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Prézidentielles 2012


Présidentielles 2012  

122 membres ont voté

  1. 1. Si le premier tour des élections présidentielles françaises avait lieu aujourd'hui, pour qui voteriez vous?

    • Nathalie Arthaud (LO)
    • Jean-Luc Mélenchon (ou autre candidat du Front de Gauche)
      0
    • François Hollande (PS)
    • Arnaud Montebourg (PS)
      0
    • Ségolène Royal (PS)
      0
    • Dominique Strauss-Kahn (PS)
    • Jean-Pierre Chevènement (MRC)
    • Nicolas Hulot ou Eva Joly (EE Les Verts)
    • François Bayrou (Modem)
    • Hervé Morin (Nouveau Centre)
    • Jean-Louis Borloo (PR)
      0
    • Autre candidat centriste
    • Christine Boutin (PCD)
      0
    • Dominique de Villepin (RS)
      0
    • Nicolas Sarkozy (UMP)
    • Nicolas Dupont-Aignan (DLR)
    • Marine Le Pen (FN)
    • Frédéric Bastiat
    • Vote blanc
    • Je m'abstiendrai de voter
  2. 2. Comment vous déterminez-vous pour le choix du candidat ?

    • Opinions politiques (le moins éloigné du libéralisme)
    • Sympathie vis-à-vis du candidat
    • Provocation (volonté de perturber le système actuel)
    • Au hasard
    • Le moins pire
    • Autre


Messages recommandés

Invité rogermila

Quel est le meilleur moyen pour l'UMP et Sarkozy de remonter dans les sondages et se faire bien voir des électeurs ?

"Déclarer la guerre" aux juges qui sont actuellement dans le collimateur de l'opinion publique.

Pour se faire tout semble avoir été prévu dans le bon timing.

Mardi prochain, un rapport sera remis à N.Sarkozy par le docile et sécuritaire Eric Ciotti (UMP) mettant en cause les liberations anticipées et les peines non accomplies à cause du système judiciaire et des juges..

Le Président de la République decouvrant "avec horreur" le mauvais fonctionnement de la justice (après 4 ans à la tête de l'Etat ! ) va s'en émouvoir bruyamment dans les médias et approuvera la mesure phare : La suppression, de fait ,des pouvoirs des juges d'application des peines .

Ainsi il obtiendra ce qu'il veut : un conflit bien visible et bien médiatisé l'opposant au Syndicat de la magistrature.

«Les juges de l'application des peines (JAP) n'exerceraient plus que la fonction juridictionnelle de trancher les différends entre le parquet et le condamné. Ils se recentreraient sur leur cœur de métier, qui consiste à juger des mesures intervenant en cours d'exécution de leur peine par les condamnés. Le parquet deviendrait donc réellement comptable de l'exécution des peines et de la gestion des incidents.» Ses moyens seraient renforcés

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/06/05/01016-20110605ARTFIG00185-execution-des-peines-un-rapport-choc-remis-a-sarkozy.php

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Voici l'interview de Borloo qui devrait clarifier sa position :

Jean-Louis Borloo : « Il faut avoir une approche créative de la fiscalité »

Le président du Parti radical, qui ne cache pas son ambition d'être candidat pour l'élection présidentielle de 2012, détaille dans un entretien aux « Echos » sa conception de la fiscalité. Il soutient notamment la proposition d'intégrer les oeuvres d'art dans l'assiette de l'ISF.

Le projet de loi supprimant le bouclier fiscal et allégeant l'ISF est examiné à partir d'aujourd'hui à l'Assemblée nationale. Allez-vous le voter ?

