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Révolution au Moyen-Orient


Invité rogermila

Messages recommandés

On va avoir du mal à parler de tout cela tant le sujet est vaste mais je comprends d'où vient notre problème : Ben Laden mettait dans le même sac la famille saoud et les américains, c'est vrai, mais il est loin d'être l'islamiste mainstream en Arabie Saoudite.

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En meme temps, si je puis me permettre, vu les PIB/habitant de chacun des deux pays, j'ai envie de dire que le saoudien moyen est loin d'etre a plaindre, compare au tunisien moyen. Facteur 4. Bon, soit, on est pas au niveau de la France, meme pour les Saoudiens, mais avec les capacites financieres de l'Etat, meme si ils en voient pas grand chose, j'ai un peu l'impression que tout est fait pour subvenir a leurs besoins pour qu'ils aient pas a gueuler.

Donc moi ca m'emmerde un peu plus de voir les Tunisiens repartir pour une tournee generale de dictature (que ca soit par des barbus ou des treillis) au moment ou ils se sortaient de la melasse que les saoudiens qui se laissent empater par les subventions de la famille royale. Parce que eux, pour le coup, a part le tourisme, on peut pas dire qu'ils aient l'economie qui envoie du reve en barre. Bon en meme temps, ils l'ont peut-etre un peu cherche, ils ont vote Ennahda…

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Je serais tunisien, j'aurai très probablement voté Ennahda, quand aux saoudiens, disons qu'il y a dans ce pays une fracture, une fracture sociale, entre les proches des séouds… et les esclaves.

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Je serais tunisien, j'aurai très probablement voté Ennahda, quand aux saoudiens, disons qu'il y a dans ce pays une fracture, une fracture sociale, entre les proches des séouds… et les esclaves.

Oui, et c'est un peu plus rare de se faire condamner à mort pour sorcellerie en Tunisie.

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Bon c'est bien gentil tout ça mais pour mes vacances je fais comment moi ? J'ai rien contre les manifs hein, mais mon cocktail au bord de l'eau je préfère le siroter au calme.

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Bon c'est bien gentil tout ça mais pour mes vacances je fais comment moi ? J'ai rien contre les manifs hein, mais mon cocktail au bord de l'eau je préfère le siroter au calme.

Va à Cuba avec Poutou.

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Cuba c'est cool d'après mes potes qui y sont allés (déjà, rien que pour le rhum, le cigare et la musique, moi je dis oui), par contre je pense que si t'y vas, ça doit être chiant si tu veux aller aux z'USA après.

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[j'raconte ma life ON]

Le prêtre qui va me marier a tenu pendant 7 ans une paroisse à Cuba. 'paraît que la chute du mur en 1989 y a été mal vécue tant Cuba était dépendante des cadeaux soviétiques.

L'argent n'était pas un problème là bas, car les pénuries étaient telles qu'il n'y avait rien à acheter, et que de toutes façons, quand il y avait quelque chose à acheter il fallait que ce soit votre jour pour avoir le droit d'acheter quelque chose.

[j'raconte ma life OFF]

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Cuba c'est cool d'après mes potes…

Venir comme touriste friqué dans un pays misérable, c'est toujours cool : alcool bon marché, filles pas parouche du tout du tout, logement et bouffe qui coûte peanuts…

J'avais des amis mexicains qui, à l'époque, faisait la razzia chez eux sur les parfums Bic et les dentifrices produits blancs. Avec ça, ils baisaient tout ce qui bougeait à Cuba…

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Faites buzzer cet article (d'un auteur libéral), enfin une analyse lucide.

