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"Croissance Verte"


Henri

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Oui bon, c'était peut-être pas très clair, d'accord, mais tu as compris le fond du problème, non ?

Ce n'est pas une question de clarte! C'est une question de n'importe quoi. Ce que tu as ecris c'est debile et cela traduit le fait que tu n'y comprends rien.

On nous fait chier à longueur de journées et d'années avec cette croissance plus importante que tout, qui de toute façon ne durera pas et qui en plus ne sert à rien, alors forcément à la longue ça énerve et ça obsède.

Mais évident si on applique la doctrine libérale ce sera génial, ça va stimuler l'inventivité humaine, on bravera le premier principe de la thermodynamique, on aura des rendements énergétiques de 367%, comme ça on pourra avoir une croissance du PIB de 12% par an, avec 14 voitures par personne, etc,…

C'est le second principe bannane!

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T'es sur qu'il va falloir attendre 4 milliards d'années ?

Durant les 4 prochains milliards d'années.

Signifie que si la croissance de la consommation en énergie fossile se poursuit la pénurie aura lieu durant les 4 prochains milliards d'années pas dans 4 milliards d'années.

On nous fait chier à longueur de journées et d'années avec cette croissance plus importante que tout, qui de toute façon ne durera pas et qui en plus ne sert à rien, alors forcément à la longue ça énerve et ça obsède.

Mais évident si on applique la doctrine libérale ce sera génial, ça va stimuler l'inventivité humaine, on bravera le premier principe de la thermodynamique, on aura des rendements énergétiques de 367%, comme ça on pourra avoir une croissance du PIB de 12% par an, avec 14 voitures par personne, etc,…

Personnellement tout ce que je dis c'est que si l'énergie vient à manquer le meilleur moyen pour que les gens s'adaptent c'est de les laisser libre voilà tout!

Mais au fait vous proposez quoi?

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Oui, ok, mea culpa, mais tu es intelligent toi, tu as compris ce que moi pauvre béotien je voulais dire, non ?

Non, justement, c'est ça qui me dérange…

Au passage, j'ai dit une connerie:

Si tu n'es toujours pas convaincu, ressort tes cours de Maths et fait la dérivée partielle de ton équation par x = PIB, x = POP, x = TEP, x = PIB/POP. Tu auras toujours zéro.

Personne n'a relevé l'énormité ? :icon_up:. On retombe sur la dérivée (partielle) de CO2, pas sur 0…

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Ce n'est pas une question de clarte! C'est une question de n'importe quoi. Ce que tu as ecris c'est debile et cela traduit le fait que tu n'y comprends rien.

C 'est bien normal, j'ai arrêté l'école en CE1 !

C'est bien connu, ceux qui y comprennent quelque chose savent que la croissance sera éternelle et qu'en plus elle sera verte !

C'est le second principe bannane!

Mais évident si on applique la doctrine libérale ce sera génial, ça va stimuler l'inventivité humaine ET on bravera le premier principe de la thermodynamique ET on aura des rendements énergétiques de 367% ET comme ça on pourra avoir une croissance du PIB de 12% par an ET avec 14 voitures par personne, etc,…

Allez, joyeux réveillon camarades liberaux !

Non, justement, c'est ça qui me dérange…

Bon, alors comme même si je suis très con je sais aussi être gentil, je t'expliquerai mais l'année prochaine, je vais maintenant aller profiter grassement des fruits de ma participation active à la vie économique de mon pays.

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C 'est bien normal, j'ai arrêté l'école en CE1 !

Ecoute mon gars, pas la peine de jouer la pauvre petite victime. Relis ce que tu as ecris.

C'est bien connu, ceux qui y comprennent quelque chose savent que la croissance sera éternelle et qu'en plus elle sera verte !

strawman.jpg

Mais évident si on applique la doctrine libérale ce sera génial, ça va stimuler l'inventivité humaine ET on bravera le premier principe de la thermodynamique ET on aura des rendements énergétiques de 367% ET comme ça on pourra avoir une croissance du PIB de 12% par an ET avec 14 voitures par personne, etc,…

Dit moi as tu au moins compris quelque chose quand je fais reference au second principe???

Allez, joyeux réveillon camarades liberaux !

Bon reveillon. Et avant de m'expliquer quoi que ce soit va reviser tes classiques (Ou alors retourne jouer sur Oleocene).

