Aller au contenu

Armageddon économique ?


vincponcet

Messages recommandés

http://www.news.com.au/money/banking/cash-grab-inactive-bank-accounts-to-be-seized/story-e6frfmcr-1226585867131

CASH GRAB: Inactive bank accounts to be seized

HOUSEHOLDS face losing up to $109 million from their family savings as the Federal government moves to seize cash from inactive bank accounts.

After legislation was rushed through parliament, the government will from May 31 be able to transfer all money from accounts that have not been used for three years into their own revenues.

This will mean that accounts with anything from $1 upwards that have not had any deposit or withdrawals in the past three years will be transferred to the Australian Securities and Investment Commission.

The law is forecast to raise $109 million this year as inactive accounts for three years or more are raided by Treasury.

C'est incroyable ce truc. Ça sent vraiment mauvais.

Lien vers le commentaire

Pour ceux qui trouvent Olivier Delamarche excessif, je leur suggère d'écouter l'intervention de de Philippe Béchade sur la situation au Japon et sur la bulle qui affecte les principaux marchés financiers. Le style est plus soft, mais le fond ne diffère guère.

 

En résumé, tout va pour le mieux. Le système financier se porte comme un charme. La reprise est là. Il est judicieux d'acheter des actions. Du moins, c'est ce que l'on s'efforce de nous faire croire :pleur: ...  http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=OEFxnfbjYEg

 

 

 Il n'y va pas avec le dos de la cuillère en effet... Il dit un truc intéressant sur les valeurs mobilières:

  " La question du choix de l’allocation des liquidités ne se pose pas : rien ne peut rivaliser avec le retour sur investissement des valeurs mobilières. Risquer de l’argent dans l’économie réelle n’a aucun sens, aucun banquier doté d’un soupçon de bon sens ne s’y hasarderait. Financer des achats immobiliers sur 15, 20 ou 30 ans est carrément stupide : les marges sur les prêts consentis sont ridicules et cela stérilise du capital sur des durées inconcevables."

 

Comment s'étonner par la suite que les stimuli ne se transmettent pas jusque dans les poches du plus grand nombre !?

Lien vers le commentaire

 Il n'y va pas avec le dos de la cuillère en effet... Il dit un truc intéressant sur les valeurs mobilières:

  " La question du choix de l’allocation des liquidités ne se pose pas : rien ne peut rivaliser avec le retour sur investissement des valeurs mobilières. Risquer de l’argent dans l’économie réelle n’a aucun sens, aucun banquier doté d’un soupçon de bon sens ne s’y hasarderait. 

 

 

C'est moi où cette phrase n'a aucun sens?

Des valeurs mobilières ce sont essentiellement des parts et des actions donc de l'investissement dans "l'économie réelle".

 

A moins qu'il ne parle d'obligations d'Etat mais là encore, c'est absurde puisqu'il prétend que rien ne peut rivaliser avec le retour sur investissement des valeurs mobilières ce qui, concernant les obligations d'Etat, est à se tordre de rire.

Lien vers le commentaire

C'est moi où cette phrase n'a aucun sens?

Des valeurs mobilières ce sont essentiellement des parts et des actions donc de l'investissement dans "l'économie réelle".

 

A moins qu'il ne parle d'obligations d'Etat mais là encore, c'est absurde puisqu'il prétend que rien ne peut rivaliser avec le retour sur investissement des valeurs mobilières ce qui, concernant les obligations d'Etat, est à se tordre de rire.

 

Il faut regarder l'itw parce qu'il manque le contexte. Là, il parle du cas japonais avec +50% en action depuis le début de l'année, et là, il a raison : avec un marché boursier qui propose ça, rien ne peut rivaliser.

Lien vers le commentaire

Il faut regarder l'itw parce qu'il manque le contexte. Là, il parle du cas japonais avec +50% en action depuis le début de l'année, et là, il a raison : avec un marché boursier qui propose ça, rien ne peut rivaliser.

 

+1

 

Et si en plus ils utilisent des effets de leviers grâce aux dérivés, ils ont pu atteindre des niveaux de performances stratosphériques...

