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Armageddon économique ?


vincponcet

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Pendant ce temps, Todd (le sociologue tiret historien tiret essayiste tiret politologue tiret fumiste) nous explique que chercher à réduire sa dette, c'est se fossiliser et que si ça marche pour les Allemands, c'est parce qu'ils aiment bien le totalitarisme, et pas nous, les Français. On est au dessus de ça.

RT : http://twitter.com/_h16/status/16458810008805376

wikio : (badurl) http://www.wikio.fr/vote?url=http://h16free.com/2010/12/19/6135-ne-faisons-pas-comme-lallemagne-endettons-nous (badurl)

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Les CDS pour les emprunts français sont au plus haut et dépassent ceux pour le Panama (BBB-) : maintenant, il faut 106 830 € pour assurer sur un an 10 millions de bons français (106.83 pts). Heureusement, tout le monde est focalisé sur la neige. Ouf.

RT : http://twitter.com/#!/_h16/status/17192896121798656

wikio : (badurl) http://www.wikio.fr/vote?url=http://h16free.com/2010/12/21/6186-pendant-quil-neige (badurl)

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Les CDS pour les emprunts français sont au plus haut et dépassent ceux pour le Panama (BBB-)

Le tec 10 semble avoir pris un petit coup de sang mais ça se calme, un surcis pour finir sa valise…

Indice Tec10 au 21 Décembre 2010 3.33 %

Les valeurs du mois :

21 Décembre 2010 3.33 %

20 Décembre 2010 3.35 %

17 Décembre 2010 3.40 %

16 Décembre 2010 3.40 %

15 Décembre 2010 3.38 %

14 Décembre 2010 3.33 %

13 Décembre 2010 3.31 %

10 Décembre 2010 3.34 %

09 Décembre 2010 3.32 %

08 Décembre 2010 3.35 %

07 Décembre 2010 3.29 %

06 Décembre 2010 3.26 %

03 Décembre 2010 3.23 %

02 Décembre 2010 3.28 %

01 Décembre 2010 3.20 %

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Le tec 10 semble avoir pris un petit coup de sang mais ça se calme, un surcis pour finir sa valise…

Indice Tec10 au 21 Décembre 2010 3.33 %

Les valeurs du mois :

21 Décembre 2010 3.33 %

20 Décembre 2010 3.35 %

17 Décembre 2010 3.40 %

16 Décembre 2010 3.40 %

15 Décembre 2010 3.38 %

14 Décembre 2010 3.33 %

13 Décembre 2010 3.31 %

10 Décembre 2010 3.34 %

09 Décembre 2010 3.32 %

08 Décembre 2010 3.35 %

07 Décembre 2010 3.29 %

06 Décembre 2010 3.26 %

03 Décembre 2010 3.23 %

02 Décembre 2010 3.28 %

01 Décembre 2010 3.20 %

faut le savoir que tec10 est un indice composite de l'emprunt à 10 ans de l'Etat français, tu aurais pu le mettre. :icon_up:

tec10_fr.jpg

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Heureusement qu'ici en France on a Lagarde qui nous chante que la reprise est là ^^

Dans la totalité des 20 villes prises en compte l’indice est en recul en octobre, de 2,9 % à Atlanta et de 1,91 % pour San Francisco et Minneapolis. Washington est la ville qui fait moins « pire » que les autres avec un recul de 0,2 %. Seule consolation pour la capitale, l’indice progresse de 3,65 % sur un an.

Bloomberg rapporte également que 6 marchés – Atlanta, Charlotte, Miami, Seattle, Tampa, Portland et Oregon – ont atteint leur plus bas niveaux depuis l’effondrement des marchés en 2006.

