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Caillassages et petits problèmes


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Il n'y avait aucun général juifs dans l'armée allemande, par contre il y a eu quelques rares généraux d'origine juive qui ne furent pas rayé des cadres.

Le cas le plus connu est le feld-maréchal Milch dont le père était juif et qui fut condamné à la perpétuité à nuremberg (dans un procès secondaire).

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Une révolution anglaise ?

Et si les voyous étaient juste des voyous ?

Véhicule de police et commerce incendiés, quartier de Tottenham, Londres, 6 août 2011.

Les émeutes de Londres excitent ceux qui fantasment sur un printemps arabe à l’occidental. Ils y voient une condamnation en acte des politiques « néolibérales » appliquées depuis les années Thatcher et une révolte contre l’exclusion générée par la société. Cette dernière tarderait à donner une place aux jeunes générations, parmi lesquelles des populations immigrées exclues des avantages de la société occidentale.

Notons que cette interprétation est régulièrement avancée dès qu’on assiste à des émeutes urbaines dans les grandes sociétés occidentales. En France, on a ainsi expliqué les émeutes de 2005 en pointant du doigt la responsabilité d’un système prétendument exclusionnaire, discriminatoire et raciste. A en croire ce discours fort répandu, l’universalisme républicain entretiendrait de nombreuses couches de la population dans l’assistanat et pousserait à la révolte ceux à qui il ferait la promesse de l’égalité sociale sans jamais la tenir. Au Québec, pendant les émeutes de Montréal-Nord en 2008, la plupart des analystes ont reproduit le même verdict : la société est coupable.

Souvent, ces révoltes trouvent leur déclencheur dans un acte de violence policier assimilé à une « bavure ». C’est l’étincelle qui ferait exploser le baril de poudre de la contestation. Dans ce scénario, la police est ainsi présentée comme la gardienne d’un ordre néoimpérialiste sacralisant le droit de propriété à l’avantage exclusif des populations installées de longue date sur ces territoires. Les« jeunes » ressentiraient particulièrement mal l’ «occupation » arrogante de leurs quartiers par des forces de l’ordre à l’attitude néocoloniale.

Il y a un gauchisme sommaire dans cette sociologie victimaire qui domine dans l’interprétation médiatique actuelle des émeutes britanniques. On y sent un vieux fond de sauce marxisant au goût frelaté. D’un côté, les dominants, de l’autre, les dominés. La critique venant des marges du social serait fondamentalement émancipatrice tandis que les émeutiers représenteraient l’avant-garde éclairée exigeant la démocratisation brutale des rapports sociaux. Cette explication victimaire nous en dit davantage sur ses pratiquants que sur ses objets d’étude. En menant un double procès perpétuel contre la civilisation occidentale et la société libérale capitaliste, elle cherche à radicaliser les tensions sociales.

Or, si on ne doit évidemment pas évacuer les « causes sociales » de la révolte, il faudrait surtout éviter de prêter aux émeutiers une philosophie qu’ils n’ont pas, en les transformant en représentants d’un changement révolutionnaire positif dont ils seraient les vecteurs. Qu’on se le dise : les jeunes de Londres ne sont pas les nouveaux déshérités prolétarisés qui chercheraient leur salut dans un renversement du règne de la marchandise pour faire advenir une société plus « authentique ». Bien au contraire, leurs objectifs consuméristes sont évidents. Jeux vidéo, téléviseurs, vêtements de luxe, montres de prestige : lorsqu’ils défoncent les vitrines, les jeunes savent exactement ce qu’ils recherchent. Les pillards ne se jettent pas sur les symboles du pouvoir officiel pour les abattre mais sur ceux du capitalisme mondialisé et publicitaire pour se les approprier.