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Baser une société uniquement sur la croissance économique, tout en sachant que celle-ci est basée sur la consommation d'une ressource non renouvelable n'est peut-être pas très intelligent.

Cette phrase ne veut strictement rien dire. Je ne sais pas sur de quelle planète tu émets tes messages mais je puis te dire que la société dans laquelle nous vivons n'est pas "basée uniquement sur la croissance économique". Personne dans mon entourage ne se lève le matin en se disant "tiens, aujourd'hui je vais faire ma part de la croissance économique."

En fait, la croissance économique est jugée nécessaire par les politiciens car elle permet de masquer les effets négatifs (gaspillages, pénuries, hausse du chômage, intensification de la concurrence, appauvrissement de la population, guerres, etc…) des politiques économiques imposées par les états. C'est la raison pour laquelle les politiciens nous parlent de la croissance économique comme le Saint-Graal. La solution n'est pas d'abolir la croissance (ce qui ne serait que l'image dans le miroir de la politique actuelle) mais de cesser d'écouter les politiciens pour nous occuper de ce qui nous intéresse vraiment.

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Le PIB n'est jamais que la mesure de la quantité de ressources naturelles transformées en "richesse", cette transformation étant réalisée grâce à de l'énergie.

Faux.

Le PIB n'est pas la mesure d'une quantité physique, ressources naturelles ou énergie…

Premièrement, il n'est de richesses que d'hommes.

Une "ressource" ne devient une ressource qu'à partir du moment où elle entre dans un processus de production.

Par exemple, sans moteur à combustion interne, le pétrole est une saloperie, pas une ressource.

Deuxièmement, vous feriez bien de reconsidérer votre théorie de la valeur.

La valeur est subjective, elle n'est PAS matérielle ou physique.

Marx et les "classiques" se sont plantés lamentablement à ce sujet en voulant fonder la valeur sur des quantités physiques.

En 1870, la révolution marginaliste a jeté ces idées fausses aux orties. Ca fait un bail…

Les néoclassiques font la même bourde en faisant de la valeur une grandeur mesurable par un nombre.

Ils aimaient trop les maths, et voulaient trop servir l'Etat pour accepter toutes les conséquences de la révolution marginaliste.

Ces économistes là, on les entend chaque matin à la radio et à la télé: ce sont ceux qui ne voient la crise que quand elle est là depuis 6 mois…

Pour finir, le "PIB", c'est un machin de ponctionnaire de Bercy:

C'est la somme des valeurs ajoutées, la "valeur ajoutée" étant elle même un concept marxiste.

Montrons l'absurdité du PIB par une petite construction à la manière des raisonnements par l'absurde:

Si je me marie avec ma femme de ménage, je fais chuter le PIB, puisque je ne verse plus de salaire…

Pourtant, on peut penser que la production de satisfactions aura bien augmenté (puisque j'ai voulu changer ma situation et elle aussi). Soyons réducteurs, à la façon des étatistes: le ménage sera plus soigné, et la bouffe sera meilleure…

Même raisonnement dans le cas où je me marrie avec une "pretty woman" si vous voyez ce que je veux dire…

Bref, avant de nous infliger vos théories péremtoires et datées, faites l'effort d'apprendre l'économie !

Désolé pour le mode énervé, mais ces erreurs jonchent le forum depuis ses débuts. C'est pénible.

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Non, justement, c'est ça qui me dérange…

Allez, chose promise chose due.

Comme ce que j'ai dit ne voulait certes pas dire grand chose, je recommence.

CO2=CO2/TEP*TEP/PIB*PIB/POP*POP

Tu nous expliques que par exemple faire diminuer POP ne sert à rien puisque ça fait augmenter PIB/POP Soit.

Sauf que dans notre cas, ce qui à priori ne bouge pas, ou tout du moins n'est pas impacté par POP c'est le rapport PIB/POP, donc une diminution de POP entraine une diminution de PIB.

De la même manière il est ridicule de dire qu'une diminution de PIB n'engendre pas une diminution de TEP, et donc fait augmenter le rapport TEP/PIB.

Et ainsi de suite, une diminution de TEP n'engendre pas une augmentation du rapport CO2/TEP.