« Nous ne sommes pas loin du double dip », s’alarme David Blitzer. Le président du comité chargé de la publication de l’indice S&P ne se fait plus guère d’illusion sur la solidité de la reprise américaine. Et il a bien raison.

http://www.moneyweek.fr/20101244909/actual…mobilier-chute/

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La pochaine fois j'achèterai des obligations du nord pas de calais, émise sur le marché de la bière, y'a moyen d'être remboursé rapidement.

Il doit rester au maximum 20 brasseries dans la région. Et je ne connais même pas de nom de bière du coin.

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http://www.challenges.fr/actualites/entrep…e_selon_le.html

La zone euro a une chance sur cinq de survivre, selon le CEBR

LONDRES (Reuters) - La zone euro a seulement une chance sur cinq de survivre dans sa forme actuelle au cours des dix prochaines années en raison des déséquilibres de compétitivité entre ses membres, a déclaré vendredi un cercle de réflexion britannique.

Le Centre for Economics and Business Research (CEBR) a souligné que l'Espagne et l'Italie devraient avoir à se refinancer à hauteur de 400 milliards d'euros en emprunts d'Etat au printemps prochain, ce qui pourrait potentiellement déclencher une nouvelle crise dans la zone.

"L'euro pourrait prendre fin à ce moment, même si les dirigeants européens sont normalement capables de répondre à la crise", a dit le directeur général du CEBR, Douglas McWilliams lors de l'énumération de dix prévisions pour 2011.

Vraiment, c'est trop cool.

Tout ça va bien se terminer. Obligé.

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Le lancement des obligations européennes est un "succès" . Nous continuons la course folle à l'endettement et à la misère prochaine, sous les applaudissements du public et des politiciens de plus en plus cons. C'est un peu effrayant, mais tout le monde trouve ça chouette.

Stiglitz, dans ses oeuvres, trouve qu'on n'en fait pas encore assez.

RT : http://twitter.com/#!/_h16/status/22955113064693761

wikio : (badurl) http://www.wikio.fr/vote?url=http://h16free.com/2011/01/06/6357-obligations-europeennes-un-abominable-succes (badurl)

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Plus c'est gros…

LEMONDE | 04.01.11 | 14h17 • Mis à jour le 04.01.11 | 14h17

En mai 2009, Barack Obama créait une commission d'enquête sur la crise, nommée FCIC. Son ordre de mission : "Examiner les causes, intérieures et internationales, des crises financière et économique actuelles aux Etats-Unis." Bipartite, sa composition réunissait des personnalités expérimentées représentant les idées de la nouvelle majorité démocrate et celles de l'ancienne, républicaine. Au total, autour de son président, Phil Angelides, un ex-trésorier général de l'Etat de Californie, elle incluait trois financiers et avocats d'affaires, deux anciens élus au Congrès, deux ex-conseillers économiques de George Bush, un entrepreneur et un ex-régulateur du secteur bancaire. Six penchaient démocrate (dont le président), quatre républicain (dont le vice-président, Bill Thomas, membre de l'ultraconservateur American Enterprise Institute).

En instaurant cette commission, M. Obama avait forcément pensé à la commission Pecora qui, au début de la Grande Dépression, enquêta sur ses racines et ses instigateurs. Les travaux de cette commission présidée par le procureur Ferdinand Pecora, elle aussi bipartite, nommée en 1932 sous les républicains et redynamisée par le démocrate Franklin Delano Roosevelt, débouchèrent sur une législation (loi Glass-Steagall séparant activités de dépôt et d'affaires des banques, création d'un "gendarme" des marchés, la Securities and Exchange Commission, et d'autres agences de contrôle) qui configura la vie financière américaine pour un demi-siècle, ouvrant la voie aux grandes réformes socio-économiques qui suivirent.