D’aucuns expliqueront que les jeunes prennent de force les objets que la société leur somme de désirer sans nécessairement leur donner les moyens de les posséder. Et quand bien même ? D’où vient cette idée étrange selon laquelle le désir crée le droit ? Il n’y a pas de droit à l’opulence, l’État social n’ayant de surcroît pas pour vocation de démocratiser l’accès aux produits de luxe. Ceux qui désirent à tout prix s’inscrire dans le système des valeurs marchandes – sacralisées par le capitalisme publicitaire – devraient consentir au jeu de la concurrence économique pour parvenir à se les offrir dans le respect de la légalité la plus élémentaire.

Mais la loi n’est plus à la mode. Car la société officielle n’est plus respectée. C’est même en transgressant ses règles que certains croient accéder à une liberté créatrice, une perspective qui montre ses effets délétères lorsqu’elle conduit les foules à l’émeute. L’existence d’une sous-culture gangstérisée popularisée par le rap entretient toute une frange de la jeunesse dans une posture antisystème. L’émeute n’en est que l’expression la plus radicale et la plus excitante.

Fondamentalement, cette pulsion nihiliste permet aux ressentiments les moins avouables de s’exprimer ouvertement, dans un consentement à la violence qui devient ainsi une fin pour elle-même, par sa capacité à transgresser l’ordre bourgeois et à rompre la monotonie d’une société normalisée. Mais à la différence de la violence en quelque sorte ludique des soixante-huitards, celle des émeutiers de Londres s’avère rageuse, et pleine de ressentiment, laissant deviner les ferments d’une guerre civile larvée dont on ne veut pas dire le nom.

La normalisation de l’émeute n’annonce rien de bon. Ceux qui paient le prix de l’affaissement de l’ordre social sont toujours les couches les plus modestes, alors que les milieux les plus favorisés ont les moyens de s’affranchir de la pulsion violente des masses insurgées. De ce point de vue, les petites gens ont tout à craindre d’une capitulation du gouvernement qui, pour se montrer conciliant, reconnaîtrait la légitimité d’une protestation s’en prenant aux fondements même de l’ordre social.

L’appel au dialogue lancé par certains commentateurs masque une contestation philosophique de la prétention de l’État à exercer le monopole de la violence légitime, monopole sur lequel repose pourtant le progrès de la civilisation libérale et démocratique. L’émeute n’est un facteur de démocratisation que pour ceux qui ne sont pas parvenus à s’affranchir de la mythologie révolutionnaire des pulsions destructrices. Ceux-là veulent que succède à la paix civile la violence spontanée des foules et, finalement, celle des bandes.

À certains moments, l’autorité doit moins faiblir devant la pression de la rue que s’afficher sans complexe, en se présentant comme la gardienne des fondements de l’ordre social et politique. Si on peut souhaiter que la réaffirmation de la souveraineté de l’Etat se fasse sans débordement de brutalité, on ne doit pas non plus s’émouvoir de son nécessaire exercice.

http://www.causeur.f…-anglaise,10898

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On me dit qu'il y avait des généraux juifs dans l'armée allemande durant WW2.

Ca m'étonnerait beaucoup. Qu'il y ait eu quelques soldats juifs à moitié ou au quart qui, pour les besoins de l'armée, aient été administrativement déclarés aryens d'honneur, c'est connu et documenté, mais des officiers, et plus encore des officiers généraux, ça me semble pour le moins improbable.

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Ca m'étonnerait beaucoup. Qu'il y ait eu quelques soldats juifs à moitié ou au quart qui, pour les besoins de l'armée, aient été administrativement déclarés aryens d'honneur, c'est connu et documenté, mais des officiers, et plus encore des officiers généraux, ça me semble pour le moins improbable.

Daniel Brül dans Joyeux Noël

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Des généraux juifs dans l'armée allemande pendant la seconde guerre mondiale ? J'ai un peu de mal à le croire, là.