Au final, le résultat direct - à intensité énergétique du PIB et teneur en CO2 de l'énergie constants - d'une baisse de POP, PIB, ou TEP, c'est une baisse de CO2 (ou de la consommation de combusibles fossiles si certains préfèrent)

Dit moi as tu au moins compris quelque chose quand je fais reference au second principe???

si j'avais dit : on pourra braver le premier principe de la thermodynamique, on aura le père noël trois fois par an, etc…

Tu en aurais déduit que je dis que le fait qu'on n'ait par le père noël trois fois par an découle du premier principe de la thermodynamique ?

Montrons l'absurdité du PIB par une petite construction à la manière des raisonnements par l'absurde:

Si je me marie avec ma femme de ménage, je fais chuter le PIB, puisque je ne verse plus de salaire…

Pourtant, on peut penser que la production de satisfactions aura bien augmenté (puisque j'ai voulu changer ma situation et elle aussi). Soyons réducteurs, à la façon des étatistes: le ménage sera plus soigné, et la bouffe sera meilleure…

Même raisonnement dans le cas où je me marrie avec une "pretty woman" si vous voyez ce que je veux dire…

Tu vas rire, mais je suis très heureux de lire ça.

Des exemple de l'absurdité du PIB, ou tout du moins de son incapacité à mesure la bonne santé d'une société, il y en a la pelle.

Mais en l'occurence le sujet c'était la croissance, et de surcroit "verte", c'est à dire le truc à la mode chez les politiques et leurs copains les médias.

J'ai failli oublier, meilleurs voeux à tous pour 2009 ! (Année de la récession ?)

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J'ai failli oublier, meilleurs voeux à tous pour 2009 ! (Année de la récession ?)

Meilleurs vœux. Et pour la décroissance, la récession et tout ça, beaucoup d'écolos l'appelaient de leurs vœux. Ca tombe bien, ils vont l'avoir.

Faudra pas venir pleurer ensuite, hein.

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Meilleurs vœux. Et pour la décroissance, la récession et tout ça, beaucoup d'écolos l'appelaient de leurs vœux. Ca tombe bien, ils vont l'avoir.

Faudra pas venir pleurer ensuite, hein.

M'est d'avis qu'ils nous feront plutôt le coup du "mais que fait le gouvernement?".

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Invité Arn0
Tu vas rire, mais je suis très heureux de lire ça.

Des exemple de l'absurdité du PIB, ou tout du moins de son incapacité à mesure la bonne santé d'une société, il y en a la pelle.

On peut reprocher beaucoup de chose au PIB mais pas "son incapacité à mesurer la bonne santé d'une société" puisque cela n'a jamais été son objectif !

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Allez, chose promise chose due.

Ah j'attendais ca avec impatience!

Voyons ce que tu as a nous offrir.

Tu nous expliques que par exemple faire diminuer POP ne sert à rien puisque ça fait augmenter PIB/POP Soit.

Sauf que dans notre cas, ce qui à priori ne bouge pas, ou tout du moins n'est pas impacté par POP c'est le rapport PIB/POP, donc une diminution de POP entraine une diminution de PIB.

N'imp. Le PIB ne varie pas linerairement en fonction de la POP. Et quand POP bouge le rapport PIB/POP bouge donc forcement lui aussi.

De la même manière il est ridicule de dire qu'une diminution de PIB n'engendre pas une diminution de TEP, et donc fait augmenter le rapport TEP/PIB.

Quand tu as pour seule info x et y sont decroissantes il est impossible de conclure quoi que ce soit sur la variation du rapport x/y, puisque celui-ci depend du signe de (y'x-x'y)

Exemple pour que tu comprennes:

Sur ]1;+inf[,

Soit h:x-> -x^2 et v:x->-x+1 alors nous avons bien deux fonction decroissantes sur l'intervalle considere.

soit f:x-> h(x)/v(x) et g:x-> v(x) / h(x) alors nous avons f croissante et g decroissante.

(j'ai edite pour plus de clarte)

Donc tu racontes n'importe quoi.

Sans deconner tu commence a me gonfler severe, va prendre des cours de math et on en reparle.

si j'avais dit : on pourra braver le premier principe de la thermodynamique, on aura le père noël trois fois par an, etc…

Tu en aurais déduit que je dis que le fait qu'on n'ait par le père noël trois fois par an découle du premier principe de la thermodynamique ?

Ok c'est bien ce que je pensais. Va prendre des cours de thermo et on en reparle.

