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Patrons agressés et sequestrés


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Il existe en France une longue tradition de conflit entre les classes sociales, le moins que l'on puisse dire est que ça ne date pas d'hier. Dans d'autres pays, les relations entre entrepreneurs et salariés peuvent être plus "coulantes", alors qu'ici… j'avais lu une étude (désolé, je ne peux citer la source car c'était il y a deux ans) qui indiquait que la France était le pays d'Europe où les relations entre patrons et salariés étaient les plus détériorées.

L'omniprésence du rapport de force, le recours au chantage et à la menace de ces escadrons que l'on nomme syndicats, n'est certes pas nouveau. Ce qui l'est en revanche c'est une épidémie de passages à l'acte, stimulés en cela par l'exemple des bandes armées qui ont fait plier le gouvernement aux antilles pour extorquer une rançon aux contribuables métropolitains, comme s'il s'agissait d'une répétition, un test destiné à jauger le niveau de violence accepté par les autorités.

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En France, tradition latine oblige, la direction des entreprises se fait essentiellement grâce au piston, à l'héritage familial…

Oh purée, le lieu commun. Parce que le piston familial, ça n'existe pas en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux States ? :icon_up:

Tout ça, c'est du pipo que de croire qu'il y a moins de mobilité sociale en France qu'en Allemagne ou qu'en Grande-Bretagne.

Le problème des rapports de force sociaux en France vient surtout de la sous-représentation syndicale dans les entreprises. Contrairement à la Belgique, aux Pays-Bas, à l'Allemagne ou à la Grande-Bretagne qui possèdent des syndicats très puissants, qui visent la cogestion et, partant, la paix sociale, les syndicats français sont ultra-minoritaires et n'ont comme moyen d'action que de foutre systématiquement le boxon pour exister.

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Oh purée, le lieu commun. Parce que le piston familial, ça n'existe pas en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux States ? :icon_up:

Tout ça, c'est du pipo que de croire qu'il y a moins de mobilité sociale en France qu'en Allemagne ou qu'en Grande-Bretagne.

Le problème des rapports de force sociaux en France vient surtout de la sous-représentation syndicale dans les entreprises. Contrairement à la Belgique, aux Pays-Bas, à l'Allemagne ou à la Grande-Bretagne qui possèdent des syndicats très puissants, qui visent la cogestion et, partant, la paix sociale, les syndicats français sont ultra-minoritaires et n'ont comme moyen d'action que de foutre systématiquement le boxon pour exister.

mmh il y a quelque chose de tres culturel dans la facon dont est percue l'autorite aussi.

Et aussi dans l'education au travail qui ne se fait plus.

Les autres sont tous des cons, surtout le chef.

L'omniprésence du rapport de force, le recours au chantage et à la menace de ces escadrons que l'on nomme syndicats, n'est certes pas nouveau. Ce qui l'est en revanche c'est une épidémie de passages à l'acte, stimulés en cela par l'exemple des bandes armées qui ont fait plier le gouvernement aux antilles pour extorquer une rançon aux contribuables métropolitains, comme s'il s'agissait d'une répétition, un test destiné à jauger le niveau de violence accepté par les autorités.

dans les annees qui viennent, les brimades envers patrons et tout ce qui ressemble a un bourgeois ou une entite privee vont augmenter avec la benediction du gouvernement.

La violence va atteindre un niveau maousse et l'etat la detournera de ses fonctionnaires desormais fauches en portant la faute sur tous les non-alignes.

a ce moment H16 prendra le controle informatique de toutes les usines de porc de la Bretagne (qui deviendra la Confederation des Territoires Celtes, un cargo de tanks yougoslaves sera detourne par des pirates Somalo-Turballiens et je demarrerai mon projet de bouclier anti-missiles Breton.

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a ce moment H16 prendra le controle informatique de toutes les usines de porc de la Bretagne (qui deviendra la Confederation des Territoires Celtes, un cargo de tanks yougoslaves sera detourne par des pirates Somalo-Turballiens et je demarrerai mon projet de bouclier anti-missiles Breton.

J'en suis (mais je rentre pas dans un tank yougoslave, faudra me coller ailleurs) !

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a ce moment H16 prendra le controle informatique de toutes les usines de porc de la Bretagne (qui deviendra la Confederation des Territoires Celtes, un cargo de tanks yougoslaves sera detourne par des pirates Somalo-Turballiens et je demarrerai mon projet de bouclier anti-missiles Breton.

