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Santé & nutrition, que manger ?


Jesrad

Messages recommandés

il y a 16 minutes, Solomos a dit :

 

Ca me fait penser à un couple d'amis assez écolo (surtout anti-déchet et DIY) qui avaient envisagé d'avoir un poulailler et de nourrir les poules avec une partie de leur déchets alimentaires mais qui avaient renoncé à l'idée parce qu'ils préféraient manger des oeufs "bio" (vendus avec un label bio). J'avais trouvé ça bizarre

 

La plupart des oeufs "bio" sont issus de poules nourries 100% aux grains, c'est même un argument de vente (stupide).
J'ai toujours eu une préférence pour les oeufs "fermiers" ou élevé en extérieur et si possible avec un ajout de lin dans la nourriture (évidemment, dans un élevage pro, les poules ne peuvent pas se contenter de ce qu'elles trouvent).

 

Les études sont pas toujours très claires sur les différences, le principal problème c'est qu'elles se bornent souvent à mesurer le taux de graisses ou de protéines, et l'avantage des oeufs en extérieur est marginal, donc on entend régulièrement qu'il n'y a pas de différence, or ces études ne disent rien de la qualité des protéines et des gras, simplement la quantité. Et ici on lit que les oeufs en libertés sont quand même plus gras (ce qui est bien), ici on voit que la qualité des graisses chez les poules avec le combo extérieur + lin est vraiment supérieure. Je sais qu'il y a des études qui ont montré la différences de qualité chez les boeufs nourris soit à l'herbe soit aux grains, la différence de qualité est assez flagrante, j'extrapole donc logiquement qu'il en va de même pour les poules et les oeufs (ergo : exit les oeufs et les poules bio 100% nourris avec du putain de mais).

 

Sinon pour revenir sur le jeune, moi je bois parfois un peu de lait (frais ou cru) le matin dans mon café, je doute que les quelques gorgées et le peu de calories ingérées changent quoi que ça soit, je n'ai pas vraiment de sources sous la main mais j'ai du mal à penser que 10ckal de lait annihile toute autophagie ou repos insulinique. 

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Nouvelle découverte par des chercheurs du FNRS sur le cancer du colon

 

 

 

Résumé en une phrase : le cancer du colon est très mortel et résiste fortement aux traitements, cette résistance est due au glucose alimente le cancer, on peut lutter efficacement grâce à une molecule issue... de la digestion des viandes (la carnosine). 

 

Coucou les vegans.

Coucou la pseudo science militante qui pensait lier consommation de viande rouge et cancer du colon.

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Le 19/02/2020 à 17:38, Jesrad a dit :

Ça faisait longtemps que je n’avais rien écrit ici, désolé... Je me renseigne en ce moment sur le protocole Nemechek et ses bases scientifiques. Vu ce que j’ai appris et ce que j’observe aujourd’hui, et vu l’état des connaissances actuelles sur les liens entre santé du cerveau et alimentation via le biome intestinal, ça me paraît tenir la route.

 

Je vais essayer de faire court:

Nemechek pose l’hypothèse que l’autisme et les retards de développement infantile sont en réalité des formes de neuropathies toxiques environnementales, déclenchés et entretenus par plusieurs couches de dérèglements métaboliques et déséquilibres de bactéries intestinales.

 

Cela commencerait avec la colonisation de l’ileum et duodenum par les bactéries clostridiales et bacteroïdes du gros intestin, à la faveur d’un pH insuffisant (causes multiples possibles, mais principalement excès d’omega-6 et glucides raffinés), suivi de l’installation d’une inflammation chronique à cause de ce déséquilibre produisant des lipopolyssaccharides et entretenant un état de perméabilité anormale de l’intestin antérieur. De là, la sécrétion d’interleukines et TGF-alpha passe la barrière cérébrale et fait basculer les cellules microgliales en mode « inflammation » au lieu de leur mode normal de réparation (phénotypes M1 / M2). En parallèle on observe souvent des reflux gastriques, douleurs abdominales passagères, difficultés de transit, etc.

