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Vers la faillite des États (et au-delà)


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Même dans des émissions comme c dans l'air de ce jour, les prétendus spécialistes de l'économie n'évoquent que des idées pour trouver de l'argent supplémentaire (taxer ceci ou cela, hausse de la TVA, taxe Tobin, etc..) .

Jamais une seule suggestion pour la reduction des dépenses mis à part le sempiternel "non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux" qui en définitive fait faire très peu d'économies.

Fallait pas voter socialaud pendant 30 ans.

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Jamais une seule suggestion pour la reduction des dépenses mis à part le sempiternel "non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux" qui en définitive fait faire très peu d'économies.

On économise pas d'argent avec le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux, car un fonctionnaire cesse de couter au budget de l'état quand il est mort, et comme deux retraites de fonctionnaires coûte plus cher qu'un salaire de fonctionnaire on continue à voir la masse salariale de l'état augmenter.

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Le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux est dans plusieurs cas un mensonge, les fonctionnaires sont remplacés par des salariés en CDD, puis en CDI. On change juste le statut (j'avoue, c'est déjà bien).

Pour la petite histoire, dans une administration que je nommerai pas, les fonctionnaires se sont plains que les CDD fraichement arrivés avaient le même salaire de départ qu'eux, c'était inadmissible (donc, non seulement le CDD n'a pas les avantages du statut de fonctionnaire mais en plus il devrait être moins payé).

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Invité rogermila

Pour la petite histoire, dans une administration que je nommerai pas, les fonctionnaires se sont plains que les CDD fraichement arrivés avaient le même salaire de départ qu'eux, c'était inadmissible (donc, non seulement le CDD n'a pas les avantages du statut de fonctionnaire mais en plus il devrait être moins payé).

C'est un piège classique (discrétement mis au point dans les ministères) qui consiste à appater le fonctionnaire avec un salaire supérieur à condition qu'il renonce à son statut et signe un contrat de travail (de droit privé).

Certaines administrations ont même engagé des CDD avec un très bon salaire pour faire de l'intox, en prenant soin que l'info soit bien ébruitée autour, de manière à mieux piéger les fonctionnaires.

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Le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux est dans plusieurs cas un mensonge, les fonctionnaires sont remplacés par des salariés en CDD, puis en CDI. On change juste le statut (j'avoue, c'est déjà bien).

Pour la petite histoire, dans une administration que je nommerai pas, les fonctionnaires se sont plains que les CDD fraichement arrivés avaient le même salaire de départ qu'eux, c'était inadmissible (donc, non seulement le CDD n'a pas les avantages du statut de fonctionnaire mais en plus il devrait être moins payé).

Cette histoire prouve que nos politiques ne comprennent absolument rien et n'ont ni notion d'organisation ni notion d'économie.

En effet, à partir du moment où il y a une "mission de service public" à assurer, les moyens nécessaires doivent être mis en place. Sinon, la mission n'est pas remplie et par conséquent le travail des fonctionnaires en place est inutile.

"Ne remplacer qu'un fonctionnaire sur deux" au moment du départ à la retraite, c'est considérer que la plupart des fonctionnaires ont un job fictif. C'est sans doute vrai dans un certaine mesure mais certainement pas dans les proportions visées par le plan gouvernemental.

Ce qu'il faudrait, ce n'est pas de diminuer le nombre de fonctionnaires en piochant dans tous les corps d'Etat mais de supprimer totalement certains de ces derniers.

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Ce qu'il faudrait, ce n'est pas de diminuer le nombre de fonctionnaires en piochant dans tous les corps d'Etat mais de supprimer totalement certains de ces derniers.

Sur ce, je suis parfaitement d'accord, j'ai même une liste des premiers à dégager :)

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Cette histoire prouve que nos politiques ne comprennent absolument rien et n'ont ni notion d'organisation ni notion d'économie.

En effet, à partir du moment où il y a une "mission de service public" à assurer, les moyens nécessaires doivent être mis en place. Sinon, la mission n'est pas remplie et par conséquent le travail des fonctionnaires en place est inutile.