Lien vers le commentaire

C'est pas tellement que Delamarche exagère, mais sa manière de tout dire de façon péremptoire, sans avancer des arguments pour étayer ses positions rend le tout assez agaçant.

 

Ça va encore être la faute aux "spéculateurs" quand les bourses vont s’effondrer.

 

Il avait des arguments au début mais, comme il le dit lui même, il est un peu fatigué de répéter tout le temps la même chose. Et puis il s'est enfermé dans un rôle face au chroniqueur BFM, et j'ai même l'impression qu'ils ne peuvent plus trop se blairer. Bref, c'est plus vraiment aussi intéressant qu'au début ou son ton et sa gouaille amusait.

 

De toutes façons le commentaire tourne en rond, surtout si on doit le faire toutes les semaines parce qu'il ne se passe pas grand chose sur les marchés: ça ronronne doucement - avec certes quelques couacs - tant que la musique joue et que les banques centrales inondent de liquidités. Donc bon, à part répéter qu'un jour ou l'autre il va y avoir un bon gros krach qui va rincer tout le monde, le reste de l'exercice est assez prévisible.

Lien vers le commentaire

Il avait des arguments au début mais, comme il le dit lui même, il est un peu fatigué de répéter tout le temps la même chose. Et puis il s'est enfermé dans un rôle face au chroniqueur BFM, et j'ai même l'impression qu'ils ne peuvent plus trop se blairer. Bref, c'est plus vraiment aussi intéressant qu'au début ou son ton et sa gouaille amusait.

 

J'ai plus l'impression que le chroniqueur joue un rôle pour déclencher ces réactions de Delamarche. Parce que bon sur le fond, il ne se passe pas grand chose, comme tu le fais remarquer. Enfin dans tous les cas, c'est clair que ça tourne un peu en rond depuis un moment.

 

Lien vers le commentaire

Article comique sur le monde

 

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/05/27/crise-la-bonne-nouvelle-c-est-qu-il-y-a-plein-de-bonnes-idees_3417132_3234.html

 

On va dévellopper de nouveaux outils pour diriger l'économie, comme les taux bas ne fonctionnent pas, on va s'engager a maintenir les taux bas, créer de l'inflation et faire racheter la dette par la banque centrale. Vraiment personne n'avait pensé à ça jusqu'a présant, il faut vite le dire a la fed.

Lien vers le commentaire

En même temps, tous les maîtres à penser de ce brillant lauréat du "prix du jeune économiste" sont des talibans du keynésianisme. Il eut donc été illusoire d'attendre des fulgurances de sa part. Mais effectivement, quand on lit un tel tissu d'âneries, on comprend que le MEF: le monde est foutu... :jesus:

Lien vers le commentaire

Article comique sur le monde

 

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/05/27/crise-la-bonne-nouvelle-c-est-qu-il-y-a-plein-de-bonnes-idees_3417132_3234.html

 

On va dévellopper de nouveaux outils pour diriger l'économie, comme les taux bas ne fonctionnent pas, on va s'engager a maintenir les taux bas, créer de l'inflation et faire racheter la dette par la banque centrale. Vraiment personne n'avait pensé à ça jusqu'a présant, il faut vite le dire a la fed.

Cette page est un troll. 

Le titre commence sans tour de chauffe par une assertion contraire aux lois physiques les plus élémentaires :

 

 

La bonne nouvelle, c'est qu'il y a plein de bonnes idées

 

Je parie que ce troll vit dans un campus :

 

 Emmanuel Farhi, 34 ans, enseigne au département d'économie d'Harvard et à l'Ecole d'économie de Toulouse.

 

Bingo. 

 

 

Il remporte l'édition 2013 du prix du jeune économiste organisé par "Le Monde"

 

Les prestituées décernent désormais d'autentique certificat d'authorité de leurs propres sources. Fantastiquement crédible. 

 

Mais je reconnais que ce professeur a des aptitudes professionnelles. Check le double talk :

 

 

 

C'est un nouvel outil de pilotage de l'économie, potentiellement très prometteur. Il s'agit maintenant d'en réussir l'application.

