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Les facs en grève régulière désertées par leurs étudiants


Messages recommandés

Chez nous c'est rétention des notes (très pratique pour ceux qui veulent entrer dans des établissements sur dossier); partiel sur tout, même ce que l'on a pas vu….

Et les élèves les soutiennent avec banderoles et tutti quanti….

Syndrome de Stockholm?

T'es dans quelle fac?

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Tu me prends pour qui, je coute bien plus cher qu'un vulgaire faceux :icon_up: Je suis en IUT sinon je passe cette année les concours pour les écoles de commerce.

PS: je vous dévoilerai tout sur cet établissement en le nommant quand mon sésame BAC+2 sera acquis.

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:icon_up:

Le rattachement progressif des classes préparatoires et des écoles à l’université pourrait être le moyen de créer des centres universitaires dotés d’une taille critique suffisante.

Tiens, le vieux fantasme de la gauche et de l'EdNat.

Combiner une augmentation des moyens, une autonomie véritable et un système d’évaluation collective.

C'est bien beau mais appliquée à la réalité, ça ne veut rien dire, à part augmentation des moyens, ie des impôts. Elle est constamment dans le vague agrémenté de quelques épithètes grandiloquents, c'est sa rhétorique.

D'ailleurs j'aimerais bien voir la tronche de son "autonomie véritable" quand on observe la fameuse décentralisation dont la gauche se vante. De la merde. Une tronche de merde.

Espérons que le gouvernement le comprenne enfin, méditant la parole de sagesse que Marguerite Yourcenar prête à l’empereur Hadrien : «Si je méprisais les hommes, je n’aurais aucun droit ni aucune raison d’essayer de les gouverner.»

Je laisse Montherlant répondre :

"Nous, nous voulons ne pas dépendre. Et nous estimerions les âmes qui se mettent sous notre dépendance ? C'est par une haute idée de la nature humaine, qu'on se refuse à être chef."

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Invité rogermila

Nouvelle escalade de violence fascisante à Rennes II, orchestrée par des gauchistes radicaux qui n'acceptent même plus les décisions trop modérées, à leur goût, des AG.

AFP

06/04/2009 18:16

Une centaine d'étudiants radicaux s'en sont pris aujourd'hui dans l'après-midi aux locaux de la présidence de l'université Rennes 2, a indiqué à l'AFP son président Marc Gontard.

"La présidence a été attaquée par un groupe d'une centaine de personne qui ont cassé des vitres", a-t-il expliqué par téléphone. "On est dans les étages, on attend d'être dégagés", a-t-il ajouté, en indiquant avoir fait appel à la police.

Cette attaque, "sans précédent" selon lui lors des précédents mouvements étudiants, pourrait être liée à la colère d'étudiants radicaux devant le refus lundi d'une AG étudiante de voter un blocage total de l'université, a-t-il estimé.

L'université Rennes 2 (lettres et sciences humaines) avait été rouverte lundi matin après une fermeture administrative d'une semaine décidée le 31 mars en raison de problèmes de sécurité sur le campus.

Les étudiants et personnels arrivant sur les lieux s'étaient trouvés confrontés ce jour là à quelque 150 "bloqueurs", dont certains cagoulés ou armés de bâtons, selon la présidence.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/04/…-2-attaquee.php

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mh j'imagine qu'ils vont progressivement se discrediter a ce rythme la

si ca se trouve c'est juste une bande de racailles, quelqu'un sait?

ah, on sait:

Selon une étudiante occupant le hall et jointe au téléphone, l'occupation du hall de la présidence correspond à une mesure de “séquestration du président en solidarité avec les ouvriers qui retiennent leur patron"
"Ils sont en empathie avec ce qu'ils voient à la télé", a ironisé Jean-Emile Gombert, vice-président de l'Université, retenu dans le hall avec les étudiants
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les commentaires sont excellents!

Rennes 2 n'est pas une faculté …. c'est un concept
toute cette affaire n'est qu'un horrible complot du président de l'université qui a envoyé sa famille déguisée en casseurs pour décrédibiliser l'action démocratique des camarades étudiants citoyens.
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Une centaine d'étudiants s'en sont pris lundi en fin d'après-midi aux locaux de la présidence de l'université Rennes 2 en investissant le hall du bâtiment après avoir brisé une porte vitrée, retenant le personnel, le président Marc Gontard et les autres membres de la direction dans le bâtiment. “Nous sommes retenus dans les étages supérieurs depuis qu’une centaine d’étudiants a forcé le passage et fait exploser la porte vitrée”, a confirmé le secrétaire général de Rennes 2 (lettres et sciences humaines), joint au téléphone.

