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Brèves sur l'égalitude hommes-femmes


Esperluette

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C'est donc les hommes qui se cassent, le féminisme à gagné.

Evidemment aucunes femmes qui sont la perfection incarnée de l'espèce humaine, n’abandonneraient jamais le géniteur de ses enfants.

J'ai bien entendu évoqué le worst case scenario pour les meufs, le cas où la fille se casse avec le môme est également à prendre en compte. Mais comme le sondage parlait de "peur des femmes de", j'ai considéré qu'il s'agissait de la peur d'un évènement qu'elles ne maîtrisent pas, à savoir la décision du père.

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J'ai bien entendu évoqué le worst case scenario pour les meufs, le cas où la fille se casse avec le môme est également à prendre en compte. Mais comme le sondage parlait de "peur des femmes de", j'ai considéré qu'il s'agissait de la peur d'un évènement qu'elles ne maîtrisent pas, à savoir la décision du père.

Vous savez bien que si une femme quitte le père de ses enfants c'est forcément l'homme qui est responsable.

Si une femme tombe dans les bras d'un autre c'est aussi la faute de son homme qui l'a délaissé et qui n'a pas été assez à l'écoute de sa femme, et qu'elle a été obligé de trouver chez un autre ce que son homme ne lui offrait plus.

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Je me fous de la dégénerescence morale de l'occident, je vomis ici les doctrines néo-marxistes d'atomisation qui au final bousillent celles qui étaient censées en bénéficier et qui par un retour de bâton les renvoient dans la dépendance à l'Etat. L'émancipation des liens naturels pour se retrouver ensuite assujettie à l'Etat et ses lubies législatives et sociales, très peu pour moi.

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L'émancipation des liens naturels pour se retrouver ensuite assujettie à l'Etat et ses lubies législatives et sociales, très peu pour moi.

Bien évidemment. Tu penses probablement à l'ancienne Allocation Parent Isolé, fusionnée pour devenir le RSA.

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Une proposition de loi déposée le 30 mars 2011 à l'Assemblée nationale vise à instaurer une pénalité pour les entreprises qui, au 31 décembre 2012, ne respecteraient pas l’égalité de rémunération entre les femmes et les hommes telle que définie par le code du travail.

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Une proposition de loi déposée le 30 mars 2011 à l'Assemblée nationale vise à instaurer une pénalité pour les entreprises qui, au 31 décembre 2012, ne respecteraient pas l’égalité de rémunération entre les femmes et les hommes telle que définie par le code du travail.

C'était pas plutôt une résolution pipeau? Voir ceci : http://www.assemblee-nationale.fr/13/ta/ta0624.asp

Il me semble que plusieurs propositions de lois ont été déposées sur le sujet, dont une en 2005 sous Raffarin ou Villepin, je ne me souviens plus.

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C'était pas plutôt une résolution pipeau? Voir ceci : http://www.assemblee-nationale.fr/13/ta/ta0624.asp

Il me semble que plusieurs propositions de lois ont été déposées sur le sujet, dont une en 2005 sous Raffarin ou Villepin, je ne me souviens plus.

Non ici c'est encore une nouvelle proposition…

http://www.assemblee-nationale.fr/13/dossi…mmes_hommes.asp

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Vous savez bien que si une femme quitte le père de ses enfants c'est forcément l'homme qui est responsable.

Si une femme tombe dans les bras d'un autre c'est aussi la faute de son homme qui l'a délaissé et qui n'a pas été assez à l'écoute de sa femme, et qu'elle a été obligé de trouver chez un autre ce que son homme ne lui offrait plus.

C'est très exactement le message sous-jacent retrouvé dans la plupart des productions ciblant le sexe faible, des séries télévisées comme "Sex and the City" aux rubriques "sexo" qui parsèment les magazines. C'est un cas classique de dissonance cognitive : on rationalise à postériori en rejetant la faute sur un élément extérieur (ici, l'homme) pour ne pas avoir à avouer sa propre implication dans l'échec et remettre en cause son comportement.