Djihad : La face cachée du salafisme en Tunisie

par Habib Sayah

http://retrodevelopp…sme-en-tunisie/

Ansar al-Chari’a, Ennahdha et le CPR

A la vue de ce bilan sulfureux, on pourrait imaginer que Ansar al-Chari’a, cette organisation djihadiste qui appelle à la violence et sème le trouble, n’est pas dans les bons papiers des hommes politiques tunisiens. Pourtant, au mois de mai 2011 se tenait dans la ville de Sidi Bouzid le congrès de Ansar al-Chari’a, auquel étaient conviés le député Sadok Chourou d’Ennahdha , ainsi que Abderraouf Ayadi, successeur controversé du Président de la République Moncef Marzouki à la tête de son parti, le CPR. On ne s’étonne guère de voir Chourou en compagnie des salafistes depuis que le député a affirmé en pleine assemblée constituante qu’il fallait crucifier les grévistes et les démembrer, citation coranique à l’appui. Quant à la présence d’Abderraouf Ayadi, elle confirme le tiraillement du CPR entre une aile gauchiste favorable à l’institution d’un « Etat civil », et une tendance islamiste qui fournit des efforts considérables pour pérenniser l’alliance avec Ennahdha. Nullement embarrassé par la révélation de sa présence au congrès de Ansar al-Chari’a, le leader du CPR, au cours d’une interview accordée à la radio Shems FM, s’est déclaré « honoré » par l’hommage que lui ont rendu les militants salafistes pour le soutien qu’il leur a apportés.

Malgré les collusions entre Ansar al-Shari’a et de nombreux dirigeants d’Ennahdha, le parti islamiste semble vouloir couper les ponts avec les jihadistes, notamment en faisant marche arrière sur l’inscription de la Shari’a dans la Constitution. C’est en tout cas ce que confirment les récentes déclarations du Ministre de l’Intérieur Ali Larayedh selon lequel « le phénomène salafiste est le plus grand danger pour la Tunisie ». On peut toutefois se demander s’il ne s’agit pas d’un choix risqué, voire illusoire, alors que l’appel d’Abou Iyadh du 25 mars a rassemblé des milliers de nahdhaouis sous le drapeau noir des djihadistes en face du Palais du Bardo. Les principaux dirigeants d’Ennahdha jouent la carte du modernisme alors même que leur base militante, déjà radicale, est en train de tomber en masse sous la néfaste influence d’Ansar al-Shari’a.

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Très bon.

Par ailleurs les islamistes et les salafistes ont renforcé la loi sur la nationalité des candidats, qui doivent être de purs égyptiens. Mais les conséquences en sont dévastatrices : un candidat islamiste aurait un père syrien, et un autre, Abd el Moneim Abomfotoh, un second passeport qatari. Amr Moussa, actuel favori des sondages, aurait une mère juive et se voit ainsi soupçonné d’être peut-être agent du Mossad, tandis que le salafiste Abou Ismaël, très antiaméricain, aurait une mère « étasunienne » !

http://www.contrepoints.org/2012/04/15/79569-egypte-le-massacre-des-candidats

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Genre en France, personne n'a rien dit sur le fait que Mme Joly a la double nationalité, ni aux USA, personne n'a jamais polémiqué sur l'acte de naissance exact de Barack Obama, ou encore ….

Au contraire, ces politiciens se normalisent, ils apprennent vite. D'ici quelques mois, dans la liste citée par free jazz, certains d'entre eux seront inculpé de prise illégale d'intérêt, certains se feront choper dans les bras d'une prostituée ou en train de masser le pieds de je ne sais qui, etc.

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Bernard Lugan revient sur une des conséquences de la guerre en Libye, la partition de fait du Mali, et lance un débat sur la nécessité de redéfinir les frontières en Afrique comme moyen principal d'y ramener de la stabilité.

Je crois qu'il est totalement dans le vrai à propos de l'Afrique à ce niveau-là mais j'étendrai cette question à une observation que je me suis faite: et si le modèle d'Etat-nation -idée universaliste et typiquement occidentale imposée en Afrique lors de la décolonisation- mais aussi les grands machins tels que l'Union européenne par exemple n'étaient pas en échec non seulement en Afrique mais aussi en Europe? N'assisterions-nous pas à un retour des identités?

En effet, dans certain pays européens on assiste à des poussées identitaires (ecosse, catalogne, pays basque, flandres) mais on a aussi plus largement un front anti-Bruxelles qui grandit un peu partout.

