Aller au contenu

Immobilier


Nick de Cusa

Messages recommandés

La théorie expliquant la flambée des prix, par la pénurie de logements, est de moins en moins crédible.

En matière de construction de logements sociaux un record vient d'être battu l'année dernière.

Désolé mais ton analyse souffre de plusieurs lacunes, mais la mère d'entre toutes est le fait que tu raisonnes de manière trop macroscopique.

Déjà, 50 000 logements sociaux construits, un record, ne concerne qu'un segment du marché immobilier. Ensuite, on ne sait pas où sont physiquement répartis ces logements? Répartis uniformément sur le territoire, concentrés? En effet, beaucoup de logements sont vacants dans le centre de la France, tandis que les grandes agglomérations (par exemple Paris) souffre de pénurie et de flambée des prix.

Lien vers le commentaire
Invité rogermila
Désolé mais ton analyse souffre de plusieurs lacunes, mais la mère d'entre toutes est le fait que tu raisonnes de manière trop macroscopique.

Déjà, 50 000 logements sociaux construits, un record, ne concerne qu'un segment du marché immobilier. Ensuite, on ne sait pas où sont physiquement répartis ces logements? Répartis uniformément sur le territoire, concentrés? En effet, beaucoup de logements sont vacants dans le centre de la France, tandis que les grandes agglomérations (par exemple Paris) souffre de pénurie et de flambée des prix.

Désolé, mais les logements sociaux sont construits là où il y a de la demande.Si des logements sociaux restaient vides, ça se saurait.

Le record ne concerne effectivement qu'un segment du marché, le logement social à loyer réglementé. Mais puisqu'il y a davantage d'offres de logements à prix réglementé, le marché libre qui subit cette concurrence, devrait normalement réajuster les prix vers la baisse.

Lien vers le commentaire

Justement, le chiffre que tu cites ne concerne pas une construction mais un financement de logement social. A savoir, il s'agit d'une ouverture de crédit, et non d'un décaissement effectif pour payer la construction de logement.

Je pense que tu gagnerais à prendre avec plus de recul la communication du gouvernement. Je rappelle que d'après Georges W. Bush, en 2003, concernant l'Irak, la mission était accomplie et les USA et la liberté avaient gagné.

Lien vers le commentaire
Invité rogermila
Justement, le chiffre que tu cites ne concerne pas une construction mais un financement de logement social.

Pas du tout, c'est toi qui invente ça.

Le record de construction: 131.509 logements pour 2010 est officiel.

Lien vers le commentaire
Pas du tout, c'est toi qui invente ça.

Le record de construction: 131.509 logements pour 2010 est officiel.

J'espère que ce chiffre comprend les programmes en primo accession.

Lien vers le commentaire
Pas du tout, c'est toi qui invente ça.

Le record de construction: 131.509 logements pour 2010 est officiel.

Tu me fais de la peine.

Voici les chiffres donnés par un organisme ultra-libéral contrôlé par Chitah le ministère du Logement :

http://www.statistiques.developpement-dura…E_cle0d9126.pdf

En gros, une petite trentaine de milliers de logements construits, pour un total supérieur de logements autorisés à la construction par permis de construire, dont les données sont mises dans la base Sit@del.

Voici ce que dit le journal ultralibéral détenu par Chitah le Journal du Dimanche :

Deux autres facteurs viennent ternir le tableau dressé par le secrétaire d’Etat. D’une part, le chiffre de 131.509 porte sur les logements financés en 2010 et non sur ceux qui ont été construits. Or, "le délai entre le moment où on décide le financement et le moment où on remet les clés est de plus en plus long", regrette Patrick Doutreligne. En 2000, cette durée était de deux ans, elle est aujourd’hui passée à quatre ans.

Ou encore :

le chiffre de 131.509 logements correspond aux HLM financés en 2010, et non construits. Or plusieurs années s'écoulent entre le financement des logements et leur mise en service. Le secrétariat d'Etat confirme dans un communiqué "un décalage moyen de quatre ans environ correspondant au délai nécessaire à la concrétisation des opérations".

