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Obama Presidency


Messages recommandés

Vous savez que certains États sudistes avaient rejoint l'union après 1789 ? Comme le Texas par exemple ?

Le droit de sécession était très loin de faire l'unanimité dans le Sud qui invoquait le droit de révolution : le seul sur lequel on pouvait s'appuyer sur un texte (la Déclaration d'Indépendance), le droit de sécession étant rigoureusement absent de tout texte constitutionnel.

Mais il est intéressant de voir que la rhétorique sudiste visait à masquer l'unique raison de leur refus de l'élection de Lincoln : en effet pourquoi craignait-il Lincoln ? Pour une seule et simple raison : il voyait en lui un adversaire de l'esclavage. Il n'y a pas d'autres motifs à la guerre.Comment étaient appelés les républicains par les sudistes ? les républicains noirs.

Comme le déclarait le vice-président de la Confédération Alexander Stephens : "Notre nouveau gouvernement est fondée justement sur l'idée contraire ; ses institutions sont bâties, sa pierre angulaire repose sur une grande vérité, c'est que le Nègre n'est pas l'égal de l'homme blanc ; que l'esclavage est sa condition naturelle et normale. Notre nouveau gouvernement est le premier de l'histoire du monde qui soit fondée sur cette grande vérité physique, philosophique et morale."

Pour Jefferson Davies le sud a quitté l'union pour se préserver d'une révolution qui menaçait de priver "les biens serviles de toute sécurité, au point de leur faire perdre comparativement toute valeur".

Libre à vous donc de partager le point de vue de ces gens là.

Le reste de l'argumentation juridique c'est la poudre aux yeux qui vise à masquer cela. Que des "libéraux" se fassent les défenseurs d'esclavagistes me désolent toujours sur ce forum où la rhétorique pro-sudiste est toujours très bien portée.

La Sécession a éclaté avant l'entrée en fonctions de Lincoln, avant qu'il ait fait quoi que ce soit. On ne peut donc justifier la sécession par des actes qui sont la conséquence de l'État de guerre.

Nous avons abordé l'esclavage et son abolition en cours de Civi US, aujourd'hui. J'en ai profité pour demander à ma prof qui était responsable de la guerre civile, et elle ne m'a pas donné de réponse précise, juste que les deux camps interprétaient la Constitution (notamment les premier et dixième Amendements) de façon différente. Puis elle m'a supplié de ne pas lui faire aborder cette question délicate. :icon_up:

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juste que les deux camps interprétaient la Constitution (notamment les premier et dixième Amendements) de façon différente.

Il n'y a pas plus clair que le 10ième amendement.

Je pense que lire les écrits/discours des pères fondateurs peut éventuellement aider.

Après tout ce sont eux qui ont écrit la Constitution, il me semble…

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Obamacare, c'est pas dans la poche !

http://www.google.com/hostednews/ap/articl…T5GKEQD9EGLNDO0

Idaho took the lead in a growing, nationwide fight against health care overhaul Wednesday when its governor became the first to sign a measure requiring the state attorney general to sue the federal government if residents are forced to buy health insurance.

Similar legislation is pending in 37 other states.

:icon_up:

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Intéressante synthèse sur la manière dont Obama contourne le processus législatif états-unien pour imposer ses réformes :

The below chart shows how it has become standard procedure in the Obama administration not to take no for an answer. When Obama's radical agenda is rejected by Congress and the American people, he goes around the democratic process to do what he wants anyway.

http://americansforprosperity.org/obamachart.php

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Intéressante synthèse sur la manière dont Obama contourne le processus législatif états-unien pour imposer ses réformes :

http://americansforprosperity.org/obamachart.php

lol! cette chart se garde bien de citer tous les exemples de mesures passées sans procédure spéciale par l'administration Obama depuis Janvier 2009, et il y en a beaucoup: le recovery act, la job récente job bill, la regulation des cartes de crédit

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Certains détracteurs…

Certains ? Pour ta gouverne, ça fait depuis juillet 2009 qu'Obama à la majorité de l'opinion contre lui.

