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Les antidouleurs


jabial

Sondage sur les antidouleurs  

55 membres ont voté

  1. 1. J'ai déjà pris (sur prescription médicale)...

    • Du paracétamol ou de l'aspirine (doliprane, aspro, etc)
      54
    • Du dextropropoxyphène ou de la codéine (di-antalvic, efferalgan codéiné, prontalgine...)
      30
    • De la morphine
      11


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Je me doute bien que ce n'est pas le cas, puisque j'ai vu mes soeurs les prendre dès leurs premières règles. Merci pour tes précisions. Ce sur quoi j'insiste, c'est qu'il ne faut justement pas prendre la pilule comme un simple moyen de régulation, alors qu'il existe plusieurs types de pilules aux effets très différents, pour certaines d'entre elles abortives. Et c'est devenu très banal.

C'est pour cela qu'on la prend rarement en tant que simple moyen de régulation et qu'au début, une jeune fille va régulièrement voir sa gynécologue pour savoir qu'elle est la meilleure solution. Personellement, je n'ai jamais entendu parler de pilule abortive (hormis à la pilule du lendemain). La pilule agit avant la conception de l'enfant, ce n'est donc pas un avortement.

Ce n'est pas ce que j'ai dit.

Je sais, ce n'était pas pour toi :icon_up:

C'est vrai :mrgreen: ! Mais je n'ai pas dit non plus qu'elle avait dit que je l'avais dit :doigt: !

aaaaaaaah @___@

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C'est pour cela qu'on la prend rarement en tant que simple moyen de régulation et qu'au début, une jeune fille va régulièrement voir sa gynécologue pour savoir qu'elle est la meilleure solution.

Même sans contraception, même sans vie sexuelle active, il peut s'agir de vérifier chaque année que le corps tourne rond. Examen visuel, palpations, frottis, bilan hormonal, échographie, conseils variés pour l'hygiène de vie…

Parce que le gynéco, il est en première ligne pour détecter un cancer naissant dans les seins ou le col de l'utérus (et autres pathologies féminines).

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C'est pour cela qu'on la prend rarement en tant que simple moyen de régulation et qu'au début, une jeune fille va régulièrement voir sa gynécologue pour savoir qu'elle est la meilleure solution. Personellement, je n'ai jamais entendu parler de pilule abortive (hormis à la pilule du lendemain). La pilule agit avant la conception de l'enfant, ce n'est donc pas un avortement.

Ca vous intéresse pas ce que je raconte?

Alors je reprend pour la seule du fond.

La pilule du lendemain (lévonorgestrel) n'est pas une pilule abortive c'est un contraceptif d'urgence.

La pilule abortive c'est le RU 486.

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D'après la loi française, vous avez raison puisque, je cite Wikipédia :

L'avortement selon la définition juridique et scientifique en France consiste en l'interruption du processus de gestation à partir de l'implantation du morula dans l'endomètre

Mais il ne s'agit que de la définition juridique et scientifique française, et je me demande si ce n'est pas une définition ad hoc pour éviter d'avoir à utiliser le mot "avortement" dans les cas qui fâchent : quoi qu'il en soit, toujours d'après Wikipédia, la première définition de l'avortement reste l'arrêt définitif de la grossesse avant son terme, et le développement du bébé commence dès la conception. Empêcher la nidation de s'effectuer est donc bien un avortement, même si le procédé est moins barbare que de mettre en pièces le foetus.

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Je ne suis pas d'accord avec toi. De toute façon, j'ai de plus en plus de mal avec cette notion de "sujet de droit", le droit venant régler les relations entre les hommes. "Avoir un droit", comme si c'était quelque chose que les individus possédaient de manière atomique, indépendamment les uns des autres. Je ne sais plus où j'avais lu un excellent texte à ce sujet.

Ça fait plaisir de voir qu'il n'y a pas que les anarcap pour réinventer le droit.