C'est le secrétariat d'Etat lui-même qui le confirme. Tu comprends ce que ça veut dire? Ben que tu t'es fait rouler dans la farine.

Voilà, je n'invente rien. Je sais que ton monde de groupie de Sarko commence à s'écrouler de manière très visible, mais ce n'est pas une raison pour te ridiculiser de cette manière.

N'oublions pas non plus : Sarko a résolu la crise de Géorgie, en Côte d'Ivoire où chacun sait que Gbagbo s'est enfui en courant quand Sarko a tapé du poing sur la table, etc. Enfin, c'est lui qui le dit, donc c'est que ça doit être vrai.

J'espère que ce chiffre comprend les programmes en primo accession.

N'écoute pas ce que rogermilla dit, il ne sait même pas ce qu'il y a derrière ces chiffres. Regarde sur le site du ministère, ou cherche d'autres sources. En

Lien vers le commentaire
Je pense que tu gagnerais à prendre avec plus de recul la communication du gouvernement. Je rappelle que d'après Georges W. Bush, en 2003, concernant l'Irak, la mission était accomplie et les USA et la liberté avaient gagné.

On gagne toujours à prendre les choses avec un peu de recul.

Depuis Sirius, on relativise beaucoup de choses qui adviennent sur Terre.

Lien vers le commentaire
On gagne toujours à prendre les choses avec un peu de recul.

Depuis Sirius, on relativise beaucoup de choses qui adviennent sur Terre.

Aaaaaaaaah, c'est pour ça que tu as 8 ans de retard avec nous !

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...
Invité rogermila

Ceux qui guettent l'eclatement prochain de la bulle pour acheter……. peuvent encore attendre longtemps !

Le marché immobilier s’est caractérisé en 2010 par une montée en puissance mois après mois, tant des prix que des volumes, pour finir en fanfare en décembre.

L’année 2011 devrait connaître un premier semestre plus actif que le second.

Le marché de Paris intramuros et des quartiers historiques des grandes villes dynamiques de Province, comme Lyon, Nantes, Bordeaux ou Montpellier, évoluerait au-delà de + 10 %. Quant au marché de la Petite et de la Grande Couronne de Paris, il devrait rester dynamique avec toutefois une évolution inférieure à + 10 % sur l’année. Pour les marchés immobiliers régionaux la hausse sera plus modérée qu’en 2010 et se situera entre + 3 % et + 5 %.

Les données de la base des avant- contrats désormais opérationnelle nous confirme ce dynamisme puisque nous dépasserons au premier trimestre 2011, les 8 000 e/m² en prix moyen sur Paris.

Cette évolution bénéficie également en Province notamment à Bordeaux et à Rennes où le prix des appartements continue à augmenter (+ 15 % sur un an), à Nantes et à Lyon (de 5 à 10%), alors que Lille et Toulouse connaitront au premier trimestre 2011 des prix plus stables .

http://www.notaires.fr/notaires/page/actua…documentId=1053

Lien vers le commentaire
Ceux qui guettent l'eclatement prochain de la bulle pour acheter……. peuvent encore attendre longtemps !

On en reparle dans 3 ou 4 ans. La tendance passée ne préjuge en rien l'avenir. Voici les taux de latence des logements dans certaines villes. Je trouve ceci intéressant

http://www.linternaute.com/ville/classemen…nationale.shtml

On est loin d'une pénurie généralisée. Je continue à penser que la formation des prix est biaisée par les mesures de l'Etat (subventions, exonérations en tous genres) et l'activisme des banques centrales (favorisant les taux bas). Si ces mécanismes de soutien disparaissent, au moins en partie, on pourrait assister à un reflux des prix.

Lien vers le commentaire
Invité rogermila
Si ces mécanismes de soutien disparaissent, au moins en partie, on pourrait assister à un reflux des prix.

A rester locataire, les économies que tu crois faire, subissent en réalité et chaque année une érosion entre 7 et 10%, en pouvoir d'achat futur pour acquerir un bien immobilier.