:icon_up:

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Terrible.

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dans les annees qui viennent, les brimades envers patrons et tout ce qui ressemble a un bourgeois ou une entite privee vont augmenter avec la benediction du gouvernement.

La violence va atteindre un niveau maousse et l'etat la detournera de ses fonctionnaires desormais fauches en portant la faute sur tous les non-alignes.

a ce moment H16 prendra le controle informatique de toutes les usines de porc de la Bretagne (qui deviendra la Confederation des Territoires Celtes, un cargo de tanks yougoslaves sera detourne par des pirates Somalo-Turballiens et je demarrerai mon projet de bouclier anti-missiles Breton.

Et Belle-Ile-en-Mer sera notre paradis fiscal offshore.

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Pas besoin d’haricot magique pour payer correctement ses salariés, aucun salarié ne le serait si c’était le cas.

Rien compris.

Il se trouve simplement que, même chez les responsables au sein des entreprises, les gens ne sont pas toujours capables de discerner quel est leur propre intérêt.

Vous êtes défonceur de portes ouvertes?

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UNM: Incidents violents au siège du Port de Marseille Il y a 23 heures

MARSEILLE (AFP) — Des incidents violents ont eu lieu mardi matin au siège du Grand Port maritime de Marseille (GPMM), des salariés de l'Union Naval Marseille, placée en liquidation judiciaire, s'en prenant à des responsables du port et aux locaux, a-t-on appris de sources concordantes.

Le secrétaire d'Etat chargé des transports, Dominique Bussereau, a condamné "très fermement" ces incidents, dans un communiqué.

"Vers 10H00, une cinquantaine de salariés de l'entreprise de réparation navale Union Naval Marseille (UNM) ont investi le siège du GPMM et provoqué de violents incidents: agression du directeur général adjoint, portes enfoncées, tableaux arrachés des murs, fumigènes dans les couloirs, meubles renversés portes vitrées brisées", explique le Port dans un communiqué.

"Ils ont jeté des caisses de sardines et d'oursins au visage du directeur général adjoint dont les lunettes ont été cassées", a précisé une porte-parole du GPMM.

M. Bussereau "condamne avec la plus grande fermeté l'agression inacceptable dont a été victime le directeur général adjoint du GPMM et les dégradations du siège du Port, par des personnes extérieures à l'établissement", a indiqué le communiqué du secrétariat d'Etat.

Il "demande la plus grande fermeté dans l'instruction de cette affaire", a ajouté le texte.

"Jean-Claude Terrier, président du directoire du GPMM en déplacement à Paris au moment des faits, s'est fortement élevé contre ces pratiques violentes et a décidé de poursuivre les agresseurs en justice", poursuit le communiqué.

La plainte sera "vraisemblablement déposée demain (ndlr: mercredi)", a ajouté la porte-parole.

Patrick Castello, secrétaire général de la CGT de la réparation navale a confirmé que des incidents s'étaient produits. "Il y a eu un mouvement de colère, les gens voient dans la presse qu'on les qualifie d'anarcho-syndicalistes des années 20, en même temps, ils apprennent que les procédures de licenciement sont en route, il y a eu une accumulation des choses", a-t-il expliqué.

"Nous voulions aller voir la direction du grand port pour lui demander ce que devenaient les salariés de l'UNM", a raconté Noël Kouici, secrétaire général CGT de l'UNM.

"Ca ne s'est pas passé comme ça devait se passer. Que voulez-vous ? Cela fait plus d'un mois qu'on essaie de retenir les gars. Maintenant ils savent que l'entreprise est liquidée, qu'un repreneur est déjà dans les lieux et que les licenciements vont tomber. A un moment donné, la colère déborde", a-t-il dit.

Interrogé sur l'intention de la direction du GPMM de poursuivre les participants à cette action, il a assuré: "ils continuent à vouloir nous enterrer complètement. Ca n'arrangera certainement pas les choses".

Alors que le port de Marseille est perturbé depuis plusieurs semaines par des grèves sur les bassins Est liées à la réforme des ports, la liquidation de l'UNM a aggravé les tensions.

Mardi, dans la matinée, une délégation d'élus, de représentants du port et du patronat ont rencontré le directeur de cabinet du président de la République.