 

C’est ce qui cause le retard de développement car les dommages neuronaux naturels ou occasionnels ne sont plus compensés et s’accumulent, tandis que le nettoyage courant n’est plus fait dans le cerveau. Hyperactivité, manque de coordination musculaire et d’équilibre, agressivité, irritabilité, inattention. On voit la même chose chez les boxeurs en fin de carrière et quarterbacks.

 

Le dernier stade vient lorsque la population anormale de bactéries produit trop d’acide propionique, qui serait la cause unique et directe des symptômes spécifiques de l’autisme (fuite du regard, évitement social, recherche de stimulation sensorielle, comportements stéréotypés et répétitifs, perte de verbalisation ou non-développement...).

 

Le protocole consiste surtout en un ajustement alimentaire (huile d’olive de bonne qualité remplaçant toute autre source de gras, plus de sucres, aussi restriction de protéines), supplémentation en inuline ou traitement à la rifaximine pour les ados et adultes, et supplémentation en DHA (omega-3 animale). Pour les cas adultes il utilise aussi un appareil de stimulation électronique du nerf vagal.

L'hypothèse univoque de l'autisme parait assez périlleuse à ce stade. Il va falloir faire des études pour avancer.

Le point intéressant ici c'est de prendre en compte le microbiote comme un acteur à part entière du métabolisme et dont le dysfonctionnement est susceptible d'avoir un retentissement sur l'ensemble de l'organisme au même titre qu'un déficit enzymatique d'une maladie du métabolisme. De même qu'on enseigne le cycle de Krebs, et d'autres cycles du métabolisme, la participation des populations microbiennes au métabolisme devrait être enseignée. Ce n'est que le début.

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ça dépend, comme toujours en français

mais généralement, sens négatif = on prononce pas (fini le sucre)

                                     sens positif = on prononce (davantage de sucre)

 

 

 

 

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On 2/20/2020 at 12:38 AM, Jesrad said:

Ça faisait longtemps que je n’avais rien écrit ici, désolé... Je me renseigne en ce moment sur le protocole Nemechek et ses bases scientifiques. Vu ce que j’ai appris et ce que j’observe aujourd’hui, et vu l’état des connaissances actuelles sur les liens entre santé du cerveau et alimentation via le biome intestinal, ça me paraît tenir la route.

 

Je vais essayer de faire court:

...

merci ! Tu aurais un ou des lien(s)

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C’est à prendre au sens « fini les sucres ». Pas de lien sous la main depuis mon téléphone, mais en contre-vérifiant le contenu de son livre « The Nemechek Protocol for Autism and Developmental Disorders »  (très répétitif, pourrait faire un quart de sa longueur) on tombe sur des choses intéressantes et qui corroborent.

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Ce genre d'anecdote, mieux vaut ne même pas les relever, ça vaut mieux. Même en étant très prudent, la moindre interprétation est un trou noir à faux positif et on tombe dans le biais de confirmation over 9000. D'ailleurs les antivaxx font pareil et obtiennent leur propre conclusion sur l'autisme. Plus généralement, ça doit être la source de la plupart des superstitions depuis la nuit des temps, enfin je ne vous apprends rien.

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Le 22/02/2020 à 20:44, Boz a dit :

Mouais...

 

Le 22/02/2020 à 21:55, Domino a dit :

Ce genre d'anecdote, mieux vaut ne même pas les relever, ça vaut mieux. 

 

Vous n'y êtes pas. 

D'une part le lien entre mère vegan et enfants intellectuellement limités voir autistes à fait l'objet de plusieurs publications scientifiques, d'autre part, qu'on soit vegan ou junk food addict, on a un régime fort élevé en glucides de plus ou moins de mauvaise qualité et dans lequel le reste de micronutriments est pauvre (et c'est donc la qu'est le problème, le lait maternel est très riche par ailleurs donc ne rentre pas en compte). 

