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Allez Javier Milei, à la tronçonneuse ! Argentine socialiste, bientôt libertarienne ?


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il y a 39 minutes, Franklinson a dit :

Zut, j'ai raté ça. C'était bien ? Tu sais s'il y a une rediffusion quelque part ?  Je ne trouve pas.

 

Youtube --> Chaîne de l'Institut Libéral --> Dernière vidéo ajoutée. Ne me remercie pas. ;)

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Classical Liberalism in Argentina, from 1816 to 1884

 

Pas lu les 22 pages mais chatgpt me donne le résumé suivant :

 

Citation

L'article *Classical Liberalism in Argentina, from 1816 to 1884* par Alejandro Gómez et Nicolás Cachanosky analyse l’évolution du libéralisme classique en Argentine. Il commence avec l'impact des réformes des Lumières et les contributions de figures telles que Manuel Belgrano, Mariano Moreno et Bernardino Rivadavia, qui ont introduit des idées de liberté économique, de droits individuels et de réforme sociale. Il met en lumière le rôle crucial de Juan Bautista Alberdi dans la rédaction de la Constitution de 1853, qui a permis à l’Argentine de prospérer jusqu’au coup d’État de 1930.

 

1. Contexte historique : L'article détaille comment l'Argentine, après son indépendance en 1816, s'est retrouvée avec une économie rudimentaire et des infrastructures limitées. Les débats sur la gouvernance incluaient des propositions allant d’une république fédérale à une monarchie constitutionnelle, exacerbés par les divisions régionales, notamment entre Buenos Aires et les autres provinces.

 

2. **Influence des idées des Lumières** : Les penseurs européens tels qu'Adam Smith, John Locke, et Montesquieu ont influencé les réformes libérales argentines, relayées à travers des publications et des rencontres intellectuelles (tertulias). Ces idées ont pris racine principalement à travers des intellectuels criollos, bien que souvent en décalage avec les classes populaires plus conservatrices.

 

3. **Figures majeures** : L’article explore des figures clés :


   - **Manuel Belgrano** : Promoteur du libre-échange et des réformes économiques, influencé par la physiocratie et Adam Smith. Il a introduit ces idées en Argentine à travers ses écrits économiques et initiatives à Buenos Aires.


   - **Mariano Moreno** : Défenseur des droits des indigènes et des libertés économiques. Ses contributions incluent un plaidoyer pour la liberté de commerce à travers des écrits tels que la *Representación de los Labradores y Hacendados* en 1810.


   - **Bernardino Rivadavia** : Premier président de l'Argentine et instigateur de nombreuses réformes sociales, religieuses et économiques, telles que la liberté d’expression et l’éducation laïque.

 

4. **La Génération de 1837** : Un groupe d’intellectuels argentins, inspirés par les révolutions européennes et des penseurs comme Tocqueville et Constant, a continué à promouvoir des réformes libérales sous le régime de Juan Manuel de Rosas. Cette génération a influencé des figures comme Juan Bautista Alberdi, qui ont vu dans la Constitution de 1853 un moyen d’enraciner le libéralisme.

 

5. **Contribution de Juan Bautista Alberdi** : Alberdi a eu un rôle crucial dans la rédaction de la Constitution de 1853, qui a structuré le pays autour de principes libéraux classiques. Sa vision économique, exprimée dans *Bases* et *Sistema Económico y Rentístico*, prônait le libre-échange, la protection des droits de propriété, et l'immigration européenne pour peupler et moderniser l’Argentine.

 

6. **Impact de la Constitution de 1853** : La Constitution de 1853 a permis à l’Argentine de prospérer grâce à des réformes économiques libérales. L’ouverture au commerce et à l’immigration a favorisé une croissance spectaculaire, notamment dans le développement des infrastructures (chemins de fer, ports) et l'augmentation démographique. Cependant, l’élan libéral a été interrompu en 1930 par un coup d’État.

 

L'article montre que, bien que le libéralisme classique ait joué un rôle essentiel dans la modernisation de l'Argentine, ses effets se sont affaiblis à mesure que les politiques conservatrices et nationalistes ont repris le dessus au XXe siècle.

 

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Bon, que les forumeurs interviewés dans cet article se dénoncent : https://www.lefigaro.fr/vox/politique/afuera-ces-liberaux-qui-revent-d-importer-les-recettes-de-javier-milei-en-france-20241009

Plus sérieusement, c'est pas mal. Evidemment, on a du Koenig qui crache sur Milei (et du Bouzou qui fait la fine bouche en le qualifiant de conservateur, ce qui me semble assez caricatural).