Certains ? Aucun Républicain n'a voté pour cette loi et 34 Démocrates ont voté contre.

Certains ? Accroche-toi : aujourd'hui, l'Idaho va porter l'Obamacare devant les tribunaux, la Virginie, la Caroline du Sud et la Floride déclarent qu'ils vont suivre et on s'attend à ce que cette semaine le Texas, le Nebraska, l'Utah, les deux Dakotas, l'État de Washington, la Pennsylvanie, l'Oklahoma et l'Alabama fassent de même.

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J'espère qu'ils pourront annuler cette ignominie. La partie concernant l'obligation d'assurance est une atteinte aux libertés, mais ce n'est pas encore trop dramatique. En revanche l'interdiction de sélection médicale en fonction des antécédents, ca l'est. Aucune gestion du risque, comme en France tiens..

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En Californie, à l'école des ultraconservateurs

La Young America's Foundation (YAF) forme la nouvelle génération de militants de la droite radicale américaine.

Dans un coin de la pièce tapissée de multiples portraits de Ronald Reagan à cheval, une diapositive montrant les visages déformés par la colère des démocrates Michael Moore, Al Gore et Howard Dean, a provoqué les huées des 120 adolescents présents. Ces membres de la Young America's Foundation sont venus au Reagan Ranch Center de Santa Barbara pour participer à l'une des deux High School Conferences annuelles de l'organisation ultraconservatrice afin, explique Paul Anderson, 15 ans, «de consolider nos valeurs, d'étudier la doctrine de Ronald Reagan, et d'apprendre les méthodes qui nous permettront de ­faire de nouveaux adeptes».

Fondée en 1969, employant 40 personnes et financée par des donateurs privés ainsi que diverses autres fondations, la YAF gère un réseau de 2000 membres actifs sur les campus américains, de 70 conférenciers (le stratégiste de George Bush, Karl Rove, la pasionaria Ann Coulter, l'ex-candidat républicain Tom Tancredo, pour ne citer qu'eux) qui interviennent régulièrement en son nom dans les amphithéâtres des universités nationales.

Des adolescents de 13 à 17 ans, polis et disciplinés

L'objectif de la YAF est purement propagandiste : «Planter les idées conservatrices dans l'esprit des jeunes et les propager grâce à la formation de clubs d'étudiants», déclare Patrick Coyle, 36 ans, son grisonnant vice-président.

Depuis trois jours, une quinzaine d'orateurs se sont succédé devant les lycéens, ressassant les mêmes griefs : ils sont victimes de persécutions idéologiques ; leurs pratiques religieuses sont menacées ; le gouvernement, totalement incompétent, a mis des communistes au pouvoir ; l'ex-président Ronald Reagan est l'unique responsable de la fin de la guerre froide et de la chute du mur de Berlin ; les États-Unis sont véritablement exceptionnels (pas comme la France, a précisé l'auteur et acteur Joseph Phillips, qui, elle aussi, se croit grande, mais à tort) ; les Pères fondateurs, Thomas Jefferson en tête, n'ont jamais eu l'intention de séparer l'État de l'Église, en tout cas certainement pas de la foi ; Obama est musulman, déteste son pays et cherche à le détruire en plombant ses forces armées et son économie. Exprès.

Des déclarations incendiaires que les jeunes gens ont accueillies avec des mines tantôt consternées, tantôt outragées. Tant d'injustices souffertes par leurs amis aux mains des socialistes de la Maison-Blanche ! Polis, disciplinés et attentifs, ces adolescents de 13 à 17 ans sont arrivés ici acquis à la cause, élevés par des sympathisants du Tea Party, un mouvement issu de la base, désireux de voir leurs rejetons rester dans le giron politico-religieux de la mouvance conservatrice.

