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La privatisation de l'enseignement


Lapin kulta

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:icon_up: tout à fait d'accord

d'accord avec toi! Mais ne pense tu pas que certains biens peuvent avoir une valeur superieure à une quelconque valeur marchande (valeur monétaire!). Je te renvoie encore à la distenction valeur d'échange/d'usage operée par les classiques (smith/ricardo) et marx (il ne faut pas denigrer marx qui etait un grand admirateur des classiques: Il a écrit ses theses a une époque ou l'homme bosait 12 h par jour plus travail des enfants: Il avait quelques raisons pour critiquer le systeme. ses theses restent today interessantes pour comprendre le capitalisme)

La question de la valeur est centrale: C'est d'elle que découle toute politique économique!!!!!

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d'accord avec toi! Mais ne pense tu pas que certains biens peuvent avoir une valeur superieure à une quelconque valeur marchande (valeur monétaire!). Je te renvoie encore à la distenction valeur d'échange/d'usage operée par les classiques (smith/ricardo) et marx (il ne faut pas denigrer marx qui etait un grand admirateur des classiques: Il a écrit ses theses a une époque ou l'homme bosait 12 h par jour plus travail des enfants: Il avait quelques raisons pour critiquer le systeme. ses theses restent today interessantes pour comprendre le capitalisme)

La question de la valeur est centrale: C'est d'elle que découle toute politique économique!!!!!

tu tourne en rond. Je t'avais déjà répondu, vas lire Bastiat si tu veux comprendre quelque chose sur la conception de la valeur par les libéraux en science économique. Ce qui fonde la valeur c'est la confrontation de deux préférences subjectives pour des tonnes de raisons propres aux individus (donc forcement en train à leur propre morale).

http://bastiat.org/fr/de_la_valeur.html

Ton erreur est de considérer que les gens ne s'échangent que de l'argent. Or, dans nos vies, nous passons plus de temps à nous échanger des choses imatérielles que des choses matérielles. Ainsi, les gens passent leur temps à s'échanger de l'informations (comme nous le faisons), de l'affection, etc… bien plus qu'à échanger des biens matériels.

Marx a une vision biaisée de la valeur et des échanges par son matérialisme historique exclusif.

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tu tourne en rond. Je t'avais déjà répondu, vas lire Bastiat si tu veux comprendre quelque chose sur la conception de la valeur par les libéraux en science économique. Ce qui fonde la valeur c'est la confrontation de deux préférences subjectives pour des tonnes de raisons propres aux individus (donc forcement en train à leur propre morale).

http://bastiat.org/fr/de_la_valeur.html

Ton erreur est de considérer que les gens ne s'échangent que de l'argent. Or, dans nos vies, nous passons plus de temps à nous échanger des choses imatérielles que des choses matérielles. Ainsi, les gens passent leur temps à s'échanger de l'informations (comme nous le faisons), de l'affection, etc… bien plus qu'à échanger des biens matériels.

C'est ce matérialisme historique exclusif de Marx qui biaise ta vue sur l'action l'humaine.

non justement c'est l'erreur des "économistes" néoclassiques qui considerent que la valeur se resume à l'utilité c'est a dire a une valeur monétaire. marx et les classiques avaient bien compris que toute valeur n'etait pas forcement marchandise! lllllll'ecole autrichienne avait aussi compris cela puisque leur definition de l'éco: échange d'actions! Pou eux l'éco releve de la praxéologie (science des comportements humaines). C'est la definition que tu semble adopter!

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non justement c'est l'erreur des "économistes" néoclassiques qui considerent que la valeur se resume à l'utilité c'est a dire a une valeur monétaire. marx et les classiques avaient bien compris que toute valeur n'etait pas forcement marchandise! lllllll'ecole autrichienne avait aussi compris cela puisque leur definition de l'éco: échange d'actions! Pou eux l'éco releve de la praxéologie (science des comportements humaines). C'est la definition que tu semble adopter!

sorry pou les fautes d'orthographe mai ja commence a m'enfummer la gueule! :icon_up:

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svenaxe, le prix d'un service ou d'un bien ne représente pas sa "valeur" au sens où tu l'entends, cette "valeur d'usage" n'est pas représentable par un prix.