"Ne remplacer qu'un fonctionnaire sur deux" au moment du départ à la retraite, c'est considérer que la plupart des fonctionnaires ont un job fictif. C'est sans doute vrai dans un certaine mesure mais certainement pas dans les proportions visées par le plan gouvernemental.

Ce qu'il faudrait, ce n'est pas de diminuer le nombre de fonctionnaires en piochant dans tous les corps d'Etat mais de supprimer totalement certains de ces derniers.

Ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux découle de la gestion de la fonction publique par l'état qui a recrutait des fonctionnaires pour 37.5 ans et maintenant 40 en considérant que rien ne changerait et donc rien n'a changé ou si peu.

Si bien qu'effectivement le travail aujourd'hui effectué par deux personnes peut dans la plus part n'être effectué que par une mais sans soute beaucoup moins.

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Ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux découle de la gestion de la fonction publique par l'état qui a recrutait des fonctionnaires pour 37.5 ans et maintenant 40 en considérant que rien ne changerait et donc rien n'a changé ou si peu.

Si bien qu'effectivement le travail aujourd'hui effectué par deux personnes peut dans la plus part n'être effectué que par une mais sans soute beaucoup moins.

Mais dans le même temps l'Etat a accru considérablement ses missions.

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Invité rogermila

Xavier Bertrand confirme, dès aujourd'hui, que ça va "taper fort" sur les hauts revenus.

Le ministre du Travail, de l'emploi et de la santé, Xavier Bertrand, s'est déclaré lundi en faveur d'une contribution spécifique de "ceux qui ont le plus les moyens".

"Je ne suis pas socialiste, je ne suis pas socialisant", a-t-il précisé. "Mais la justice doit être mise en place (…). C'est une idée qui chez nous, dans notre famille politique, trouve toute sa place", a-t-il ajouté

"Ceux qui ont le plus les moyens doivent contribuer davantage", a déclaré M. Bertrand lors d'un point presse à l'occasion d'une visite en Vendée, à Talmont Saint-Hilaire.

Interrogé pour savoir si cette mesure figurerait parmi celles qui doivent être annoncées mercredi par le gouvernement pour que la France tiennent ses engagements financiers, M. Bertrand a répondu, souriant: "avant l'heure, c'est pas l'heure".

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/08/22/97002-20110822FILWWW00426-bertrand-taxer-les-tres-hauts-revenus.php

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Xavier Bertrand confirme, dès aujourd'hui, que ça va "taper fort" sur les hauts revenus.

"Je ne suis pas socialiste, je ne suis pas socialisant", a-t-il précisé.

Il fait bien de le préciser icon_mrgreen.gif

Cela me fait penser à "je ne suis pas raciste mais…"

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http://www.lefigaro….10milliards.php

La montagne accouche d'une souris, pour résorber les déficits (135 milliards en 2010) et la dette (1600 milliards d'euros), le gouvernement veut économiser ….5 à 10 milliards….:online2long:

Voici les pistes envisagées pour arriver à ce miracle!

Immobilier : le Scellier rogné

Avant la crise, Bercy réfléchissait à diminuer certains avantages. La pression est plus forte.

• Loi Scellier

La niche Scellier permet de réduire son impôt en investissant dans l'immobilier locatif. Il était prévu que la réduction d'impôt, égale à 22% de l'investissement en 2011, passe à 18% en 2012. La réduction pourrait tomber à 15%.

• Prêt à taux zéro +

Il est envisagé de réintroduire une condition de ressources pour le prêt à taux zéro (PTZ), afin de le cibler sur les ménages modestes.

• Plus-values immobilières

La plus-value lors de la vente de la résidence principale restera exonérée d'impôt. Pour les autres biens, la plus-value est taxée à hauteur de 19%, plus 12,3% de prélèvements sociaux. Il existe toutefois un abattement (de 10% par an après cinq ans de détention) qui s'applique à la plus-value et qui va disparaître pour les terrains non bâtis constructibles. Il est également question de le diminuer (par exemple à 5%) pour les autres biens. Autre piste: que le système d'abattement sur la plus-value disparaisse pour le paiement des prélèvements sociaux.