Quoi qu'il en soit, l'embryon est innocent. En fait, il peut difficilement y avoir plus innocent que lui.

Le but était de répondre à ta remarque sur la sacralité de la vie. Si c'était la source du droit, la vie serait sacrée, mais pas trop alors.

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Mais on arrête rien du tout en empêchant l'embryon de nicher.

Ben, de fait, si. Vous arrêtez l'embryon dans sa course normale, hé.

Mais de toute façon personne ne changera d'avis, je ne considère pas qu'empêcher un embryon de nicher soit un crime, vous oui.

Est-ce vraiment le seul enjeu de cette discussion, de savoir si tel ou tel acte doit être considéré comme un crime ou non ?

Ça fait plaisir de voir qu'il n'a pas que les anarcap pour réinventer le droit.

Comme tu y vas. Je laisserai plus savant que moi développer, mais il se peut que je renvoie maladroitement au conflit entre droit naturel classique et droit naturel moderne. La question qui est posée est "Qu'est-ce que le droit ?".

Le but était de répondre à ta remarque sur la sacralité de la vie. Si c'était la source du droit, la vie serait sacrée, mais pas trop alors.

C'est surtout qu'il est inadmissible de condamner des innocents, quoi qu'il en soit des condamnations qu'on applique aux criminels. Ce n'est pas le sujet ici, mais on pourrait en débattre, de la peine de mort, et l'argument de la sacralité de la vie y reviendrait sûrement, contrebalancé par le fait que justice doive être faite. En fait, le fait que la vie soit sacrée peut justement aussi jouer en faveur de la peine de mort. Je ne sais pas ce que je répondrais sur un tel sujet.

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Est-ce vraiment le seul enjeu de cette discussion, de savoir si tel ou tel acte doit être considéré comme un crime ou non ?

Non, mais en parlant de meurtre, on se met assez vite dans le contexte pénal quand mème :icon_up:

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Non, mais en parlant de meurtre, on se met assez vite dans le contexte pénal quand mème :icon_up:

En ce qui me concerne, j'avoue que ce n'est pas le cas, mais c'est vrai que je ne devrais pas employer ce mot à la légère, puisque vous sautez dessus. Parlons donc d'avortement, ce qui reste le plus exact.

Ben de fait non. Puisqu'il n'est pas détruit.

Arrêter n'est pas nécessairement détruire. Mais le résultat peut être le même, et c'est bien ce résultat qui est recherché ici.

Dites-moi, Luis, quelle alternative technique envisageriez-vous à la pilule contraceptive ?

(J'avais mis cette réponse plus haut, mais je l'ai complètement modifiée et j'ai préféré la remettre ici) Quand vous dites ça, vous dites que de toute façon la technique doit vous fournir un moyen de contraception. Comme je vous l'ai dit, pourquoi avez-vous besoin de contraception, déjà ? Vous semblez m'avoir répondu qu'il ne s'agit en aucun cas d'éviter d'avoir un enfant, qu'il s'agit simplement d'éviter la douleur consécutive aux règles, qu'elles sont particulièrement douloureuses dans votre cas, et qu'aucun autre moyen ne fonctionne. A ce moment-là, je vous répondrais, allez-y, prenez la pilule, mais faites très attention au type de pilule que vous prenez, évitez celles qui sont susceptibles de tuer la vie qui pourrait naître en vous. Et continuez de vous renseigner pour savoir s'il n'y a pas éventuellement des moyens plus doux pour vous éviter ces douleurs, car ces pilules semblent avoir beaucoup d'effets sur le corps, dont certains indésirables (risques de cancer, etc.).