Inquiète, une adolescente demande : «Comment en sommes-nous arrivés là ? Que pouvons-nous faire pour reprendre le pouvoir ?» A les entendre tous, on croirait que Bush n'a jamais été président, que les démocrates sont aux commandes depuis des décennies. Après ces journées d'endoctrinement, les lycéens sont désormais convaincus d'être victimes d'une terrible et dangereuse cabale. S'ils ne deviennent pas les soldats de leur cause, ils n'auront bientôt plus le loisir de s'épancher librement. Ils seront devenus les esclaves, soit des communistes (épouvantail agité par Michael Reagan le fils aîné de l'ex-président), soit des islamistes (menace analysée par Robert Spencer, le fondateur de Jihad Watch).

«Vous n'êtes pas seuls»

«Lorsque vous intégrerez la fac, attendez-vous à être privés de votre liberté d'expression et cernés par des gauchistes mécréants. Le milieu universitaire n'est composé que de ça, a expliqué Patrick Coyle dans le discours de clôture. Aussi ferez-vous partie d'une minorité. Soyez forts et n'oubliez pas que vous n'êtes pas seuls. Nous sommes là pour vous aider. Et nous nous débarrasserons de ces gueux.» Coyle a été reçu par des ovations. Son intervention a pour objet d'enseigner des tactiques et stratégies du militantisme dans les établissements scolaires.

Lorsqu'il y a une heure, un collègue l'a présenté comme un croisé maintes fois accusé par la presse d'incitation à la haine, il s'est montré flatté. «Il m'a totalement inspirée déclare Geneviève, 17 ans, la fille d'un couple de médecins de Géorgie. Grâce à cette conférence, je saurai maintenant comment défendre mes convictions.» Megan Loomis, elle, n'est pas convaincue. Son grand-père, Mike Kiegel, un député du Kansas, l'a forcée à venir pour la remettre dans le droit chemin. «Je suis la brebis galeuse de ma famille, car j'ai des idées trop libérales, raconte-t-elle amusée. Cette conférence n'a fait que les renforcer.»

Rien n'a bougé dans le ranch de Reagan

Le deuxième jour de la conférence, les adolescents ont visité le Rancho del Cielo de Ronald et Nancy Reagan. Acquis par le couple en 1974, ce ranch fut rebaptisé la Western White House pendant la présidence de Reagan tant il aimait y passer du temps. On raconte que, invités à y séjourner brièvement, les Gorbatchev, la reine d'Angleterre et Margaret Thatcher exprimèrent leur étonnement de découvrir leur hôte dans une si modeste demeure. D'une superficie d'environ 160 mètres carrés répartis en quatre pièces, la maison est en effet d'une simplicité surprenante. La chambre des Reagan, en particulier, est meublée d'un mobilier sans prétention et d'une couche matrimoniale faite de l'union de deux lits jumeaux.

http://www.lefigaro.fr/international/2010/…servateurs-.php

Et ça croit servir son pays :icon_up:

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Une augmentation des taxes, déguisée en réforme de la santé !

La réforme de la santé qui vient d'être votée oblige les citoyens à souscrire à la couverture universelle, sous peine d'amendes fédérales !!!

C'est contre le droit naturel qui régit la constitution des Etats-unis, c'est contre le principe de liberté. Le seul but étant de renflouer les caisses de l'Etats en accroissant le contrôle du gouvernement sur ses cityoens!

En plus de cela, elle détruit les emplois du privés en rendant difficile l'embauche par les PME (en temps de crise !), augmentant par la même ceux du public.

Obama vient de tourner un peu trop à gauche dans l'esprit des Américains!

Ils croie résoudre le déficit par les bonnes vieilles méthodes socialistes (en d'autre terme, la méthode facile) mais il aurait mieux fait d'en observer les résultats gangréneux en Europe avant de se lancer dans une tel projet.