Ca m'avait un peu étonné mais un passionné d'histoire de WW2 me l'a assuré. On trouve quelques références sur Internet e.g. Brian Mark Rigg que je viens de googliser. Après il y a le débat interprétatif sur le fait de les qualifier de juifs ou simplement d'origine juive. Sur des sujets moins sensibles on fait souvent l'amalgame. De toutes façons en raison des fortes pollutions émotionnelles sur WW2, la guerre d'Agérie et quelques autres sujets je ne m'y suis jamais intéressé de près et je n'ai aucune opinion fondée sur ce sujet. Maintenant que ça s'est un peu calmé je pourrais m'y pencher mais j'ai d'autres priorités.

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Ca m'avait un peu étonné mais un passionné d'histoire de WW2 me l'a assuré. On trouve quelques références sur Internet e.g. Brian Mark Rigg que je viens de googliser. Après il y a le débat interprétatif sur le fait de les qualifier de juifs ou simplement d'origine juive. Sur des sujets moins sensibles on fait souvent l'amalgame. De toutes façons en raison des fortes pollutions émotionnelles sur WW2, la guerre d'Agérie et quelques autres sujets je ne m'y suis jamais intéressé de près et je n'ai aucune opinion fondée sur ce sujet. Maintenant que ça s'est un peu calmé je pourrais m'y pencher mais j'ai d'autres priorités.

Mettons que "pas assez purement Aryens pour que l'administration doive lui décerner une dispense" irait mieux que "Juifs", dans ce contexte.

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Pour ce qui est de l'Occident qui serait la cause de plus de millions de morts que les autres civilisations, il est bien évident que le nombre de morts est fonction du développement technologique de la civilisation …. Quoi que, certaines peuplades d'Afrique soeint capables d'éliminer un million de personnes à coups de machettes en quelques mois …..

Imaginons un instant Mahomet avec la force de frappe des Occidentaux aujourd'hui …..

De plus, une civilisation est composée d'êtres humains, donc imparfaite et capable du pire comme du meilleur : les occidentalophobiques oublient que seul l'Occident a été capable de produire la Déclaration des Droits de l'Homme et qu'il essaye peu ou prou de l'appliquer.

Pour ce qui est de l'Inquisition, ne pas oublier que ses tribunaux étaient les seuls à proposer une défense aux accusés et qu'ils furent le prélude à notre justice actuelle avec avocat. Un lien intéressant qui remet l'Inquisition à sa juste place http://fr.wikipedia.org/wiki/Inquisition.

D'autant plus que l'on ne peut juger une époque avec nos considérations du XXIème siècle. À l'époque de l'Inquisition, la DDH n'existait justement pas, la vie d'un homme ne comptait pas tripette et le monde était ultra-violent.

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Pour ce qui est de l'Occident qui serait la cause de plus de millions de morts que les autres civilisations, il est bien évident que le nombre de morts est fonction du développement technologique de la civilisation …. Quoi que, certaines peuplades d'Afrique soeint capables d'éliminer un million de personnes à coups de machettes en quelques mois …..

Imaginons un instant Mahomet avec la force de frappe des Occidentaux aujourd'hui …..

De plus, une civilisation est composée d'êtres humains, donc imparfaite et capable du pire comme du meilleur : les occidentalophobiques oublient que seul l'Occident a été capable de produire la Déclaration des Droits de l'Homme et qu'il essaye peu ou prou de l'appliquer.

Le développement technologique joue un rôle, certes, mais il ne faut pas oublier la croissance de l'appareil d'Etat qui institua successivement une plus grande participation de la population à l'effort de guerre. Ce fut en 1793 que la Convention mit en place la conscription. A partir de là, une part plus importante de la population est intégrée dans la guerre. La tendance a crû à l'époque napoléonienne où pour faire reculer l'empereur les autres nations ont dû imiter ces mesures entrainant un nombre de morts croissant jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale.

Bertrand de Jouvenel a traité cette question dans son essai "du Pouvoir" et pose cette remarque plein de bon sens :

"Et pour quels avantages ? L'issue du conflit est la même que si l'on eût employé les armées professionnelles de XVIIème siècle."

