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Vers la faillite des États (et au-delà)


Messages recommandés

Eh bien finalement, la Fraôôôôôônce éternelle et merveilleuse VA RECLAQUER DES MILLIONS pour UN NOUVEAU SITE POURRI !

https://www.marches-publics.gouv.fr/index.p…orgAcronyme=d2v

J'y crois pas j'y crois pas j'y crois pas.

PAYS DE MAAAAAAAAARDE

(on découvre dans l'appel d'offre détaillé qu'il s'agit de continuer le développement du bidule avec un budget estimatif de 2 M€ pour 18 mois - je peux vous dire que ça fait beaucoup beaucoup beaucoup de pognon pour un site pareil. En gros, il doit y avoir pour 200.000 de site et 1.800.000 de putes à airbags.)

Après tout, on peut se le permettre, il n'y a jamais que 148Mds de deficit. :icon_up:

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Transports : Lyon dénonce «l'aumône» du gouvernement

Il fulmine Bernard Rivalta. Le président PS du Sytral, l’autorité organisatrice des transports de l’agglomération lyonnaise, n’a toujours pas digéré que l’Etat n’ait accordé mercredi que 20 millions d’euros de subventions à ses projets de développement du réseau TCL.

Le ministère des Transports a distribué un total de 590 millions d’euros à 78 projets de lignes en site propre dans le cadre du Grenelle de l’environnement. «On donne à Lyon autant d’aide qu’aux deux nouvelles lignes de bus de Bayonne. C’est de l’aumône. Alors que nous avons le réseau le plus performant de France et que nous investissons un milliard d’euros à chaque mandat. C’est de la provocation», a regretté jeudi Bernard Rivalta, qui avait demandé une aide de 110 millions d’euros à l’Etat.

Les extensions de ligne de tramway subventionnées

Le gouvernement a retenu les projets d’extension des trois lignes de tramway, mais a écarté les dossiers de modernisation du réseau, comme l’automatisation de la ligne B du métro. «Cela permet de transporter plus de gens et donc de concurrencer la voiture, ce qui est pourtant l’objectif du Grenelle», estime le président du Sytral, qui regrette que l’Etat ne subventionne que des créations d’infrastructures.

« Il y a beaucoup de collectivités qui pourraient se plaindre que Lyon a beaucoup », a rétorqué la ministre de l’Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, interrogée sur France 3.

20 minutes

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La soutenabilité budgétaire de la France serait de 90%. Or, la dette publique est de 83%. On approche du point de non retour… D'ici, si mes souvenirs sont bons, 2014, l'IR ne suffira même plus à rembourser les intérêts de la dette de l'Etat.

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Invité rogermila
Transports : Lyon dénonce «l'aumône» du gouvernement

Il fulmine Bernard Rivalta. Le président PS du Sytral, l’autorité organisatrice des transports de l’agglomération lyonnaise, n’a toujours pas digéré que l’Etat n’ait accordé mercredi que 20millions d’euros de subventions à ses projets de développement du réseau TCL.

Le problème de l'endettement qui necessiterait des économies, ce n'est pas seulement une affaire d'Etat ou de collectivités locales.

ça serait trop simple.

C'est carrément un problème de société en France.

Lorsque dans la population vous avez 80% des gens qui, en toute bonne foi, sont d'accord pour limiter certaines dépenses mais n'imaginent pas une seule seconde que d'autres dépenses puissent être rabotées, c'est ça qui rend pessimiste.

Les gouvernements changent mais pas la mentalité d'une société.

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Eh bien finalement, la Fraôôôôôônce éternelle et merveilleuse VA RECLAQUER DES MILLIONS pour UN NOUVEAU SITE POURRI !

https://www.marches-publics.gouv.fr/index.p…orgAcronyme=d2v

J'y crois pas j'y crois pas j'y crois pas.