De là à dire que les féministes sont des malades mentales, il n'y a qu'un pas et il doux de le franchir. Et ce qui est encore plus drôle, c'est qu'une grande partie des femmes "post-modernes" ayant plus ou moins été exposées à leurs croyances et les ayant assimilées, on retrouve ces phénomènes d'aliénation massive chez un paquet de nos contemporaines.

Cela dénature par exemple la vision du couple dans l'esprit féminin : on passe d'une construction sociale bâtie par les efforts et les concessions de deux personnes à une construction unilatérale où la femme dispose de l'homme qui doit d'adapter à elle, celle-ci n'ayant plus à se remettre en cause, puisque pouvant changer de mec le plus facilement du monde. On retrouve le paroxysme de cet état d'esprit dans les magazines féminins à l'approche de l'été, où les traditionnels articles typés "Comment pimenter sa vie de couple en trompant son Jules avec un maitre-nageur sauveteur bien bronzé" sont coincés entre les non moins traditionnels "Comment perdre 5kg avant l'été", "Larguer son mec avec classe : tous nos conseils" et "Quelle tenue porter pour les faire baver encore plus qu'un Saint-Bernard oublié en plein soleil sur la banquette arrière d'un van". Le site de rencontre "Adopte un mec" est aussi un beau cas d'école pour illustrer cette tendance, avec la transformation de l'homme en bien de consommation courant.

Et après, ça explique avoir peur de finir seule. Tu m'étonnes, John… Si elle est histrionique au point de ne pas être capable de se retenir d'exercer son pouvoir de séduction sur tous les mâles qu'elle croise, voir même de s'en taper un de temps en temps, et qu'en plus obtenir la moindre remise en question de sa part relève de l'épreuve de force, alors que de notre côté, on doit se plier en quatre et se couper les couilles pour les contenter, mieux vaut prendre la tangente.

Je me fous de la dégénerescence morale de l'occident, je vomis ici les doctrines néo-marxistes d'atomisation qui au final bousillent celles qui étaient censées en bénéficier et qui par un retour de bâton les renvoient dans la dépendance à l'Etat. L'émancipation des liens naturels pour se retrouver ensuite assujettie à l'Etat et ses lubies législatives et sociales, très peu pour moi.

Non seulement cela les renvoie à la dépendance à l'état, mais cela les renvoie aussi à une dépendance à l'apparence, et par dessus le marché, à une dépendance à un homme idéalisé, fantasmé, et pour ainsi dire inexistant (car s'il existe, il ne voudrait pas d'elles). Le sondage et la chanson que tu as linkés en sont de malheureux témoins.

L'apparence tout d'abord. Une apparence physique aussi bien qu'un masque social. Car les chances de trouver l'amour tendent furieusement vers l'epsilon au fur et à mesure que l'horloge biologique tourne et que l'on se rapproche de l'heure fatidique où l'on a cramé les dernières cartouches de sa jeunesse et que l'on a la réputation d'avoir vu défiler plus de queues que les tables de billard du Mouffetard. Et si, en plus, on a la peau du ventre flétrie pour y avoir fait murir deux marmots qui, en l'absence de famille digne de ce nom, ont une éducation totalement déficiente… Game over.

N'ayant alors rien d'autre à proposer que la vie fade d'une mère de famille célibataire, un cercle social ridiculement restreint faute de temps et de budget, un job minable ou une perfusion d'aides sociales, une beauté sur le retour et un vagin qui ferait rougir le tunnel sous la Manche, il n'y aura guère que les apparences à sauver pour —justement— se sauver de la misère affective. Toutes les dissimulations seront bonnes pour essayer de mettre le grappin sur un mec sans qu'il se mette à fuir en hurlant… Maquillage à faire pâlir le rayon peinture d'un Leroy Merlin, gamins glissés chez les parents avant d'aller draguer en boite, mensonges à tous les niveaux pour essayer de masquer un passé qu'elle abhorre…

Il est vrai que les magazines oublient de montrer à quoi la working-girl dévoreuse d'hommes, sûre d'elle et de ses capacités de séduction, avec tellement de burnes qu'elle roule à moto comme un homme, va ressembler dix ans après. Dans les films et les bouquins, ils suffit de changer d'actrice ou de modèle et le jeu peut continuer, mais dans la vraie vie, la fille se tape le mur des réalités tôt ou tard.