Selon l'UPE 13 (patronat), la présidence a "réaffirmé sa détermination à faire appliquer rapidement et en l'état la réforme des ports votée fin 2008", sans recourir à des filialisations d'activité sous contrôle majoritairement public, comme le souhaite la CGT.

http://www.google.com/hostednews/afp/artic…m2Pmh_HMFHXOHNg

Souvenirs, Souvenirs:

https://www.liberaux.org/index.php?showtopic=37018

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Rien compris.

Vous êtes défonceur de portes ouvertes?

Les haricots magiques ça n’existe pas, pourtant il existe des salariés correctement payés.

En clair on peut toujours trouver de bonnes excuses pour ne pas chercher à effectuer une distribution des richesses crées qui satisfasse l’ensemble des intervenants.

Soyons cohérent on ne peut pas geindre en permanence sur la Re-distribution étatique si on l’encourage par nos actions, et ainsi ne pas être capable de discerner quel est notre propre intérêt.

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"Ils ont jeté des caisses de sardines et d'oursins au visage du directeur général adjoint dont les lunettes ont été cassées"

je peux pas m'empecher de trouver cette phrase drolatique, on dirait du petit nicolas. :icon_up:

En clair on peut toujours trouver de bonnes excuses pour ne pas chercher à effectuer une distribution des richesses crées qui satisfasse l’ensemble des intervenants.

Quand on accepte un travail on signe un contrat.

C'est quand apres on vient gueuler pour obtenir plus qu'on cherche une bonne excuse.

Un salarie intelligent demissionne et se garde bien de dire du mal des gens avec qui il a travaille.

C'est marrant que ce soit pas absolument evident, ca revient exactement au commentaire que je faisais sur l'inculture au travail du francais. (je me souviens d'un mini-debat sur 'peut-on dire du mal de la ou on a bossé?' avec certaines reponses positives qui en disent long sur l'éthique et l'ego des intervenants. )

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il existe des salariés correctement payés.

Ok. Mais je m'insurgeais contre ceux qui prétendent (comme feu "antibolchos") le contraire et exigent par conséquent un salaire plus gros pour tout le monde. Or sans haricots magiques, ce n'est pas possible.

En clair on peut toujours trouver de bonnes excuses pour ne pas chercher à effectuer une distribution des richesses crées qui satisfasse l’ensemble des intervenants.

Soyons cohérent on ne peut pas geindre en permanence sur la Re-distribution étatique si on l’encourage par nos actions, et ainsi ne pas être capable de discerner quel est notre propre intérêt.

1- vous dites que l'on agit pas toujours selon nos intérêts

2- que l'Etat sait où sont nos intérêts

3- que l'on a tort de se plaindre puisque l'Etat nous contraint dans notre intérêt.

J'espère m'être trompé dans l'analyse de votre prose car elle me parait complètement idiote.

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1- vous dites que l'on agit pas toujours selon nos intérêts

Oui.

J’ai cru comprendre que vous étiez chef d’entreprise et que, si je reprends vos propos, vous n’aviez « rien à foutre de vos salariés » et qu’il y avait « longtemps que vous ne vous préoccupiez plus de leur sort ». Il est évident qu’une telle attitude ne peut être que contre-productive puisqu’elle favorise la redistribution étatique.

2- que l'Etat sait où sont nos intérêts

Non.

Il n’est pas ici question de votre intérêt puisque vous ne seriez pas destinataire de cette redistribution.

3- que l'on a tort de se plaindre puisque l'Etat nous contraint dans notre intérêt.

Non,

mais je pense que l’on a tord de ce plaindre de l’intervention de l’Etat si, par nos actions, on la favorise.

JIM16, êtes vous favorable à l’intéressement des salariés aux résultats de l’entreprise ?

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JIM16, êtes vous favorable à l’intéressement des salariés aux résultats de l’entreprise ?

ben oui si c'est dans le contrat, pourquoi?

vous n’aviez « rien à foutre de vos salariés » et qu’il y avait « longtemps que vous ne vous préoccupiez plus de leur sort »

ca c'est le resultat logique apres avoir manage une compagnie en fRance, c'est aussi le resultat logique apres avoir manage des employes qui passent leur temps a geindre et a se comporter de facon immature, (comme des francais par exemple).

Ca n'est bien sur pas un point de depart ethique pour etre patron mais ca n'est pas ce que Rocou voulait dire.

