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Union européenne


Messages recommandés

  • 4 weeks later...

French ports cut out of EU trade route after Brexit

 

Pour éviter les grèves et les agriculteurs français ...

 

Dans les commentaires :

 

Citation

As to why French ports are not involved, well, it is not rocket science. Ireland does not want its trade routes threatened by French strikes or worse still, angry French farmers dismayed at all the importation of agricultural produce from Ireland.

 

In the event of ‘No Deal’, these routes will be essential for Ireland. But in the event of ‘No Deal’ the UK will import much more food from outside the EU, thus leading to dramatic oversupply in the EU agricultural markets. Farmers incomes will fall, and they may be resentful of any food imports, even from other EU nations. French farmers are famed for their direct action, from road blocks to burning lorries full of live animals. And the French police are famed for their failure to clear blockades.

 

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On interdit aux entreprises europeennes de se conformer aux sanctions Americaines et on va subventionner celles qui ne le font pas. Ce n'est pas les Americains qui vont indemniser.

 

Le Monde - Face aux sanctions américaines, Bruxelles activera sa loi de blocage pour protéger les entreprises européennes en Iran

Les mesures annoncées ouvrent notamment des droits à l’indemnisation – à fixer par un juge – pour les dommages qui seraient causés par ces sanctions.

https://www.lemonde.fr/international/article/2018/08/06/face-aux-sanctions-americaines-bruxelles-activera-sa-loi-de-blocage-pour-proteger-les-entreprises-europeennes-en-iran_5339935_3210.html

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  • 3 weeks later...

Le gouvernement italien donne 24 heures à la Commission européenne pour trouver une solution pour accueillir les 177 migrants sauvés par le navire Diociotti, sans quoi elle ne paiera plus sa cotisation au budget de l'UE.

https://www.lesechos.fr/monde/europe/0302157376843-migrants-litalie-menace-bruxelles-de-represailles-budgetaires-2199812.php

 

A suivre...

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C'est tout de même même un peu pitoyable parce qu'ils se sont fait volé 3 milliard l'année dernière (l'Italie est contributeur net). Ils ne devraient pas avoir besoin de faire du chantage migratoire pour arrêter de participer à un système où ils sont perdants. Sans oublier que l'euro a aussi fonctionné comme une trappe à endettement pour l'Italie.

 

 

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L’Italie ne s’est rien fait voler. On ne peut pas voler un voleur. 

 

Et tu dis nimp sur l’euro. La seule et unique raison de l’endettement c’est le budget déficitaire. 

  • Yea 1
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Il y a 10 heures, Tramp a dit :

Et tu dis nimp sur l’euro. La seule et unique raison de l’endettement c’est le budget déficitaire. 

 

Je doute qu'il y ait "une seule et unique raison", pour commencer. Que ce ne soit pas la raison essentielle, sans doute. Mais cela rend-il le raisonnement suivant erroné ? :

 

Citation

La crise grecque était le résultat du creusement massif de la dette permis par l’illusion de l’Euro. Pendant des années, les prêteurs se sont racontés – comme quoi le discours eurolâtre n’est pas pure propagande cynique, mais répond à une conviction véritable chez ceux qui le tiennent – que le « système euro » était un véritable espace « national », ou la solidarité entre les Etats était la règle. Ils croyaient naïvement que prêter à la Grèce était aussi sûr que prêter à l’Allemagne, parce qu’en cas de crise l’Allemagne n’allait pas laisser tomber la Grèce. Cette croyance a permis à la Grèce de vivre au dessus de ses moyens pendant des années, creusant au passage une dette – financière et non financière – considérable.

Lorsque les prêteurs ont finalement compris qu’un default grec n’était pas exclu et que l’Allemagne n’était pas disposée à tout faire pour l’empêcher, ils ont cessé de prêter et la crise a éclaté. En fait, la question posée était très simple : qui devait payer l’ardoise des « folles années » permises par l’Euro.

 

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Il y a 1 heure, Johnathan R. Razorback a dit :

 

Je doute qu'il y ait "une seule et unique raison", pour commencer. Que ce ne soit pas la raison essentielle, sans doute. Mais cela rend-il le raisonnement suivant erroné ? :

 

 

Et sans l’euro, la Grèce aurait pu monétiser sa dette comme le Venezuela pour dépenser autant. 

Il n’y a qu’une raison à l’endettement public : des dépenses supérieures aux recettes. La Grèce a fait plus d’une fois défaut avant l’euro. L’endettement massif du pays est chronique. 

 

On peut jeter un oeil aux finances publiques Allemandes ou Hollandaises par exemple. 

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il y a 7 minutes, Tramp a dit :

Et sans l’euro, la Grèce aurait pu monétiser sa dette comme le Venezuela pour dépenser autant.

 

Mais il s'en serait suivi de l'inflation. Or l'inflation se remarque, ce qui aurait pu engendrer des protestations et peser sur les choix politiques.