Même si les situations sont très différentes, de part et d'autre de la Méditerranée, on a mis en avant pendant longtemps le modèle fédéral ou la décentralisation pour calmer les ardeurs identitaires d'un côté (Espagne, Royaume-Uni, Belgique, décentralisation en Italie ou en France), ethnique de l'autre, sans grands résultats d'un point de vue politique mais aussi économique il faut bien l'admettre.

Et si la solution était soit de tourner la page à l'Etat-nation forcée et carrément donner l'indépendance aux populations qui le désirent, ou alors le cas échéant -en l'absence de telles revendications- revenir à un Etat plus centralisé mais mieux géré?

La guerre du Mali a fait exploser sous nos yeux ces deux grands mythes destructeurs de l’Afrique que je ne cesse de dénoncer depuis des décennies: celui de l’Etat-nation pluriethnique et celui de la démocratie fondée sur le principe du un homme, une voix. En effet:

1) Le mélange ethnique au sein d’un meme Etat artificiel est par lui-même crisogene; d’autant plus que le phénomène est aggrave par la democratie, cette ethno-mathématique qui donne le pouvoir aux plus nombreux, réduisant les peuples minoritaires a l’esclavage ou les contraignant a la rébellion armée.

2) Apres les guerres Nord contre Sudau Tchad, en Coted’Ivoire, au Nigeria, au Soudan, le Mali montre a son tour que les Etats post-coloniaux sont des coquilles vides. En ce sens, la malencontreuse intervention franco-otanienne en Libye aura au moins eu un effet positif :le colonel Kadhafi n’étant plus la pour les contenir, les Touaregs qui ont repris leur liberté ont en effet fait sauter le principal tabou qui interdit a l’Afrique de redevenir elle-même, donc d’exister.

Or, au moment ou les Touaregs démontrent que les lois historiques inscrites dans la longue durée sont plus fortes que nos fantasmes universalistes et démocratiques, au moment ou le réel triomphe des idéologies, nos dirigeants, incapables de prendre la mesure de la situation, s’accrochent tels des automates a ces frontières cicatrices, ces lignes prisons tracées au mépris de toutes les réalités physiques et humaines. Relisons Ferhat Mehenni et son livre manifeste dans lequel il parle d’Etats sans nations. Méditons une réflexion de l’auteur pour qui les dirigeants européens, au lieu de s’interroger sur l’avenir d’Etats artificiels, mettent au contraire en cause les Peuples qui les combattent au nom de légitimes revendications identitaires. Plus que jamais, la solution, au Mali comme ailleurs en Afrique est la partition. On objectera que ce serait alors la porte ouverte a la balkanisation. Probablement.

Mais de la Balkanisation peuvent sortir de nouveaux équilibres ; pas du néant actuel. N’oublions pas que pour mettre fin a la Guerre de Trente ans les Traites de Westphalie dotèrent l’Europe d’une poussière d’Etats dont des dizaines de micro-Etats. D’ailleurs, pourquoi toujours penser en termes dévastes ensembles ; y aurait-il un etalon maitre a ce sujet?

L’avenir de l’Afrique est a des Etats plus petits et aux frontières épousant plus fidèlement les réalités des peuples. Faisons un retour en arrière et oublions les invectives et les anathèmes pour ne parler que de la pertinence du système: les Sud-africains avaient tente, maladroitement certes, cette expérience avec la politique des Etats nationaux ethniques, dite politique des Bantustan, solution visionnaire qui fut rejetée avec indignation par la bien pensance internationale engluée dans ses dogmes. Aujourd’hui, après l’indépendance de l’Erythrée, du Sud Soudan, demain du Somaliland et de l’Azawad, après plus d’un demi siècle de guerres qui ont bloque tout développement en Afrique, le débat ne mérite t-il pas d’être à nouveau ouvert dans un climat enfin de passionne?

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A propos d'identité, un beau texte de Habib Sayah sur les politiques d'arabisation forcée de la Tunisie, qui nient la diversité de ses influences.

La Tunisie, un pays arabe ?