Même le prix des poireaux que je viens de manger ne représente pas leur valeur, c'est a fortiori vrai pour l'éducation, mais ça n'est nullement une raison d'étatiser les poireaux ou l'éducation.

Dans un de tes posts précédent, tu disais :

Le marché est-t-il le meilleur instrument pour dénicher du talent?

Bien d'accord avec toi, mais je reformulerais cette question ainsi :

La liberté ou de la contrainte, quel est le meilleur instrument pour découvrir et permettre aux talents des hommes de se réaliser ?.

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svenaxe, le prix d'un service ou d'un bien ne représente pas sa "valeur" au sens où tu l'entends, cette "valeur d'usage" n'est pas représentable par un prix.

Même le prix des poireaux que je viens de manger ne représente pas leur valeur, c'est a fortiori vrai pour l'éducation, mais ça n'est nullement une raison d'étatiser les poireaux ou l'éducation.

Dans un de tes posts précédent, tu disais : 

Bien d'accord avec toi, mais je reformulerais cette question ainsi :

La liberté ou de la contrainte, quel est le meilleur instrument pour découvrir et permettre aux talents des hommes de se réaliser ?.

si, dans l'analyse neoclassique si une pomme vaut 2euros et un bouquin 4euros cela signifie que la "consommation" du livre me procure 2 fois plus d'"utilité" que la consommation de la pomme': Le livre a une utilité marginale superiure a celui de la pomme. Ainsi les prix refletent bien les preferences des consommaturs: C'est bien cela le genie du marché: Il permet d'enregistre les daisirs des consommateurs! cette logique doit il s'appliquer à tout les biens?

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Invité alpheccar
si, dans l'analyse neoclassique si une pomme vaut 2euros et un bouquin 4euros cela signifie que la "consommation" du livre me procure 2 fois plus d'"utilité" que la consommation de la pomme': Le livre a une utilité marginale superiure a celui de la pomme.

Non. Dans l'approche neoclassique on ne peut comparer des valeurs que lorsque des répartitions de biens sont sur la même courbe d'indifférence. A ce moment là, dire que l'on peut échanger 1 unité de X contre n de Y et obtenir la même satisfaction alors c'est dire que n unités de Y ont la même valeur qu'une de X à la marge.

Mais cela ne vaut que si l'on reste sur la même courbe d'indifférence. Sinon, tout ce qu'on peut dire c'est qu'on préfère une combinaison (X,Y) à une autre mais pas de combien on la préfère.

L'utilité est un artifice mathématique introduit pour décrire les courbes d'indifférence. C'est toujours le problème lorsque les gens sont noyés par les maths sans savoir d'où ça vient et ce que ça signifie : généralisation abusive. On ne peut pas interpréter l'utilité comme mesurant de combien on préfère (X,Y) à (X',Y') si on n'est pas sur la même courbe d'indifférence parce que cela n'a pas de sens.

Là où il y a comparaison de valeur c'est pour la mesure du bien être social. On mesure ce qu'on a dû payer pour un bien par rapport à ce qu'on était prêt à payer. Et ce sont ces valeurs qui sont comparées. Mais ici il ne s'agit pas de comparaison de valeur entre objets différents mais de comparaison de bien être social entre équilibres différents.

En résumé : l'économie neoclassique c'est simpliste, simplificateur et les gens confondent leur modèle avec la réalité en oubliant les hypothèses sur lesquelles repose le modèle et leur limite de validité.

Attention : un modèle peut être mathématiquement compliqué mais être néanmoins très simpliste si les hypothèses sur lesquelles il repose le sont.

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Invité alpheccar
Et les courbes d'indifférences sont une fiction aussi. Dans la réalité, on fait toujours un choix donc on est jamais indifférent.

Exact. C'est bien pour cela que je parle d'hypothèses simplificatrices. Et si c'était la seule fiction … il y en a d'autres.

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Le marché de l'éducation n'est pas un marché comme les autres, le marché des voitures n'est pas un marché comme les autres, le marché de la santé n'est pas un marché comme les autres, le marché des carottes n'est pas un marché comme les autres, le marché de l'assurance n'est pas un marché comme les autres, le marché de l'informatique n'est pas un marché comme les autres, le marché des transports n'est pas un marché comme les autres.

