Les salles de shoot

[Corned beef]

Ce que ça apporte :

-des clubs de junkies qui squattent devant la salle de shoot

-des batailles de junkies devant la salle de shoot

-de l'action non-stop pour les riverains

 

- Ils ne squattent pas devant la salle de shoot, ils y entrent.

- Pour se voir refuser l'accès ?

- Les riverains sont généralement favorables à la création de telles salles (et sont souvent consultés avant) parce qu'elles sont précisément établies dans les quartiers où les junkies voyagent dans les paradis artificiels à la vue et au su de tous. Donc nuisances.

 

@Mathieu_D : Sur le papier non.

[h16]

- Ils ne squattent pas devant la salle de shoot, ils y entrent.

Heu.

C'est très couillu comme affirmation.

[Corned beef]

Heu.

C'est très couillu comme affirmation.

 

Certes, je ne suis pas allé vérifier moi-même, mais dans l'article du Monde que citait Chitah :

 

Ni file d'attente, ni toxicomane échoué devant la porte, c'est à peine si l'on remarque, dans la rue Bailen, la petite porte en bois à l'enseigne de Médecins du monde, en basque "Munduko Medikuak", devant laquelle les voyageurs pressés traînent leur valise sans y prêter attention.

 

C'est pourtant là, juste au-dessus de la ria, ce bras de mer qui pénètre dans la ville, que depuis sept ans des toxicomanes entrent discrètement pour consommer de la cocaïne, de l'héroïne ou un mélange des deux (speedball), soit en s'injectant, soit en fumant. En observant bien le va-et-vient dans la rue, on remarque, au milieu des voyageurs, des hommes au teint cireux, aux joues creusées, qui descendent depuis la rue San Francisco cinq cent mètres plus haut, et disparaissent un long moment dans le local.