Je ne me prononcerai pas tant que le débat n'aura pas eu lieu. C'est cela, le débat démocratique : avancer des arguments, chercher à convaincre, attendre de voir comment le texte évoluera. Je suis bien entendu pour la suppression du bouclier fiscal et j'ai moi-même déposé ou cosigné plusieurs amendements pour peser sur le texte proposé. Je soutiens la proposition d'intégrer les oeuvres d'art dans l'assiette de l'ISF, et j'ai même proposé d'aller plus loin. Je ne comprends pas que la taxation des plus-values sur les oeuvres d'art soit forfaitisée à 5 % du prix de vente ou à 8 % pour les métaux précieux. Ce sont aujourd'hui des marchés spéculatifs. J'ai donc proposé que ces plus-values soient taxées au même niveau que les autres. Quand il y a un accroissement de richesse, il doit y avoir un prélèvement universel. J'ai déposé par ailleurs un amendement pour fiscaliser les plus-values lors des cessions des filiales de groupes détenues depuis plus de deux ans. Qu'on aide les entreprises à s'internationaliser, d'accord, mais quand on vend une participation, au nom de quel principe cela devrait-il être exonéré ? Une taxation à 19 % rapportera 4 milliards d'euros.

Etes-vous favorable à une contribution spéciale sur les plus hauts revenus ?

Je suis pour la création d'une nouvelle taxation marginale d'impôt sur le revenu à 45 % pour la fraction supérieure à 150.000 euros par part. Mais au-delà de ces différents amendements que je souhaite, le collectif budgétaire n'est qu'un rendez-vous dans une réflexion bien plus profonde à mener sur notre fiscalité.

La fiscalité sera-t-elle au coeur de votre projet ?

Oui, car la fiscalité, avant d'être une technique, est le reflet d'un principe républicain : l'égalité, une égalité combinée à un objectif d'efficacité économique. Il faut ensuite dégager une méthode car une réforme fiscale réussie, c'est-à-dire pertinente et acceptée par les Français, ne se prépare pas à deux ou trois dans un bureau. C'est pourquoi je propose un « Grenelle de la fiscalité » associant toutes les parties prenantes. La fiscalité sera aussi au coeur de mon projet car le déficit budgétaire est immoral, injuste, il reporte sur nos enfants les errements du présent.

Comment conjuguer la justice et l'efficacité ?

Nous avons été très loin sur la défiscalisation de la rente, avec aujourd'hui neuf successions sur dix exonérées d'impôts. L'impôt doit être progressif dans tous les cas, sur les revenus du travail, mais aussi sur les revenus du capital. Les revenus du travail ne doivent pas être plus taxés que ceux du capital. Il faut aussi passer en revue toutes les niches, qui, rappelons-le, profitent trop souvent aux plus hauts revenus. Il faudrait en budgétiser une partie : ce serait au final moins coûteux pour l'Etat et cela obligerait à évaluer leurs effets tous les ans.

Etes-vous favorable à la fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG comme le propose le PS ?

C'est une réponse technique à une vraie question de fond : celle de la taxation du travail et du capital. Le travail est aujourd'hui plus taxé que le capital. Ce n'est pas normal. Il faut qu'ils soient traités de la même manière. Cette fusion peut être une solution, à condition que le dispositif soit le plus progressif possible, préserve le quotient familial et allège le coût du travail pour les entreprises qui embauchent.

Pourriez-vous relancer le débat sur la TVA sociale pour alléger les charges sociales sur les entreprises ?

Nous avons un problème manifeste de destruction d'emplois. Je propose d'alléger les charges sociales pesant sur le travail, par exemple en définissant avec nos partenaires européens les 10 secteurs les plus vulnérables à la concurrence internationale. Pour financer ces baisses de charges, nous devons avoir une approche créative, en prélevant une partie des richesses créées par la mondialisation : fiscalisation du carburant embarqué sur les navires, application d'un taux minimal de 0,005 % sur les transactions financières, taxation des flux financiers à destination des pays pratiquant le secret bancaire.

Vous ne parlez plus de la fiscalité écologique…

Bien au contraire. Je suis plus que jamais favorable à une taxe carbone, mais au niveau européen. Il n'y a pas d'autres solutions depuis la censure du Conseil constitutionnel en décembre 2009.

Etes-vous favorable au principe de la prime pour les salariés des entreprises dont les dividendes progressent ?

C'est une direction intéressante, mais les modalités sont imparfaites. Il est gênant que la prime ne s'applique qu'à une partie des salariés. Il faudrait par ailleurs trouver des critères pour ne pas exclure la fonction publique.