Pour ce qui est de l'Inquisition, ne pas oublier que ses tribunaux étaient les seuls à proposer une défense aux accusés et qu'ils furent le prélude à notre justice actuelle avec avocat. Un lien intéressant qui remet l'Inquisition à sa juste place http://fr.wikipedia….ki/Inquisition.

+1

L'Inquisition est le hochet des bouffe-curetons qui leur permet de réduire ce que l'on appelle le Moyen-Age à une immense friture.

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Voila, y'a plus qu'a remplacer "occident" par "islam" dans la phrase, et je pense que tu est arrivé au point qu'indiquait (maladroitement) chitah.

Voilà, en voila un qui me comprend. J'ai essaye, par la raison, d'expliquer en quoi beaucoup se trompaient sur l'Islam. J'ai essaye de faire comprendre que beaucoup de musulmans se sentaient blesses d'entrendre parler de leur religion en termes si négatifs, si peu mérites. Comme je n'arrive pas a le faire comprendre rationnellement, j'essaie de le faire ressentir. Apparemment, avec mes sorties sur l'occident, plusieurs ont eu un léger aperçu de ce que les musulmans subissent depuis des annees en europe, et ce qu'ils resentent.

Il me semble qu'il y avait même une division de SS bosniaques musulmans.

A se frapper la tête contre les murs.

Bientôt, je lirais "oui, bon, l'affaire Dutroux, ce n'est pas un coup des musulmans, mais tout de même, marc dutroux a mange comme dernier plat un couscous en compagnie de son voisin rachid c'est un signe non?"

:facepalm:

Ce fil de discussion est de loin, mais alors de loin le plus merdique de toute l'histoire de liborg. Enfin.

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Ce fil de discussion est de loin, mais alors de loin le plus merdique de toute l'histoire de liborg. Enfin.

Je proteste, tu a oublié le fil sur le transhumanisme (et 95% des fils sur l'avortement).

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Et au fait, vu qu'il paraît que je suis un djihadiste fasciste, j'ai fait la liste des gens qui, sur ce fil ont fait beaucoup d'affirmations concernant telle ou telle caractéristique des émeutiers (race, statut social, niveau d'éducation), j'aimerai, comme j'en ai déjà posé la question, en savoir un peu plus. Ou alors on reste au niveau des photos du Parisien et du JT de TF1, c'est bon, les noirs ont le sens du rythme et les juifs font de bons banquiers et fourreurs?

Allez les statisticiens en herbe et voyants prédisant des guerres cosmiques entre groupes selon la pigmentation de la peau, comme d'habitude, je vous moi-même amène de quoi argumenter, sur un plateau, c'est cadeau c'est gratuit : http://www.telegraph.co.uk/news/uknews/crime/8698443/UK-riots-suspected-looters-statistics-and-court-cases.html

J'aimerai tout de même que les statisticiens en herbe soient dignes de leur rang de statisticiens.

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Voila, y'a plus qu'a remplacer "occident" par "islam" dans la phrase, et je pense que tu est arrivé au point qu'indiquait (maladroitement) chitah.

+1 .

Voilà, en voila un qui me comprend. J'ai essaye, par la raison, d'expliquer en quoi beaucoup se trompaient sur l'Islam. J'ai essaye de faire comprendre que beaucoup de musulmans se sentaient blesses d'entrendre parler de leur religion en termes si négatifs, si peu mérites. Comme je n'arrive pas a le faire comprendre rationnellement, j'essaie de le faire ressentir. Apparemment, avec mes sorties sur l'occident, plusieurs ont eu un léger aperçu de ce que les musulmans subissent depuis des annees en europe, et ce qu'ils resentent.

Chitah , avec tout le respect que je te dois, je ne pense pas que tu connais Tous les musulmans. Donc généraliser ce type de ressenti me parait peu pertinent. Par exemple, mes amis de confession musulmane , ne m'exprime pas du tout ce type de ressenti lors de nos discussions.