 

Par ailleurs les autres Etats européens n'auraient pu eu à piller leurs contribuables pour renflouer la Grèce.

 

Ce qui montre bien que l'euro pose des problèmes supplémentaires aux autres.

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il y a 1 minute, Johnathan R. Razorback a dit :

Par ailleurs les autres Etats européens n'auraient pu eu à piller leurs contribuables pour renflouer la Grèce.

 

Il n’y avait pas besoin de renflouer la Grèce. 

Les États européens renflouent la moitié des pays du monde tous les ans, directement ou via le FMI, qu’ils aient l’euro ou non de toute façon. L’Ukraine par exemple. Ou l’Argentine. Ou le Mali.

 

il y a 2 minutes, Johnathan R. Razorback a dit :

Mais il s'en serait suivi de l'inflation. Or l'inflation se remarque, ce qui aurait pu engendrer des protestations et peser sur les choix politiques.

 

Et ces choix politiques auraient pu déboucher sur bien pire. 

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il y a 1 minute, Bézoukhov a dit :

Non, c'est pas particulier à l'Italie. C'est juste que dès que @Tramp entend un mot du type Etat ou assimilé, il fait caca dessus en agitant son Gadsen flag.

Le caca n'est pas une matière adaptée pour y planter un drapeau, ce qui montre l'inanité de la position (même accroupi). :lol:

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il y a 28 minutes, Bézoukhov a dit :

Non, c'est pas particulier à l'Italie. C'est juste que dès que @Tramp entend un mot du type Etat ou assimilé, il fait caca dessus en agitant son Gadsen flag.

 Merci mais c’est pas moi qui a commencé par dire que l’Italie s’était faite voler par l’UE. Désolé d’avoir la classe de me plier au cadre du débat.

  • Yea 1
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  • 2 weeks later...
il y a 1 minute, Mégille a dit :

Ce qui m'étonne surtout c'est le Luxembourg. Pourquoi reçoivent-ils tout ce blé ? Pour faire plaisir à Junker ? 

 

Citation

 

Institutions européennes établies à Luxembourg

http://www.eu2015lu.eu/fr/la-presidence/luxembourg-et-ue/luxembourg-siege-institutions-europeennes/index.html

 

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Juncker aurait poussé son dircab pour une promotion en forcant un peu trop:

 

Citation
The EU’s independent watchdog has reopened a row over the promotion of Martin Selmayr to be the European Commission’s top civil servant, saying Brussels failed to follow the correct procedure over the appointment. Emily O’Reilly, the European Ombudsman, on Tuesday said an in-depth probe into the appointment had revealed “four instances of maladministration”, while warning that the way Brussels handled the situation “risked jeopardising the hard won record of high EU administrative standards and consequently, the public trust”. “The commission’s communications on this issue, which raised valid concerns, have been defensive, evasive and at times combative,” said the administrative watchdog. 
 
Mr Selmayr was named the commission’s secretary-general in February, but his promotion from chief of staff to Jean-Claude Juncker, commission president, has been contentious. Revelations that Mr Juncker asked the commission’s ruling college to carry out a rapid double promotion of Mr Selmayr, with little prior warning, sparked protest from MEPs who labelled the process a “coup-like action”. MEPs complained that Mr Selmayr had applied to be deputy secretary-general in a rapid procedure in which there was only one other candidate, his own deputy at the time, who subsequently withdrew from consideration. The European Parliament in April said the promotion had “stretched and possibly even overstretched the limits of the law”. 
 
Ms O’Reilly’s independent investigation followed two requests from MEPs asking for a probe into whether EU internal appointment rules had been broken. The ombudsman has the power to investigate allegations of maladministration by EU institutions and recommend how practices should be improved. She said her investigation had included the “inspection of thousands of pages of commission internal documents” and revealed “the precise steps the commission took in order to make the appointment process appear normal”. While she stopped short of asking for Mr Selmayr’s appointment to be revisited, she said the commission should develop new procedures for handling secretary-general appointments. 
 
Specific problems identified by Ms O’Reilly include a “failure to take appropriate measures to avoid the risk of a conflict of interests”, as well as the fact that the commission organised a selection procedure for deputy secretary-general “which did not serve its stated purpose to fill the vacancy, but rather only to ensure that Mr Selmayr would be eligible for reassignment as secretary-general”. The ombudsman also said the commission had created an artificial sense of “urgency” to fill the secretary-general’s post. 
 
Günther Oettinger, the EU commissioner responsible for personnel decisions, said the commission did “not share all aspects” of the ombudsman’s findings. “On some aspects, where the commission has a different factual assessment, we will provide further information to the ombudsman in due course,” he said. Brussels said it would consider the recommendations, but Mr Oettinger queried Ms O’Reilly’s request for new procedures for appointing the secretary-general. “At first glance we do not see any reason why the appointment of the secretary-general should be carried out independently from the appointment of any other director-general,” Mr Oettinger said.
 

 

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