PAYS DE MAAAAAAAAARDE

(on découvre dans l'appel d'offre détaillé qu'il s'agit de continuer le développement du bidule avec un budget estimatif de 2 M€ pour 18 mois - je peux vous dire que ça fait beaucoup beaucoup beaucoup de pognon pour un site pareil. En gros, il doit y avoir pour 200.000 de site et 1.800.000 de putes à airbags.)

Je propose d'organiser un trafic de bêtabloquants. Bon du coup liborg risque de devenir un peu calme après 21H30.

En attendant, courage :icon_up:

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La soutenabilité budgétaire de la France serait de 90%. Or, la dette publique est de 83%. On approche du point de non retour…

Exact. L'économie va être de plus en plus étouffée, la croissance sera alors de 0 ou négative, et là les politocards vont être dans une merde pas croyable.

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La soutenabilité budgétaire de la France serait de 90%. Or, la dette publique est de 83%. On approche du point de non retour… D'ici, si mes souvenirs sont bons, 2014, l'IR ne suffira même plus à rembourser les intérêts de la dette de l'Etat.

Si ça continue d'évoluer comme ça, quelque chose me dit que les candidats ne vont pas se bousculer pour 2012, à moins d'être idiot ou maso…

Ce président devra annoncer des mesures radicales dès le début de son mandat ou annoncer à un moment ou un autre qu'il n'y a plus de sous pour payer la fonction publique…

À moins que tout ne s'écroule avant…

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Si ça continue d'évoluer comme ça, quelque chose me dit que les candidats ne vont pas se bousculer pour 2012, à moins d'être idiot ou maso…

Ce président devra annoncer des mesures radicales dès le début de son mandat ou annoncer à un moment ou un autre qu'il n'y a plus de sous pour payer la fonction publique…

À moins que tout ne s'écroule avant…

Ils vont se bousculer pour 2012, mais continuer à être, pour la plupart d'entre eux, démagogiques, c'est tellement plus simple de dire aux gens ce qu'ils veulent entendre que la vérité. Mélenchon qui propose de ne pas rembourser la dette est totalement inconscient, Lordon qui propose de nationaliser les banques sans contrepartie est totalement inconscient car cela ferait fuir absolument tous les investisseurs, et là France serait dans une merde ténébreuse.

Une union sacrée sera nécessaire à mon avis, si les choses continuent comme ça. On va finir en redressement judiciaire, c'est pas possible. Mais bon, soyons optimistes, en ayant présent à l'esprit qu'on ne peut pas laisser tomber la France, car là un mini cataclysme se produirait.

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J'y crois pas j'y crois pas j'y crois pas.

PAYS DE MAAAAAAAAARDE

(on découvre dans l'appel d'offre détaillé qu'il s'agit de continuer le développement du bidule avec un budget estimatif de 2 M€ pour 18 mois - je peux vous dire que ça fait beaucoup beaucoup beaucoup de pognon pour un site pareil. En gros, il doit y avoir pour 200.000 de site et 1.800.000 de putes à airbags.)

Effectivement c'est tellement gros qu'on croirait un sketch !

C'était comment déjà ? Ha ouais "To the max !" :icon_up:

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Ils vont se bousculer pour 2012, mais continuer à être, pour la plupart d'entre eux, démagogiques, c'est tellement plus simple de dire aux gens ce qu'ils veulent entendre que la vérité. Mélenchon qui propose de ne pas rembourser la dette est totalement inconscient, Lordon qui propose de nationaliser les banques sans contrepartie est totalement inconscient car cela ferait fuir absolument tous les investisseurs, et là France serait dans une merde ténébreuse.

Une union sacrée sera nécessaire à mon avis, si les choses continuent comme ça. On va finir en redressement judiciaire, c'est pas possible. Mais bon, soyons optimistes, en ayant présent à l'esprit qu'on ne peut pas laisser tomber la France, car là un mini cataclysme se produirait.

…la preuve par l'absurde…..

Mélenchon qui propose de ne pas rembourser la dette est totalement inconscient, Lordon qui propose de nationaliser les banques sans contrepartie est totalement inconscient car cela ferait fuir absolument tous les investisseurs, et là France serait dans une merde ténébreuse.