J'ai failli oublier, meilleurs voeux à tous pour 2009 ! (Année de la récession ?)

Bonne annee, et comme resolutions je te propose de prendre des cours de math et de thermo ca pourrait t'aider a ne pas passer pour un ane.

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Ecoute garçon, si tu es trop con pour comprendre que la consommation d'énergie dépend directement de l'intensité économique ce n'est pas ma faute.

a/ tu as tort.

b/ tu es de mauvaise foi

c/ tu es nul en math

d/ tu deviens impoli

e/ tu es en sursis.

A ta place, je filerai doux.

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N'imp. Le PIB ne varie pas linerairement en fonction de la POP. Et quand POP bouge le rapport PIB/POP bouge donc forcement lui aussi.

Pas si tu pars du principe que la constante c'est le rapport PIB/POP.

Quand tu as pour seule info x et y sont decroissantes il est impossible de conclure quoi que ce soit sur la variation du rapport x/y, puisque celui-ci depend du signe de (y'x-x'y)

Exemple pour que tu comprennes: Sur R+, soit f:x-> -x^2/ (-x+1) est croissance et g:x-> (-x+1) / x^2 est decroissante!

Donc toujours n'importe quoi.

Sans deconner tu commence a me gonfler severe.

Ecoute garçon, si tu es trop con pour comprendre que la consommation d'énergie dépend directement de l'intensité de l'activité économique ce n'est pas ma faute.

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a/ tu as tort.

b/ tu es de mauvaise foi

c/ tu es nul en math

d/ tu deviens impoli

e/ tu es en sursis.

A ta place, je filerai doux.

a/ c'est toi qui le dis

b/ c'est toi qui le dis

c/ tu ne me connais pas, et je suis pour ma part surpris du nombre de gens sachant résoudre une équation différentielle du second degré mais qui n'arrivent pas à comprendre que la consommation d'un stock fini ne peut pas être éternellement croissante.

d/ je l'ai toujours été, non ? :icon_up:

e/ en sursis de quoi ? Tu vas me mettre une fessée ?

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Pas si tu pars du principe que la constante c'est le rapport PIB/POP.

ARGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGG mais c'est pas possible d'etre aussi nul!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ecoute garçon, si tu es trop con pour comprendre que la consommation d'énergie dépend directement de l'intensité de l'activité économique ce n'est pas ma faute.

Je n'ai aucune lecon a recevoir d'un gas qui n'est pas capable de tenir un raisonnement correct et qui fait des fautes niveau premiere et surtout qui n'est pas capable de s en rendre compte quand on lui met le nez dans sa merde.. Alors si tu veux je peux t'apprendre a faire des raisonnement correct en math mais c'est payant. :icon_up:

J'aime bien les forums ou les "animateurs" décident de qui a raison ou tort…

Remarque, on m'avait prévenu quand je me suis inscrit.

Apres la lecon que tu viens de recevoir si j'etais toi je ne ferai pas le fier a bras et je la metterai en sourdine.

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ARGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGG mais c'est pas possible d'etre aussi nul!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Il n'est pire sourd qu'un libéral qui ne veut pas entendre…..

PIB/POP à quelques poils de cul près c'est le pouvoir d'achat : à pouvoir d'achat égal, si la population augmente, le PIB augmente, c'est tout.

Apres la lecon que tu viens de recevoir si j'etais toi je ne ferai pas le fier a bras et je la metterai en sourdine.

Quelle leçon ? Tu m'as explique concrètement comment faire augmenter éternellement le PIB de manière "verte" ?

Je vais relire, j'ai du louper des trucs…..

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Quelle leçon ? Tu m'as explique concrètement comment faire augmenter éternellement le PIB de manière "verte" ?

1. le PIB ici, tout le monde s’en balance pas mal

2. Tu n’arrête pas de passer de la consommation d’énergie qui serait un problème en soit, a la production de CO2 qui serait un problème en soit, a la consommation des ressources non renouvelables qui serait un problème en soit, je vais t’aider, ton problème c’est la richesse.

3. Tu est lourd, tu n’apporte rien de nouveau au débat, on a des réchauffistes vachement plus cultivés avec des arguments nettement plus solides que les tiens, donc même pour le quota on n’a pas besoin de toi, merci.

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Il n'est pire sourd qu'un libéral qui ne veut pas entendre…..