Niches : rabot et baisse du plafond

Les niches fiscales vont subir un nouveau coup de rabot après celui de l'an passé qui avait touché 22 dispositifs (le Scellier, les mesures outre-mer, le crédit d'impôt en faveur des équipements écologiques de la maison). Leur taux de réduction d'impôt avait été réduit de 10%: un taux de 50% était passé à 45%, un taux de 25% à 22%… La mesure ne s'est toutefois pas encore fait sentir, car ce premier rabot s'applique à l'impôt sur le revenu payé en 2012, assis sur les revenus de 2011. Le gouvernement envisagerait de relever le rabot de 2011 (par exemple à 15%) et de passer un nouveau rabot sur l'impôt assis sur les revenus de 2012.

Des dispositifs très utilisés, comme les avantages outre-mer ou le crédit d'impôt pour les équipements de la maison, vont donc être encore rognés. Les parlementaires souhaitent que toutes les niches soient rabotées. D'autres vont disparaître. Par ailleurs, le plafond global des niches, fixé à 6% du revenu plus 18.000 euros, sera abaissé.

Entreprises : hausse du forfait social

Le forfait social, acquitté par les entreprises sur l'intéressement, la participation et l'épargne salariale, devrait être relevé de 6% à 8%. Gain attendu: 400 millions d'euros. Depuis sa création en 2009, le gouvernement a augmenté le forfait de 2 points tous les ans! Les systèmes de report de pertes sur les exercices antérieurs et ultérieurs, qui permettent de limiter l'impôt sur les sociétés, devraient être réduits. Ils bénéficient d'abord aux grandes entreprises mais le gouvernement souhaite rééquilibrer la charge fiscale avec les petites. Le report en arrière serait

limité à un an. Et pour les reports en avant, les pertes imputables sur les bénéfices seraient plafonnées. En Allemagne, les pertes imputées ne peuvent dépasser 60% du bénéfice. En revanche, l'idée de limiter la déductibilité des intérêts d'emprunt s'avère difficile à mettre en œuvre.

Taxe sur les ménages très aisés

Le gouvernement s'est engagé au printemps à <A href="http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/08/17/04016-20110817ARTFIG00455-vers-une-taxation-des-hauts-revenus.php" target="">taxer les hauts revenus, et un groupe de travail doit rendre ses conclusions à l'automne. Deux pistes sont à ce stade sur la table: rendre non déductible de l'impôt sur les sociétés les rémunérations «extravagantes», ou créer une nouvelle taxe payée par les ménages très aisés. Cette dernière option tient la corde au sein du gouvernement, car elle a la faveur des parlementaires. Gilles Carrez, le rapporteur UMP du budget

à l'Assemblée, propose de taxer au taux de 1% ou 2% les revenus dépassant un million d'euros par an. Mais Pierre Méhaignerie veut que la nouvelle taxe s'applique dès 150.000 euros à 200.000 euros de revenus annuels pour un couple. Les débats s'annoncent animés!

Autres pistes : plus-values sur la sellette

Gilles Carrez souhaite que la taxation de l'assurance-vie se fasse au fil de l'eau, chaque année sur leurs gains potentiels, alors que les ménages sont aujourd'hui taxés lors des retraits à un taux variable selon la durée de détention (7,5% après huit ans). Autre idée: moduler la taxation de l'assurance-vie, selon qu'elle est placée en actions ou en produits sans risques. Le député UMP Jérôme Chartier veut créer un plafond supplémentaire sur les niches fiscales, limitant à 50% de l'impôt dû l'avantage issu des niches. Mais Bercy n'y est pas favorable. Enfin, de nombreux parlementaires plaident pour la disparition des abattements sur les plus-values d'actions et d'obligations (un tiers par année au-delà de cinq ans à partir de 2012).

Il y a de quoi rire quand on entend un tour de vis de 5 à 10 milliards. De qui se fiche-t-on?