(…)

Si les pays voisins du Maghreb peuvent de manière réaliste se déclarer Arabo-Berbères, les Tunisiens ne le peuvent pas, du fait des spécificités de leur histoire, des multiples conquêtes, et des mille origines de ce peuple et de cette culture. Certains arabes voient dans la Tunisie une sorte de culture bâtarde, ni Arabe, ni Occidentale, ou bien un peu des deux. Ceux-là n’ont rien compris, à part le fait que nous ne sommes pas arabes, du moins pas seulement. Nous ne sommes pas plus arabes qu’italiens ou turcs.

La culture tunisienne est unique, originale, elle a été façonnée par les échanges et les implantations de nombreux peuples. Nous sommes avant tout tunisiens, et il serait stupide de renier l’essentiel de notre culture pour nous dire arabes. La culture tunisienne est cette mosaïque méditerranéenne unique en son genre. Nous ne pouvons pas réduire la Tunisie à un sous-ensemble de sa culture. Tout au plus, peut-on dire que la culture tunisienne est avant tout tunisienne, mais qu’elle s’insère dans la culture méditerranéenne et ottomane. C’est aussi cette spécificité culturelle qui a permis à la Tunisie d’accéder à la modernité, voyant apparaitre des thèses rationalistes et en faveur de l’émancipation de la Femme, chez les théologiens tunisiens, tels que Cheikh Salem Bouhageb, dès le 19e siècle, alors que la femme est encore un objet dans le reste du monde arabe qui ne nous ressemble pas.

Cette affirmation se vérifie lorsqu’on confronte un tunisien à un étranger : il comprendra sans doute mieux la langue maltaise que celle du yéménite ou même du marocain, s’identifiera plus facilement aux moeurs du grec ou du sicilien qu’à celles du libyen ou du koweïtien, reconnaitra une partie de ses plats nationaux à la table du turc, de l’arménien, du circassien, tous ottomans, de l’algérien, maghrébin comme lui, mais ne saurait nommer un plat saoudien.

Cela conduit à affirmer que les tunisiens, bien avant d’être arabes, sont méditerranéens.

http://retrodevelopp…-un-pays-arabe/

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En tout cas l'Irak c'est trop de la balle maintenant.

http://www.contrepoints.org/2012/04/23/80483-lirak-a-la-croisee-des-chemins

L’Irak est maintenant face à plusieurs chemins possibles pour son avenir politique et économique. Malheureusement, la voie que le Premier ministre Nouri al-Maliki semble vouloir suivre ne conduit pas au meilleur pour le peuple irakien.

Le retrait définitif des troupes américaines d’Irak a marqué un tournant presque aussi important que le renversement de Saddam Hussein. L’Irak est maintenant face à plusieurs chemins possibles pour son avenir politique et économique. Certains de ces chemins mènent à un avenir prometteur, d’autres conduisent soit au chaos soit à une nouvelle ère de répression. Malheureusement, la voie que le Premier ministre Nouri al-Maliki semble vouloir suivre ne conduit pas au meilleur pour le peuple irakien.

Une question clé est celle du degré de pouvoir qui doit résider entre les mains du gouvernement central à Bagdad. Maliki et ses alliés politiques saisissent toutes les occasions pour étendre le pouvoir du gouvernement national et réduire l’autorité exercée aux niveaux provincial et régional. Un exemple récent : Bagdad a traîné les pieds pour le paiement des revenus pétroliers de 2011 au gouvernement régional kurde (GRK). Les fonctionnaires du GRK arguent que les autorités nationales doivent quelque 1 milliard de dollars au gouvernement régional. En outre, le GRK se plaint que Bagdad continue de refuser de reconnaître des contrats valides que Arbil a conclu avec des entreprises internationales du secteur de l’énergie.

