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Vers la faillite des États (et au-delà)


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mais pardon! ca marche super bien: on sort les milliards magiques et pouf tout le monde adore ca et l'economie repart, je ne vois pas ou est le probleme!

la nouvelle economie, celle que vous refusez d'accepter, c'est la fete du slip.Alors sortez votre slip, faites le tourner autour de votre tete et celebrez la nouvelle econofete du slip citoyen, avec de nouvelles valeurs: non mon corps n'est pas une marchandise, non vous ne pourrez pas m'obliger a travailler plus de dix-sept heures par semaine ni au dela de 37 ans.

:mrgreen:

:mrgreen::icon_up::mrgreen::doigt::blushing::blushing::sourd:

….

:blushing:

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Peut-on d'ailleurs considérer que c'est le but de l'opération ?

Pourquoi pas, les pauvres c'est pratique et ça a toujours besoin de héros des temps modernes (comprenez politiciens). Les pauvres on leur donne un peu, ils s'en contentent, les pauvres c'est idiots, ils n'ont pas assez d'argent pour acheter des livres et s'éduquer. Les pauvres c'est l'assurance de faire perdurer le système à jamais, un système basé sur des promesses non tenues de la part d'une oligarchie faussement éclatée (droite, gauche, centre). Oh ça prendra du temps mais c'est une des possibilités.

Moi je n'oublie jamais ce que Chirac avait dit lors d'une conférence de presse à la commission européenne: "le libéralisme serait pire que le communisme". libéralisme signifie fin des privilèges, de l'oligarchie au pouvoir depuis 30 ans, fin de leurs vies faciles, fin des carrières politiciennes pour les plus minables scribouillards de l'ENA, fin des confettis, paillettes, gueuletons, fiestas, et tout le tralala. Ils ont la belle vie, ils feront tout pour la garder même à vous ruiner et vous contrôler.

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Concrètement, est-ce que l'on peut craindre de l'inflation avec les pressions à la baisse sur les prix engendrés par l'ouverture des économies? Est-ce que c'est pas plutôt des bulles en mode huge qu'il nous faut craindre, genre subprime puissance 1000 ?

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Et donc un retour du protectionnisme alors? Parce que les chinois, eux, n'auront pas notre inflation, donc ça risque de poser un petit problème de compétitivité des économies européennes qui sera "résolu" politiquement. Non? Ou alors la régulation se fera par le taux de change? Pardonnez mon ignorance.

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libéralisme signifie fin des privilèges, de l'oligarchie au pouvoir depuis 30 ans, fin de leurs vies faciles, fin des carrières politiciennes pour les plus minables scribouillards de l'ENA, fin des confettis, paillettes, gueuletons, fiestas, et tout le tralala.

exactement, la fin de la fete du slip.

Nous, les liberaux, sommes des briseurs de slip.

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Pourquoi pas, les pauvres c'est pratique et ça a toujours besoin de héros des temps modernes (comprenez politiciens). Les pauvres on leur donne un peu, ils s'en contentent, les pauvres c'est idiots, ils n'ont pas assez d'argent pour acheter des livres et s'éduquer. Les pauvres c'est l'assurance de faire perdurer le système à jamais, un système basé sur des promesses non tenues de la part d'une oligarchie faussement éclatée (droite, gauche, centre). Oh ça prendra du temps mais c'est une des possibilités.

Moi je n'oublie jamais ce que Chirac avait dit lors d'une conférence de presse à la commission européenne: "le libéralisme serait pire que le communisme". libéralisme signifie fin des privilèges, de l'oligarchie au pouvoir depuis 30 ans, fin de leurs vies faciles, fin des carrières politiciennes pour les plus minables scribouillards de l'ENA, fin des confettis, paillettes, gueuletons, fiestas, et tout le tralala. Ils ont la belle vie, ils feront tout pour la garder même à vous ruiner et vous contrôler.

Des pauvres il y en aura toujours. Des privilégiés aussi. Et ce quelque soient les contorsions sémantiques ou idéologiques qu'on applique à l'idée de justice, de ce qui est "juste".

Rien ne sera jamais juste. Même en anarcapie.

La société juste est une chimère.

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Bon, objectivement, USA, Japon et UE sont endettés dans des proportions similaires. La reprise d'une croissance soutenue parait peu probable, du moins concernant, UE et Japon.

Quel scénario envisager dans les 2 ans qui suivent ?

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On peut craindre une inflation à deux chiffres.

C'est le moment de s'endetter pour acheter un appartement bien situé. Seul risque : être obligé de loger plusieurs familles dans chaque pièce si le gouvernement décide que c'est la meilleure solution pour lutter contre la pénurie de logements.

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Le mieux c'est encore de ne pas compter vivre que de l'immobilier.