L'UMP se réunit en convention mercredi sur le thème de la « justice sociale », notamment pour débattre du RSA. Etes-vous favorable à une réforme des minima sociaux ?

Il doit y avoir un statut social digne et efficace pour ceux qui n'ont pas droit aux revenus d'allocations classiques. Il faut travailler à un nouveau statut d'intérêt général préparant au retour à l'emploi, et qui soit entre le RSA et le contrat aidé, avec un effort massif de formation vers les métiers qui recrutent. Je souhaite aussi proposer un nouveau plan de services à la personne.

Accepteriez-vous de retourner à Bercy pour remplacer Christine Lagarde si elle part diriger le FMI ?

Vous savez, je suis désormais engagé dans un autre temps politique. Je veux aujourd'hui travailler et m'investir pleinement dans le débat qui s'ouvre face aux Français.

Craignez-vous que Nicolas Sarkozy cherche à « débaucher » certains de vos amis pour vous affaiblir ?

Les radicaux comme les centristes participent au travail de la majorité. Si le chef de l'Etat propose à l'un de mes proches de rejoindre le gouvernement, je ne m'y opposerai pas. Ma démarche ne se veut pas en opposition avec qui que ce soit. Je veux, avec méthode, porter un projet pour une France juste, devant tous les Français.

Quelle est votre réaction aux propos ce week-end de Nicolas Hulot vous concernant?

Le développement économique et l'emploi viennent déjà, et viendront plus encore demain, de la croissance verte et de la transition énergétique.

Qu'est-ce qui pourrait vous faire renoncer à vous présenter à la présidentielle ?

Une seule chose m'importe pour l'heure : dialoguer en profondeur avec les Français. Et pour le reste, je l'ai dit, rendez-vous entre l'été et l'automne.

http://www.lesechos….lite-172341.php

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Un Grenelle de la fiscalité :facepalm:

Il aime bien les Grenelles le gaillard.

Rappelons tout de même que la joint venture NC/AL négocie avec Borloo pour la présidentielle 2012, dont on peut voir que les idées en matière de fiscalité sont rocambolesques et bien ancrées à gauche.

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Programme pour une économie responsable

Dans Les 4 Vérités, Patrick de Casanove, Président du Cercle Frédéric Bastiat, écrit :

"Il faut rendre aux Français leur autonomie matérielle, réduire les prélèvements obligatoires et la dépense publique. Le programme qui en découle est clair et efficace. Il comprend seulement trois points. Il s’adresse à tous les Français, quelles que soient leur situation sociale, leurs croyances, leur couleur, leurs préférences, leurs talents. Il ne prend pas aux uns pour acheter les voix des autres. Il rend, à tous, ce qui leur appartient. Premier point :
restituer aux Français l’intégralité de leurs revenus
. Pour un salarié, cela s’appelle le salaire complet. C’est le salaire net, plus les charges dites « patronales » et les charges dites « salariales ». Dans les faits, ces charges sont prélevées sur le travailleur. Si chacun dispose de la totalité de ses ressources, il peut choisir, pour son assurance-maladie et sa retraite, entre des prestataires mis en concurrence. Il peut ainsi s’assurer mieux et à meilleur compte.

Deuxième point :
restituer aux Français la libre disposition de la propriété foncière et immobilière
. Les règlements d’urbanisme draconiens engendrent la pénurie de logements et la hausse des prix. Les plus modestes ont des difficultés à se loger et cette difficulté touche désormais les classes moyennes. Avec le libre usage de la propriété foncière, chacun fait ce qu’il veut avec ce qu’il a, aux conditions de ne pas nuire aux voisins et de supporter tous les frais.

Troisième point : appliquer la « flat tax ». Il n’y a plus de niche, d’exemption, de cas particulier… Les impôts et taxes indirects n’ont plus de raison d’être.
Les Français paient les produits et services à leur véritable valeur
. De toute façon, quel que soit le prélèvement considéré, il est toujours au final, payé par l’individu. Les impôts sur les entreprises ne sont pas payés par l’entreprise, mais par le consommateur.

