par an.

http://www.objectifliberte.fr/2010/02/scen…-publiques.html

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Pas si hors de portée. La BCE accepte les bons du trésor de l'Etat grec comme collatéral et les banques empruntent de l'argent à la BCE avec un taux d'intérêt très faible. L'Etat grec a donc des acheteurs et émet des bons en bénéficiant de taux d'intérêt qu'une situation de marché ne permettrait pas. Des euros qui ne devraient pas exister sont ainsi émis pour renflouer l'Etat grec.

Oui, ce mécanisme existe, c'est à mon sens plus une source du problème que sa solution car la Grèce profite d'un privilège par rapport aux autres pays.

C'est un peu différent d'une inflation sur une monnaie interne qui ne ruine que les citoyens du pays.

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Oui, ce mécanisme existe, c'est à mon sens plus une source du problème que sa solution car la Grèce profite d'un privilège par rapport aux autres pays.

C'est un peu différent d'une inflation sur une monnaie interne qui ne ruine que les citoyens du pays.

Le mécanisme est le même pour tous les pays EU.

Evidemment, le pays qui a le risque le plus élevé est comparativement plus bénéficiaire du système via la BCE, mais n'oublions pas que le risque reste dans les mains du possesseur du bond en cas de défaut. Maintenant, à voir comment politiquement cela se passerait.

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Les PIIGS ou la Californie ? Qui tombera en premier ?

Pour Morgan Chase, c'est la Californie :

http://www.telegraph.co.uk/finance/finance…rgan-chief.html

Mr Dimon told investors at the Wall Street bank's annual meeting that "there could be contagion" if a state the size of California, the biggest of the United States, had problems making debt repayments. "Greece itself would not be an issue for this company, nor would any other country," said Mr Dimon. "We don't really foresee the European Union coming apart." The senior banker said that JP Morgan Chase and other US rivals are largely immune from the European debt crisis, as the risks have largely been hedged.
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En tout cas si la grèce ne tombe pas, ça signifie un nouvel impôt européen pour notre tronche. Ne rigolez pas, c'est la proposition de notre petit guichetier de banque van Rompuy.

Oui c'est une proposition sérieuse reprise par Barroso aussi, on n'est pas gâté.

J'attends qu'un jour on nous propose une sécurité sociale européenne, un régime de retraite par répartition européen etc..

Quant à la Californie, je ne vois pas le pouvoir fédéral lacher l'Etat le plus riche des Etats-Unis aussi facilement. Les mécanismes doivent exister aux USA pour éviter ce genre de choses , contrairement à l'Union européenne, de plus je ne vois pas Obama laisser passer une occasion de faire la nique à Schwarzie et aux républicains pour leur gestion calamiteuse.

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Oui c'est une proposition sérieuse reprise par Barroso aussi, on n'est pas gâté.

J'attends qu'un jour on nous propose une sécurité sociale européenne, un régime de retraite par répartition européen etc..

Quant à la Californie, je ne vois pas le pouvoir fédéral lacher l'Etat le plus riche des Etats-Unis aussi facilement. Les mécanismes doivent exister aux USA pour éviter ce genre de choses , contrairement à l'Union européenne, de plus je ne vois pas Obama laisser passer une occasion de faire la nique à Schwarzie et aux républicains pour leur gestion calamiteuse.

C'est un tout petit plus subtile que cela.

La Californie est depuis 40 ans un fief de hippies écolo et qui ont entre autres poussés pour les lois foncières les plus restrictives.

Résultat, c'est l'Etat où la bulle immo a été la plus forte et la chute la plus importante aussi (-40/-50% des prix immos et chute vertigineuse des transactions), or les Etats ont une bonne part de leur financement via les impôts sur les transactions immobilières, c'est la même chose chez nous pour département/région (les fameux "frais de notaires" qui sont en fait essentiellement des taxes dep/régions).

Dire gestion calamiteuse de schwarzie alors que justement il a été élu après la quasi-faillite du fait des démocrates, et qu'il avait déjà taillé dans le budget avant même le début de la crise, c'est un peu abuser.

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Quant à la Californie, je ne vois pas le pouvoir fédéral lacher l'Etat le plus riche des Etats-Unis aussi facilement. Les mécanismes doivent exister aux USA pour éviter ce genre de choses , contrairement à l'Union européenne, de plus je ne vois pas Obama laisser passer une occasion de faire la nique à Schwarzie et aux républicains pour leur gestion calamiteuse.

Il existe un certains nombre de mécanismes législatifs et/ou constitutionnels qui empêchent la Californie d'augmenter les impots sans referendum.