PIB/POP à quelques poils de cul près c'est le pouvoir d'achat : à pouvoir d'achat égal, si la population augmente, le PIB augmente, c'est tout.

Quand on comprend ce que l'on raconte on l'explique clairement.

Quelle leçon ? Tu m'as explique concrètement comment faire augmenter éternellement le PIB de manière "verte" ?

Tu commences a me les briser menu mon p'tit pere. LE MONDE AURA UNE FIN, alors tu arretes avec tes proces d'intentions. Tu deviens plus que fatiguant.

Je vais relire, j'ai du louper des trucs…..

Oui tu devrais relire les enormites que tu as raconte parceque tu as l'air d'avoir rate quels "trucs". Ex: tu ne sais meme pas faire l'analyse de fonction niveau 1ere S alors avec des fonctions non lineraires - non independantes - et a plusieurs variables ne te fatigue pas tu n'as pas les epaules.

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1. le PIB ici, tout le monde s’en balance pas mal

Ca c'est cool.

Mais j'ai tout de même l'impression que les politiques se disant liberaux ne s'en balancent pas tant que ça.

http://www.alainmadelin.fr/new/la_lettre_d…_2007/index.htm

2. Tu n’arrête pas de passer de la consommation d’énergie qui serait un problème en soit, a la production de CO2 qui serait un problème en soit, a la consommation des ressources non renouvelables qui serait un problème en soit, je vais t’aider, ton problème c’est la richesse.

Ah.

Quoique finalement maintenant que tu le dis, le fait que les ressources soient limitées mais que les plus riches justifient leur souhait d'être encore plus riches en prétendant que c'est la seule manière pour que les pauvres soient moins pauvres, oui, c'est un problème.

Encore que, une fois de plus, les notions de pauvreté et de richesses sont très subjectives.

3. Tu est lourd, tu n’apporte rien de nouveau au débat, on a des réchauffistes vachement plus cultivés avec des arguments nettement plus solides que les tiens, donc même pour le quota on n’a pas besoin de toi, merci.

Quoi ?!? des quotas ?!? mais c'est très mal ça !!!

Je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'a pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un troll semblable à cent mille troll. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde…

Quand on comprend ce que l'on raconte on l'explique clairement.

Merci Nikos Boileau.

Tu commences a me les briser menu mon p'tit pere. LE MONDE AURA UNE FIN, alors tu arretes avec tes proces d'intentions. Tu deviens plus que fatiguant.

Ce que tu feins de ne pas comprendre, c'est que le problème ce n'est pas la fin du monde ou les générations futures, ça on s'en tape pas mal. Le problème c'est les générations présentes. Tiens ça me fait penser à une tribune de janco - qui doit être ici autant apprécié que Jacquard, la prochaine fois je sors Latouche de mon chapeau - dans les échos, je vais la retrouver.

Oui tu devrais relire les enormites que tu as raconte parceque tu as l'air d'avoir rate quels "trucs". Ex: tu ne sais meme pas faire l'analyse de fonction niveau 1ere S alors avec des fonctions non lineraires - non independantes - et a plusieurs variables ne te fatigue pas tu n'as pas les epaules.

C'est marrant, tu me fais exactement penser à tous ces gens que je rencontre souvent (oui, je travaille dans le technique et une boucle de régulation c'est des intégrales et des dérivées) qui ont appris plein de formules mais qui ne savent pas les mettre en pratique de manière simple, qui sont incapables de les simplifier pour fair un calcul d'ordre de grandeur sur un coin de table.

Voilà, défoulez-vous.

Il faut sauver la planète, l’affaire est entendue. Ou s’agit-il bien de cela ? Perturbé par des années de discours « médiatico-écologiste » où la physique et la morale sont allègrement mélangées, où la « mauvaise » économie est toujours l’ennemie de la « bonne » écologie, l’honnête homme considère volontiers que l’environnement est un sujet exogène aux choses sérieuses, qui s’appellent économie, social, diplomatie, réforme de la fonction publique, retraites, etc. Parlons pouvoir d’achat, et on s’occupera des poissons et du climat quand on aura le temps, puisque avoir l’un et l’autre ensemble semble impossible.