La conséquence de ce programme est la réhabilitation de la responsabilité
.
L’État ne se mêle plus de la vie privée des gens, la famille est la base de la société, la responsabilité sur les enfants est rendue aux parents
.
L’aide aux plus démunis et aux personnes en difficultés redevient de la responsabilité de chacun, ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être
. Les secours publics ne s’adressent qu’aux accidentés de la vie qui ne peuvent trouver suffisamment d’aide de la part de leur entourage. La libre circulation des personnes et des biens prend le pas sur « l’immigration », parce que la responsabilité personnelle de subvenir à ses besoins s’adresse à tous et remplace l’assistance automatique.
Dans ce schéma, la Nation se maintient dans ses fonctions régaliennes, garantit la sécurité, assure la justice et veille au respect des contrats.
Si toutes les forces du pays, toute l’attention de nos gouvernants étaient concentrées sur ces missions-là, nul doute qu’elles seraient bien mieux accomplies qu’aujourd’hui. Lorsque la sécurité intérieure n’est plus assurée, les atteintes aux biens et aux personnes se multiplient, les forces de police et de gendarmerie étant utilisées ailleurs. Lorsque la justice est lente et inefficace, elle s’épuise à poursuivre une multitude de pseudodélits. Lorsque l’armée est souséquipée, elle a de plus en plus de mal à assurer sa mission de défense du pays. Ne nous faisons pas d’illusions. Il ne suffira pas d’exprimer ces vérités pour qu’elles se matérialisent."

Voici qques arguments simples qui ne devraient pas trop effrayer Mme Michu ( sauf la sécu bien sûr hein parce qu'avec ses problèmes de circulation hein ) .

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d'autres ont un programme différent comme nous l'apprend un article de l'IREF :

« J’embauche 17 000 fonctionnaires »

Article rédigé par Nicolas Lecaussin le 09 Jun 2011

Déclaration surprise du Ministre de l’Education Nationale. Peu importent les sureffectifs, les coûts prohibitifs de nos enseignants : les élections approchent. Où sont les promesses de maîtrise budgétaire et de réduction du nombre de fonctionnaires ? Nicolas Lecaussin, directeur du développement de l’IREF, s’interroge…

Luc Chatel, ministre de l’Education, accorde une interview au Journal du Dimanche (29 mai) dans laquelle il annonce le lancement d’une campagne de recrutement de fonctionnaires dans l’Education nationale. « J’embauche 17 000 personnes » affirme le ministre. Et il précise clairement : "la grande majorité d'entre elles seront fonctionnaires".

Bizarre façon de s’exprimer. Le ministère serait-il devenu l’entreprise appartenant à M. Chatel ? A-t-on privatisé l’Education nationale ? Pas du tout. Le ministre veut faire plaisir aux syndicats et à tous ceux qui s’inquiètent de la baisse des effectifs dans l’enseignement, alors que Nicolas Sarkozy s’était engagé à ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux partant à la retraite.

Le monde des fonctionnaires représente une très grosse part de notre Camembert national. Un électorat massif (environ 7 millions de personnes en tenant compte aussi des agents des entreprises publiques ou semi-publiques). Un monde dont on a perdu le contrôle et qu’on espère attirer dans sa nasse électorale. Peine perdue pour la droite car, les statistiques et les instituts de sondages le disent clairement, les fonctionnaires votent massivement à gauche. Alors, pourquoi essayer de leur faire plaisir ?

D’autre part, faut-il rappeler une fois de plus que le budget 2010 du ministère de l'Éducation nationale était de 60,8 milliards d'euros, en augmentation de 1,56 % par rapport à 2009. Les principaux postes budgétaires étant : l'enseignement scolaire public du premier degré : 17,6 milliards ; la vie de l'élève : 3,8 milliards ; l'enseignement scolaire public du second degré : 29 milliards ; l'enseignement privé : 7 milliards.

D'après le dernier rapport annuel (2010) de l'OCDE, la France dépenserait désormais 7213 dollars par an pour un enfant scolarisé du primaire au lycée, la moyenne de l’OCDE étant de 6313 dollars. La France dépense environ 7 % de son PIB pour l’éducation alors que la moyenne dans l’Union européenne est de 5.3 % du PIB. A-t-on besoin de plus de dépenses et de plus de fonctionnaires ou bien d’une vraie réforme de notre système éducatif, instituant une vraie liberté scolaire et une concurrence loyale entre établissements ?

http://www.irefeurope.org/content/«-j’embauche-17-000-fonctionnaires

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Invité rogermila

Période électorale oblige, Sarko se couche devant l'Ed Nat.