Grace à mécanisme juste et légitime, les Californinens peuvent choisir entre la diète forcée pour l'état ou les impots aberrants … et ils ont choisi la diète forcée.

Mais dans ces conditions je vois mal le gouvernement fédéral cracher au bassinet pour éviter à l'électeur Californien de payer les mêmes impots que certains de ses concitoyens américains situés dans d'autres états.

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Pas si hors de portée. La BCE accepte les bons du trésor de l'Etat grec comme collatéral et les banques empruntent de l'argent à la BCE avec un taux d'intérêt très faible. L'Etat grec a donc des acheteurs et émet des bons en bénéficiant de taux d'intérêt qu'une situation de marché ne permettrait pas. Des euros qui ne devraient pas exister sont ainsi émis pour renflouer l'Etat grec.

C'est le noeud du problème, bien plus qu'une éventuelle faillite de la Grèce :

Les banques adorent les emprunts d'états. Cela leur permet de les mettre en dépot auprès de la BCE à un taux qui tournent autour de 3 % et de bénéficier de l'argent ainsi récolté pour faire d'autres choses. Cela s'appele le repo.

Le soucis, c'est que la régle traditionnelle de la BCE c'est de n'accepter pour ce genre de chose que des titres bien noté (Supérieur a A-). Pendant la crise de 2008, la règle a été assouplie pour passer à BBB-. Celle-ci étant terminée la BCE souhaite revenir aux règles précédentes.

Mais pendant ce temps là, la Dette de la Grèce a été dégradée à BBB+. Donc éligible actuellement, mais plus après. Et si les banques ne peuvent plus placé la dette grecque au repo (ou a un taux plus élevé 6 % de mémoire). Celle-ci cesse d'être intéressante.

Cela explique tout à fait que les taux de la grèce soient passé d'un peu plus de 4 % a un peu plus de 6 %.

Pour sortir du problème, la BCE peut déroger spécifiquement à son exigence de notation au profil de la seule Grèce. Mais la solution mettrait à mal sa crédibilité. La solution actuelle à l'air d'être de dire que les prochains emprunts grecques souscrit par les banques allemande et française auraient en plus la garantie des états Français et allemands.

Sur le risque de défaut d'un pays. A ma connaissance, sur les trentes dernières années, un seul la fait. C'est l'argentine de 98. Elle en paye encore aujourd'hui le prix.

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Justement dans l'actualite on apprend qu'en fait tout va de mieux en mieux pour l'etat Grec:

La Grèce revient avec succès sur les marchés financiers

Athènes a lancé une nouvelle émission d'obligations à dix ans d'un montant de 5 milliards d'euros, jeudi matin. La demande des investisseurs a été trois fois supérieure à l'offre.

Au lendemain de la présentation de nouvelles mesures d'austérité, la Grèce a lancé avec succès une nouvelle émission obligataire à 10 ans d'un montant de 5 milliards d'euros, d'après des sources ministérielles et de marché. La demande a atteint près de 15 milliards d'euros, et n'a donc pas pu être totalement satisfaite.

Autre bonne surprise, la Grèce a obtenu des investisseurs un taux inférieur à ce qui était attendu. La rémunération de ces obligations a été fixé à 6,38%, selon la banque HSBC.

Cinq banques ont été mandatées pour cette émission : Barclays, HSBC, Nomura, Banque nationale de Grèce (BNG) et Banque du Pirée, selon l'Agence grecque de la dette.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/03…es-marches-.php

C'est une de ces emissions d'obligations indirectement financees par la BCE?

Edit: Jacques Dupont semble confirmer dans les commentaires

tu m'étonnes ! les banques empruntent à 1 % pour acheter de la dette Greque qui va leur rapporter autour de 7% d'interêts sans risques ! (puisque l'Europe se porte garante) Elles auraient tort de se génêr ! toujours gagnants ces banquiers !

C'est vrai que ce n'est pas sans rappeler le scenario des subprimes.

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C'est vrai que ce n'est pas sans rappeler le scenario des subprimes.

Voilà. Tant qu'il y a le State-Backup, on peut se permettre d'emprunter à mort. Et le robinet d'eau tiède socialo-gaulliste y croit dur comme fer, comme on peut le lire dans les commentaires ici :

(badurl) http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/archive/2010/03/04/grece-le-supplice-de-l-euro-pourrait-durer.html (badurl)

Dernière minute : la Grèce a levé 5 Mds sur les marchés. Les établissements financiers en proposaient 15. Le pays est très loin de la faillite et peut toujours emprunter.