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J’ai cru comprendre que vous étiez chef d’entreprise et que, si je reprends vos propos, vous n’aviez « rien à foutre de vos salariés » et qu’il y avait « longtemps que vous ne vous préoccupiez plus de leur sort ». Il est évident qu’une telle attitude ne peut être que contre-productive puisqu’elle favorise la redistribution étatique.

J'en déduis que vous êtes favorable au grand boulchite sur la responsabilité sociale des entreprises.

Si c'est le cas, je vous conseille de lire du Robert Reich (eh oui, un mec de gauche, mais bien), Supercapitalisme par exemple.

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J'en déduis que vous êtes favorable au grand boulchite sur la responsabilité sociale des entreprises.

Parler de « responsabilité sociale des entreprises » c’est déjà une forme de déresponsabilisation individuelle, je préfère parler de la responsabilité du chef d’entreprise et, pour reprendre les propos de JIM16, de son éthique.

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bien sur qu'il y a des patrons qui payent mal, mais ils se font du mal a eux-memes et leurs compagnies, c'est evident.

Ca n'est pas pour cette raison que l'ensemble du pays est soumis a des salaires trop bas: on ne peut pas evoquer le manque d'ethique d'un patron pour parler des problemes de la fRance, donc les intervenants de ce forum sautent au plafond quand on evoque cet element comme un argument valable.

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Parler de « responsabilité sociale des entreprises » c’est déjà une forme de déresponsabilisation individuelle, je préfère parler de la responsabilité du chef d’entreprise et, pour reprendre les propos de JIM16, de son éthique.

James Taggart, sort de ce corps :icon_up:

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bien sur qu'il y a des patrons qui payent mal, mais ils se font du mal a eux-memes et leurs compagnies, c'est evident.

Pas forcément, il y a des tâches pour lesquels on n'a pas besoin des gens très bons ni très chers.

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J’ai cru comprendre que vous étiez chef d’entreprise et que, si je reprends vos propos, vous n’aviez « rien à foutre de vos salariés » et qu’il y avait « longtemps que vous ne vous préoccupiez plus de leur sort ». Il est évident qu’une telle attitude ne peut être que contre-productive puisqu’elle favorise la redistribution étatique.

D'une part, vous n'avez rien compris à mon propos et je vous incite à relire mon message.

Rien à foutre des salariés. Il y a longtemps que je ne me préoccupe plus de leur sort; il n'y rien de plus ingrat qu'un salarié. Tout n'est que stratégie dans le but d'accroître productivité et qualité. Baisser les salaires, faire preuve d'arbitraire et d'injustice, être incorrect avec les salariés est totalement improductif. Le but est de trouver la martingale qui fait que chaque salarié ait l'impression de recevoir plus qu'il ne donne.

J'aimerais que l'Etat agisse envers moi comme je le fais avec les salariés de ma boîte.

D'autre part, j'aimerais que vous m'expliquiez comment déterminer un salaire "correct" qui permet d'éviter l'action de redistribution de l'Etat. En effet, si vous pensez que l'Etat intervient parce que les "salaires sont incorrect", c'est bien parce que vous estimez que l'Etat sait mieux que l'entrepreneur et le salarié ce qu'est un "salaire correct".

A partir de moment où vous niez à autrui de mieux savoir ce qui est bon pour vous, votre intervention n'a plus de sens.

bien sur qu'il y a des patrons qui payent mal, mais ils se font du mal a eux-memes et leurs compagnies, c'est evident.

Dans ce cas, ces entreprises finissent par disparaître.

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Vivement le jour où un patron d'une grosse boîte décide de tout fermer et de cramer le matériel et les bâtiments pour cause d'agression.

"Vous le prenez comme ça ? Ok, voilà ce que je fait de MA boîte, vous ne serez plus exploité maintenant."

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D'une part, vous n'avez rien compris à mon propos et je vous incite à relire mon message.

J'aimerais que l'Etat agisse envers moi comme je le fais avec les salariés de ma boîte.

J’ai bien lu votre message et l’Etat agit envers vous exactement comme vous le faite avec les salariés de votre boîte, c’est bien ça le problème.