Lien vers le commentaire
On est loin d'une pénurie généralisée. Je continue à penser que la formation des prix est biaisée par les mesures de l'Etat (subventions, exonérations en tous genres) et l'activisme des banques centrales (favorisant les taux bas). Si ces mécanismes de soutien disparaissent, au moins en partie, on pourrait assister à un reflux des prix.

A mon avis, les prix de l'immobilier sont en effet en grande partie influencés par la politique de crédit, autrement dit, ils sont en avance sur l'inflation, ça ne signifie pas qu'ils vont baisser en €, mais qu'ils vont probablement baisser en valeur d'échange réelle quand l'inflation se ventilera sur l'ensemble de l'économie.

Autrement dit, c'est toujours intéressent d'emprunter a taux fixe pour acheter de l'immobilier (enfin si le bien n'est pas stupidement placé…), mais c'est l'ensemble emprunt+achat qui est intéressent, pas l'achat nu.

Lien vers le commentaire
A mon avis, les prix de l'immobilier sont en effet en grande partie influencés par la politique de crédit, autrement dit, ils sont en avance sur l'inflation, ça ne signifie pas qu'ils vont baisser en €, mais qu'ils vont probablement baisser en valeur d'échange réelle quand l'inflation se ventilera sur l'ensemble de l'économie.

Autrement dit, c'est toujours intéressent d'emprunter a taux fixe pour acheter de l'immobilier (enfin si le bien n'est pas stupidement placé…), mais c'est l'ensemble emprunt+achat qui est intéressent, pas l'achat nu.

Et je suis d'accord. D'ailleurs, je vous propose un petit billet en rapport :

RT : http://twitter.com/#!/_h16/status/33485212713222145

(badurl) http://www.wikio.fr/vote?url=http://h16free.com/2011/02/04/6803-un-peu-d%e2%80%99eco-en-attendant-la-catastrophe (badurl)

Lien vers le commentaire
Le papier de Seb Musset que tu linkes, mon dieu mon dieu mon dieu :icon_up:

Ah c'est à gauche de la gauche, pas de doute. Mais, aussi incroyable que ça puisse paraître, le Musset est attachant : on sent qu'il écrit en constatant la misère qu'il a vécue ou qu'il voit, et, baigné des analyses qu'il a déjà lu partout ailleurs, en arrive à la conclusion que c'est les méchanlibéros qui sont la cause de tout, sans voir que les solutions qu'il préconise sont précisément celles qui sont en vigueur, peu ou prou, et qui amènent justement la ruine qu'il constate.

C'est, à mon avis, un type humain et ouvert, mais qui a trop longtemps réfléchi en terme de lutte des classes. Il a ainsi une dose d'aigreur qu'on reconnaît chez tous les cocos, mais bien moindre et bien plus supportable que l'autre gros goret de CSP qui lui n'a plus grand chose à prouver.

Lien vers le commentaire
Ah c'est à gauche de la gauche, pas de doute. Mais, aussi incroyable que ça puisse paraître, le Musset est attachant : on sent qu'il écrit en constatant la misère qu'il a vécue ou qu'il voit, et, baigné des analyses qu'il a déjà lu partout ailleurs, en arrive à la conclusion que c'est les méchanlibéros qui sont la cause de tout, sans voir que les solutions qu'il préconise sont précisément celles qui sont en vigueur, peu ou prou, et qui amènent justement la ruine qu'il constate.

C'est, à mon avis, un type humain et ouvert, mais qui a trop longtemps réfléchi en terme de lutte des classes. Il a ainsi une dose d'aigreur qu'on reconnaît chez tous les cocos, mais bien moindre et bien plus supportable que l'autre gros goret de CSP qui lui n'a plus grand chose à prouver.

Moi je l'ai rangé dans la catégorie des branleurs sympathiques. En fait ce type me fait penser à un Soral jeune, encore dans sa période socialiste. Il y a une similarité de parcours assez troublante : famille bourgeoise déclassée, passage dans le monde de la publicité, puis se rendant compte que le travail est exigeant, décide de trouver tous les moyens pour pouvoir se passer de travailler.