Oui oui. Et les ménages qui vendaient et rachetaient des biens immo à base de subprime en 2007/2008, ça le faisait totalement : loin de la faillite et petits fours au caviar.

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En fait ce qui est vraiment nuisible pour les marchés, c'est l'illusion d'une certaine sécurité.

Paradoxalement, plus la législation est contraignante, plus l'illusion de cette sécurité est grande et donc plus le risque de bulle est important.

Tu vois quand tu veux?

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J'imagine que l'article de une de l'Atlantic de ce mois aura été remarquée.

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The unemployment rate hit 10 percent in October, and there are good reasons to believe that by 2011, 2012, even 2014, it will have declined only a little. Late last year, the average duration of unemployment surpassed six months, the first time that has happened since 1948, when the Bureau of Labor Statistics began tracking that number. As of this writing, for every open job in the U.S., six people are actively looking for work.

All of these figures understate the magnitude of the jobs crisis. The broadest measure of unemployment and underemployment (which includes people who want to work but have stopped actively searching for a job, along with those who want full-time jobs but can find only part-time work) reached 17.4 percent in October, which appears to be the highest figure since the 1930s. And for large swaths of society—young adults, men, minorities—that figure was much higher (among teenagers, for instance, even the narrowest measure of unemployment stood at roughly 27 percent). One recent survey showed that 44 percent of families had experienced a job loss, a reduction in hours, or a pay cut in the past year.

There is unemployment, a brief and relatively routine transitional state that results from the rise and fall of companies in any economy, and there is unemployment—chronic, all-consuming. The former is a necessary lubricant in any engine of economic growth. The latter is a pestilence that slowly eats away at people, families, and, if it spreads widely enough, the fabric of society. Indeed, history suggests that it is perhaps society’s most noxious ill.

The worst effects of pervasive joblessness—on family, politics, society—take time to incubate, and they show themselves only slowly. But ultimately, they leave deep marks that endure long after boom times have returned. Some of these marks are just now becoming visible, and even if the economy magically and fully recovers tomorrow, new ones will continue to appear. The longer our economic slump lasts, the deeper they’ll be.

If it persists much longer, this era of high joblessness will likely change the life course and character of a generation of young adults—and quite possibly those of the children behind them as well. It will leave an indelible imprint on many blue-collar white men—and on white culture. It could change the nature of modern marriage, and also cripple marriage as an institution in many communities. It may already be plunging many inner cities into a kind of despair and dysfunction not seen for decades. Ultimately, it is likely to warp our politics, our culture, and the character of our society for years.

Après il enchaine sur l'immobilier

http://www.theatlantic.com/magazine/archiv…rm-america/7919

Bon mag.

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Justement dans l'actualite on apprend qu'en fait tout va de mieux en mieux pour l'etat Grec:

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/03…es-marches-.php

C'est une de ces emissions d'obligations indirectement financees par la BCE?

Edit: Jacques Dupont semble confirmer dans les commentaires

C'est vrai que ce n'est pas sans rappeler le scenario des subprimes.

J'ai lu (sur Mecanoplis) que la Grèce doit trouver 22 milliards d'ici avril-mai, pour rembourser des dettes arrivant à échéance. Même avec des calculs très simples, on devine que ça va être très dur. Son déficit est d'une vingtaine de milliards par an, soit trois milliards d'ici avril-mai. Elle doit donc renouveler cette opération 5 fois en deux mois.

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Voilà. Tant qu'il y a le State-Backup, on peut se permettre d'emprunter à mort. Et le robinet d'eau tiède socialo-gaulliste y croit dur comme fer, comme on peut le lire dans les commentaires ici :

L'étatiste est un dur à cuire, une vilaine bébête pleine de ressources, suite au prochain numéro…

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Des responsables allemand suggèrent que la Grèce devrait vendre quelques iles pour éponger sa dette … :icon_up:

On se cotise et on en fait un paradis fiscal et libéral …

Deux responsables allemands ont suggéré hier à la Grèce de vendre quelques-unes de ses îles paradisiaques afin de rembourser sa lourde dette publique ! Josef Schlarmann, un membre de la coalition des chrétiens-démocrates d'Angela Merkel, a estimé dans un entretien avec le journal 'Bild', que "ceux qui sont insolvables devraient vendre tout ce qu'ils ont pour rembourser leurs créanciers. La Grèce possède des immeubles, des compagnies et des îles inhabitées, qui pourraient tous être utilisés en vue de rembourser sa dette".

http://www.boursier.com/vals/all/des-iles-…que-eco-496.htm

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