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Parmi les essayistes libéraux les plus médiatiques, certains sont sans doute embarrassés par le fait que l'élection de Milei révèle en creux une erreur stratégique de leur part : estimant la France profondément socialiste et bureaucratique, ils se sont dit que le libéralisme ne serait acceptable que sous une forme modérée, tempérée, suffisamment policée pour le rendre aimable aux élites et aux journalistes.  Avec l'irruption de Milei dans l'espace médiatique, leur modération les fait disparaître au profit des slogans et des provocations libertariennes revenues au centre  du débat public. Le type même de libéralisme radical qu'il cherchait à faire disparaître en France a la côte, ce qui rend inaudible ses versions modérées, devenues par le jeu de l'actualité des déclinaisons étroitement provinciales de celle de l'argentin.

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Bon, que les forumeurs interviewés dans cet article se dénoncent : https://www.lefigaro.fr/vox/politique/afuera-ces-liberaux-qui-revent-d-importer-les-recettes-de-javier-milei-en-france-20241009
Plus sérieusement, c'est pas mal. Evidemment, on a du Koenig qui crache sur Milei (et du Bouzou qui fait la fine bouche en le qualifiant de conservateur, ce qui me semble assez caricatural).
Je n'ai pas accès à l'article, il est possible de partager un pdf en privé ?
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  • 2 weeks later...
On 10/13/2024 at 9:44 AM, fm06 said:

L’article a été partagé sur Telegram

https://t.me/javiermileifrance/33

Depuis qu'il a fait le tour de France en poney, Koenig a complètement vrillé.

La critique que fait Nicolas Bouzou  peut s'entendre, d'autant plus qu'il n'est pas totalement réfractaire à ce que fait Milei.

Mais bon, ça c'est une parole publique. En privé je suis sur qu'il bave sur un futur Milei français 😆

 

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Des sangsues qui vont chercher de nouvelles places, à un niveau plus local, ce qui est la pratique usuelle quand le milieu est accueillant.

Et moi je suis curieux de voir comment se passe ce recasage de sangsues plus près de leurs hôtes ?

 

Je subodore que ça tangue aussi dans les provinces.

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Petite interrogation : comment expliquer le faible succès de Milei sur le front de l'inflation ? 

Y avait-il des réserves monétaires qui sont en train d'être dépensée, peut-être grâce aux dérégulations ? Ou bien, est-ce que la demande de peso baisse pour une autre raison ? Investisseurs qui ont peur de l'instabilité politique, ou encore, anticipation d'une baisse encore plus grande de valeur après la dollarisation... ?

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La dynamique de l'inflation est lente.  Je n'ai pas entendu dire que Milei avait fait dégonfler la masse monétaire.

 

Par contre:

Quote

Consumer prices in Argentina rose by 3.5% month-on-month in September 2024, following a 4.2% increase in the previous month. It marked the lowest reading since November 2021, which came in line with market expectations.

Je n'appelle pas ça un "faible succès". Milei est dans la bonne voie et je prie les dieux autrichiens qu'il puisse continuer son action.

 

EDIT: Source de la citation.   Les graphiques sont éloquents.

 

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il y a 22 minutes, Mégille a dit :

Petite interrogation : comment expliquer le faible succès de Milei sur le front de l'inflation ?

???

Mileï a pris le pouvoir en pleine vague inflationniste montante (et raide).
Donc, déjà, le 1° travail était de stopper la croissance de l'inflation. Rien que la maintenir dans les clous aurait été pas mal.
Une fois l'accélération stoppée, on est passé a une baisse de l'inflation.

... c'est déjà pas mal.

On parle quand même d'un pays de 46 millions d'habitants, où les acteurs économiques ont bien été obligés de s'adapter au rythme.

Faire revenir un cheval emballé au pas, ça prend un peu de temps.

 

Et il faut tenir compte des politiques des provinces, dont beaucoup sont vent debout contre Mileï.

Il y en a même l'une ou l'autre qui ont créé leur propre monnaie pour tenter de prolonger la fête du slip.

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Il y a 4 heures, Rübezahl a dit :

Et il faut tenir compte des politiques des provinces, dont beaucoup sont vent debout contre Mileï.

Il y en a même l'une ou l'autre qui ont créé leur propre monnaie pour tenter de prolonger la fête du slip.

Ça pourrait inspirer certains indépendentistes québécois qui avaient par le passé étudié cette question mais que leur ardeurs avaient été refroidi quand ils ont conclu que la valeur de la monnaie québecoise vaudrait pas grande chose. 

 

Et tant qu'a y être, regardons si ces provinces argentines vont aller même prendre le risque de se séparer de l'Argentine?