Ces étudiants, environ 200 au total, la moitié demeurant à l’extérieur, s’en sont pris à la présidence de Rennes 2 à la suite d’une assemblée générale où environ 2000 étudiants ont voté majoritairement pour un blocage partiel de l’Université et ont rejeté un blocage total. Selon une étudiante occupant le hall et jointe au téléphone, l'occupation du hall de la présidence correspond à une mesure de “séquestration du président en solidarité avec les ouvriers qui retiennent leur patron", votée lors d’une précédente AG la semaine dernière. Les étudiants qui occupent le hall de Rennes 2 demandent, entre autres, "un semestre blanc" avec une même note pour tous à la suite des fortes perturbations qui ont empêché les cours ces huit dernières semaines sur le campus, la mise à disposition d'un local permanent pour "continuer la lutte" et le retrait des équipes de sécurité professionnelles présentes actuellement sur la fac.

"Ils sont en empathie avec ce qu'ils voient à la télé", a ironisé Jean-Emile Gombert, vice-président de l'Université, retenu dans le hall avec les étudiants.

Après une fermeture administrative d’une semaine, pour "raisons de sécurité", les cours avaient repris lundi matin à Rennes 2 après plusieurs semaines de quasi-blocage du au mouvement contre les réformes du gouvernement.

P.H.A.

(badurl) http://www.liberennes.fr/libe/2009/04/la-prsidence-de.html (badurl)

motivator.jpg

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Si c'est le gouvernement qui paye tes voyages, tu fermes ta gueule ou t'assumes.

C'est ridicule de réagir comme ça. Même si l'idée de subventionner un voyage scolaire peux te paraître détestable, on reste dans un système d'état de droit, et en aucun cas un élu ( :icon_up: ) ne peut (ou plutôt ne devrait) se permettre d'attribuer ou de retirer de manière totalement arbitraire ce qui ne lui appartient pas.

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mh j'imagine qu'ils vont progressivement se discrediter a ce rythme la

si ca se trouve c'est juste une bande de racailles, quelqu'un sait?

Comme quoi, on a beau partager une certaine idée de ce que doit être le rôle du gouvernement, on partagera jamais les même idées….

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C'est ridicule de réagir comme ça. Même si l'idée de subventionner un voyage scolaire peux te paraître détestable, on reste dans un système d'état de droit, et en aucun cas un élu ( :icon_up: ) ne peut (ou plutôt ne devrait) se permettre d'attribuer ou de retirer de manière totalement arbitraire ce qui ne lui appartient pas.

Certes, libéralement, rien ne lui appartient, mais juridiquement, il est gérant de ressources communes.

L'élu donne ou pas des subventions, après les gens votent ou pas pour lui.

Je ne vois pas comment du point de vue bien libéral 'rien n'appartient à l'élu', on peut en arriver à 'l'élu doit subventionner les casseurs'.

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C'est ridicule de réagir comme ça. Même si l'idée de subventionner un voyage scolaire peux te paraître détestable, on reste dans un système d'état de droit, et en aucun cas un élu ( :icon_up: ) ne peut (ou plutôt ne devrait) se permettre d'attribuer ou de retirer de manière totalement arbitraire ce qui ne lui appartient pas.

Ils ont jouer au con, ils n'ont qu'à chercher leurs sous ailleurs. Ce n'est pas parce qu'il s'agit de l'état que ça doit se passer différemment. Evidemment que cet argent appartient désormais au maire et qu'il décide quoi en faire. En tout cas toujours plus qu'un groupe d'étudiant et une ribambelle de professeurs.

Comme quoi, on a beau partager une certaine idée de ce que doit être le rôle du gouvernement, on partagera jamais les même idées….

Tu as vu les vidéos ? A moins de trouver le mot trop faible, je ne vois pas où est la discorde.

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Dixième semaine de "grêve active" à Paris 1… Toujours les mêmes rengaines, les mêmes discours gauchistes à gerber… Les profs commencent doucètement à se demander comment nous évaluer. Les textes stipulent que s'il y a moins de sept semaines d'enseignement par semestre, le diplôme ne peut être validé… certains profs parlent de donner les diplômes, put… mais on en veut pas de vos diplômes en bois, on veut des diplômes dûment acquis et utiles!

La semaine dernière, les profs ont organisé une projection de cours métrages d'ouvriers Peugeot à Sochaux en 1968, suivi du sempiternel "débat". Le rapport avec la fac? Euh….. On avait déjà eu droit, auparavant, à des "conférences" avec des cégétistes, Mélenchon, des mecs d'ATTAC ou du NPA…………………………. Non, non, ils ne font pas du tout de propagande, on vous jure…

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Tout cela ne va pas arranger l'opinion du monde professionnel vis-à-vis des universités… :icon_up:

La reforme la plus urgente est bien la sélection à l'entrée afin d'écarter ces énergumènes pour essayer ensuite de reformer de manière bien plus globale l'université.

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(mode Dantec)

la voix actuelle est bien celle de la deliquescence de l'enseignement et de l'emploi, ce qui arrange bien l'extreme gauche pour créer son armée, cette nouvelle génération de petits sadiques frustrés et paumés, dont l'elite sera la caillera.(mode Dantec off)

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Tout cela ne va pas arranger l'opinion du monde professionnel vis-à-vis des universités… :icon_up:

La reforme la plus urgente est bien la sélection à l'entrée afin d'écarter ces énergumènes pour essayer ensuite de reformer de manière bien plus globale l'université.