Remarquez qu'il donne l'impression d'avoir été à l'initiative de l'idée, ce qui est risqué sachant que la plupart des idées merdent mais il couvre immédiatement ses arrières en avançant la raison pour laquelle son idée va foirer :

 

 

Le risque est d'introduire un nouvel ensemble de règles complexes, opaques et mal ficelées, qui ne feront qu'aggraver les choses.

 

 

Il n'y aura plus qu'à envoyer un mail avec les bons hiérarchiques en copie disant en gros : "je l'avais bien dit. Ecoutez moi maintenant." 

 

Et là on ne peut qu'admirer la stratégie carriériste du sujet, on ne peut que le respecter pour ça. 

 

Ensuite les bonnes idées en quelques bullet points :

- monétisation des dettes

- inflation

- dévaluation

- taxes 

- fonds de sauvetage opération "l'Euro est sauvé le pire est derrière" vol. 6

 

Hmmm. C'est original. Me rappelle quelque chose :

 

 

 

Lien vers le commentaire
La bonne nouvelle, c'est qu'il y a plein de bonnes idées

 

C'est un nouvel outil de pilotage de l'économie, potentiellement très prometteur.

 

Genre le gars qui vient de mélanger dans un tube à essai deux substances chimiques qui lui sont inconnues et qui veut vérifier sur des cobayes si cela leur fait pousser des ailes. :icon_neutral:

Lien vers le commentaire

Bonjour à tous,

 

On a un évènement Contrepoints le samedi 15 juin et on doit vendre plus de places.

 

Ce serait sympa d'inclure le terme "faustérité" dans vos articles (avec un lien hypertexte sur fausterité linkant sur http://fausterite.eventbrite.fr/) quand vous parlez du mélange de hausses d’impôts, d’absence de coupes budgétaires et d’absence de réformes structurelles qui accable la France en ce moment. C'est un mot buzzable. Ce serait cool que ca devienne un mot clef originaire de Contrepoints. 

 

Merci beaucoup d’avance pour votre aide.

 

 

Lien vers le commentaire

Philippe Béchade dénonce une nouvelle fois l'imposture de la hausse des marchés financiers dans sa dernière intervention sur BFM télé. "Après 20 mardis de hausse sur 20, tout le monde a compris que le casino est truqué" explique-t-il notamment :icon_wink: https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=VrXhNN9uyzM

Lien vers le commentaire

Bruxelles adresse...6 cartons rouges à la France

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/05/29/20002-20130529ARTFIG00400-reformes-les-cartons-rouges-de-bruxelles-a-la-france.php

Moins d'austérité, plus de réforme. La Commission européenne a fixé six recommandations à la France pour revenir dans les clous des 3% de déficit en 2015. Paris va devoir ramener son déficit public à 3,6% du produit intérieur brut (PIB) en 2014 et 2,8% en 2015, après 3,9% cette année, pour sortir de la procédure de déficit excessif, selon les recommandations de la Commission européenne publiées aujourd'hui.

Elle liste six domaines d'action prioritaires: déficit public, à travers en particulier une nouvelle réforme des retraites, marché du travail, coût du travail, libéralisation des services, environnement des entreprises et simplification de la fiscalité.

Bruxelles a, certes, concrétisé un changement de cap politique, en concédant un répit de deux ans à la France pour ramener son déficit budgétaire à la norme des 3%. Mais José Manuel Barroso et le commissaire Olli Rehn y mettent un prix: une mise à plat du marché du travail, défi auquel Paris n'a jusqu'ici donné que des gages.

Pour Olli Rehn, «l'heure des réformes courageuses a sonné» si l'on veut s'attaquer de façon sérieuse à la panne de la croissance et à la chute de l'emploi. «Les réformes entreprises et le retour de la confiance des investisseurs nous permettent désormais une consolidation budgétaire plus graduelle qu'au début de la crise, explique-t-il au Figaro. Mais cet espace, cet oxygène, doit être mis au profit des réformes nécessaires pour gagner la bataille». Dans la montée du chômage, le passéisme des gouvernants pèse peut-être autant que la récession, semble-t-on dire à Bruxelles.