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Un regard sans concession sur les 9 premiers mois de la présidence Milei. Extraits:

« Maintenant, la tâche pour lui est de savoir s'il peut tenir sa promesse sans que la récession ne s'aggrave. En un mot, la tâche est que la réduction de la masse monétaire et la réduction des dépenses publiques soient compensées par une augmentation correspondante de l'activité du secteur privé afin que le chômage n'augmente pas trop. Ainsi, beaucoup dépend de la mesure dans laquelle le gouvernement réussit à renforcer le secteur privé par la déréglementation et la privatisation. »

« Où est l'anarcho-capitalisme de Milei, se demande-t-on ? Il y a peu de choses à voir à ce sujet. Il applique une politique que le Fonds monétaire international a déjà prescrite pour de nombreux pays débiteurs. Les gouvernements ont souvent suivi les exigences du FMI à contrecœur. Le président argentin le fait volontairement et dans une mesure encore plus sévère. Réformer brusquement un pays entier d'une manière anarcho-capitaliste est impossible. Il serait probablement préférable que Milei prenne une voie différente : celle des villes libres privées ou des zones économiques spéciales. »

https://mises.org/mises-wire/nine-months-javier-milei-president-argentina-critical-assessment

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Le 26/10/2024 à 09:26, Mégille a dit :

Petite interrogation : comment expliquer le faible succès de Milei sur le front de l'inflation ? 

Y avait-il des réserves monétaires qui sont en train d'être dépensée, peut-être grâce aux dérégulations ? Ou bien, est-ce que la demande de peso baisse pour une autre raison ? Investisseurs qui ont peur de l'instabilité politique, ou encore, anticipation d'une baisse encore plus grande de valeur après la dollarisation... ?

 

La prémisse est déjà hautement douteuse. Pour autant que je le vois, sa politique anti inflation fonctionne comme prevu

 

Il y a 3 heures, fm06 a dit :

Un regard sans concession sur les 9 premiers mois de la présidence Milei. Extraits:

« Maintenant, la tâche pour lui est de savoir s'il peut tenir sa promesse sans que la récession ne s'aggrave. En un mot, la tâche est que la réduction de la masse monétaire et la réduction des dépenses publiques soient compensées par une augmentation correspondante de l'activité du secteur privé afin que le chômage n'augmente pas trop. Ainsi, beaucoup dépend de la mesure dans laquelle le gouvernement réussit à renforcer le secteur privé par la déréglementation et la privatisation. »

« Où est l'anarcho-capitalisme de Milei, se demande-t-on ? Il y a peu de choses à voir à ce sujet. Il applique une politique que le Fonds monétaire international a déjà prescrite pour de nombreux pays débiteurs. Les gouvernements ont souvent suivi les exigences du FMI à contrecœur. Le président argentin le fait volontairement et dans une mesure encore plus sévère. Réformer brusquement un pays entier d'une manière anarcho-capitaliste est impossible. Il serait probablement préférable que Milei prenne une voie différente : celle des villes libres privées ou des zones économiques spéciales. »

https://mises.org/mises-wire/nine-months-javier-milei-president-argentina-critical-assessment

Mises ORG qui s'illustre encore comme un Club de losers. 

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il y a 14 minutes, NoName a dit :

 

La prémisse est déjà hautement douteuse. Pour autant que je le vois, sa politique anti inflation fonctionne comme prevu

 

Mises ORG qui s'illustre encore comme un Club de losers. 

 

 

Citation

This concept states that the government of a country designates certain territories, and the state largely withdraws administratively and leaves most of it to the private sector. Low or no taxes and almost no regulations are the incentives for companies and private investors to settle there. The labor market in these zones is almost completely free of regulation, and people come there voluntarily to work and do business.

Argentina’s location, in particular, is ideal for such a strategy because of its many almost completely uninhabited regions. The Argentine government could designate areas the size of Holland and lease these selected territories to a private company, the amount of which would vary according to the economic success achieved there. A comparison of the circumstances with the already existing administrative special zones in other parts of the world indicates that the chances of success in Argentina seem very favorable. This would be particularly the case if a libertarian government, such as that of Milei, undertook to extend the absence of state rule in such a special zone as far as possible, and accordingly to create a comprehensive space for a private legal system. Such a project could have a signal function for the whole world and provide practical proof that and how anarcho-capitalism works.


J'aime pourtant cette suggestion qui pourrait être mise en place conjointement aux autres politiques de Milei.

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il y a une heure, Tramp a dit :

Est-ce que c’est constitutionnellement possible ? Sans même parler politiquement. 


J’allais répondre : « J’espère que le Mises a fait ses devoirs » mais bon… ils sont probablement plus souvent dans l’idéologie que la politique.

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Il y a 2 heures, Johnnieboy a dit :

J'aime pourtant cette suggestion qui pourrait être mise en place conjointement aux autres politiques de Milei.