Hélas, depuis 2 siècles, nous n’avons probablement pas fait de plus funeste erreur de lecture que celle-ci. Sans planète et sans « environnement », il n’y a pas d’activités économiques qui tiennent, et pas plus de sociétés prospères et solidaires qui soient. L’économie des hommes consiste uniquement à transformer des ressources naturelles qui sont apparues sous nos pieds sans que nous ne fassions rien pour cela. Essayez de faire une voiture sans minerais et sans pétrole ! Essayez de faire un hypermarché « préservant le pouvoir d’achat » sans minerais, sans terres arables, sans photosynthèse et sans pétrole ! Essayez de faire une société de jeux vidéo sans ordinateurs, eux-mêmes tributaires de nombre de ressources minières et énergétiques pour être fabriqués et pour fonctionner !

Le prix de toutes choses dépend donc de la providence naturelle, et en particulier il est une composante que l’on va trouver partout dans nos activités économiques : l’énergie. Rien d’étonnant, puisque l’énergie est par définition, chez les physiciens, ce qui permet de transformer le monde. Toute baisse du prix réel de l’énergie (tendance lourde depuis 2 siècles, puisqu’il faut travailler de moins en moins longtemps pour acheter un kWh de n’importe quoi) conduit donc à des gains de productivité et de « pouvoir d’achat », et toute hausse brutale de son prix se traduit par chômage et récession (et inflation) un peu plus tard. Quand le prix du baril monte fortement l’année N, on sait déjà qu’il est fantaisiste de prévoir un budget équilibré 2 ans après.

Malgré cette évidence, les économistes et les élus continuent à raisonner comme si la production était uniquement une fonction du capital humain et du travail humain, ce qui revient à croire que les ressources naturelles procèdent de la génération spontanée. A mesure que nous approchons des limites physiques de la planète, tous les raisonnements prospectifs basés sur cette économie « classique » feront donc faillite les uns après les autres, y compris ce qui conduit à prévoir indéfiniment le retour de la croissance après les passages à vide pour équilibrer le budget ou satisfaire les consommateurs.

Les problèmes d’environnement et de ressources ne se limiteront pas à voir les baleines disparaître avec un pincement au cœur : les ressources gratuites étant partout dans l’économie, notre myopie, si nous ne la corrigeons pas, va se terminer en effondrement économique généralisé. Il est ainsi impossible de démontrer formellement que la crise financière actuelle est la conséquence de la hausse du prix des hydrocarbures, mais elle est cohérente avec cette hausse, exactement comme l’été 2003 n’est peut-être pas la conséquence du changement climatique, mais c’est un processus cohérent avec ce qui est attendu. Fannie Mae et AIG, victimes du baril ? C’est bien possible, avec un enchaînement qui serait le suivant : énergie qui monte trop vite -> récession et chômage (normal, cf ci-dessus) -> défaut de paiement des emprunteurs qui ont emprunté à des banquiers qui pensaient que, grâce à la croissance, les insolvables d’aujourd’hui seraient solvables demain -> faillite des établissements de crédit. La titrisation a aidé, mais elle n’a pas créé la récession ; elle a simplement aidé à rendre le problème un peu plus systémique.

Et avec un pic de production du pétrole qui se profile pour les 5 à 10 ans à venir, tous les détenteurs d’un emprunt immobilier correspondant à l’acquisition d’un pavillon de banlieue vont devenir des débiteurs à risque. Le pic de production du pétrole et le changement climatique ne vont pas se terminer avec un maillot de bain et un petit tour à vélo : sans prendre le taureau par les cornes, et sans se mettre dès à présent en mobilisation générale, cette affaire se terminera en subprime puissance 1000.

Face à ce constat, c’est donc la plus orthodoxe logique économique, pour le coup (la gestion des ressources rares), qui doit nous conduire à mettre en place un système où tous les acteurs économiques intègrent la contrainte énergétique à venir en la voyant apparaître progressivement - et suffisamment rapidement, nous n’avons plus 30 ans - dans les prix, faute de quoi personne ne prendra à son niveau les décisions nécessaires à temps, et c’est la crise et l’effondrement qui se chargeront de régler le problème. Notre espèce s’adaptera, mais dans une grande souffrance. Il ne faut en effet pas confondre la survie de l’espèce, qui n’est pas en cause, et la survie, avec 70 ans d’espérance de vie à la naissance, de chaque représentant de l’espèce, ce qui se discutera beaucoup plus dans le monde chaotique que nous préparons activement.