Elle aura tenté pendant des années de renier sa nature de femme pour tendre vers l'idéal féministe, pour ne l'atteindre que lorsque celui-ci se révélera être un fardeau. Elle a oublié un des points importants : la féministe, la vraie, n'est pas sensée aimer l'homme, qui n'est qu'une bite sur pattes coupable de toutes les exactions de la terre, et elle devra devenir lesbiennes pour achever sa métamorphose. Là encore, dissonance cognitive, car leur choix n'en est pas un : c'est simplement le choix par défaut qu'elles rationalisent comme étant volontaire de leur part, puisque les mecs normalement constitués n'ont jamais voulu d'elles, ne pouvant supporter une chieuse qui passe son temps à vouloir l'émasculer et se faire pousser un phallus symbolique pour justifier le port du pantalon.

Et au mieux, au final, elle héritera du nerd gauche et émasculé sur lequel elle crachait dans sa jeunesse, au pire, elle se vautrera dans le cliché obscène de la "cougar" et passera sa vie à enchaîner les jackys et autres beaufs dont les centres d'intérêts oscillent entre disques de Johnny et matchs de l'OM à la téloche. Un mec qu'elle n'aimera probablement jamais vraiment.

De là la dépendance à l'homme mythique, au fantasme de la féministe. L'homme magique pour lequel il n'y aurait aucun effort à faire, aucune concession à prendre, conciliant l'archétype du mâle débordant de testostérone et le métrosexuel qui cuisine mieux que Maïté. Le féminisme, en créant des grognasses qui se prennent pour des princesses, laisse croire à toutes ces cruches qu'elles pourront se tomber le prince charmant.

Las. Le prince charmant est un salaud. Un mec qui la connait tellement bien qu'il la plaquera en prétextant qu'elle est trop bien pour lui après lui avoir déridé les fesses mieux que Brassens n'aurait su le chanter, et ce depuis les toilettes du Macumba jusqu'à la table de sa cuisine.

Devoir correspondre à un cliché rend la femme manipulable à souhait, puisque totalement normée dans ses comportements et ses réactions. Et fade comme une fraise de serre, pour les mêmes raisons…

PS : Ceci était un post de la série "Message du soir : psychologie de comptoir" :icon_up: .

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La belle affaire. Ca veut des mômes sans en assumer les coûts. Tsss.

Remarque, si les familles monoparentales dénonçaient l'écrasement de taxes avec leurs effets en termes de revenus, on tomberait d'accord.

On perd quel % de son salaire en impôts directs et indirects déjà ?

PS : Ceci était un post de la série "Message du soir : psychologie de comptoir" :icon_up: .

Mouahaha je suis enchantée que tu aies rejoint liborg. Quelle poilade. :doigt:

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Il y a un sociologue, je ne sais plus lequel, qui disait que la question la plus fondamentale d'une société était celle du suicide.

Je me demande s'il n'oubliait pas un peu vite la question de la matrimonialité, autrement dit les taux de mariage/célibat/divorces au sein des populations.

Une société dans laquelle les hommes et les femmes ont de plus en plus de mal à se trouver et à fonder une famille est une société qui ne va pas bien, peut-on penser. Mais je ne suis même pas sûr que ce soit vraiment le cas, au fond.

Personnellement je me sens un peu dépassé par ce genre de réflexion, qui amha est d'une complexité immense.

PS. Je salue aussi le post de Filthy John, tout à fait remarquable. On sent le gars qui s'y connait.