Si, mais de hangars de stockage pour vendre des produits alimentaires et de première nécessité dés que les premières pénuries arriveront.

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Et donc un retour du protectionnisme alors? Parce que les chinois, eux, n'auront pas notre inflation, donc ça risque de poser un petit problème de compétitivité des économies européennes qui sera "résolu" politiquement. Non? Ou alors la régulation se fera par le taux de change? Pardonnez mon ignorance.

Les politiciens adorent cela l'inflation. Notre monnaie vaudra moins, donc les produits hors UE nous couteront plus. Ca nous fait moins d'importation. Le temps que les prix domestiques soient ajustes de l'inflation, notre monnaie ne vaut pas grand chose, les exportations vont augmenter a court terme. Dans ces conditions, pas besoin de protectionnisme, puisque pour le politicien protectionniste, le mal c'est importer des biens et on ne pourra plus le faire autant.

Du coup, la demande des devises étrangères va baisser, ce qui va réduire leurs valeurs. (Parce que les européens en demanderont moins)

En même temps, puisque nos exportations augmentent a court terme, la demande étrangère d'euros ralentira la dévaluation. Pour un temps puisque tôt ou tard, le prix des biens sera corrige par rapport a l'inflation, et nos exportations diminueront a leur niveau 'naturel'?/initial. Mais on ne sera toujours pas capable d'importer autant qu'avant, malgré la retro action de la baisse de la valeur des devises étrangères du a la baisse de la demande européenne.

Je ne pense pas m'être plante, même si c'est simplifie.

Par contre l'inflation en UE, si elle est a deux chiffres, les prix des biens vont augmenter mais pas les salaires. (L’inflation n'étant pas un phénomène homogène) Donc le gouvernement devra fixer les prix domestiques. A partir de la, on peut considérer qu'in n'y a plus de marche. Dans les pires de cas, c'est éventuellement l'arrêt de la production qui est le dernier coup fatal de l'inflation.

(Mon correcteur outlook n'a pas su me trouver quelques accents manquants)

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Même dans Le Monde de ce jour, on peut lire des points de vue qui vont au coeur du problème : meilleurs extraits.

"On ne peut pas résoudre une crise de dette par plus d'endettement"

Thorsten Polleit est chef économiste de Barclays Capital en Allemagne. Il porte un regard très critique sur le gigantesque paquet de sauvetage monté par les Etats de la zone euro.

Comment jugez-vous le plan de secours de 750 milliards d'euros pour la zone euro ?

On ne peut pas résoudre le problème par de l'endettement supplémentaire. Pour soutenir certains pays pris dans une crise de dette, les gouvernements vont devoir emprunter encore. Ce n'est pas une solution. L'urgence aujourd'hui, pour la zone euro, c'est d'annoncer une stratégie crédible de réduction des déficits. Si la pression des marchés est devenue si forte, si les investisseurs perdent confiance, c'est précisément parce qu'un tel concept n'existe pas.

Que faut-il faire ?

Il faut voir comment couper dans les dépenses, réduire les déficits le plus rapidement possible, graver ces objectifs dans le marbre comme nous l'avons fait en Allemagne en inscrivant un mécanisme de "frein à la dette" dans notre Constitution… On doit se rappeler qu'à l'origine, si le pacte de stabilité avait été respecté à la lettre, on n'en serait pas là.

La décision de la Banque centrale européenne (BCE) d'acheter de la dette publique porte-t-elle un coup à sa crédibilité ?

Il est clair que si la BCE agit ainsi, c'est parce que les gouvernements européens le souhaitent.

Croyez-vous que l'Allemagne récupérera l'argent des prêts faits à la Grèce ?

Non, je crois au contraire que les sommes ne seront jamais remboursées.

Propos recueillis par Marie de Vergès

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Pour les germanophones, un petit tour sur le FT Deutschland (www.ftd.de).

Article sur article sur le thème c'est débile et dangereux et ça marchera pas.

La presse semble faire mieux que d'habitude au sujet de cette grotesque mascarade.

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Même dans Le Monde de ce jour, on peut lire des points de vue qui vont au coeur du problème : meilleurs extraits.

Merci. Cela fait plaisir de voir que certains ont encore la tête sur les épaules avec des neurones correctement câblés.

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Si la presse mainstream les lâche c'est la fin de la fiesta. Pour l'instant le FT (que 0,00001%) de la population française lit ne représente rien mais c'est un début, la pensée unique vascille! Il se pourrait que la pratique s'étende, bon en France, ce n'est pas certain mais ailleurs SI !

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Pour les germanophones, un petit tour sur le FT Deutschland (www.ftd.de).

Article sur article sur le thème c'est débile et dangereux et ça marchera pas.

La presse semble faire mieux que d'habitude au sujet de cette grotesque mascarade.

tu as le titre de l'article?

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