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Santé & nutrition, que manger ?


Jesrad

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Une petite lecture assez instructive sur le lien entre nutrition et dépression

 

 

For all of human history – until the last couple of decades – people ate beef from cows (or buffalo or bison) which grazed on grass. The cows were usually strong and healthy. Their meat was lean, with very little saturated fat, as the critters ate well and got outdoor exercise. Their meat was high in good Omega 3 fats. See
and
, and
(
).

 

Today, on the other hand, beef is laden with saturated fat and almost entirely lacking healthy fats like Omega 3s, because the cows are force-fed food which makes them sick. Specifically, instead of their natural menu – grass – they are force-fed corn, which makes them sick. Because their diet makes them ill, they are given massive amounts of antibiotics.  Even with the antibiotics, the diet and living conditions would kill them pretty quickly if they aren’t slaughtered.

 

Ce passage a l'air de sous entendre que les graisses saturées sont mauvaises :online2long:

 

 

 

Sans déconner ? :rolleyes:

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Ce passage a l'air de sous entendre que les graisses saturées sont mauvaises :online2long:

C'est des conneries. Les animaux étaient moins gras certes, mais on mangeait toutes les parties bien grasses (moelle, cervelle, etc.) et pas juste les muscles.

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Servan-Schreiber donnait déjà ce lien entre omega-3 et dépression dans son livre "Guérir".

Servan-Schreiber, le type qui donne toutes les recettes pour ne pas mourir du cancer, et qui est lui-même mort du cancer ?
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Servan-Schreiber, le type qui donne toutes les recettes pour ne pas mourir du cancer, et qui est lui-même mort du cancer ?

 

C'est justement parce qu'il était cancéreux qu'il s'est intéressé au sujet.

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"The Ketogenic Diet Is an Effective Adjuvant to Radiation Therapy for the Treatment of Malignant Glioma

Oui, c'est connu, et par ailleurs le jeûne intermittent réduit les effets secondaires de la chimiothérapie.

http://www.isnare.com/?aid=1629649&ca=Wellness%2C+Fitness+and+Diet

A study published in Proceedings of the National Academy of Science in 2008 found that fasting for two days before chemotherapy protected cancer patients against the toxic side effects by shielding healthy cells while destroying malignant ones. In 2009, a case report study published in the journal Aging, revealed that 10 individuals with cancer who fasted intermittently in cycles experienced less adverse effects from chemotherapy.

A 2008 study at the University of California at Berkeley found that eating every other day decreased cell proliferation rates, an effect known to reduce the development of cancers. In animal models, intermittent fasting was found to reduce cancer growth on the skin and in breast tissue.

In a paper published in 2010 in Cancer Research, a team at the University of Southern California documented the findings of mice with human cancer being treated with fasting. Fasting reduced their IGF-1 levels, an effect which has been found to prolong life. When the mice received chemotherapy, none of the normal-diet control group survived, while 60% of fasting mice lived.

In 2012, a group of researchers found that fasting had the potential to be as effective as chemotherapy for treating some types of cancer. As a result of their research, published in the journal Science Translational Medicine, the scientists concluded that cycles of 2 to 4 days of fasting were as effective as chemotherapeutic agents in delaying the progression of certain tumors. As is typical in this type of research, the mice had been injected with human cancer cells. The results indicated that five out of eight cancer types in mice responded to fasting alone. In response similar to chemotherapy, fasting slowed the growth and spread of tumors. In summation, the researchers said, "These studies suggest that multiple cycles of fasting promote differential stress sensitization in a wide range of tumors and could potentially replace or augment the efficacy of certain chemotherapy drugs in the treatment of various cancers."

The researchers ran a variety of test protocols. In one procedure, multiple cycles of fasting combined with chemotherapy cured 20 percent of mice with a highly aggressive type of cancer that had spread throughout their body and 40 percent of mice with a more limited spread of the same cancer. No mice survived in either case if treated with chemotherapy alone.

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Bonjour,

 

 

 

Les végétariens ont un moindre risque de maladies cardiovasculaires

 

Être végétarien réduirait de 32% le risque de maladies cardiovasculaires comparativement aux personnes consommant de la viande et du poisson. C'est le constat d'une vaste étude menée au Royaume-Uni et publiée mercredi aux Etats-Unis.

 

"La majorité de la différence dans le risque provient probablement des effets du cholestérol et de la tension artérielle", plus élevés généralement chez les non-végétariens. Cela "montre le rôle important de l'alimentation pour la prévention des maladies cardiaques", explique Francesca Crowe, de l'université d'Oxford au Royaume-Uni, principale auteure de cette recherche.

 

Il s'agit de l'étude la plus étendue jamais effectuée au Royaume-Uni comparant l'incidence des maladies cardio-vasculaires entre végétariens et non-végétariens. L'analyse a porté sur près de 45'000 volontaires âgés de 50 à 70 ans en Angleterre et en Ecosse, enrôlés dans l'enquête dite "European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition" (EPIC).

 

Dans ce groupe, 34% étaient végétariens, un nombre élevé rare dans les études de ce type, ce qui a permis aux chercheurs de faire des estimations plus précises des risques cardiovasculaires dans chacun des deux groupes.

 

Plusieurs facteurs. "Les résultats montrent clairement que le risque de maladies cardio-vasculaires est environ un tiers plus bas chez les végétariens comparativement aux non-végétariens", souligne le Pr Tim Key, directeur-adjoint de l'unité d'épidémiologie du cancer à l'université d'Oxford et co-auteur de l'étude.

Les chercheurs ont pris en compte plusieurs facteurs pour calculer le risque: l'âge, si les sujets fumaient, la quantité d'alcool consommé, l'activité physique, le niveau de formation et le milieu socio-économique. Recrutés tout au long des années 1990, les participants ont répondu à des questionnaires détaillés sur leur état de santé et leur mode de vie.

 

 

http://www.romandie.com/news/n/Les_vegetariens_ont_un_moindre_risque_de_maladies_cardiovasculaires96310120130741.asp?

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Les vegetariens ont aussi un moindre risque de fun et de plaisir, sans wvoquer le risque d'avoir l'air sympa et pas chiant

 

wvoquer?

 

ça m'étonne que Jesrad n'est pas encore bondi sur la référence de l'étude sur les vegétariens!

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Oui et ils ont parlé de leurs consommation de féculents les fameux mangeurs de viande?

 

Je suis d'accord, corrélation n'est pas raison. Toutefois, peut-on dire avec certitude que les mangeurs de viandes consomment plus de céréales que les végétariens ? j'en doute.

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Jim, végétarien, t'as accès aux fromages, aux oeufs, et au poisson, je sais pas trop...

Ma fille mange de tout sauf de la viande à poils et à plumes, et coté fun, elle est pas en rade !

 

 

elle est pas vegetarienne, depuis quand les oeufs et les poissons sont des plantes.Elle SE LA RACONTE vegetarienne, c'est different.Bien sur que dans ces conditions c'est quasiment comme bouffer normalement.Faut arreter.

 

 

Je me souviens que quelqu'un avait ici expliqué que les sport d’endurance n'étaient pas compatibles avec une alimentation primale/low-carb, voire qu'ils étaient mauvais pour la santé, pourrait-on avoir des information à ce sujet ?

 

il y a une diff entre primal et low-carb, et il y a besoin de carbs pour faire une activite physique.T'es juste pas oblige de bouffer des carbs avec du gluten.

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tout sauf de la viande à poils et à plumestout sauf de la viande à poils et à plumes

 

et on peut savoir ce que c'est son argument pour pas manger de viande qui marche?  elle pense que le poisson est moins tox ?

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