Et quand on voit le bricolage et les tours de passe-passe pour y arriver-suppression des niches fiscales, plus de taxes sur les entreprises et les particuliers- on se dit que ce gouvernement n'a pas compris l'enjeu du tout.

La suppression des niches fiscales consiste à augmenter les impôts et rogner sur le pouvoir d'achat de ceux qui pouvaient encore en bénéficier par la grace de l'Etat, le forfait social sur les entreprises va raboter encore un peu plus leur compétitivité et la hausse de la taxation des hauts revenus va accélérer l'exode de ceux qui ont encore de l'argent en France pour créer des entreprises et des emplois.

A ce rythme-là soyez sûrs, le triple A disparaitra d'ici la présidentielle.

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Si Ils taxent l'assurance vie sur le Mark to market, je veux un cheque de l'état les mauvaises années, sinon pouf, plus d'assurance vie (pfiou, ca coute cher les vacances au Panama, vous n'imaginez pas !).

Et je doute fort d'être le seul.

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Xavier Bertrand confirme, dès aujourd'hui, que ça va "taper fort" sur les hauts revenus.

Tous les articles de presse en rapport avec cette nouvelle sont titrés d'une façon laissant penser au lecteur que les haut revenus ne sont pas encore taxés. J'ai l'impression que Contrepoints est aussi tombé dans le piège en titrant "Faut-il taxer les plus riches ?" et avec pour introduction à l'article "Mais qu'est ce qui motive cette volonté de taxer les plus riches ?". :huh:

La dernière tranches d'impôts sur le revenu c'est quand même 41 % il faudrait pas l'oublier !

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Invité rogermila

La CFDT, qui a eu un entretien avec Fillon aujourd'hui, confirme.

Selon M. Chérèque (CFDT) , "le Premier ministre a convenu qu'il était important de protéger la croissance, les petites entreprises et l'emploi, et de soutenir les personnes les plus défavorisées".

"D'ores et déjà, des mesures sur les grandes entreprises, le secteur financier, les heures supplémentaires et la taxation des personnes les plus riches sont à l'étude", affirme-t-il.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/08/22/97001-20110822FILWWW00483-chereque-reclame-du-soutien-a-fillon.php

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Le Figaro a un superbe article qui resume les principales pistes d'economie, et qui n'en contient absolument…aucune.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/08/23/04016-20110823ARTFIG00587-les-principales-pistes-d-economie-envisagees.php

N'aiment pas Hayek sur le figaro visiblement (ou plutôt le stagiaire de 3h du mat qui modère): Tous

mes commentaires qui en parlent refusé. M'en fous je réessaierais avec le stagiaire de 11h du mat.

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Le Figaro a un superbe article qui resume les principales pistes d'economie, et qui n'en contient absolument…aucune.

http://www.lefigaro….-envisagees.php

Encore des coups d'épée dans l'eau qui ne vont faire qu'aggraver le problème (fuite des capitaux, paralysie totale de l'immobilier locatif, chômage, etc) et toujours rien sur le cœur du déficit qui est la dépense publique. :facepalm:

Dépenses publiques : moins d’établissements scolaires comme en Allemagne représenterait 10 milliards d’économies

"Le problème de fond des finances publiques françaises n'est pas tant d'augmenter les recettes que de réduire de façon urgente et massive sa dépense publique" et, à l'heure où la convergence avec l'Allemagne est invoquée par le gouvernement, la France serait bien inspirée de regarder du côté de son voisin en la matière. Le message est lancé par l'Institut Thomas More, un "laboratoire d'idées" libéral qui vient de réaliser une analyse comparative de la dépense publique en France et en Allemagne.

"Rapporté à son produit intérieur brut (PIB), la France consomme 163 milliards d'euros de plus de dépenses publiques par an que l'Allemagne, avec 18 millions d'habitants de moins", indique l'étude, qui, s'appuyant sur des chiffres datant d'avant la crise, souligne que l'Etat allemand ne rend pas pour autant "à ses concitoyens un service significativement moins bon" que celui délivré par l'Etat français.

