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Allez Javier Milei, à la tronçonneuse ! Argentine socialiste, bientôt libertarienne ?


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  • 2 weeks later...
  • 3 months later...

Ils profitent de la grève des flics peut-être, mais les flics paient aussi des types pour foutre la merde, c'est monnaie courante là-bas dès que la police veut voir les salaires réévalués.

En même temps, avec l'inflation monstrueuse provoquée par le gouvernement et la banque centrale, ne pas payer les flics correctement c'est s'assurer qu'il y aura de la corruption et des heurts dans ce genre.

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  • 3 weeks later...
  • 3 weeks later...

*Il ne peut plus rien nous arriver d'affreux  maintenant*

 

 

L'Argentine fait tout pour décourager ses citoyens de faire des achats sur des sites internet internationaux ! Désormais, un Argentin qui voudrait commander auprès d'enseignes étrangères, comme Amazon ou eBay, devra remplir une déclaration sous serment et récupérer son colis au bureau des douanes. Un casse-tête administratif qui doit être répété à chaque nouvel achat ! Il s'agit de s'assurer que les particuliers paient bien la taxe de 50 % du montant de la facture, au-delà de deux achats exemptés par an de 25 euros maximum ! Quant aux transactions internationales sur les cartes de crédit, elles sont déjà taxées à 35 %...

http://www.lepoint.fr/economie/en-argentine-on-ne-peut-plus-acheter-sur-les-sites-etrangers-23-01-2014-1783525_28.php

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Y a un com' génial : "c'est toujours mieux que d'avoir des gens qui dorment sur des cartons comme aux USA".

 

T'as des mecs, ils voient le fascisme arriver, ils applaudissent encore. On vit une époque formidable.

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Y a un com' génial : "c'est toujours mieux que d'avoir des gens qui dorment sur des cartons comme aux USA".

 

T'as des mecs, ils voient le fascisme arriver, ils applaudissent encore. On vit une époque formidable.

 

On avait déjà ce genre de commentaire lorsque l'existence des goulags ne pouvait plus être niée par les cocos.

 

Toujours pareil… D'abord on nie les horreurs du communisme, ensuite on les relativise puis on dénigre en disant : c'est pas du communisme, ça monsieur.

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Mais la France est ultra-libérale, donc c'est normal. Un coup de Mélenchon, un smic à 2000€ et plus un seul pauvre en moins de 6 mois.

On y sera d'ici dix ans, quoi qu'il arrive.
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De quoi, le smic ou le plein emploi?

 

Le smic a 2000 euros, dans 10 ans oui.

Le plein emploi, une fois que tout aura implosé, dans 30 ans plutot.

Le SMIC, évidemment. Et en même temps, le plein emploi, une fois que tous les chômeurs seront recasés dans des formations pipeau qui durent huit heures mais permettent de les radier pour l'année... ;)
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T'inquiète. En socialie, le seul moyen d'avoir le plein emploi c'est l'esclavage comme en URSS. Sinon, l'économie se venge toujours, comme Hollande avec sa courbe du chômage et ses emplois aidés.

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  • 4 weeks later...

messi-tapa-the-economist.jpg

 

Government
The parable of Argentina

 

There are lessons for many governments from one country’s 100 years of decline

A CENTURY ago, when Harrods decided to set up its first overseas emporium, it chose Buenos Aires. In 1914 Argentina stood out as the country of the future. Its economy had grown faster than America’s over the previous four decades. Its GDP per head was higher than Germany’s, France’s or Italy’s. It boasted wonderfully fertile agricultural land, a sunny climate, a new democracy (universal male suffrage was introduced in 1912), an educated population and the world’s most erotic dance. Immigrants tangoed in from everywhere. For the young and ambitious, the choice between Argentina and California was a hard one.

 

http://www.economist.com/news/leaders/21596515-there-are-lessons-many-governments-one-countrys-100-years-decline-parable?spc=scode&spv=xm&ah=9d7f7ab945510a56fa6d37c30b6f1709

 

The party is over

Latin America’s weakest economies are reaching breaking-point

 

WHEN the euro crisis was at its height it became commonplace for struggling European economies to insist that they were not outliers like Greece. Whatever their woes, they declared, Greece’s were in a class of their own. In Latin America, by contrast, the unwanted title of outlier has two contenders: Argentina and Venezuela.

Both have been living high on the hog for years, blithely dishing out the proceeds of an unrepeatable commodities boom (oil in Venezuela; soya in Argentina). Both have been using a mix of central-bank interventions and administrative controls to keep overvalued exchange rates from falling and inflation from rising. Both now face a come-uppance

High inflation is a shared problem. Argentina’s rate, propelled higher by loose monetary and fiscal policies, is unofficially put at 28%. Argentina’s official exchange rate is overvalued as a result, fetching 70% more dollars per peso than the informal “blue” rate in mid-January. Venezuela’s prices are rising faster still. Last year, during an awkward political transition after the death of Hugo Chávez to the presidency of Nicolás Maduro (pictured with Cristina Fernández de Kirchner, the Argentine president), the Central Bank stepped up money-printing to finance public spending, pushing inflation to 56.2%. A dollar fetches 75-80 bolívares on the black market, up to seven times the official rate.

 

http://www.economist.com/news/americas/21595471-latin-americas-weakest-economies-are-reaching-breaking-point-party-over

 

 

 

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Bonsoir,

 

Le socialisme ne fonctionne pas. Même pas un peu. Même pas une fois. Même pas par hasard. Pas du tout. Jamais. ?

 

Dans une communauté d'une taille inférieure au nombre de Dunbar, et dans le cas où c'est un socialisme choisi, parfois ça fonctionne pendant quelque temps. En dehors de ce cas très particulier, non. Ça ne fonctionne pas.

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