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(J'avais mis cette réponse plus haut, mais je l'ai complètement modifiée et j'ai préféré la remettre ici) Quand vous dites ça, vous dites que de toute façon la technique doit vous fournir un moyen de contraception. Comme je vous l'ai dit, pourquoi avez-vous besoin de contraception, déjà ? Vous semblez m'avoir répondu qu'il ne s'agit en aucun cas d'éviter d'avoir un enfant, qu'il s'agit simplement d'éviter la douleur consécutive aux règles, qu'elles sont particulièrement douloureuses dans votre cas, et qu'aucun autre moyen ne fonctionne. A ce moment-là, je vous répondrais, allez-y, prenez la pilule, mais faites très attention au type de pilule que vous prenez, évitez celles qui sont susceptibles de tuer la vie qui pourrait naître en vous. Et continuez de vous renseigner pour savoir s'il n'y a pas des moyens plus doux pour vous éviter ces douleurs, car ces pilules ont beaucoup d'effets sur le corps, dont certains indésirables (risques de cancer, etc.).

Il y a erreur sur la personne. J'ai beau me relire dans cette discussion, je ne vois pas où j'ai évoqué ma propre politique de contraception ni mes propres cycles.

Et pourquoi y a-t-il besoin de contraception ? :icon_up:

Je ne comprends pas cette question tant la réponse semble évidente : pour éviter de fabriquer des enfants.

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Il y a erreur sur la personne. J'ai beau me relire dans cette discussion, je ne vois pas où j'ai évoqué ma propre politique de contraception ni mes propres cycles.

Et pourquoi y a-t-il besoin de contraception ? :icon_up:

Je ne comprends pas cette question tant la réponse semble évidente : pour éviter de fabriquer des enfants.

Je crois qu'il confond nos réponses…

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Mais mon intervention portait sur le fait que la contraception pouvait avoir plusieurs objectifs, justement !

Bon, s'il s'agit d'éviter d'avoir un enfant au mauvais moment, on entre dans un autre ordre de discussion, plus intime : la pilule est-elle vraiment le seul moyen d'espacer les naissances ? Une femme ne peut-elle pas s'entendre avec son mari pour essayer une méthode plus naturelle (voir Billings, et d'autres) ? Alors, c'est sûr, c'est un peu plus exigeant que la simple prise de la pilule, c'est moins fiable que cette dernière (mais est-ce si grave, lorsqu'on apprend à la pratiquer au début du mariage, de faire des erreurs ?), mais ça a des avantages : on est sûr de ne pas avoir d'effets secondaires, et cela renforce la cohésion du couple car il faut faire attention à l'autre.

Et bien sûr, mon discours tient sur le fait que les relations sexuelles devraient avoir lieu entre un homme et une femme mariés.

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@Luis

Je ne suis pas convaincu (c’est un euphémisme) que dire a une femme qu’elle est une meurtrière multirécidiviste est une bonne introduction pour la sensibiliser au respect de la vie, or avec ta définition, ce ne sont pas seulement les filles qui se sont fait avorter qui ont tué, mais toutes celles qui ont sciemment utilisé la pilule.

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Quand vous dites ça, vous dites que de toute façon la technique doit vous fournir un moyen de contraception.

Comme je vous l'ai dit, pourquoi avez-vous besoin de contraception, déjà ? Vous semblez m'avoir répondu qu'il ne s'agit en aucun cas d'éviter d'avoir un enfant, qu'il s'agit simplement d'éviter la douleur consécutive aux règles, qu'elles sont particulièrement douloureuses dans votre cas, et qu'aucun autre moyen ne fonctionne. A ce moment-là, je vous répondrais, allez-y, prenez la pilule, mais faites très attention au type de pilule que vous prenez, évitez celles qui sont susceptibles de tuer la vie qui pourrait naître en vous. Et continuez de vous renseigner pour savoir s'il n'y a pas éventuellement des moyens plus doux pour vous éviter ces douleurs, car ces pilules semblent avoir beaucoup d'effets sur le corps, dont certains indésirables (risques de cancer, etc.).

Je ne crois pas avoir avoir lu que la technique *devait* fournir quoi que ce soit (elle peut, c'est pas pareil).