Je constate que le gaillard utilise très bien l'interweb et les techniques des méchants ultralibéros qu'il dénonce ad nauseam pour se créer un fan club et s'assurer des revenus (ainsi que sans doute quelques relations à taxer pour se mettre un peu de beurre dans les épinards du RMI). Dans le genre plus c'est gros plus ça passe, on notera le petit lien pour faire un don par PayPal @sebmusset : trop chou.

Enfin bon, ça promet d'être rigolo dans quelques temps ces histoires de PTZ et d'inflation des matières premières. Je me demande qui va encore pouvoir se payer du steak de bœuf et les traites de son appartement 3 pièces cuisine de 35 m2 d'ici 2 ans.

Lien vers le commentaire
Moi je l'ai rangé dans la catégorie des branleurs sympathiques. En fait ce type me fait penser à un Soral jeune, encore dans sa période socialiste. Il y a une similarité de parcours assez troublante : famille bourgeoise déclassée, passage dans le monde de la publicité, puis se rendant compte que le travail est exigeant, décide de trouver tous les moyens pour pouvoir se passer de travailler.

Je constate que le gaillard utilise très bien l'interweb et les techniques des méchants ultralibéros qu'il dénonce ad nauseam pour se créer un fan club et s'assurer des revenus (ainsi que sans doute quelques relations à taxer pour se mettre un peu de beurre dans les épinards du RMI). Dans le genre plus c'est gros plus ça passe, on notera le petit lien pour faire un don par PayPal @sebmusset : trop chou.

Il y a un peu de ça. C'est ce qui me fait dire qu'il n'est pas fichu, juste confus dans sa tête.

Lien vers le commentaire
Il y a un peu de ça. C'est ce qui me fait dire qu'il n'est pas fichu, juste confus dans sa tête.

Je suis d'accord, il fait parti des quelques blogs que je suis. Il se trompe dans les solutions mais le constat est intéressant. Je trouve également pertinente son analyse de la confiscation du pouvoir par les "Golden retraités". Il me semble en effet sincère, avec un certain vécu au niveau précarité.

Sur le fond, je persiste : à l'heure actuelle, je ne me vois pas acheter un appartement, surtout à Paris. Je considère que mon 2 pièces de 52 m2 (dans une chouette résidence mais quand même) en proche banlieue ne vaut pas ses 400k€. Je préfère louer. Et j'en ai marre d'entendre les leçons de morale de ceux qui incitent à emprunter sur 25 ans. Je m'y refuse, pour moi c'est prendre le risque de perdre toute mobilité. D'ailleurs, sur ce point je rejoins totalement le Seb Musset.

Donc, j'attends. Si les prix baissent, stagnent sur longue période ou que l'inflation repart, je réviserai ma position. En attendant, j'en profite pour me construire un apport solide.

Lien vers le commentaire
Sur le fond, je persiste : à l'heure actuelle, je ne me vois pas acheter un appartement, surtout à Paris. Je considère que mon 2 pièces de 52 m2 (dans une chouette résidence mais quand même) en proche banlieue ne vaut pas ses 400k€. Je préfère louer. Et j'en ai marre d'entendre les leçons de morale de ceux qui incitent à emprunter sur 25 ans. Je m'y refuse, pour moi c'est prendre le risque de perdre toute mobilité. D'ailleurs, sur ce point je rejoins totalement le Seb Musset.

Et tu as, aux arguments que tu donnes, raison.

Lien vers le commentaire
Sur le fond, je persiste : à l'heure actuelle, je ne me vois pas acheter un appartement, surtout à Paris. Je considère que mon 2 pièces de 52 m2 (dans une chouette résidence mais quand même) en proche banlieue ne vaut pas ses 400k€. Je préfère louer. Et j'en ai marre d'entendre les leçons de morale de ceux qui incitent à emprunter sur 25 ans. Je m'y refuse, pour moi c'est prendre le risque de perdre toute mobilité. D'ailleurs, sur ce point je rejoins totalement le Seb Musset.

Idem.

Moi je les trouve tous cinglés:

"Mais Kévin, pourquoi tu n'achètes pas au lieu de payer un loyer pour rien (lol :icon_up:) ?"