Et le lien entre autism et junk est aussi discuté. En fait, pour être plus exact, le lien entre mauvaise nutrition maternelle et autisme (vegan, junk food, whatever). 

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On 2/24/2020 at 5:52 AM, poney said:

 

 

Vous n'y êtes pas. 

D'une part le lien entre mère vegan et enfants intellectuellement limités voir autistes à fait l'objet de plusieurs publications scientifiques, d'autre part, qu'on soit vegan ou junk food addict, on a un régime fort élevé en glucides de plus ou moins de mauvaise qualité et dans lequel le reste de micronutriments est pauvre (et c'est donc la qu'est le problème, le lait maternel est très riche par ailleurs donc ne rentre pas en compte). 

Et le lien entre autism et junk est aussi discuté. En fait, pour être plus exact, le lien entre mauvaise nutrition maternelle et autisme (vegan, junk food, whatever). 

et en huiles "végétales" ?

  • Yea 1
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avis aux chercheurs rigoureux qui passent ici, que changeriez-vous à cet article ?

 

Quote

Récemment s'est tenue à Sanary, en présence du docteur Laurent Schwartz, une conférence regroupant médecins et malades sur de nouvelles approches du cancer donnant des résultats chez certains patients. Elle s'est déroulée en deux parties : une présentation par le docteur Schwartz, puis des témoignages de patients.

Que s'y est-il dit ?

https://www.youtube.com/watch?v=RcgKn0l9z4Q

Avant d'aller plus loin, il convient d'insister sur quelques points cruciaux.

Premièrement, si le cancer vous frappe quoi que vous fassiez, faites le avec votre oncologue ou médecin. L'organisme humain reste d'une complexité inimaginable et aucun amateur ne peut prétendre avoir suffisamment de connaissances pour pouvoir improviser sans l'aide d'un professionnel.

Deuxièmement, et le Dr Schwartz est entièrement clair sur ce point, nous n'avons pas le remède contre le cancer. Des cas discutés ici sont étonnants, en ayant déjoué des pronostics fort pessimistes, mais cela ne signifie pas que ces malades sont guéris.

Troisièmement, le cadre légal dans ce domaine est très (trop ?) restrictif ; soyez-en averti, tout n'est pas permis, du moins en France. Le point de savoir ce que l'on a le droit de dire et de faire, ou pas, est également abordé dans la vidéo de la conférence.

Cet article contient des informations vérifiables et en aucun cas des recommandations.

La plupart de ce qui suit découle de l'identification du cancer comme une maladie métabolique, un dysfonctionnement des mitochondries, ces centrales de production d'énergie à l'intérieur de chacune de nos cellules, les faisant passer d'un fonctionnement aérobique normal à un mode de fermentation fort inefficace en consommation de ressources.

Quelles initiatives ?

Le docteur Schwartz a créé une nouvelle fondation. Sous l'égide de la Fondation de France, elle a pour objectif de faire avancer la recherche avec le soutien d'experts principalement en provenance de polytechnique et de l'école normale supérieure. Cette fondation est accompagnée d'un site contenant des témoignages de malades, guerir-du-cancer.fr

Le vlogueur Guy Tenebaum, en rémission d'un cancer de la prostate au-delà du pronostic initial de phase terminale, a été l'organisateur principal de cette conférence. Il aborde parfois des concepts douteux comme la notion d'analyse de sang vivant, mais il est encore en vie malgré son pronostic de malade en phase terminale.

Le naturopathe Patrick Louis, fondateur de l'Association espoir métabolique, était co-organisateur de la conférence.

Quelles pistes ?

Au-delà des approches auxquelles chacun pense immédiatement quand il s'agit de cancer, telles que chirugie, chimiothérapie, radiothérapie, qui ne sont bien entendu pas à exclure, d'autres approches peuvent être combinées et donnent des résultats pour certains patients. En voici certaines. Dans tous ces cas, la recherche est insuffisante.