…ça serait cool, au moins on serait édifiés ( et j’espère vaccinés) pour plusieurs générations!

qu'on ne peut pas laisser tomber la France
, mais on peut faire la différence entre La France, et son gouvernement, ou plus précisément son état…….

( tres bon post de GDM, voilà quelques jours, qu'hélas je ne retrouve plus)

( et aussi bonne vieille démonstration de lucilio, qui se perd dans la nuit des temps)

En 2012; votons Mélanchon,

Votons pour le plus………..

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, mais on peut faire la différence entre La France, et son gouvernement, ou plus précisément son état…….

( tres bon post de GDM, voilà quelques jours, qu'hélas je ne retrouve plus)

( et aussi bonne vieille démonstration de lucilio, qui se perd dans la nuit des temps)

c'est peut-etre ce message que vous cherchiez:

http://www.liberaux.org/index.php?s=&s…st&p=705236

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Effectivement c'est tellement gros qu'on croirait un sketch !

C'était comment déjà ? Ha ouais "To the max !" :icon_up:

Voilà, exactement : TO THE MAX.

Et j'en ai fait un petit billet, histoire de détendre l'atmosphère chargée des effluves nauséabondes de la crise.

(badurl) http://www.wikio.fr/vote?url=http://h16free.com/2011/02/11/6954-france-fr-continuons-le-scandale (badurl)

RT :http://twitter.com/#!/_h16/status/36018103846440960

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…la preuve par l'absurde…..

…ça serait cool, au moins on serait édifiés ( et j’espère vaccinés) pour plusieurs générations!

, mais on peut faire la différence entre La France, et son gouvernement, ou plus précisément son état…….

( tres bon post de GDM, voilà quelques jours, qu'hélas je ne retrouve plus)

( et aussi bonne vieille démonstration de lucilio, qui se perd dans la nuit des temps)

En 2012; votons Mélanchon,

Votons pour le plus………..

Si nous pouvions éviter de se retrouver dans une merde économique ténébreuse pour prendre conscience qu'il faut que les finances publiques soient sainement gérées, ça serait bien. Peut-être réagiront-nous au dernier moment. Guérir le mal par le mal n'est pas forcément une bonne idée, c'est comme Mussolini qui, antimilitariste au début de la guerre, est ensuite devenu convaincu que seul le militarisme mettrait fin à la guerre… Je ne fais pas trop confiance à Mélenchon : "Si vous voulez partir à la retraite à 60 ans et qu'ils vous disent que vous devrez travailler plus longtemps, venez me voir, moi je sais le faire !", paroles qu'il a prononcées, il me semble, sur ONPC et dans une autre émission dont ne connais pas le nom.

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Cela impliquerait de savoir jusqu'à quel point on peut augmenter les impôts, non ?

L'Etat français ponctionne 56,9% des richesses produites par les habitants. L'Etat augmentera les impôts tant que c'est son intérêt financier. Parfois l'augmentation du taux de tel impôt induira une baisse de montant de l’impôt. C'est dans ce seul cas que l'Etat renonce à augmenter les impôts. L’impôt le plus rentable, c'est l’impôt que nul contribuable n'avait prévu. Ainsi, nul contribuable ne peut y échapper.

Grace à la théorie de l'illusion fiscale, l'Etat dispose de nombreux procédés astucieux pour voler en douceur l'argent dans les poches du contribuable.

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Invité rogermila
Un bon exemple est l’impôt surprise inventé par Juppé en 1990(?). Tous les contribuables sont imposés de 2000 euros. L'Etat le leur rendra dans dix ans sans intérêt. Et l'Etat a remboursé dix ans plus tard sans intérêt.

C'est quoi cette "révélation" ?

Jamais entendu parler.