Dans l'esprit de M. Obama, la FCIC avait deux missions : l'une d'impulsion législative, l'autre pédagogique. Elle devait encourager cette "refondation de l'économie" que lui-même prônait - un concept aujourd'hui abandonné. Las ! Deux fois déjà, la remise de ses conclusions a été reportée. Bipartite, my foot… Aucun compromis n'y a été possible entre prorépublicains et prodémocrates. Après dix-huit mois d'auditions de 800 acteurs directs (PDG, traders, hauts fonctionnaires, experts…), des millions de pages de documents analysées, la commission s'est avérée incapable de dégager un "narrative", comme disent les Américains, un récit collectif des racines et du déroulement de la crise, quitte à signaler des divergences ici ou là.

Les républicains ont tout simplement refusé que le nom "Wall Street" figure dans ce rapport. On a bien lu : aucune "cause" de la crise, pas même partielle, ne saurait être imputable aux marchés financiers. Non seulement ceux-ci sont blancs comme neige, mais des termes comme "dérégulation", "banque fantôme" (pour désigner les fonds spéculatifs), "risque systémique" ou "interconnexion" ne devaient pas non plus apparaître. Mais alors, pourquoi cette crise ?

Les républicains de la FCIC ont résumé le 15 décembre 2010 leur position : l'unique responsable de la crise, c'est… l'Etat américain ! Pour avoir flatté les pulsions égoïstes des familles à s'endetter afin d'accéder à la propriété, pour avoir trop régulé et instrumentalisé ses bras armés de la réassurance du crédit immobilier nommés Fannie Mae et Freddie Mac, l'Etat est consacré seul coupable de la déroute financière.

Peu importe que l'Etat que dénoncent ces républicains était… le leur : qui donc détenait le pouvoir durant les huit ans ayant précédé la crise financière ? Peu importe que le rêve de l'accès de chacun à la propriété, lancé par le démocrate Bill Clinton, ait été promu avec plus de vigueur encore par le républicain George Bush. Que ce dernier n'a pas surrégulé mais dérégulé autant qu'il a pu. Que Fannie et Freddie n'étaient pas été des entreprises publiques gérées par l'Etat, mais des sociétés parfaitement privées et d'autant mieux cotées en Bourse qu'elles jouissaient d'une "garantie publique". Peu importe que, si Fannie et Freddie ont totalisé des pertes abyssales, ce n'est pas parce qu'elles étaient trop contrôlées, mais libres de leurs mouvements. Qu'enfin ces sociétés n'ont investi que tardivement dans les titres subprimes, qui plus est sous la pression des marchés, pas de l'Etat.

Bref, "le seul problème de cette théorie est qu'elle n'est pas conforme aux faits", écrit malicieusement l'enquêteur financier du New York Times, Joe Nocera, qui parle de "véritable honte". Et quand ces membres de la FCIC accusent l'Etat d'avoir précipité la panique générale en… refusant de sauver la banque d'affaires Lehman Brothers, en septembre 2008, on en reste coi ! Ainsi, pour ces pourfendeurs résolus de toute intervention publique dans les affaires économiques, l'Etat est coupable, y compris lorsqu'il suit leurs propres préceptes…

Mais où a disparu donc le pragmatisme américain, si constitutif d'une formidable capacité d'adaptation face aux difficultés ? Poursuivre la liste des erreurs et incohérences de ce document serait de peu d'intérêt. Car il ne s'agit pas, pour ces républicains-là, de participer en conscience à un "examen" permettant, comme le fit la commission Pecora, de dégager des mesures propres à juguler les propensions les plus nocives du système. Il s'agit de promouvoir un pur concentré d'idéologie. Et plus c'est gros…

"Tout cela serait risible si les conséquences n'étaient si graves", renchérit Joe Nocera, qui craint que ce texte soit le prélude au sabotage systématique de toute régulation financière par la majorité républicaine du nouveau Congrès, qui commence ses travaux cette semaine. A lire cette vision des origines de la crise, on comprend mieux pourquoi, aux yeux de la gauche américaine - cf. le film Inside Jobs -, une Christine Lagarde apparaît comme un parangon de pensée rationnelle sur la crise du capitalisme.