C'est sur ce point sensible que se focalise la Commission dans ses «recommandations» à la France communiquées aujourd'hui. Certaines empruntent déjà des chemins balisés à l'Élysée et à Bercy, comme la compétitivité des entreprises, la «flexisécurité» de l'emploi, la réforme du financement des retraites ou l'apprentissage. Olli Rehn veut aller beaucoup plus vite et plus loin que Pierre Moscovici. La question reste ouverte du salaire minimum, l'un des plus élevés d'Europe, et des règles de licenciement, parmi les plus contraignantes.

Le catalogue inclut une ouverture accrue à la concurrence européenne des héritiers des grands monopoles publics (EDF et SNCF). Pour stimuler l'emploi, il demande aussi que la France desserre l'étau sur ses professions «fermées» (médecins, pharmaciens, notaires, taxis…). Ce dossier empoisonné et hautement politique fait déjà grincer des dents à Paris.

Le constat sous-jacent est que des États déficitaires et endettés ne peuvent plus ni pratiquer la relance par l'argent public, ni compter sur un traitement social du chômage. Pour sortir de la récession, il faut certes desserrer d'un cran l'austérité mais surtout aller débusquer des points de croissance grâce à des marchés plus ouverts et plus flexibles, qu'il s'agisse des biens, des services ou du travail. «La France a impérativement besoin de débloquer son potentiel de croissance», relevait récemment Olli Rehn.

La contrainte des 3% est repoussée à 2015, pour autant la France n'est pas dégagée de la discipline sur ses finances publiques. Bien au contraire. À la différence de l'Italie, elle s'inscrit désormais parmi une minorité de pays qui restent en «déficit excessif», d'après les critères de l'UE. Pire, le déficit public repart à la hausse et Bruxelles demandera à Bercy des mesures pour en reprendre le contrôle et démentir les prévisions européennes: 3,9% du PIB en 2013 et 4,2% l'an prochain.

La feuille de route de la Commission, pour la France et ses partenaires de l'UE, doit être validée politiquement par un sommet européen, les 26 et 27 juin. Elle deviendra alors légalement contraignante, sous la menace de sanctions sur son volet budgétaire. «Le rendez-vous s'annonce plutôt tendu», dit-on déjà à Bruxelles.

Décidément plus personne ne sait ce que veut dire le mot "austérité".

Lien vers le commentaire

 

Rogers s’est également exprimé au sujet du président actuel de la Fed, Ben Bernanke… "Le plan de sortie de Monsieur Bernanke, apparemment, est qu’il va quitter son job. Il ne veut pas rester dans les parages pour la gueule de bois. Il ne veut pas être dans le coin lors des conséquences de ce qu’il fait"… 

"Je ne sais pas s’ils y ont un plan de sortie. Si et quand ils s’arrêteront, cela va générer beaucoup de conséquences sur le marché et beaucoup de… peut-être même de chaos, mais  cela génèrera certainement  beaucoup d’agitation et de troubles. Le seul plan de sortie dont Bernanke  ait parlé c’est de laisser tout cela maturer. Cela a l’air merveilleux, mais cela n’est pas très pratique à utiliser comme concept". Rogers pense que les assouplissements monétaires massifs de la Fed, de la Banque du Japon et de la Banque d’Angleterre dureront jusqu’à ce que la bulle éclate. L’investisseur craint qu’ensuite, la déflation s’installe. Il critique également avec vigueur le gouvernement américain dans sa gestion des déficits et de la dette. 

Interrogé sur le fait de savoir si Bernanke devrait immédiatement démissionner, Rogers lance : "Non, Bernanke, je lui dirais de fermer la Federal Reserve et puis de démissionner"

 

http://leblogalupus.com/2013/06/02/jim-rogers-personne-ne-sortira-de-cette-situation-sans-une-crise/

Lien vers le commentaire

Comme si les dettes d'Etat se remboursaient... (edit : en dehors des bons pour les particuliers, et encore, ils sont remboursés par un autre emprunt).

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...