Nous avons en France une occasion de nous pencher sur ce problème avec le Grenelle de l’environnement. Hélas, la réponse actuellement proposée par le gouvernement est la plus mauvaise qui soit. Au lieu d’une réponse basée sur un petit nombre de mesures larges et puissamment structurantes, dont l’effet d’entraînement garantit « naturellement » ensuite des mesures techniques dans tous les secteurs concernés, le problème a été pris à l’envers, à coup de taxounettes et de mesures sectorielles mises en place de manière désordonnée et brouillonne. Les acteurs de bonne volonté ont fait ce qu’ils on pu : ce sont les concepteurs politiques du processus qui sont en cause.

Et voici un petit coup de bonus malus ici, un petit coup de TGAP là, une taxe à l’essieu encore ici, et un petit coup de certificats d’économie là : tout cela est un aimable bazar qui ne répond à aucune vision d’ensemble à la hauteur de l’enjeu (mais le gouvernement a-t-il compris que l’échéance est de 5 ans, pas 50 ans, et que nous sommes dans le calme avant la tempête ?). Au surplus, le contrôle de gestion est absent, puisque le cahier des charges n’impose pas de préciser, pour chaque mesure, combien de pétrole et de CO2 en moins, et à quel coût.

Le bonus malus, pour prendre la mesure la plus médiatisée, est l’archétype de la mauvaise réponse à un vrai problème. Il ne contrait que l’appareil acheté et non la consommation globale d’énergie (si cela se trouve l’effet net de la mesure pour les voitures est un accroissement du parc et de la consommation d’énergie globale), il inclut de fait une subvention à la consommation d’énergie pour la partie bonus, ce qui est évidemment une erreur majeure à 5 ans du pic de production de pétrole, et sa répétition par famille de produit supposerait d’en concevoir 10.000 si on veut tout couvrir, avec une complexité et des coûts de gestion qui seront multipliés par le même facteur.

Un prélèvement généralisé et croissant sur les énergies fossiles (fioul, gaz, carburants routiers), et même sur l’électricité non fossile, avec un taux moindre, serait tellement plus simple ! Mais il est vrai que, pour le mettre en œuvre, il faudrait réellement dire la vérité aux Français, c’est-à-dire que le monde est fini et que nous n’aurons pas indéfiniment de plus en plus de biens matériels, et que les éoliennes et les panneaux solaires ne vont rien y changer pour les 2 générations qui viennent (le problème est pour les générations présentes, non futures). La vérité, c’est que la consommation a tellement augmenté depuis un siècle en Occident que tous les acteurs devront être contraints, même ceux que nous appelons les ménages modestes. Tant que le président ne tiendra pas ce discours, qui est le seul qui corresponde à la réalité physique, il ne fait qu’entretenir des illusions dangereuses (et cette remarque vaut pour le PS), et il sera inutile qu’il se prévale du vrai courage.

Si le cahier des charges impose de ne pas augmenter la pression fiscale (ce qui, incidemment, se discute en période de crise) et d’augmenter l’équité (ce qui se discute beaucoup moins), la redistribution peut être gérée d’une manière on ne peut plus simple (c’est la proposition de la Fondation Nicolas Hulot). Ce qui est prélevé sur les ménages via la hausse du gaz, du fioul, des carburants, etc, est redistribué aux ménages sous forme d’un chèque de l’administration fiscale en fin d’année, d’un montant égal pour tout contribuable, et ce qui est prélevé sur les entreprises est redistribué sous forme d’une baisse des charges

Cette mesure est équitable (un rapide calcul montre que les ménages à faibles revenus toucheront plus qu’ils ne dépensent), encourage l’emploi (elle avantage la main d’œuvre et désavantage la machine), ce qui par les temps qui courent va devenir essentiel, et surtout incite à investir dans les économies (ce qui est l’effet principal recherché) avant que celles-ci ne soient à l’origine, en arrivant de manière brutale et imposée, d’un contexte beaucoup plus difficile. Tout cela est connu, archi connu, et il n’y a aujourd’hui quasiment pas un individu normalement constitué qui, après examen approfondi du problème, considère que nous allons gérer cette contrainte carbone sans signal fiscal fort (il n’y a pas que cela, mais c’est incontournable).