-- L'hyperthermie, expliquée ici par le National Cancer Institute des États-Unis. Elle peut prendre la forme de sauna à 75 degrés pour faire monter la température à 39,5 degrés.

-- La vitamine C à haute dose et en intraveineuse : certains patients mentionnent des succès et il existe des articles de recherche allant dans ce sens : ici, ici et ici en combinaison avec l'immunothérapie.

-- L'approche métabolique combine l'acide alpha-lipoique, l'hydroxycitrate et le bleu de méthylène. On ne peut parler de guérison, toutefois, certains patients semblent retarder l'échéance et améliorent grandement leur qualité de vie grâce à ce protocole.

-- L'alimentation est peut-être le sujet le plus sensible, pour le cancer au même titre que l'ensemble de la santé. Sur ce point, le Dr Scwhartz a changé d'avis à propos de la diète cétogène, qui figure parmi les solutions préconisées dans son livre, Cancer, un remède simple et non toxique. Pour bien des médecins adeptes de l'approche métabolique du cancer, la diète cétogène reste un outil utile. Ce qui est certain est qu'elle ne guérit pas du cancer et ne peut être qu'une partie de la réponse, et pas pour tous les cas.

-- Le jeûne, intermittent ou prolongé, fait partie des outils métaboliques pour s'attaquer au cancer. En particulier, il semble pouvoir rendre les chimiothérapies plus efficaces et en atténuer en même temps les effets secondaires.

-- L'activité physique peut également particiciper au combat contre le cancer.

-- L'optimisme, la force mentale, un bon sommeil, toutes choses faciles à énoncer mais bien entendu particulièrement difficiles à mettre en œuvre, nécessitent ue attention particulière de l'entourage et des professionnels de santé.

Il n'est pas à exclure que la multiplication des recherches mondiales sur toutes les pistes possibles permettent l'émergence de nouvelles options de soins.

Aller à l'étranger

La liberté laissée au médecin de diversifier les approches thérapeutiques est particulièrement limitée en France. Il en va de même pour la disponibilité de certains médicaments ou suppléments. Des solutions pour combattre le cancer sont disponibles ailleurs.

La priorité est de recouvrer la santé autant que possible, et de survivre. Pour ces raisons, certains malades choisissent d'être soignés dans d'autres pays. C'est le cas de Guy Tenebaum qui obtient des traitements aux USA, et qui y mène une grande partie de ses recherches.

Quelques médecins et chercheurs

De nombreux médecins travaillent des approches métaboliques en traitement du cancer, très souvent en combinaison avec les fondamentaux de combinaisons chimiothérapie, radiothérapie et chirurgie, auxquelles il convient d'ajouter l'immunothérapie qui peut donner d'excellents résultats, mais seulement dans 25 % des cas.

Ulricke Kämmerer, en Allemagne, est l'auteur du livre Le Régime Cétogène contre le Cancer.

Thomas Seyfried effectue des recherches sur une approche press-pulse consistant à stresser les cellules cancéreuses puis à les frapper, par exemple avec des scéances d'oxygène hyperbarique.

Abdul Slocum combine la chimiothérapie avec certaines des approches mentionnées ci-dessus.

Éléonore Djikeussi explique son approche dans cette interview.

Dawn Lemanne a fait une conférence sur l'alimentation et le jeûne intermittent et une autre, plus récente, sur différentes approches en chimiothérapie en fonction du type de cancer, curable ou pas ; dans le premier cas, le concept de dose maximum tolérable se justifie, mais pas dans le second pour lequel une autre approche du dosage et de la périoditicté fonctionnera mieux.

Valter Longo est spécialisé dans le jeûne

Andrew Scarborough est un jeune chercheur en cours de rédaction d'une thèse de doctorat, cancéreux en phase terminale ayant survécu de longues années au-delà de son pronostic initial. Il souffre d'un glioblastome multiforme, qu'il traite par une alimentation cétogène, de l'oxygène hyperbarique entre autres soins. Il participe à l'association Brain Tumer research.