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L'Etat français ponctionne 56,9% des richesses produites par les habitants. L'Etat augmentera les impôts tant que c'est son intérêt financier. Parfois l'augmentation du taux de tel impôt induira une baisse de montant de l’impôt. C'est dans ce seul cas que l'Etat renonce à augmenter les impôts. L’impôt le plus rentable, c'est l’impôt que nul contribuable n'avait prévu. Ainsi, nul contribuable ne peut y échapper. Un bon exemple est l’impôt surprise inventé par Juppé en 1990(?). Tous les contribuables sont imposés de 2000 euros. L'Etat le leur rendra dans dix ans sans intérêt. Et l'Etat a remboursé dix ans plus tard sans intérêt.

Grace à la théorie de l'illusion fiscale, l'Etat dispose de nombreux procédés astucieux pour voler en douceur l'argent dans les poches du contribuable.

D'après l'étude PwC, la pression fiscale serait à 65,8%

Bien que cette enquête soit surtout destinée à inciter les pays en développement à réformer leurs systèmes fiscaux afin de les rendre plus accueillants pour les investisseurs étrangers, le classement concerne tous les Etats et donnent ainsi l'occasion de faire le point sur la place de pays comme la France.

S'agissant du taux d'imposition, la France est 163ème (165ème l'an passé) avec un taux de 65,8%, presqu'en queue des pays européens, seule l'Italie faisant pire avec 68,6%. La moyenne de l'Union européenne se situe à 44,2%, l'Allemagne s'établissant à 48,2%. « Cette position est surtout due au poids des cotisations sociales supportées par les entreprises française, l'impôt sur les bénéfices étant faible, notamment parce que les cotisations sociales et les autres impôts, importants dans notre pays, y sont déduits du bénéfice imposable. «

explique Philippe Durand, associé chez Landwell & Associés. Il faut d'ailleurs relever que l'entreprise type qui sert de base à ce calcul fait qu'elle échappe à beaucoup des impôts sectoriels dont la France est « spécialiste », ce qui contribue probablement à améliorer la place de la France dans cette étude.

http://www.pwc.fr/la-france-ameliore-son-a…taxes-2010.html

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Invité rogermila

Le gel des salaires des fonctionnaires, préconisé aujourd'hui par la Cour des Comptes, risque fort d'être une mesure que le Gouvernement va s'empresser de démentir au plus vite.

Les dépenses publiques ont trop augmenté en 2010 pour réduire le déficit structurel, qui a au contraire été «aggravé» par des baisses d'impôts, juge la Cour des comptes dans son rapport annuel publié jeudi 17 février.

Selon elle, «d'amples réformes» sont nécessaires pour que soient respectés les objectifs que le gouvernement s'est lui-même fixés.

La Cour des comptes préconise notamment de geler le salaire des fonctionnaires jusqu'à la fin de l'année 2013.

La France s'est engagée devant ses partenaires européens à réduire son déficit d'environ 7,7% en 2010 à 6,0% fin 2011, 4,6% fin 2012, 3,0% fin 2013 et 2% fin 2014. La dette publique commencerait selon le gouvernement à baisser en 2013, année où elle atteindrait 86,8% du PIB, après 87,4% fin 2012 et 86,2% fin 2011

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/02…es-depenses.php

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Extrait de la lettre du hedge fund Hayman Capital, expliquant pourquoi la faillite du Japon n'a pas eu lieu ces dernières années, pourquoi elle va avoir lieu prochainement et pourquoi il est facile et extrêmement rentable de miser dessus:

http://www.zerohedge.com/sites/default/fil…%20Feb%2014.pdf

Pour résumer: le taux d'épargne en % du PIB des ménages + entreprises est en train d'être dépassé par le taux de déficit budgétaire/PIB. les évolutions des courbes sont des tendances lourdes de long terme et ont donc peu de chance de s'inverser.

Le Japon ne peut donc plus compter sur son épargne domestique pour financer le déficit: ce n'est pas qu'une question de crainte de solvabilité à moyen terme, mais une question de taille des flux financiers.

L'opposition japonaise et les journalistes ont nommé le jour où les taux s'envoleront le X Day et réfléchissent aux mesures à prendre immédiatement: augmentation des impôts, baisses des dépenses, et surtout impression massive de yen.