Ou plutôt acter que l'université sous sa forme actuelle est foutue et laisser des solutions alternatives se développer par la fin du monopole universitaire…

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Ou plutôt acter que l'université sous sa forme actuelle est foutue et laisser des solutions alternatives se développer par la fin du monopole universitaire…

oui!

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En effet c'est très bon. Je suis impatient de savoir la suite qu'aura cette lettre.

Aucune suite. Lue, pas lue, on ne saura pas.

Voici la suivante, nettement plus acerbe :

Monsieur,

J'avais voulu, il y a peu, vous alerter sur les nombreux inconvénients à organiser un référendum. Mon courrier est resté sans réponse, ce qui, je vous l'avoue, ne m'a pas surprise. Il est en effet plus facile de flatter les masses moutonnières que d'écouter la voix de la raison.

Je vais cependant persister, car c'est aujourd'hui le seul moyen légal que j'entrevois pour vous faire connaître ma colère.

Donc, vous avez organisé ce référendum, mais avez bien pris soin de préciser qu'il ne viendrait pas remplacer la décision de ce coup d'état permanent qu'est l'AG. On se demande, dès lors, qu'elle aurait pu être son utilité. Je ne me suis même pas déplacée.

Et le prévisible s'est produit : Les extrémistes de la casse et du désordre ont encore une fois fait imposer leur volonté par la force, n'envisageant même pas que le droit puisse prévaloir. A votre référendum, on avait pourtant donné, à une écrasante majorité, la préférence à la reprise des cours. Mais qu'importe. Ces gens n'ont cure de la démocratie : Ce sont des putschistes. Je vous invite à lire, à ce sujet, La technique du coup d'état, de Curzio Malaparte. [Je crains que vous soyez de ceux dont ils coupent la tête, à la fin.]

Et ceci est de votre responsabilité. La désagrégation de cette université, la perte de valeur du diplôme qu'elle procure, sont de votre faute. Par votre faiblesse face à ces voyous gavés de bourses et d'allocations, vous entérinez leurs actes et leurs décisions. Vous vous soumettez à leurs ordres. Vous n'êtes pas un président, vous êtes un greffier dont le rôle se limite à prendre note de ce qui se passe sans même qu'on vous consulte.

Ne vous étonnez pas, lorsque les étudiants, les vrais, voteront avec leur pieds en allant étudier ailleurs : Vous aurez tout fait pour. Ne resteront que les pires, que vous aurez mérités.

Je vous remercie de m'avoir lue

Entre crochets, une phrase un peu trop dure, tout de même, supprimée à la relecture.

Sans espoir aucun, tout comme pour la précédente.

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Je trouve ça nul d'écrire les courriers de sa copine.

Pourquoi ? :icon_up:

Par contre le "gavés de bourse et d'allocs", c'est très éxagéré. Les boursiers sont souvent moins glando que certains "classe moyenne".

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Pourquoi ? :icon_up:

Parce que ce monsieur m'a pris en grippe, un jour, pour une raison qui m'est inconnue.

Tout ce que je fais est nul, à ses yeux.

Je vis très bien avec, et si ça lui permet de faire baisser sa tension, ma foi…

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Par contre le "gavés de bourse et d'allocs", c'est très éxagéré. Les boursiers sont souvent moins glando que certains "classe moyenne".

idem pour les bouses, par contre je conserverais ce que tu as mis entre crochet.

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Par contre le "gavés de bourse et d'allocs", c'est très éxagéré. Les boursiers sont souvent moins glando que certains "classe moyenne".

C'est que tu n'as pas vu ce qu'elle a vu, elle. (Elle est boursière, à propos)

Elle a vu, par exemple, le jour des partiels, des gens venir, noter leur nom sur la feuille, attendre une heure, et repartir. Juste pour être là, hein. Et encaisser la bourse.

Maintenant, je n'ai pas fait de stats, alors, c'est peut être effectivement exagéré. Mais il semble que les plus virulents, les plus extrémistes, sont aussi de ceux-là. Et à réclamer la validation du semestre pour tout le monde.

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C'est que tu n'as pas vu ce qu'elle a vu, elle. (Elle est boursière, à propos)

Elle a vu, par exemple, le jour des partiels, des gens venir, noter leur nom sur la feuille, attendre une heure, et repartir. Juste pour être là, hein. Et encaisser la bourse.

Maintenant, je n'ai pas fait de stats, alors, c'est peut être effectivement exagéré. Mais il semble que les plus virulents, les plus extrémistes, sont aussi de ceux-là. Et à réclamer la validation du semestre pour tout le monde.

Je ne fais pas de stats non plus. J'ai noté que, et c'était déjà le cas au lycée, les étudiants issus de milieu modeste avaient généralement plus à coeur de réussir. Maintenant, bien sûr qu'il existe des profiteurs. A vrai dire, je pensais que le gros de la contestation était plutôt constitué de petits bourgeois/classe moyenne, d'après toujours ce que j'ai remarqué ou entendu auprès de mes conaissances.

Les éléments les plus violents, en revanche, je n'en sais rien et je veux bien te croire.

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