Cette sélection est minime et ne prétend à aucune forme d'exhaustivité.

S'impliquer, faire ses propres recherches

Il est préférable de sélectionner les articles de recherche disponibles sur Pubmed et Google Scholar. Tripping Over the Truth, de Travis Christofferson est un livre souvent cité et qui semble essentiel.

Chaque malade doit s'interroger : suis-je acteur ou seulement patient ? Est-ce que je préfère me plier à ce que me prescrit mon médecin ou est-ce que je préfère faire mes propres recherches et en discuter avec lui ?

Le professionnel n'y sera pas nécessairement sensible, et sera de toute façon fort limité par la législation et les règles du métier. Par ailleurs, même si le web contient désormais des quantités inimaginables de bonnes informations, il en contient aussi encore bien davantage de mauvaises. Il faut dès lors pouvoir disposer d'un esprit critique impitoyable. Inconvénient supplémentaire, presque tout ce qui vaut le détour est en anglais, rendant donc pertinent son apprentissage.

Conclusion

Les approches thérapeuthiques autorisées et reconnues en France sont trop limitées, interdisant aux médecins d'utiliser des outils qui pourtant pourraient donner de meilleurs résultats. Des crédits devraient être disponibles pour des recherches relatives à l'approche métabolique, au lieu d'être principalement consacrés aux solutions les plus lourdes (chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie et immunothérapie).

Parallèlement, les médecins devraient manifester moins d'hostilité à l'encontre des malades menant leurs propres recherches et trouvant leurs propres solutions. Certains malades le feront de toute façon. Un médecin tolérant est mieux à même de repérer les patients qui font complètement fausse route et aggravent leur maladie au lieu de la combattre efficacement.

On peut même avancer que pour certains cas les méthodes les plus chères ne sont pas forcément les meilleures.

 

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La conclusion me semble juste. 

La campagne contre l'homéopathie, l'obligation vaccinale entre autre décisions récentes participe d'une vision univoque de la santé et de la médecine.

Ceci est regrettable, et c'est sans doute un problème politique car les esprits curieux, ouverts et intelligents, ne manquent pas en France.

  • Nay 1
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Il y a 5 heures, Nick de Cusa a dit :

avis aux chercheurs rigoureux qui passent ici, que changeriez-vous à cet article ?

N'étant ni chercheur ni rigoureux, je ne répondrai probablement pas à ta demande. En revanche, sur la forme, je passerai les pistes avant les initiatives : le terrain approché est encore flou et balancer en premier lieu "l'analyse de sang vivant" ou "naturopathe" peut rapidement rebuter un sceptique. A l'inverse, les pistes sont sourcées et plus nombreuses, ce qui rend plus sérieux.

Après, on peut toujours discuter sur le fait que le lecteur n'a pas à s'arrêter sur un mot, et que celui qui veut chercher de l'info doit aller plus loin que ça ; Mais si l'objectif est le partage, ça me semble plus convaincant d'y mettre les pistes en premier lieu.

En tout cas il me tarde de le partager.

  • Yea 1
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L'article manque d'infos sur le cadre légal je trouve, en particulier les choses qu'on n'aurait pas le droit de dire ou de faire et pourquoi.

 

Du point de vue de la recherche c'est un sujet évidemment délicat à aborder parce qu'il ne s'agit pas pour l'instant de résultats solides : pour un patient qui se met à aller mieux suite à du jeûne intermittent, combien d'autres ont une amélioration comparable sans rien faire de particulier ou en priant ou en mangeant des granules de sucre ? Tant qu'on ne sera pas sorti de l'anecdotique l'attitude des médecins sera, et c'est bien compréhensible, de se concentrer avant tout sur les méthodes qui ont fait objectivement leur preuve. Le reste relèvera du "si ça peut lui fait plaisir pourquoi pas" mais sera vu d'un mauvais œil si ça entrave les méthodes traditionnelles, encore une fois c'est compréhensible.

  • Yea 1
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