On est bien d'accord, tous les services sont différents, aucun n'est "comme les autres".

:icon_up:

Et Alpheccar:

En résumé : l'économie neoclassique c'est simpliste, simplificateur et les gens confondent leur modèle avec la réalité en oubliant les hypothèses sur lesquelles repose le modèle et leur limite de validité.
Mais il n'y a que les neo-classiques pour imaginer un modèle uniforme et mathématisable du marché. Le marché ce n'est pas ça, le marché, c'est le processus dynamique au sein duquel par l'échange de services, les hommes découvrent comment améliorer leur condition. Les règles de marché sont différentes pour tous les services, elles sont évolutives, et la meilleure manière de développer des institutions adaptées aux spécificités de chaque type de service, c'est le laissez faire, l'expérience issue de de l'imagination des hommes, de leur génie et de leurs erreurs  ; ce n'est pas de figer le marché dans un fonctionnement rigide - fruit de la prétention des experts, du désir de pouvoir des politiques, de l'envie et de la jalousie de chacun - qui ne tient que par la contrainte et la spoliation.

Ce que fait le néo-classique, ainsi que le socialiste et le keynésien, conduit à deux choses:

- les préférences individuelles ne sont pas prises en compte: ainsi, quelques décennies/sièecles plus tard, les socialistes français disent "il faut remettre l'homme au centre de l'économie", phrase que je comprends par "il faut devenir libéral"

- le marché a un fonctionnement pur et parfait, les mêmes socialistes nous disent, comme si c'était une conclusion: "le marché est uniforme".

Bravo pour ce commentaire wapiti.

J'ajouterai que le néo-classique ne modèlise même pas l'acteur clé qu'est l'entrepreneur, ce qui est relativement grave.

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Non. Dans l'approche neoclassique on ne peut comparer des valeurs que lorsque des répartitions de biens sont sur la même courbe d'indifférence. A ce moment là, dire que l'on peut échanger 1 unité de X contre n de Y et obtenir la même satisfaction alors c'est dire que n unités de Y ont la même valeur qu'une de X à la marge.

Mais cela ne vaut que si l'on reste sur la même courbe d'indifférence. Sinon, tout ce qu'on peut dire c'est qu'on préfère une combinaison (X,Y) à une autre mais pas de combien on la préfère.

L'utilité est un artifice mathématique introduit pour décrire les courbes d'indifférence. C'est toujours le problème lorsque les gens sont noyés par les maths sans savoir d'où ça vient et ce que ça signifie : généralisation abusive. On ne peut pas interpréter l'utilité comme mesurant de combien on préfère (X,Y) à (X',Y') si on n'est pas sur la même courbe d'indifférence parce que cela n'a pas de sens.

Là où il y a comparaison de valeur c'est pour la mesure du bien être social. On mesure ce qu'on a dû payer pour un bien par rapport à ce qu'on était prêt à payer. Et ce sont ces valeurs qui sont comparées. Mais ici il ne s'agit pas de comparaison de valeur entre objets différents mais de comparaison de bien être social entre équilibres différents.

En résumé : l'économie neoclassique c'est simpliste, simplificateur et les gens confondent leur modèle avec la réalité en oubliant les hypothèses sur lesquelles repose le modèle et leur limite de validité.

Attention : un modèle peut être mathématiquement compliqué mais être néanmoins très simpliste si les hypothèses sur lesquelles il repose le sont.

d'ac avec toi, Mais pour simplifier on peut considerer que les économistes neoclassiques considerent que les prix sont censés representer les preferences des agents! D'ou une "harmonie economique". Mais je reviens à ma question centrale: Faut-il-tout evaluer monetairement? cela semble etre la pensée dominante aujourd'hui! Je n'ai pa de position claire sur cette question Mais je considere que des biens comme l'air, l'eau (qui vont devenir des questions centrales) doivent échapper à une pure logique marchande! Ton avis?

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Faut-il-tout evaluer monetairement? cela semble etre la pensée dominante aujourd'hui!

Ce sont les néo-classiques, et leurs successeurs qui ont mathématisé (en fait, qui ont rajouté des tonnes d'equations) l'economie.

Dans les livres d'economie comme ceux de Mises ou Rothbard, tu ne trouveras aucun calcul, pas d'évaluation monétaire des choses.