Cette réforme anti-libérale (au sens Européen du terme) a plus pour objectif d'augmenter les taxes que de donner une simple couverture santé à ces personnes.

Il vient également de saboter la majorité démocrate au congrès qui va tres certainement repasser républicain en Novembre du fait de l'impopularité de sa réforme, républicains qui feront tout pour faire abroger cette loi, ou du moins ce qui en est illgégal.

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Une augmentation des taxes, déguisée en réforme de la santé !

La réforme de la santé qui vient d'être votée oblige les citoyens à souscrire à la couverture universelle, sous peine d'amendes fédérales !!!

C'est contre le droit naturel qui régit la constitution des Etats-unis, c'est contre le principe de liberté. Le seul but étant de renflouer les caisses de l'Etats en accroissant le contrôle du gouvernement sur ses cityoens!

En plus de cela, elle détruit les emplois du privés en rendant difficile l'embauche par les PME (en temps de crise !), augmentant par la même ceux du public.

Obama vient de tourner un peu trop à gauche dans l'esprit des Américains!

Ils croie résoudre le déficit par les bonnes vieilles méthodes socialistes (en d'autre terme, la méthode facile) mais il aurait mieux fait d'en observer les résultats gangréneux en Europe avant de se lancer dans une tel projet.

Cette réforme anti-libérale (au sens Européen du terme) a plus pour objectif d'augmenter les taxes que de donner une simple couverture santé à ces personnes.

Il vient également de saboter la majorité démocrate au congrès qui va tres certainement repasser républicain en Novembre du fait de l'impopularité de sa réforme, républicains qui feront tout pour faire abroger cette loi, ou du moins ce qui en est illgégal.

http://www.slate.com/id/2248560/

Ce site semble dire le contraire :

Health Care Reform FAQ - Can Republicans really repeal it? Does it violate the 10th Amendment? How, exactly, does it reduce the deficit?

By Christopher BeamPosted Monday, March 22, 2010, at 6:37 PM ET

The House of Representatives passed health care reform Sunday night. This new legislation will extend coverage to millions of uninsured Americans, prohibit insurers from discriminating against sick people, and reduce the federal deficit in the coming decades, according to official estimates. Yet many questions remain unanswered. Here's a sampling.

The bill costs nearly $1 trillion in the first 10 years. How exactly does it reduce the deficit?

First, it slows spending on Medicare and Medicaid by reducing the rates those programs pay for services such as hospital visits. (It also reduces the amounts paid out through the Medicare Advantage program.) Second, it introduces new taxes, including a 0.9 percent Medicare payroll tax hike for workers who make more than $200,000 a year (and couples who make more than $250,000 a year) and a 3.8 percent tax on unearned income for the same tax brackets. Both taxes will take effect in 2013. Lastly, the so-called "Cadillac" tax on relatively high-end employer-sponsored insurance plans will target individual plans that cost more than $10,200 every year and family plans that cost more than $27,500. (The "Cadillac" tax won't roll out until 2018.) The Congressional Budget Office estimates that, together, these measures will decrease spending and increase revenue enough to reduce the deficit by $143 billion over the first 10 years and more than $1 trillion in the second decade.

There's a fine for not having insurance. How does the government know whether you have insurance or not?

Through the tax system. The legislation doesn't explicitly say how the individual mandate for health insurance will be enforced, but taxpayers will probably be required to prove that they own insurance when filing their taxes each year. (If you get insurance through your employer, they'll help take care of it. If you're self-employed, your insurer will probably send you a document to submit with your other tax forms.) If a taxpayer doesn't have insurance, the IRS will notify him of his nonenrollment and show him how to sign up through their state's insurance exchange. If he still refuses to enroll, the IRS will levy a fine that shows up on his tax forms. The fee starts small in 2014—$95 or 1 percent of income—but edges up incrementally until 2016, when uninsured individuals will have to pay $695 a year, with a family maximum of $2,085 or 2.5 percent of household income.