Alors le Grenelle accouchant simplement de mesurettes fiscales, et refusant de s’engager dans la voie d’une fiscalité à la hausse sur l’énergie en général, c’est une énorme déception, qui incite à se demander ce que nos gouvernants (et l’opposition, qui ne vaut généralement pas mieux) ont vraiment compris du problème. A ce stade il ne reste qu’un seul espoir : celui que les députés refuseront d’être la chambre d’enregistrement d’un projet insuffisant, non point pour le retoquer, mais au contraire pour le rendre plus ambitieux. La représentation parlementaire veut montrer qu’elle sait prendre des initiatives courageuses ? Qu’elle le prouve en réintroduisant la contribution énergie-climat dans les lois Grenelle ! Car ce n’est pas juste les pingouins qu’il s’agit de sauver, et encore moins l’automobiliste qu’il s’agit de punir. Il s’agit juste de sauver la stabilité économique de l’Occident avant que tout cela ne se termine en débâcle, rien moins…

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Je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'a pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un troll semblable à cent mille troll. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde…

Belle déclaration d'amour ! :icon_up:

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Ca c'est cool.

Mais j'ai tout de même l'impression que les politiques se disant liberaux ne s'en balancent pas tant que ça.

http://www.alainmadelin.fr/new/la_lettre_d…_2007/index.htm

C'est tout ce que tu as trouvé? Cela fait deux énormités.

1. Pour ton information, Madelin ne se dit pas libéral. Tu liras avec profit ce fil:

http://www.liberaux.org/index.php?showtopi…&hl=madelin

En réalité, Madelin est un homme politique de tendance libérale. On ne peut le taxer d'ultralibéralisme que par comparaison avec les autres hommes politiques français, tous de fieffés étatistes. Comme il le dit lui-même, il serait considéré comme un social-démocrate dans n'importe quel autre pays.

2. Madelin n'est pas, et de loin, le seul homme politique français à parler de croissance. Pour donner un seul exemple, voici une tribune de Martine Aubry, qui n'a que le mot croissance à la bouche:

(badurl) http://www.reformer.fr/article.php3?id_article=264 (badurl)

Arrête un peu de répéter bêtement ce que tu entends à la télé, ça nous fera des vacances.

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C'est tout ce que tu as trouvé? Cela fait deux énormités.

1. Pour ton information, Madelin ne se dit pas libéral. Tu liras avec profit ce fil:

http://www.liberaux.org/index.php?showtopi…&hl=madelin

En réalité, Madelin est un homme politique de tendance libérale. On ne peut le taxer d'ultralibéralisme que par comparaison avec les autres hommes politiques français, tous de fieffés étatistes. Comme il le dit lui-même, il serait considéré comme un social-démocrate dans n'importe quel autre pays.

Ok.

Petite question sans arrière pensée au passage : y-a-t-il un politique franchement liberal ?

2. Madelin n'est pas, et de loin, le seul homme politique français à parler de croissance. Pour donner un seul exemple, voici une tribune de Martine Aubry, qui n'a que le mot croissance à la bouche:

Ah mais ça je n'ai jamais dit le contraire, loin de là ! J'ai simplement dit qu'il n'en parlait pas moins que les autres.

Mais il est bien évident que tous, de l'extrême droite à l'extrême gauche, n'ont que ce mot à la bouche.

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Ok.

Petite question sans arrière pensée au passage : y-a-t-il un politique franchement liberal ?

Quelle importance? Le fait est que la théorie libérale ne dit rien de particulier sur la croissance. Et si jamais tu arrivais à trouver un homme politique libéral pour qui la croissance est une obsession, on pourra toujours te rétorquer que c'est sa part politique qui parle.

Ah mais ça je n'ai jamais dit le contraire, loin de là ! J'ai simplement dit qu'il n'en parlait pas moins que les autres.

Tu as une source, des statistiques qui le démontrent? Ou c'est encore du blabla?

Mais il est bien évident que tous, de l'extrême droite à l'extrême gauche, n'ont que ce mot à la bouche.

C'est un fait que la croissance est un point majeur du discours politique français. La raison en est simple: l'état n'ayant cessé de croître depuis la fin de la seconde guerre mondiale, il faut trouver dans la croissance les ressources qui sont gaspillées par les politiciens.

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Je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'a pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un troll semblable à cent mille troll. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde…

Un troll aprés enchantement ça donne ça.

troll_1-4_illustration.jpg

Par contre, ne jamais s'en prendre à leurs mouches ou essayer de les décrasser, ça peu rompre le charme.

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