Il ne me semble pas avoir lu qu'*en aucun cas il ne s'agissait d'éviter la grossesse*

Dans mon cas, je vous ai expliqué que c'était pour régler *plusieurs* problèmes en même temps (et je ne suis pas seule).

Ce que vous pouvez dire sur la méthode choisie par une femme n'a que très peu d'importance, vu que vous n'avez pas l'air d'y connaitre grand chose, laissez aux gynécos, aux mamans, aux tantes, aux professionnels et aux gens avertis le soin de le faire, non ? Qui plus est, les notices sont fournies, comme pour tous les médicaments.

:icon_up:

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Et bien sûr, mon discours tient sur le fait que les relations sexuelles devraient avoir lieu entre un homme et une femme mariés.

Je pense que dans ta tête, il manque un mot :

les relations sexuelles devraient avoir lieu entre un homme et une femme mariés ensemble.

:icon_up:

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Je ne suis pas convaincu (c’est un euphémisme) que dire a une femme qu’elle est une meurtrière multirécidiviste est une bonne introduction pour la sensibiliser au respect de la vie, or avec ta définition, ce ne sont pas seulement les filles qui se sont fait avorter qui ont tué, mais toutes celles qui ont sciemment utilisé la pilule.

Eh bien, j'entends ton objection, mais je te signale qu'en tout cas, dire "c'est ok d'avorter" ne risque pas du tout de "sensibiliser au respect de la vie". Alors, oui, c'est blessant de rappeler qu'avorter est tuer une vie, mais c'est vrai, et il faut en passer par là pour arriver à un authentique respect de la vie. Attention aux fausses indignations.

D'autre part, nous sommes ici sur un forum, et je tente d'exprimer à la fois avec toute la délicatesse et toute la fermeté possible un point de vue qui doit être rappelé. Je fais peut-être des erreurs, comme dire de l'avortement que c'est un meurtre, mais elles ont heureusement peu de conséquences ici. Je ne sais pas comment je parlerais à la femme dont tu parles (tu me la présentes ?). Que veux-tu que je te dise ! Mais ici, nous pouvons dialoguer d'âme à âme.

Ca me rappelle la polémique sur l'évêque brésilien qui avait excommunié la mère et les médecins et rappelé que la loi de Dieu prévalait sur la loi des hommes. Les tartuffes ne comprenaient pas l'intérêt de l'excommunication et s'étaient indignés qu'on pouvait autant manquer de coeur. Mais qu'en savaient-ils ?! La charité va toujours avec la vérité, et, bien souvent, elle scandalise.

edit : comme je pars en week-end, j'espère vous répondre lundi, LaFéeC

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Bon, s'il s'agit d'éviter d'avoir un enfant au mauvais moment, on entre dans un autre ordre de discussion, plus intime : la pilule est-elle vraiment le seul moyen d'espacer les naissances ?

Non, simplement parmi les plus fiables et confortables à ce jour.

Une femme ne peut-elle pas s'entendre avec son mari pour essayer une méthode plus naturelle (voir Billings, et d'autres) ?

Si, elle peut. C'est absolument possible !

Il est aussi possible, voire pas exceptionnel, que monsieur ne se sente pas très concerné par la biologie féminine et les conséquences d'une partie de jambes en l'air. Concrètement : il ne possède qu'une vague idée du corps féminin, il ne fait pas attention à sa compagne ou il la laisse se débrouiller, même enceinte.

Les filles-mères, les femmes délaissées et les enfants livrés à l'abandon, ça existait avant la mise au point de la pilule. Les grossesses à répétition, les fausses couches, les accouchements pénibles, les décès en couches, la mortalité infantile n'étaient pas précisément rares non plus.

Si la contraception moderne ne favorise pas la responsabilisation des hommes, elle permet de réduire quelques-uns de ces "menus désagréments" (en espaçant les naissances par exemple).