Enfin l'intérêt de spéculer sur cet événement: il est peu anticipé, la volatilité des oblig japonaises et du yen est très faible, donc les options sont très peu chères.

extrait de la lettre (les graphs sont dans le lien ci dessus)

What other Macro Participants Have Missed and the Coming of “X‐Day”

Japan has been a key focus of our firm for the last few years. While it represents a small amount of capital at risk in the Hayman Capital Master Fund L.P., it remains the place where we believe the most asymmetry and outsized returns will be generated in the coming years. We could spend another 10 pages doing a deep dive into our entire thesis, but we will save that for our investor dinner scheduled for April 26th. For now, We are going to stick with the catalysts for the upcoming Japanese bond crisis.

Investing with the expectations of rising rates in Japan has been dubbed “the widow maker” by some of the

world’s most talented macro investors over the past 15‐20 years. It is our belief that these investors missed a crucial piece to the puzzle that might have saved them untold millions (and maybe billions). They operated under the assumption that Japanese investors would simply grow tired of financing the government – directly or indirectly – with such a low return on capital. However, we believe that the absence of attractive domestic investment alternatives and the preponderance of new domestic savings generated each year enabled the Japanese government to “self‐finance” by selling government bonds (JGBs) to its households and corporations.

This is done despite their preference for cash and time deposits via financial institutions (such as the Government Pension Investment Fund, other pension funds, life insurance companies, and banks like Japan

Post) that have little appetite for more volatile alternatives and little opportunity to invest in new private sector fixed‐income assets. Essentially, they take in the savings as deposits and recycle them into government debt.

Thus, it is necessary to understand how large the pool of capital for the sale of new government bonds.

We focus on incremental sales or “flow” versus the “stock” of aggregated debt. To simplify, the available pools of capital are comprised of two accounts – household and corporate sector. The former is the incremental personal savings of the Japanese population, and the latter is the after‐tax corporate profits of Japanese corporations. These two pieces of the puzzle are the incremental pools of capital to which the government can sell bonds. As reflected in the chart below, as long as the sum of these two numbers exceeds the running government fiscal deficit, the Japanese government (in theory) has the ability to self‐finance or sell additional government bonds into the domestic pool of capital. As long as the blue line stays above the red line, the Japanese government can continue to self‐finance. This is the key relationship the macro investors have missed for the last decade – it is not a question of willingness, but one of capacity. As the Japanese government’s structural deficit grows wider (driven by the increasing cost of an ageing population, higher debt service, and secularly declining revenues) the divergence between savings and the deficit will increase. Interestingly enough, Alan Stanford and Bernie Madoff have recently shown us what tends to happen when this self‐financing relationship inverts. When the available incremental pool of capital becomes smaller than the incremental financing needs of the government or a Ponzi scheme, the rubber finally meets the road. The severe decline in the population in addition to Japanese resistance to large scale immigration combine to form a volatile catalyst for a toxic bond crisis that could very likely be the largest the world has ever witnessed. Below is chart depicting this relationship:

Personal savings in Japan, while historically higher than almost any other nation, is now approaching zero and will fall below zero in the coming years (as recently pointed out by the Bank of Tokyo Mitsubishi) as more people leave the workforce than enter. For at least the next 20 years, we believe that Japan will have one of the largest natural population declines in a developed country.

One last point about Japan that is more psychological than quantitative: there is an interesting psychological

parallel between JGBs and US housing. In the last 20 years, Japanese stocks have dropped 75%, Japanese real estate has declined 70% (with high‐end real estate dropping 50% in the last two years), and nominal GDP is exactly where it was 20 years ago. What one asset has never hurt the buyer? What one asset has earned a 20‐year pro‐cyclical, ‘Pavlovian’ response associated with safety and even more safety? The buyers and owners of JGBs have never lost money in the purchase of these instruments as their interest rates have done nothing but fall for the better part of the last 2 decades. It is fascinating to see an instrument/asset be viewed as one of the safest in the world (10‐yr JGB cash rates are currently 1.21%) at a period of time in which the credit fundamentals have never been riskier. Without revealing the Master Fund’s positioning here, we certainly intend to exploit the inefficiencies of option pricing models over the next few years. The primary flaw in pricing the risk of rising JGB yields is the reliance on historical volatility which, to this point in time, has remained very low. We believe that volatility will rise significantly and that current models undervalue the potential magnitude of future moves in JGB yields.