Le président du GRK Massoud Barzani a dénoncé en termes vigoureux les actions du gouvernement Maliki : « les fonctionnaires du gouvernement central qui refusent d’admettre ces contrats sont des ratés qui n’ont pas pu donner à l’Irak ce que nous donnons à notre peuple au Kurdistan (…) Ils veulent que nous soyons comme eux. »

Le président Barzani n’a pas tort. Au lieu de tenter d’imposer que le reste de l’Irak imite la région kurde, le régime de Maliki semble vouloir contraindre le Kurdistan afin qu’il ressemble plus au reste de l’Irak. Ce serait tragique pour toutes les parties concernées. La région autonome kurde est une success story économique incontestable, en contraste marqué avec la plupart des régions de l’Irak. Et bien que le GRK reste un modèle démocratique imparfait, la tendance s’améliore. En outre, même avec ses défauts politiques, la performance du GRK sur ce front est de loin supérieure à celle du gouvernement national.

En effet, les pratiques du régime de Maliki se révèlent de plus en plus inquiétantes. Non seulement la corruption est en hausse, mais on note une érosion constante des libertés politiques. Les journalistes qui osent critiquer le premier ministre et ses alliés se plaignent toujours plus de harcèlement et parfois carrément de censure. L’hiver dernier, la sécurité de Maliki a arrêté des centaines d’anciens fonctionnaires, les accusant de soutenir un retour à un régime dictatorial du parti Baas. Bien que certaines de ces allégations ont pu être vraies, le gouvernement a « ratissé » très large et sans discrimination.

Un rapport récent de l’Institute for the Study of War (Institut pour l’étude de la Guerre) basé aux USA a conclu que M. Maliki semble mener une campagne concertée pour étouffer toute dissidence et toute opposition politique. « Il a rendu plus difficile la dissidence pour ses rivaux chiites », affirme le rapport, « tout en confinant ses adversaires sunnites dans une position qui lui permet d’exercer une pression et d’exploiter les divisions au sein de leurs rangs ».

Une telle stratégie ne favorise pas le développement d’une démocratie solide. Au contraire, elle est similaire aux méthodes utilisées en Russie par Vladimir Poutine pour saper la substance de la démocratie dans son pays, tout en conservant les élections et d’autres façades démocratiques. L’Irak ne doit pas vouloir imiter un tel modèle cynique et corrompu. Mais il semble bien le faire.

Un événement inquiétant a eu lieu en Décembre lorsque l’administration Maliki a accusé le vice-président irakien Tareq al-Hashemi de trahison au motif qu’il mènerait des escadrons de la mort anti-gouvernement. Al-Hashemi, l’un des principaux hommes politiques sunnites irakiens et chef de file du bloc politique de l’Iraqiya, clame haut et fort son innocence. Il a fui vers la région kurde, affirmant qu’il ne pourrait jamais obtenir un procès équitable ou même avoir sa sécurité physique garantie à Bagdad. Le gouvernement Maliki a exigé du GRK de rendre al-Hashemi, mais le président Barzani a jusqu’ici refusé de le faire.

Il est encore temps pour les dirigeants de Bagdad de changer de cap, de créer une véritable démocratie, avec un système fédéral vigoureux qui limite l’autorité du gouvernement national. L’objectif global devrait être de copier les succès politiques et économiques du Kurdistan. Malheureusement, Maliki et ses alliés semblent déterminés à poursuivre la voie contraire, qui conduira à une nouvelle dictature, à la guerre civile, ou aux deux. C’est un avenir que personne ne veut pour l’Irak.

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Je debarque un peu, mais c'est quoi ce qu'on reproche a Stallman? Dans la mesure ou c'est un libriste, c'est plutot cool, non?

A part de redéfinir la liberté comme étant la contrainte et le port de la barbe fleurie, je ne lui reproche rien du tout.

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Je debarque un peu, mais c'est quoi ce qu'on reproche a Stallman? Dans la mesure ou c'est un libriste, c'est plutot cool, non?

Je lui reproche de vouloir imposer le libre plutôt que de laisser le choix. C'est un reproche qu'on peut faire à pas mal de libristes d'ailleurs.

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A part de redéfinir la liberté comme étant la contrainte et le port de la barbe fleurie, je ne lui reproche rien du tout.

Dans son cas, la barbe est fleurie par les petits bouts d'omelettes oubliés ces dernières années, j'imagine. :)

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