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Ce n'est qu'un jeu video


Lameador

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£334bn en faisant revenir le pays plus de 50 ans en arrière. Etonnant.

Si j'avais un peu plus de temps, je pourrai faire une version traduite mais malheureusement…

Si quelqu'un se sent de demander au concepteur les sources du programme, je le belgianiserais/franciserais avec plaisir.

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Je crois que la logique de ce petit jeu ne me plait pas trop.

En effet, quand une personne cherche à résorber un découvert récurrent, elle ne dit pas "je vais diminuer mon budget bouffe de X%", elle se dit "je vais arrêter d'acheter du foie gras, des biscuits hors de prix, etc." Ou alors elle ne dit pas "je vais diminuer mon loyer de 10%", elle se dit "je vais déménager à Sarcelles en cherchant un deux pièces à 500€ par mois".

Diminuer de 10% le budget de l'EN, par exemple, cela veut dire "fermer X écoles" (en simplifié), et c'est le plus dur à faire comprendre.

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Je crois que la logique de ce petit jeu ne me plait pas trop.

C'est un peu gênant, hein ? Le plus pertinent, c'est la partie où l'on peut "choisir" l'extinction de divers programmes avec leur coût. Mais avec toutes les limites d'une short list : non-exhaustivité, fonction de choix non-neutre, …

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C'est un peu gênant, hein ? Le plus pertinent, c'est la partie où l'on peut "choisir" l'extinction de divers programmes avec leur coût. Mais avec toutes les limites d'une short list : non-exhaustivité, fonction de choix non-neutre, …

Et en plus, cela ne prend pas en compte le coût de la suppression dudit programme. Ni la durée d'extinction. A la limite le modèle fait croire qu'on peut rayer d'un trait de plume une tâche étatique.

En fait, je pense que tout le monde a en tête des exemples comme EDF ou La Poste : typiquement, ce sont les cas les plus simples, il suffit de libéraliser le marché (plus ou moins progressivement), puis de vendre des blocs de capital. Mais un programme social, c'est vraiment autre chose.

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Et en plus, cela ne prend pas en compte le coût de la suppression dudit programme. Ni la durée d'extinction. A la limite le modèle fait croire qu'on peut rayer d'un trait de plume une tâche étatique.

En fait, je pense que tout le monde a en tête des exemples comme EDF ou La Poste : typiquement, ce sont les cas les plus simples, il suffit de libéraliser le marché (plus ou moins progressivement), puis de vendre des blocs de capital. Mais un programme social, c'est vraiment autre chose.

Mouais c'est un jeu, pas une thèse

Un message simple et percutant, qui montre que :

* dépenser moins d'argent public ca peut être rigolo

* en dépensant moins on dépense moins

C'est déjà ca. Un message simple a plus de chances d'être entendu

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Je crois que la logique de ce petit jeu ne me plait pas trop.

En effet, quand une personne cherche à résorber un découvert récurrent, elle ne dit pas "je vais diminuer mon budget bouffe de X%", elle se dit "je vais arrêter d'acheter du foie gras, des biscuits hors de prix, etc." Ou alors elle ne dit pas "je vais diminuer mon loyer de 10%", elle se dit "je vais déménager à Sarcelles en cherchant un deux pièces à 500€ par mois".

Diminuer de 10% le budget de l'EN, par exemple, cela veut dire "fermer X écoles" (en simplifié), et c'est le plus dur à faire comprendre.

Ce que tu dis correspond à une réflexion que je me faisais. Si l'éducation financée par l'état représente 10 % du PIB et qu'on diminue les dépenses d'éducation par 2, on a 5 % de dépense publique au lieu de 10 %. Dc a priori, c'est libéral. Sf que l'éducation représenterait peut-être 15 % du PIB dans un marché libre (parce que les gens y investiraient davantage que ne le fait l'état). Bref, si le monopole ne cesse pas cette diminution de la dépense publique correspondrait à un éloignement de la situation idéale. A la limite, la mesure le plus anti-libérale, c'est le monopole, cad, l'interdiction d'un enseignement autre. Le financement de l'éducation serait alors une "compensation" par rapport à cette mesure initiale. Le premier soucis est dc d'abord de lutter contre toute mesure monopolistique, ce n'est qu'après cette étape que l'on peut réclamer la diminution des dépenses publiques.

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Ce que tu dis correspond à une réflexion que je me faisais. Si l'éducation financée par l'état représente 10 % du PIB et qu'on diminue les dépenses d'éducation par 2, on a 5 % de dépense publique au lieu de 10 %. Dc a priori, c'est libéral. Sf que l'éducation représenterait peut-être 15 % du PIB dans un marché libre (parce que les gens y investiraient davantage que ne le fait l'état). Bref, si le monopole ne cesse pas cette diminution de la dépense publique correspondrait à un éloignement de la situation idéale. A la limite, la mesure le plus anti-libérale, c'est le monopole, cad, l'interdiction d'un enseignement autre. Le financement de l'éducation serait alors une "compensation" par rapport à cette mesure initiale. Le premier soucis est dc d'abord de lutter contre toute mesure monopolistique, ce n'est qu'après cette étape que l'on peut réclamer la diminution des dépenses publiques.

428 dommage qu'on ne puisse pas réduire le remboursement de la dette de disons 10 %.

1 - je ne me sent pas énormément lié par les emprunts que les politicard on contractés sur mon dos,

2 - ça dissuaderait les préteurs de financer nos états providence plutôt que la société civile.

Cela dit je suis fermement convaincu que c'est l'organisation des incitations institutionnelles qui conduit à une bonne gestion et rien d'autre.

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Ce que tu dis correspond à une réflexion que je me faisais. Si l'éducation financée par l'état représente 10 % du PIB et qu'on diminue les dépenses d'éducation par 2, on a 5 % de dépense publique au lieu de 10 %. Dc a priori, c'est libéral. Sf que l'éducation représenterait peut-être 15 % du PIB dans un marché libre (parce que les gens y investiraient davantage que ne le fait l'état). Bref, si le monopole ne cesse pas cette diminution de la dépense publique correspondrait à un éloignement de la situation idéale. A la limite, la mesure le plus anti-libérale, c'est le monopole, cad, l'interdiction d'un enseignement autre. Le financement de l'éducation serait alors une "compensation" par rapport à cette mesure initiale. Le premier soucis est dc d'abord de lutter contre toute mesure monopolistique, ce n'est qu'après cette étape que l'on peut réclamer la diminution des dépenses publiques.

Pour corroborer ou pas cette prévision, on pourrait jeter un oeil à tous les secteurs économiques où une entreprise nationale a été privatisée puis soumise à la concurrence!

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Je crois que la logique de ce petit jeu ne me plait pas trop.

Outre les coupes budgétaires faites à la marge, il me semble que le mieux serait qu'il défende un texte empêchant tout emprunt public.

Voilà qui serait un vrais progrès.

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