Rappele toi d'une chose, sveznaxe: comment les théories auxquelles tu te réféères traitent-elles du cas des oeuvres d'art?

C'est simple elles disent "trop compliqué, on laisse tomber". Ces théories ne peuvent pas DU TOUT expliquer l'économie qui se trouve derrière les galeries d'art, les musées, etc…

A l'inverse, l'economie centrée sur l'individu et non des constructions mythiques comme "le marché" (en tant que lieu) comme celle proposée par l'ECOLE AUTRICHIENNE traite ce cas parfaitement bien.

Btref: tu attribues aux libéraux des défauts opropres à TA théorie!

Je n'ai pa de position claire sur cette question Mais je considere que des biens comme l'air, l'eau (qui vont devenir des questions centrales) doivent échapper à une pure logique marchande! Ton avis?

1 - ta distincition "logique marchande/logique pas marchande" est fallacieuse, tu essaies de dire en fait "c'est pas sympa de privatiser l'air", c'est tout, il n'y a rien de plus d'un point de vue du sens.

2 - le moins que l'on puisse dire, c'est que tu es avare en détails: pourquoi devrait-on nationaliser ces…."biens publics"?

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Le fait que l'on vende et achète des biens et des services ne signifie pas qu'on les évalue uniquement monétairement. Quand tu achète un bien de consommation, ce n'est pas parce qu'il coûte X €, c'est parce que tu as envie de le consommer, et qu'il te semble plus important que ce que tu pourrais acquérir d'autre avec ces X €.

L'importance que tu accorde au bien-être que t'apporte la consommation de ce bien n'est pas monétaire. Il n'y a à la rigueur que les financiers qui ne s'intéressent qu'à la valeur monétaire : le producteur n'est pas orienté uniquement par le profit qu'il pourra tirer d'une activité, mais aussi par l'intérêt qu'il accorde au fait d'exercer cette activité.

Bref tout ça pour dire, que c'est un raisonnement de gauchiste de stigmatiser la "marchandisation" d'un bien parce qu'il fait l'objet d'un échange contre de l'argent. Les prix ne mesurent pas la valeur humaine des choses, ils sont un signal qui permet de guider la production et la consommation en fonction des ressources disponibles et des préférences des consommateurs.

A ta question "Faut-il-tout evaluer monetairement?", j'ai donc deux réponses :

1. OUI, tout ce qui est rare doit avoir un prix, car c'est la seule façon de répartir un bien rare sans recourir à une répartition politique (donc arbitraire et reposant sur la contrainte).

2. NON rien ne doit être évalué monétairement, car la valeur monétaire d'un bien ne dis rien sur l'utilité réelle de ce bien pour tel ou tel individu.

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Ce sont les néo-classiques, et leurs successeurs qui ont mathématisé (en fait, qui ont rajouté des tonnes d'equations) l'economie.

Dans les livres d'economie comme ceux de Mises ou Rothbard, tu ne trouveras aucun calcul, pas d'évaluation monétaire des choses.

Rappele toi d'une chose, sveznaxe: comment les théories auxquelles tu te réféères traitent-elles du cas des oeuvres d'art?

C'est simple elles disent "trop compliqué, on laisse tomber". Ces théories ne peuvent pas DU TOUT expliquer l'économie qui se trouve derrière les galeries d'art, les musées, etc…

A l'inverse, l'economie centrée sur l'individu et non des constructions mythiques comme "le marché" (en tant que lieu) comme celle proposée par l'ECOLE AUTRICHIENNE traite ce cas parfaitement bien.

Btref: tu attribues aux libéraux des défauts opropres à TA théorie!

1 - ta distincition "logique marchande/logique pas marchande" est fallacieuse, tu essaies de dire en fait "c'est pas sympa de privatiser l'air", c'est tout, il n'y a rien de plus d'un point de vue du sens.

2 - le moins que l'on puisse dire, c'est que tu es avare en détails: pourquoi devrait-on nationaliser ces…."biens publics"?