Wtf is wrong with them, ils ont vu la tronche de ces cages à lapin surévaluées ??!

Lien vers le commentaire
Sur le fond, je persiste : à l'heure actuelle, je ne me vois pas acheter un appartement, surtout à Paris. Je considère que mon 2 pièces de 52 m2 (dans une chouette résidence mais quand même) en proche banlieue ne vaut pas ses 400k€. Je préfère louer. Et j'en ai marre d'entendre les leçons de morale de ceux qui incitent à emprunter sur 25 ans. Je m'y refuse, pour moi c'est prendre le risque de perdre toute mobilité. D'ailleurs, sur ce point je rejoins totalement le Seb Musset.

Ca ne me viendrait pas a l'idée de voire la moindre histoire de morale dans le choix d'acheter ou de louer, par contre, ce qui est vrai, c'est que le calcul de rentabilité comparée classique qui rends la location intéressente financierement (si l'on néglige les effets de taux), ne corresponds que rarement a la réalité.

Si la différence crédit/loyer est placée sur un support financier et non dépensé, alors en effet, la location n'a rien de plus ou moins 'morale' que l'achat, mais dans les faits, la location est souvent également une affaire de préférence temporelle faible…

Tl;Dr: loue, loue autant que tu le souhaite, mais épargne :icon_up:

Lien vers le commentaire
Si la différence crédit/loyer est placée sur un support financier et non dépensé, alors en effet, la location n'a rien de plus ou moins 'morale' que l'achat, mais dans les faits, la location est souvent également une affaire de préférence temporelle faible…

Il y a des choses non mesurables, comme le temps passé à trouver un bien à acheter, à augmenter ses compétences en choix d'achat (acheter une maison est plus complexe qu'acheter un tee-shirt), etc. Sans parler des deuxième effets kiss kool comme les réunions de copropriété, les déclarations de patrimoine plus complexes, l'entretien, etc.

Bref : un boulet au pied. Et ce dont je parle, c'est quand tout se passe bien, si en plus des problèmes viennent se greffer (malfaçons dans la fabrication de la maison, problèmes de voisinage, etc.), on s'en sort pas. Alors que quand on est locataire, en un clin d'oeil on peut déménager.

Lien vers le commentaire
Il y a des choses non mesurables, comme le temps passé à trouver un bien à acheter, à augmenter ses compétences en choix d'achat (acheter une maison est plus complexe qu'acheter un tee-shirt), etc. Sans parler des deuxième effets kiss kool comme les réunions de copropriété, les déclarations de patrimoine plus complexes, l'entretien, etc.

Bref : un boulet au pied. Et ce dont je parle, c'est quand tout se passe bien, si en plus des problèmes viennent se greffer (malfaçons dans la fabrication de la maison, problèmes de voisinage, etc.), on s'en sort pas. Alors que quand on est locataire, en un clin d'oeil on peut déménager.

Je suis d'accord. Tous ces désagréments coûts annexes sont supportables lorsque les prix sont dans la moyenne historique. Quand les prix sont à des plafonds historiques, je pars du principe que le jeu n'en vaut pas la chandelle.

Lien vers le commentaire
Invité rogermila
Sans parler des deuxième effets kiss kool comme les réunions de copropriété.

Oui ce sont des réunions terribles qui ont lieu une fois par an, et où on doit rencontrer et parler avec ses voisins de palier.

les déclarations de patrimoine plus complexes

Arrête de te la jouer, ce n'est pas en devenant propriétaire d'un deux-pièces, qu'on rentre dans le club très fermé des ISF.

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...
Invité rogermila
On en reparle dans 3 ou 4 ans. La tendance passée ne préjuge en rien l'avenir.

2015, c'est dans 4 ans.

Il ne faut a priori pas s'attendre à une accalmie immédiate sur le front des prix de l'immobilier.

Dans sa dernière étude, le cabinet Xerfi estime que le prix des logements va continuer à augmenter jusqu'en 2015, même si le rythme sera probablement plus faible qu'en 2010.

L'auteur de la note, explique que la reprise du marché amorcée en 2010, avec une forte hausse des transactions, va se poursuivre cette année..