With all of the evidence literally stacking up against Japan, a few members of some of the major political parties are beginning to discuss and plan for the ominously named “X‐Day”. According to The Wall Street Journal and BusinessWeek, X‐Day is the day the market will no longer willingly purchase JGBs. Planning is in the very early stages, but centers around having a set of serious fiscal changes that could be announced immediately with the intention of giving the Bank of Japan the cover they will need to purchase massive amounts of JGBs with money printed out of thin air. If the BOJ were to engage in this type of behavior, we believe the Yen would plummet against the basket of key world currencies which would in turn drive Japanese interest rates higher and further aggravate their bond crisis. Neither the Fed, the Bank of England nor the European Central Bank have been able to consistently suppress bond yields through purchases with printed money – the bigger the purchase, the greater the risk of a collapse in confidence in the currency and capital flight. No matter how they attempt to quell the crisis, no matter where they turn, they will realize that they are in checkmate.

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Invité rogermila

Il y a énormément de liquidités disponibles en France ; c'est pour cela que le Gouvernement n'a aucune inquiétude.

Les dépôts nets (une fois déduits les retraits) sur le Livret A ont atteint en janvier 2011 leur plus haut niveau depuis deux ans, à 3,76 milliards d'euros, confirmant l'intérêt des Français pour ce produit d'épargne qui a bénéficié le 1er février d'un relèvement de son taux à 2%.

La collecte nette (dépôts moins retraits) est la plus forte depuis janvier 2009. Portée par l'ouverture de la distribution du Livret A à l'ensemble des banques, elle s'était alors montée à 18,31 milliards d'euros, un record.

Fin janvier, le Livret A concentrait 199,1 milliards d'euros de dépôts *, son plus haut niveau historique.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/02/2…-en-janvier.php

* et ne parlons pas des dépots en assurance-vie (22 millions de contrats) sur les fonds en Euros qui représentent des sommes gigantesques et qui sont minutieusement répertoriés par Bercy.

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qui sont minutieusement répertoriés par Bercy.

ah oui, la célèbre et louée précision des agents fiscaux.

Bon, c'est l'appareil d'état, hein, faut pas l'oublier. Patouilles et bidouilles à tous les étages.

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Envolée de la dette du "bon élève"

http://www.lesechos.fr/economie-politique/…fp_00324138.htm

Allemagne : bond record de la dette publique en 2010, à 2.000 milliards d'euros

L'endettement public a augmenté de 18% en Allemagne l'an dernier pour atteindre près de 2.000 milliards d'euros, selon une statistique publiée lundi, qui reflète entre autres la création de "bad banks" transférant les dettes de certaines banques aux collectivités.

A fin décembre l'Etat fédéral, les Etats régionaux (Länder) et les communes allemandes étaient endettés à hauteur de 1.999 milliards d'euros, plus de 300 milliards d'euros de plus qu'un an plus tôt, a indiqué l'Office fédéral des statistiques Destatis. L'augmentation sur un an, de 18%, est la plus forte jamais enregistrée depuis que ces chiffres sont relevés, précise Destatis.

La création de structures de défaisance, ou "bad banks", où certaines banques en difficulté ont transféré leurs actifs, a joué un rôle essentiel dans cette évolution.

La démarche, qui a concerné la banque immobilière nationalisée Hypo Real Estate et la banque régionale publique WestLB, a plombé les comptes publics de plus de 230 milliards d'euros.

Sur le total de la dette allemande, 1.284 milliards d'euros est supportée par l'Etat fédéral, près de 600 milliards d'euros par les Länder et environ 120 milliards d'euros par les communes. Le reste concerne d'autres organismes publics.

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