 

C'est une bonne idée en théorie mais ça demande énormément de capital politique pour un résultat douteux puisque comme on voit à Prospera dès que l'opposition récupère le pouvoir, elle retourne le truc. 

 

Sans compter que constitutionnellement comme dit Tramp c'est potentiellement impossible. 

 

Vaut mieux se concentrer sur ce qui est faisable politiquement et légalement, et concrètement ça veut dire se cantonner au mainstream neoliberal (ce qui laisse déjà pas mal de mou pour réformer un pays comme l'argentine).

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2 hours ago, Tramp said:

Est-ce que c’est constitutionnellement possible ? Sans même parler politiquement. 

 

Et est-ce durable ?

 

Après la guerre civile, l' Espagne a déployé d'énormes efforts (par rapport à ses moyens) de reconstruction et d'industrialisation en Catalogne.

Le résultat, c'est qu'elle se retrouve avec des identitaires sécessionistes.

 

Ditto pour l'URSS en Asie centrale.

 

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Je viens de passer deux semaines en Argentine, en tant de touriste intéressé.

 

Quand j'ai pu discuter avec des argentins (essentiellement des indépendants, ou simples employés, commerçants, taxi, artisans), ce qui ressort majoritairement est au moins une satisfaction de la politique de Milei (affectueusement surnommé aussi Javito), et au mieux un total soutien.

Ils le considèrent assurément un peu fou (voire complètement barré) et aux manières grossières et impolies, mais le fond l'emporte sur la forme, au vue du travail à faire.

La gauche dans son ensemble, kirchneristes et autres perronistes, sont vu comme les pires voleurs, corrompus jusqu'à l'os, qui ne sont aux manettes que pour s'en mettre plein les poches. Les syndicats sont bourrés de pognon, mais c'est le pognon des nécessiteux et autres travailleurs. Pour rappel, avant Javier, la solidarité nationale passaient par les corps intermédiaires, qui se chargeaient eux même de la redistribution. Évidemment, ils en gardaient une (majeure) partie pour eux, mais aussi et surtout, l'utilisaient pour asservir les bénéficiaires : adhésion obligatoire au syndicat, présence obligatoire aux manifestations sous peine de suppression des aides, etc....

 

Ils disent qu'il suffit de soulever le tapis pour voir toutes les malversations et détournements : tout est su, mais tout était tu. Il y a un énorme travail pour nettoyer les écuries d'augias, mais ça va assurément dans le bon sens.

L'un a même souhaité que Milei dirige le monde, tellement il le trouve bien, ou à défaut, qu'il y ai plein de mini Milei partout.

Sur le lot, seule une personne (taxi) nous a dit que la situation politique du pays était difficile et s'était dégradée (ce qui est aussi factuellement vrai, même si ca a été temporaire)

 

Certains me jalousaient les socialistes qu'on peut trouver en Europe, et j'avoue ne pas etre arriver à leur donner tort la dessus : mieux vaut quelques piranhas que le troupeau de requins qu'ils avaient.

Détail amusant (en fait non), certains corps de métier et postes de fonctionnaires étaient attribués par népotisme, tu en héritais de tes parents (ahora afuera !).

 

Modulo le volet sécuritaire, c'est plus ou moins les mêmes ressorts (ici à un niveau bien plus élevé) que j'ai pu observer qui ont amené les portugais à apporter leur confiance à Chega.

 

En voyant que j'étais français, l'un m'a demandé de lui expliquer macron, qu'il trouvait incompréhensible dans ses déclarations. Je lui ai répondu qu'il avait au contraire tout compris du personnage invertébré, et que même le macron du soir ne comprendrait pas le macron du matin.

 

Détail non politique (quoique), le foot est omniprésent. Ce sont des footballeurs argentins qui sont dans les vidéos sur les gestes de sécurité en avion dans les lignes intérieures, la majorité des tv en espace public (bar, resto, magasin électroménager...) passent du foot. Presque tous les chauffeurs nous ont parlé spontanément de foot. Et le petit bourg à 4200m d'altitude, accessible après 50km de piste a ses deux terrains (en terre, certes).

 

 

Disclaimer, j'ai surtout parcouru le nord du pays, privilégiant les petites villes. Peu de temps passé dans Buenos aires, les métropoles m'hérissent le poil.

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Dans Le Point il y a toute une série d'article sur Javier Milei Argentine : comment la gauche a ruiné le pays

Citation

La gauche a créé un divorce entre l'économie et la réalité, et cela a fonctionné tant qu'il y avait des ressources pour permettre à la politique de soutenir des mesures économiques illusoires. 

 

C'est con, c'est en paywall. y'a moyen de publier ici sans violer la charte ?

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