"Poches d'économies substantielles"

Tout en indiquant qu'il ne s'agit pas d'"affirmer que la France peut et doit couper" dans les dépenses publiques " en suivant aveuglément le modèle allemand", l'Institut Thomas Moore considère qu'il existe "des poches d'économies substantielles". Il s'est attardé sur quelques exemples comme la santé, le logement, ou l'éducation.

Dans ce dernier domaine, le laboratoire d'idées estime possible des économies d'un peu plus de 10 milliards d'euros. Comment ? En se rapprochant des "standards allemands" en ce qui concerne "les dépenses publiques par établissement" et "les effectifs par établissement". C'est-à-dire en réduisant le nombre d'établissements scolaires, dans le primaire et le secondaire.

"Surcoût administratif"

L'Institut Thomas Moore considère que si "le coût de l'enseignement est sensiblement supérieur" en France à ce qu'il est en Allemagne (dépenses pour l'éducation ramenées au PIB), cela tient aux "dépenses hors personnel enseignant".

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"En Allemagne, la rémunération des enseignants, qui est plus forte qu'en France (+ 38 % dans le primaire, + 42 % dans le secondaire), représente 83,4 % du budget global de l'éducation. En France, c'est 41,5% !", indique l'étude.

"Les « autres » dépenses", poursuit-elle, représentent 4 096 euros par élève en France contre 1 026 euros en Allemagne. "Rapporté aux 10 millions d'élèves français, cela représente 30,9 milliards d'euros", relève l'Institut

selon qui l'"une des raisons principales de ce surcoût administratif vient probablement de la multiplicité de nos établissements scolaires".

Sans-titre2.jpg

L'étude cite deux chiffres :

- dans le primaire, il y a deux fois moins d'enfants par école en France (il y a 24 % d'enfants scolarisés en plus, mais 2,3 trois fois plus d'établissements).

- dans le secondaire, il y a 26 % de collégiens et lycéens en moins, mais 4 % d'établissements en plus.

Sans-titre41.jpg

En se mettant "au niveau de standards" allemands, l'économie serait de 3,17 milliards d'euros dans le primaire et de 7,6 milliards dans le secondaire, calcule l'Institut Thomas Moore, qui relève que la France figure à la 22e place dans le classement PISA 2009 de l’OCDE, paru en décembre 2010, derrière l'Allemagne (20e) et qu'elle "fait légèrement moins bien que son voisin d'outre-Rhin dans chacun des trois domaines

expertisés : compréhension de l'écrit, mathématiques et sciences".

http://bercy.blog.le…rds-deconomies/

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N'aiment pas Hayek sur le figaro visiblement (ou plutôt le stagiaire de 3h du mat qui modère): Tous

mes commentaires qui en parlent refusé. M'en fous je réessaierais avec le stagiaire de 11h du mat.

:D

On appréciera que les idées déployées -plus symboliques qu'autre chose- pour réduire les déficits ne sont que des hausses de taxes, d'impôts, de charges sociales et je ne sais quoi encore. Aucune réduction des dépenses à l'horizon, absolument rien.

Je crois que la France est le seul pays dont le plan de réduction de la dette et des déficits (qui sont d'ailleurs tous symboliques mais passons) ne contient aucune mention à une réduction des dépenses. Ce gouvernement revient sur tout ce sur quoi il a communiqué pendant 4 ans et fait tout ce qu'il ne faut pas faire pour rassurer les investisseurs, on va dans le mur, le 3A sera bientôt amputé.

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Ce gouvernement revient sur tout ce sur quoi il a communiqué pendant 4 ans et fait tout ce qu'il ne faut pas faire pour rassurer les investisseurs, on va dans le mur, le 3A sera bientôt amputé.

Le syndrome Chirac: élu sur un programme de droite et virage à 180°. Ils les piquent avec de l'extrait de lymphe de Brejnev ou quoi ?

Que les politiques ne parlent que des méchants spéculateur on peut le comprendre c'est leurs compétence qui est en cause

mais que les journalistes reprennent en choeur là c'est effrayant.