Tu as tout a fait raison. Hayek ne disait il pas qu'il faut se mefier du "scientisme"! Je ne suis pas un fanatique de la pensée neoclassique! OUI pour moi comme tu le dis si bien ce n'est pas "sympa" de privatiser l'air. Por toi c'est surement un grand progrés pour l'humanité si ces biens rentrent entre les mains des firmes multinationales (comme ca commence a etre le cas pour l'eau: On voit les degats sur la population palestinienne qui consomme de l'eau de moins bonne qualité que les israeliens. Mais de cela on en parle pas dans les journaux!)

Le liberalisme c'est permettre à chaque population de disposer LIBREMENT de leurs propres ressources!

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Tu as tout a fait raison. Hayek ne disait il pas qu'il faut se mefier du "scientisme"! Je ne suis pas un fanatique de la pensée neoclassique! OUI pour moi comme tu le dis si bien ce n'est pas "sympa" de privatiser l'air. Por toi c'est surement un grand progrés pour l'humanité si ces biens rentrent entre les mains des firmes multinationales (comme ca commence a etre le cas pour l'eau: On voit les degats sur la population palestinienne qui consomme de l'eau de moins bonne qualité que les israeliens. Mais de cela on en parle pas dans les journaux!)

Le liberalisme c'est permettre à chaque population de disposer LIBREMENT de leurs propres ressources!

T'entends quoi par LIBREMENT ?

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T'entends quoi par LIBREMENT ?

librement dans le sens ou chaque population doit pouvoir decider comment utiliser ses ressources naturelles! Ces ressources doivent servir au developpement de la population locale et non les interets financiers des firmes multinationales! Aujourd'hui on assiste a un veritable pillage effectué par les FM au profit des actionnaires et au detriment des populations locales: Il s'agit de transferts de richesses qui bloquent le decolage economique des pays pauvres!!!!C'est bien cela malheureusement la realité: La liberté de circulation du capital peut avoir des effets destructeur!!!!

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OUI pour moi comme tu le dis si bien ce n'est pas "sympa" de privatiser l'air. Por toi c'est surement un grand progrés pour l'humanité si ces biens rentrent entre les mains des firmes multinationales

Dis moi si tu es d'accord avec ces phrases: "la vie de Chitah est privatisée. Elle appartient de manière privée à Chitah. Pourtant, la vie de Chitah n'est pas entre les mains d'une multinationale".

Q'en penses-tu?

Le liberalisme c'est permettre à chaque population de disposer LIBREMENT de leurs propres ressources!

Précise cette phrase, c'est ce que demande Roland dans le post ci dessus. Quelles ressources? Que veut dire "librement"?

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Dis moi si tu es d'accord avec ces phrases: "la vie de Chitah est privatisée. Elle appartient de manière privée à Chitah. Pourtant, la vie de Chitah n'est pas entre les mains d'une multinationale".

Q'en penses-tu?

Précise cette phrase, c'est ce que demande Roland dans le post ci dessus. Quelles ressources? Que veut dire "librement"?

ta phrase n'a pas de sens!!!

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ta phrase n'a pas de sens!!!

Je voulais juste te montrer que dans ton esprit, "privatiser" implique (ou même est synonyme de) "donner à des multinationales".

La loi de 1905 sur le rapport entre religion et Etat privatise la question religieuse. Se retrouve-t-elle dans les mains d'une multinationale? Si oui, laquelle? Et quand bien même il y en aurait une (appelons là Jesus Corp), penses-tu qu'il est équivalent de souscrire aux services de Jesus Corp. et d'être forcé d'adhérer à une religion d'Etat?

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Je voulais juste te montrer que dans ton esprit, "privatiser" implique (ou même est synonyme de) "donner à des multinationales".

La loi de 1905 sur le rapport entre religion et Etat privatise la question religieuse. Se retrouve-t-elle dans les mains d'une multinationale? Si oui, laquelle? Et quand bien même il y en aurait une (appelons là Jesus Corp), penses-tu qu'il est équivalent de souscrire aux services de Jesus Corp. et d'être forcé d'adhérer à une religion d'Etat?

Bien sur que la religion n'interesse pas les FM puisque on ne peut pas exploiter la religion:La religion n'engendre pas de plusvalue (ou valeur ajoutée). Et oui privatiser signifie dans bien de cas donner aux FM, ce qui n'est pas forcement une mauvaise chose!