Courriel : cypel@lemonde.fr.

Sylvain Cypel

(badurl) http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/01/04/plus-c-est-gros_1460844_3234.html#xtor=AL-32280184 (badurl)

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:icon_up:

Jacques Attali a retrouvé ses habits de comique, il compare l'Union européenne à la confédération suisse, ben voyons… la France serait un canton, et c'est pas l'Europe qui est endettée mais bien les cantons européens, et donc si l'Europe avait un vrai un budget fédéral comme la Suisse elle ne serait pas endettée, ben voyons tout irait mieux c'est sûr..

Et puis en fait les méchants c'est les allemands, c'est rien qu'à cause d'eux qu'on va pas bien car l'Allemagne est l'enfant malade de l'Europe … :doigt:

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en plus il dit une ânerie factuelle, l'endettement de la confédération (qu'il compare avec celle de l'EU) est de 20%.

38% c'est

Confédération

Cantons

Communes

Assurances sociales

http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/inde…y/schulden.html

ça doit être + du double pour les états de l'union européenne.

ce type est vraiment un euro-nationaliste fanatique.

Enfin, on n'est plus à une connerie prés depuis 30 ans qu'on le supporte.

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Attali, là où il passe, l'herbe ne repousse pas…
Attali, là où il passe, l'herbe se fume.

Ce qui m'étonne toujours, c'est le nombre de libéraux qui ne s'attache a ses seules propositions pour en sortir une poignée a peu prés raisonnables et clamer "il est libéral, il est libéral !".

A peu de choses prés le programme de ce type est le même que celui de Suzanne Georges, supprimer tout vote avec les pieds. Il n'a, sans doute, pas digéré quand il était au pouvoir de ne pas faire ce qu'il voulait.

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C'est un excellent indicateur précurseur de gros temps… Je dis ça, je dis rien.

-> http://www.zerohedge.com/article/35-miles-…c-dry-long-time

"Back in 2007 and 2008 every single dry shipping company had put in future delivery orders for everything from Panamax to Capesize vessels, at even the most shoddy of Chinese shipyards. Now, a few years later, as these orders are starting to be completed, the world's dry bulk shipping industry is suddenly experiencing an unprecedented supply glut of coal/ore carriers, which has resulted in the Baltic Dry index droppoing below 1,500 for the first time since 2009. And as Bloomberg reports, with at least 200 capesize ships, stretching at 35 miles end to end, expected to be completed by the world's shipyards, which represents an 18% expansion in the world's shipping fleet, the excess supply will once glut the modest demand rise which is expected to come at just 7%. "
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Et pendant ce temps, l'Inde propose de payer le pétrole iranien … en Or.

http://www.zerohedge.com/article/india-off…y-iran-oil-gold

It appears that gold isn't really a currency… until it is. The Economic Times reports that India is attempting to ensure steady crude oil supplies from Iran. In doing so it is doing everything it can to pay Iran in a way that avoid loopholes associated with recent US sanctions. And the stunner: "India could settle crude oil import transaction using gold in the short term, while efforts to resolve the deadlock continue." But does Iran realize they can't possibly eat all that gold? Or that The Fed has no way of diluting to oblivion? Or that, unlike the dollar, it is currently not involved in a global race to bottom in which every central bank will have no choice but to print ever more of its linen-infused currencies? Something tells us that the answer to all three is yes.
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La crise de 2008 n'a pas suffit? Même joueur joue encore….

Avec quelques années de retard, les voici en France ! Le « PTZ+ » (Prêt à taux zéro plus) est en effet accordé quel que soit le niveau de ressources, il est réservé aux primo-accédants, et il peut représenter 40 % du montant de l’achat. L’objectif affiché du gouvernement consiste à passer de 58 % de ménages propriétaires à 70 % en moins de quinze ans, une très forte progression.

http://ladettedelafrance.blogspot.com/2011…-francaise.html

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