J'ai tout reposté on va voir si le stagiaire de 10h à quelques références.

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PARIS (Reuters) - Les Français fortunés qui ont bénéficié ces dernières années du bouclier fiscal doivent rembourser les sommes qu'ils ont touchées grâce à ce dispositif, a estimé mercredi Ségolène Royal, candidate à la candidature socialiste à la présidentielle.

La bécasse du Poitou n'en rate pas une. Chassez le naturel, il revient au galop.

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http://www.lefigaro….re-l-europe.php

L'analyse de Laurence Parisot et du MEDEF: tout va plutôt bien, notre gouvernement agit parfaitement, nos problèmes c'est la faute aux méchants chinois et aux méchants américains.

LE FIGARO. - L'activité économique semble connaître un coup de frein brutal. Comment l'expliquez-vous?

Laurence PARISOT. - Le ralentissement est dû à la rencontre de deux séries de causes: aux États-Unis, une situation économique et politique qui se dégradait; en Europe, des États qui franchissaient la ligne rouge en terme d'endettement. Une fois ces difficultés surmontées, nous retrouverons une croissance vive et créatrice d'emplois mais il ne faut pas se tromper dans l'analyse de ce que nous avons vécu cet été. La situation s'est tendue quand la Chine a commencé à faire la leçon aux États-Unis sur leur dette. Les Américains ont sans doute voulu alors repasser le mistigri à l'Europe. On a assisté à une sorte de guerre psychologique et à une tentative de déstabilisation de la zone euro. Les marchés ont surréagi, étant par nature très sensibles aux rumeurs, même organisées. La morale de l'histoire, c'est que nous ne devons pas être naïfs et tomber dans le panneau de l'autodisqualification: si l'Europe a été attaquée, ce n'est pas parce qu'elle est faible mais parce qu'elle est forte, et si elle est enviée, c'est parce qu'elle est enviable.

Qui serait à l'origine de ce complot?

Je parlerais plutôt d'une «orchestration» outre-Atlantique des difficultés de l'Europe. Voyez les rumeurs sur les banques françaises, qui se sont diffusées immédiatement alors qu'elles étaient absolument infondées. Nos banques sont parmi les plus solides au monde. Des unes de médias américains annonçaient pourtant la mort de telle ou telle et même la fin de la zone euro. Nous sommes passés d'attaques sur l'Espagne à des attaques sur l'Italie, puis sur la France, jusqu'à des rumeurs de dégradation de l'Allemagne la semaine dernière! Quand des publications américaines très lues par les investisseurs et les analystes financiers titrent sur de fausses annonces dramatiques, des questions se posent.

L'accumulation des dettes des États est pourtant une réalité…

Certes. Les dettes ne sont plus tenables. Elles doivent être résorbées au plus vite. Comme le montrent les mesures prises la semaine dernière, le gouvernement n'a pas tardé à entendre l'avertissement.

:facepalm:

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Invité rogermila

L'analyse de Laurence Parisot .

:facepalm:

Un peu de nuances dans tes jugements sur les personnes.

Laurence Parizot a une des plus grosses fortunes de France donc si elle en est arrivé là, ce n'est pas par hasard , non ?

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Un peu de nuances dans tes jugements sur les personnes.

Laurence Parizot a une des plus grosses fortunes de France donc si elle en est arrivé là, ce n'est pas par hasard , non ?

De même que Sarkozy s'écrit avec un Z, Parisot s'écrit avec un S.

Sarko-Z-y

Pari-S-ot.

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Un peu de nuances dans tes jugements sur les personnes.

Laurence Parizot a une des plus grosses fortunes de France donc si elle en est arrivé là, ce n'est pas par hasard , non ?

Elle sait peut-être gérer une entreprise mais en macro-économie c'est zéro la Parisotte

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Elle sait peut-être gérer une entreprise mais en macro-économie c'est zéro la Parisotte

+1

Et là en plus elle fait trés fort, elle combine une théorie du complot avec le mythe de la guerre économique, si cher aux adversaires du libre marché.

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