L'étude met aussi en avant les facteurs sociodémographiques: augmentation et vieillissement de la population, célibat, divorces… qui sont autant de phénomènes accentuant la demande de logements.

Xerfi évalue ainsi la demande potentielle supplémentaire à près de 380.000, maintenant la situation de pénurie et donc les tensions sur le marché.

http://www.lefigaro.fr/immobilier/2011/02/…squ-en-2015.php

Lien vers le commentaire

Bin il y a des phénomènes qui accentuent la demande de logement, et il y en a un qui la limite : le flouze. Et puis le coup de la demande dopée à cause du célibat et du vieillissement de la population, je me demande si les gusses de ce cabinet ont déja entendu parler de la colocation. M'enfin peut-être que dans 4 ans ils se seront mis à jour sur l'évolution des moeurs des français en matière de logement à cause du manque de flouze assez patent.

Mais bon, in fine, les petits gars de ton étude Roger, ils ne se mouillent pas trop : c'est plutôt ptête bin que oui ptête bin que non, ça dépendra des circonstances.

«Mais sauf événement externe (nouvelle réglementation fiscale sur les plus values, éclatement de la zone euro), c'est l'hypothèse des prix élevés qui l'emportera avec, toutefois, des divergences encore marquées selon les régions», explique Vincent Desruelles. Car si toute nouvelle flambée générale des prix semble exclue du fait de la déconnexion entre le niveau de prix et les revenus des ménages, 2010 a mis en lumière la dualité du marché français. L'écart s'est ainsi creusé entre un marché des villes très attractif et un marché provincial plus atone. Paris, l'Ile-de-France, les grandes villes de province et les littoraux devraient voir leurs prix grimper encore cette année, de 3,4% en moyenne. Les notaires prévoient même des hausses de 10% dans les grandes villes. Dans les zones rurales et les régions plus affectées par la crise économique en revanche les prix devraient stagner.
Lien vers le commentaire
Oui ce sont des réunions terribles qui ont lieu une fois par an, et où on doit rencontrer et parler avec ses voisins de palier.

Et où, parfois, ça se chicane gentiment pour savoir comment découper les frais d'ascenseur, les tuiles arrachées par le vent, les marques étranges et bizarres apparues au deuxième palier qui nécessitent de refaire les murs, etc, …

Ah oui, c'est vrai : parfois, ça se passe bien, il n'y a pas de surprise dans les montants et les autres voisins sont courtois, honnêtes et amicaux.

Lien vers le commentaire
Ah oui, c'est vrai : parfois, ça se passe bien, il n'y a pas de surprise dans les montants et les autres voisins sont courtois, honnêtes et amicaux.

Voila, et même parfois, ils n'essayent pas de remplacer le syndic pour placer leur beau-frère a chaque réunion…

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

La chambre des notaires de Paris vient de présenter la conjoncture immobilière de l’année 2010, marquée par un record historique des prix de l’ancien dans la capitale.

La reprise était annoncée pour 2010, et tant en volumes qu’en prix, les statistiques se sont avérées exactes.

En Ile-de-France, 200000 transactions ont été réalisées, du « jamais vu » selon Thierry Delesalle, notaire à Paris. Les prix des logements ont également encore augmenté avec une hausse de 14,1% en un an.

Par rapport à 2009, les prix des appartements anciens à Paris ont augmenté de 17,5% et enregistrent un record historique avec 7330 €/ m² au 4e trimestre 2010. Le cap des 8000 € sera certainement franchi dans les mois à venir. Le volume de ventes réalisées est également conséquent (+32%) mais reste tout de même inférieur (-9%) à celui des "belles années" (entre 1999 et 2007).

En petite et en grande couronne, les ventes d’appartements neufs, dopées par les mesures fiscales incitatives, ont respectivement augmenté de 61% et 45% par rapport à 2009.

Pour 2011, le président de la Chambre des notaires de Paris, Christian Lefebvre, ne se risque pas à des prévisions à long terme compte tenu du contexte actuel, mais assure que l’engouement des Français pour l’immobilier reste important.

Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...