What if I have federally subsidized insurance and need an abortion? Who pays for it?

You do. The compromise struck between the House and the Senate says that federal funds cannot be used to pay for abortions. So if the federal government fully subsidizes your plan, you have to pay out of pocket for abortions—except in cases of rape or incest. (This is the same arrangement for women covered by Medicaid.) Even if the government only partly subsidizes your insurance, you still have to pay for the portion of the insurance that covers abortion. Here's how it works: You write two separate checks to your insurance company every month—one to cover possible abortions, one for all other treatments and services. The federal government then contributes a third stream of money, which cannot be used to pay for abortions. Insurers that offer abortion coverage are required to keep those three pots of money separate. So any time someone gets an abortion, it's paid for from the account devoted exclusively to abortion coverage. (Pro-life advocates who claim that the health care bill subsidizes abortion argue that even if you keep the pots of money separate, the government is still contributing to plans that allow abortion.)

The Virginia attorney general has promised to file a lawsuit against the federal government claiming that it can't compel Virginians to buy health insurance. His supporters say health care reform violates the 10th Amendment. Does it?

Probably not. The 10th Amendment states that "[t]he powers not delegated to the United States by the Constitution, nor prohibited by it to the states, are reserved to the states respectively, or to the people." The federal government, however, can claim two Constitutional justifications for mandating health care. One is the right to regulate interstate commerce, which includes any business that operates across state lines. (Even if not all health insurance companies operate in more than one state, Congress can still regulate them as long as that regulation is part of a comprehensive interstate scheme, according to the Supreme Court.) Congress also has the Constitutional right to tax. Just as Congress taxes polluting companies for imposing a burden on other people, it could tax Americans who don't buy health insurance for doing the same. As if to emphasize the point, the fine for not buying insurance is levied by the IRS.

What would it take to repeal health care reform?

Realistically, a Republican majority in the House and Senate, plus a Republican president. Even if the GOP won back a majority in the House and Senate in 2010, President Obama could still veto any legislation that would repeal any part of health care reform. Republicans would then need a two-thirds majority in both chambers to override his veto. That's unlikely.

If the Republicans control the House, Senate, and presidency in 2012, they will still need 60 votes in the Senate to overhaul the bill in its entirety. They could, however, cut off funding for it through the budget reconciliation process, which only requires a 51-vote majority. But they wouldn't be able to tamper with any part of the legislation that doesn't affect the budget, such as the ban on discrimination against pre-existing conditions.

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En gros il rajoute un truc à côté de Medicaid ? Pourquoi ne pas l'étendre tout simplement ?

Pour la non-discrimination aux antécédents, est-ce que ça inclut les conduites à risque (tabac par exemple) ?

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La loi sur la réforme de l'assurance maladie de Barack Obama devra être renvoyée devant la Chambre des représentants pour un nouveau vote en raison d'une irrégularité de procédure, a déclaré le porte-parole du chef de la majorité démocrate au Sénat américain.

"Après des heures à essayer de bloquer" le texte, les Républicains "ont trouvé deux dispositions relativement mineures qui constituent des vices de la procédure du Sénat et nous allons devoir renvoyer le texte devant la Chambre des représentants", a déclaré mercredi soir Jim Manley, porte-parole du chef de la majorité au Sénat Harry Reid.

Ce rebondissement constitue un revers pour les démocrates, qui avaient finalement voté le texte dimanche à la Chambre des représentants par 219 voix contre 212, après des mois de difficiles négociations. (belga/mb)

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/arti…e-revotee.dhtml

:icon_up:

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Hu's coming to dinner.

Hu Jintao passe à D.C. dans quelques semaines.

Espérons qu'il obtienne d'Obama qu'il remette enfin un minimum d'ordre dans la gestion affolante de son pays en plein dérapage incontrôlé. Au moins l'économie, la monnaie et les guerres. Le monde ne peut tout de même pas se permettre que ça continue.

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