Alors, c'est sûr, c'est un peu plus exigeant que la simple prise de la pilule, c'est moins fiable que cette dernière (mais est-ce si grave, lorsqu'on apprend à la pratiquer au début du mariage, de faire des erreurs ?), mais ça a des avantages : on est sûr de ne pas avoir d'effets secondaires, et cela renforce la cohésion du couple car il faut faire attention à l'autre.

Oui, une grossesse puis un enfant à élever, c'est un "effet secondaire" difficilement négligeable sur la santé physique et psychologique d'une femme. Surtout quand la maman vient de traverser une grossesse pénible et qu'elle se remet d'un accouchement (par exemple).

Quant à "faire attention à l'autre", j'avoue demeurer sceptique sur le plan pratique. Ces messieurs ne se renseignent pas tous avec soin sur la biologie féminine ; et pas mal de messieurs trouvent pesant de choyer leur dame quand elle se sent fatiguée ou fragilisée et de pratiquer une exquise prévenance sur tous les plans.

Edit :

Comprenons-nous bien, Luis : les arguments de principe en faveur de méthodes dites naturelles me semblent très défendables.

Dans la pratique toutefois, même à l'échelle d'un couple marié, les maris ne prodiguent pas tous les meilleurs soins à leur compagne pour la routine essentielle hors grossesse. Quand un homme n'est pas fichu de traiter gentiment sa femme au quotidien, elle aura de quoi nourrir des doutes sur le comportement désinvolte du type quand il devra assumer non seulement sa femme mais aussi leur enfant (voire plusieurs enfants, chacun réclamant sa part d'attention et de tendresse).

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Les filles-mères, les femmes délaissées […] ça existait avant la mise au point de la pilule

Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça continue sans trop de difficulté après la pilule. It's un understatement. De là à voir un lien de cause à effet entre contraception et déresponsabilisation des males, il y a un pas que l'on peut être tenté de franchir.

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Une fois de plus on remarquera que c'est à cause des femmes.

La femme est responsable.

Je ne suis pas une femme, et je dois avouer que j'ai fais dérapé le topic plus ou moins volontairement… Mais Luis qui faisait un rapprochement entre la contraception et le meurtre/l'avortement ça me paraissait un peu gros. Mea culpa :icon_up:

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Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça continue sans trop de difficulté après la pilule. It's un understatement. De là à voir un lien de cause à effet entre contraception et déresponsabilisation des males, il y a un pas que l'on peut être tenté de franchir.

Absolument d'accord.

Mais les mâles n'adoptaient pas tous (understatement aussi) un comportement responsable avant la contraception moderne.

En matière de couple et de famille, je trouve toujours très bizarre de ne regarder qu'un seul côté : aux dernières nouvelles, hommes et femmes sont compagnons de route, surtout pour fabriquer puis élever un enfant. S'il existe des femmes maîtrisant mal la contraception, il existe aussi des hommes qui les couchent dans leur lit sans poser trop de questions.

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Absolument d'accord.

Mais les mâles n'adoptaient pas tous (understatement aussi) un comportement responsable avant la contraception moderne.

Raison de plus pour trouver peu sage de leur avoir donné un moyen aussi radical pour se débarasser définitivement de toute responsabilité (au pire, il reste la clinique du planning). L'explosion du nombre de filles mères familles monoparentales au cours des 4 dernieres décenies se passe de commentaires.

En matière de couple et de famille, je trouve toujours très bizarre de ne regarder qu'un seul côté : aux dernières nouvelles, hommes et femmes sont compagnons de route, surtout pour fabriquer puis élever un enfant. S'il existe des femmes maîtrisant mal la contraception, il existe aussi des hommes qui les couchent dans leur lit sans poser trop de questions.

Vous payez le discours féministe sur le thème "mon corps m'appartient" et la déresponsabilisation des hommes qu'il induit.

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