Certains hommes politiques raisonnent comme vous : « Le but est de trouver la martingale qui fait que chaque citoyen/contribuable/électeur ait l'impression de recevoir plus qu'il ne donne. »

Les hommes politiques mette en place des mesures de redistribution de richesses parce que des citoyens les sollicitent, ils les sollicitent parce qu’ils pensent que cette distribution ne s’effectue pas de manière correcte.

… vous estimez que l'Etat sait mieux que l'entrepreneur et le salarié ce qu'est un "salaire correct"

Non, je n’estime pas que l'Etat sait mieux que l'entrepreneur et le salarié ce qu'est un "salaire correct". Ils se trouvent simplement que les salariés pensent qu’il est plus simple et efficace de demander à l’Etat de redistribuer que de demander à l'employeur de distribuer. C’est bien pour cette raison qu’une partie des salariés du privés seront dans la rue aujourd’hui, plutôt que dans le bureau de leur employeur pour négocier, il est de notre responsabilité de leur démontrer qu’ils ont tord.

Donnez aux citoyens la conviction que la distribution s’effectue correctement est un des meilleurs moyen de rendre illégitime l’action redistributive de l’Etat.

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Non, je n’estime pas que l'Etat sait mieux que l'entrepreneur et le salarié ce qu'est un "salaire correct". Ils se trouvent simplement que les salariés pensent qu’il est plus simple et efficace de demander à l’Etat de redistribuer que de demander à l'employeur de distribuer. C’est bien pour cette raison qu’une partie des salariés du privés seront dans la rue aujourd’hui, plutôt que dans le bureau de leur employeur pour négocier, il est de notre responsabilité de leur démontrer qu’ils ont tord.

Donnez aux citoyens la conviction que la distribution s’effectue correctement est un des meilleurs moyen de rendre illégitime l’action redistributive de l’Etat.

Les richesses ne se distribuent pas ou ne se redistribuent pas, elle sont créées, puis volées par l'état.

Un patron ne distribue pas de la richesse à un salarié, il en crée tout comme ses employés.

Quand j'effectue un travail salarié j'échange les richesses que je crée contre de l'argent!

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Les richesses ne se distribuent pas ou ne se redistribuent pas, elle sont créées, puis volées par l'état.

1. Les richesses sont crées puis distribué à ceux qui ont concouru à leurs création.

Un patron ne distribue pas de la richesse à un salarié, il en crée tout comme ses employés.

2. Voir point n° 1 (L’intéressement ça n’existe pas ?)

Quand j'effectue un travail salarié j'échange les richesses que je crée contre de l'argent!

3. C’est VOTRE conception du travail salarié, d’autres conceptions existent, par exemple « mon entreprise génère des bénéfices, je distribue ceux-ci à mes actionnaires et à mes salariés (j’en consacre une partie à l’investissement), dans des proportions respectives que j’estime être les plus judicieuses (ou dans des proportions que l’Etat m’imposera, Cf. la fumeuse distribution en 3 tiers évoquée par N.Sarkozy).

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1. Les richesses sont crées puis distribué à ceux qui ont concouru à leurs création.

2.Voir point n° 1 (L’intéressement ça n’existe pas ?)

3.C’est VOTRE conception du travail salarié, d’autres conceptions existent, par exemple « mon entreprise génère des bénéfices, je distribue ceux-ci à mes actionnaires et à mes salariés, dans des proportions respectives que j’estime être les plus judicieuses (ou dans des proportions que l’Etat m’imposera, Cf. la fumeuse distribution en 3 tiers évoquée par N.Sarkozy).

La part des profits qui revient aux actionnaires correspond à la rémunération du capital ayant participé à la création de richesse

Si on appelle l'intéressement intéressement et pas répartition des profits c'est pas par hasard!

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La part des profits qui revient aux actionnaires correspond à la rémunération du capital ayant participé à la création de richesse

Et ? Libre à vous (pour combien de temps ?) de mieux rémunérer le capital ayant participé à la création de richesse que les salarié ayant participé à cette même création (ou l’inverse).

Si on appelle l'intéressement intéressement et pas répartition des profits c'est pas par hasard!

L’intéressement est une forme de distribution des profits.

Le principe de l’intéressement aux résultats de l’entreprise amène les salariés à vivre positivement le profit.

Une partie de nos divergences est du à une erreur sémantique de ma part, j’aurai du employé le terme « rémunération » plutôt que « salaire », la rémunération du salarié pouvant être composée du salaire + d’une participation au profit qu’il a contribué à créer.

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