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1 - Dans le règne animal, 100% des mecs se cassent après avoir copulé, sans parler d'élever les mômes. Plus de 60% des hommes ne fait pas cela, c'est donc un chiffre exceptionnellement élevé.

2 - Il faudrait une comparaison dans le temps ou dans l'espace : si en tout temps et en tout lieux les femmes sont 40% à flipper de cela, alors le chiffre ne veut rien dire, absolument rien dire. L'idée selon laquelle la dégénérescence morale de l'occident, l'image de la femme libérée, est responsable de cela, reste vraiment, vraiment, vraiment à démontrer.

+1

C'est bien connu, toutes les femmes qui sont célibataires le sont par la faute de l'homme voyons!

Les femmes ont voulu s'émanciper, elles ont voulu se démerder toutes seules, et elles ont relayé les hommes dans un rôle de bouche-trou (c'est le cas de le dire) pour satisfaire leurs pulsions sexuelles comme elles veulent et où elles veulent.

Beaucoup (pas toutes bien évidemment) ont fait fuir les hommes en se comportant comme des êtres égoïstes et en voulant changer l'Homme lui-même, normal qu'elles soient célibataires, le lavage de cerveau féministe a ses effets pervers aussi comme toute idéologie! Bien sûr, la réalité est ce qu'elle est et s'impose plusieurs décennies après le début du lavage de cerveau. Sauf que maintenant elles assument pas et ces connasses exigent des aides de l'Etat pour pouvoir s'occuper de leurs mioches. :icon_up:

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Ca fait un peu p'tite bite de jeter tous les torts sur la femme. Enfin, j'dis ça, j'dis rien, hein.

C'est vrai, les mecs qui acceptent de fréquenter des 'femmes libérées' sont blâmables aussi.

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C'est vrai, les mecs qui acceptent de fréquenter des 'femmes libérées' sont blâmables aussi.

C'est l'un des problèmes.

En gros, les hommes ne savent pas résister à la pression de leurs pairs. Ils ne vont jamais chercher la beauté que là où leurs amis leur pointent du doigt.* Le but devient alors de sortir avec la fille que tout le monde trouvera jolie, pour faire joli parmi les trophées. Je tiens pour sûr qu'une grande part des hommes aiment les femmes rondes mais très peu oseront l'avouer voire se l'avouer.

Aussi, lorsqu'il s'agit de se marier et de fonder une famille, les critères retenus sont en général non pertinents: encore une fois, les hommes cherchent une femme jolie, socialement et professionnellement épanouie et qui plaira à l'entourage. Ils pensent rarement aux qualités de la future épouse et mère.

Enfin, se marier avec une Française est, à moins de tomber sur la perle rare, la pire connerie imaginable.

*à ce propos, il existe un nombre incalculable de jolies filles peu sûres d'elles à cause du jugement d'une masse ignare qui feraient de douces petites amies parfaites.

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C'est l'un des problèmes.

En gros, les hommes ne savent pas résister à la pression de leurs pairs. Ils ne vont jamais chercher la beauté que là où leurs amis leur pointent du doigt.* Le but devient alors de sortir avec la fille que tout le monde trouvera jolie, pour faire joli parmi les trophées. Je tiens pour sûr qu'une grande part des hommes aiment les femmes rondes mais très peu oseront l'avouer voire se l'avouer.

Aussi, lorsqu'il s'agit de se marier et de fonder une famille, les critères retenus sont en général non pertinents: encore une fois, les hommes cherchent une femme jolie, socialement et professionnellement épanouie et qui plaira à l'entourage. Ils pensent rarement aux qualités de la future épouse et mère.

Je suis à peu près d'accord, mais c'est pas un peu le cliché épouse/amante, madone/putain, etc. Non?

Enfin, se marier avec une Française est, à moins de tomber sur la perle rare, la pire connerie imaginable.

:icon_up: En voilà une drôle d'affirmation. Poukoi ça?

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