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Bien sur que la religion n'interesse pas les FM puisque on ne peut pas exploiter la religion:La religion n'engendre pas de plusvalue (ou valeur ajoutée). Et oui privatiser signifie dans bien de cas donner aux FM, ce qui n'est pas forcement une mauvaise chose!

Tu préfères les firmes nationales? La religion n'est pas source de profit?

Mais qu'est-ce que tu racontes?

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Bien sur que la religion n'interesse pas les FM puisque on ne peut pas exploiter la religion:La religion n'engendre pas de plusvalue (ou valeur ajoutée). Et oui privatiser signifie dans bien de cas donner aux FM, ce qui n'est pas forcement une mauvaise chose!

Walter fait un appel à une discussion un peu raisonnable et réfléchie.

Tu t'exprimes, c'est en tout cas ma perception, comme si tu haranguais les foules, en simplifiant ton propos, j'en suis sûr.

Si la religion ne produisait pas de valeur ajoutée, pourquoi est-ce que ça existerait? Tu entends par "valeur ajoutée" quelquechose comme une somme d'argent, mais je ferais la même remarque que pour le cas de l'art: tes théories ne permettent d'appréhender (très très mal, nous y reviendrons) que le cas d'échanges de biens manufacturés, et encore, il ne vaut mieux pas que l'on s'approche trop des cas comme les sacs Vuitton ou la Joconde, ou encore la production de talisman et de grigris car alors tu balaierais cela d'un revers de main.

La remarque que je te fais est cruciale: tout un pan de l'action humaine t'échappe, il serait temps de s'en rendre compte. Et le peu qui peut être traité par tes théories l'est de manière superficielle, farfelue, partiale, en bref: c'est de la politique, c'est-à-dire l'emploi de la force pour arriver à des fins que l'on définit arbitrairement comme collectives. Cela impose deux questions: pourquoi collectif? Et pourquoi par la force?

Malheureusement, tu éludes ces questions dans ton esprit.

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Je suis mort de rire. Tu te prétends libéral mais tu défends l'impôt qui est l'antithèse de la propriété privée! Des "libéraux" dans ton genre, on en trouve… à l'UMP. Tu peux aller faire un tour sur leur forum :icon_up:

J'en ai ras-le-bol de ces propos désobligeants. Si quelqu'un a à inviter un intervenant à aller se faire voir ailleurs, c'est moi et moi seul.

Je n'ai ni besoin ni envie d'avoir des flics de la pensée ici.

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Tu préfères les firmes nationales? La religion n'est pas source de profit?

Mais qu'est-ce que tu racontes?

la religion n'est pas un domaine ou une FM peut degager des economies d'echelle (diminution du cout unitaire de production lorsque l'echelle de la poroduction augmente). eh oui pour des biens aussi precieux que l'eau et l'air je prefere qu'ils n'entrent pas dans la sphere marchande!!!!SORRY

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la religion n'est pas un domaine ou une FM peut degager des economies d'echelle (diminution du cout unitaire de production lorsque l'echelle de la poroduction augmente). eh oui pour des biens aussi precieux que l'eau et l'air je prefere qu'ils n'entrent pas dans la sphere marchande!!!!SORRY

L'air n'est pas une denrée rare.Il n'y adonc rien à privatiser.

L'eau par contre,.. tu trouves que les solutions étatiques en matière d'écologie donnent des bons résultats?

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Invité jabial
Je pense que personne ne considere que financer l'education soit un vol (si?) meme si cela ce fait par impot!

Manque de pot, tu es tombé sur un forum où quelque soit le prétexte pour lequel il est commis, on sait encore reconnaître un vol.

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Invité jabial
question cetrale (selon moi!): Le marché est-t-il le meilleur instrument pour dénicher du talent?

Question centrale (selon moi) : le marché est ce qui se passe si les gens sont libres, qui a le droit d'imposer autre chose?

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Invité jabial
Mais ne pense tu pas que certains biens peuvent avoir une valeur superieure à une quelconque valeur marchande (valeur monétaire!).

La valeur est relative. Chaque personne en juge, et nul n'a le droit de l'imposer en fixant les prix de quelques manières que ce soit. Lorsqu'un vendeur propose un bien à un prix donné, ceux qui estiment la valeur de ce bien au dessus de ce prix achèteront, les autres pas.

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