Ce fil de discussion est de loin, mais alors de loin le plus merdique de toute l'histoire de liborg. Enfin.

Refaire du Huttingthon en moins bien sur le forum , c'est vrai que c'est pas top.

.

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je ne pense pas que tu connais Tous les musulmans.

Oui oui, tu as raison, j'ai fait simple pour ne pas dévier encore plus : bien entendu, la typologie des réactions est variées (comme pour tout sujet du reste, et pour toute population), j'aurais dû bien entendu écrire "une partie des musulmans", on est d'accodac.

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Invité rogermila

Ce fil de discussion est de loin, mais alors de loin le plus merdique de toute l'histoire de liborg. Enfin.

Et lui c'est le plus grand criminel en activité.

entretien-bachar-fr-new.jpg

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Oui et c'est un social - nationaliste.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_Baas

Ha ha, j'adore rogermilla. J'en ai plein d'autres comme ça : "C'est le plus grand criminel dont le prénom commence par B." :icon_ptdr:

C'est pas possible, franchement, j'ai un doute, ne serait-ce qu'une marionnette créée par un éminent membre de ce forum, plus le temps passe et plus cette hypothèse me paraît crédible.

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:popcorn:

L'image pacifique et festive des Journées mondiales de la jeunesse semble avoir fait long feu. Dans la presse espagnole, l'arrestation mardi 16 août d'un jeune catholique soupçonné de préparer un attentat contre les anti-JMJ provoque de vifs débats. L'homme est décrit par le quotidien El Pais comme un Mexicain de 24 ans, étudiant en chimie, qui aurait participé ces derniers jours à des réunions "d'ultraconservateurs" et de "fervents défenseurs du christianisme".

Le jeune homme a été interpellé à son domicile par la police espagnole à la suite de signalements transmis par des internautes. Il s'était fait remarquer à plusieurs reprises sur la Toile pour son prosélytisme. Il s'en prenait notamment aux militants anti-JMJ, estimant qu’il était "inacceptable qu’aient lieu des attaques contre le pape", précise le quotidien. Chez lui, la police a trouvé deux cahiers contenant des notes sur des "processus chimiques qui n’ont rien à voir avec ses recherches". Des informations qui auraient pu servir a préparer un attentat, en utilisant notamment des gaz asphyxiants comme le gaz sarin, utilisé notamment lors des attentats de Tokyo en 1995.

Les enquêteurs ont reconnu ne pas avoir de preuves réelles de sa capacité à agir, mais un mois après la double attaque meurtrière d’Oslo perpétrée par un catholique extrémiste, l’arrestation du jeune Mexicain a été décidée pour "prévenir tout incident".

Alors que le pape Benoît XVI est attendu à Madrid jeudi, une centaine d’associations de défense de la laïcité ont appelé à manifester mercredi dans la capitale pour dénoncer le coût de ce rassemblement des jeunes catholiques du monde entier. Les organisateurs des JMJ affirment eux que l’événement est financé par les participants et le mécénat d’entreprise.

:popcorn:

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Chez lui, la police a trouvé deux cahiers contenant des notes sur des "processus chimiques qui n’ont rien à voir avec ses recherches". Des informations qui auraient pu servir a préparer un attentat, en utilisant notamment des gaz asphyxiants comme le gaz sarin, utilisé notamment lors des attentats de Tokyo en 1995.

Les enquêteurs ont reconnu ne pas avoir de preuves réelles de sa capacité à agir, mais un mois après la double attaque meurtrière d’Oslo perpétrée par un catholique extrémiste, l’arrestation du jeune Mexicain a été décidée pour "prévenir tout incident".

:blink: alors comme ça un cahier avec des notes ne se rapportant pas à son travail permet d'arrêter tout chimiste en liberté ? Il s'est passé des trucs pendant les vacances…

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Invité
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