Nicolas Sarkozy s'est rendu dans une école primaire et maternelle de Lozère, à La Canourgue, mardi 21 juin et Il y a affirmé, campagne électorale oblige, qu’il n’y aura pas de fermetures de classes en primaire à la rentrée 2012, après les 1500 annoncées par Luc Chatel pour la rentrée de septembre 2011.

" A la rentrée 2012, nous procéderons hors démographie à aucune fermeture de classe de l'école primaire", a déclaré le chef de l'Etat .

http://elysee.blog.lemonde.fr/2011/06/19/sarkozy-en-lozere-mardi-pour-annoncer-un-moratoire-sur-les-fermetures-de-classe-a-la-rentree-2012/

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Période électorale oblige, Sarko se couche devant l'Ed Nat.

Ce n'est pas une question de période électorale mais passons.

Ce qu'il dit reste stupide : "hors démographie". Sous-entendu on va en fermer là où il y a moins d'enfants. Des fermetures qui seront instrumentalisées exactement de la même manière que les autres. Quite à devoir subir cela, autant le faire pour une vraie raison. Là ce sera et la défaite médiatique, et l'absence de gain. Chapeau l'artiste.

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ça y est, ils deviennent tous "libéraux" !! Ségolène à l'instant sur la 5 prétend être très attachée à la défense des libertés individuelles, et croit en l'égalité des chances, pas en l'égalitarisme ! ça y est on a notre candidate libérale :D

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Chasse Pêche Nature & Traditions strikes back :

Réuni ce 17 juin en Gironde, le Conseil National de CPNT a confirmé que le Mouvement présentera et soutiendra un candidat à l'élection présidentielle de 2012, passage obligé pour peser durablement sur le débat public et politique en France.

Pour porter cette candidature, le Conseil National a désigné son Président Frédéric NIHOUS, Conseiller régional d'Aquitaine et Adjoint au Maire de son village.

Il l'a chargé de représenter CPNT, ses idées et ses propositions pour une ruralité dynamisée grâce à un aménagement équilibré et équitable du territoire français.

Le candidat de CPNT s'est engagé à défendre la ruralité, ses territoires et ses populations mais aussi leurs activités économiques et leurs traditions dont la chasse et la pêche.

Il se fera également le porte-voix d'une autre écologie, rationnelle et humaine, non punitive, ancrée dans les réalités du terrain, respectant et associant les acteurs des terroirs et les populations.

Il sera le candidat du refus de l'écologie punitive, dogmatique et rétrograde, portée par les Verts et leurs alliés qui ne cherchent qu'à sanctuariser les territoires et restreindre les activités économiques et les usages traditionnels de la ruralité.

Pour CPNT et son candidat Frédéric NIHOUS, la ruralité doit être une priorité nationale et durable et non une parenthèse qui se refermerait après quelques années d'actions de l'Etat. La ruralité française n'a besoin ni de "pansement", ni de "bouclier" mais d'un plan de développement ambitieux, respectueux de son identité et des 15 millions de Français qui y vivent.

La ruralité, les traditions et le monde agricole sont l'identité de la France. Ils sont également stratégiques pour son avenir. C’est pourquoi ils se doivent d'être inscrits au cœur du débat public et politique de 2012.

http://www.cpnt.fr/i…ntielle-de-2012

Voilà qui règle la question de mon vote au premier tour.

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Chasse Pêche Nature & Traditions strikes back :

http://www.cpnt.fr/i…ntielle-de-2012

Voilà qui règle la question de mon vote au premier tour.

Un petit tour sur leur site internet:

http://www.cpnt.fr/i…ramme-politique

Plans de relance, plans d'aménagement urbain et rural, Obliger l’Etat à maintenir ou réimplanter des services publics de proximité dans tous les quartiers, y compris difficiles. Aider au maintien ou à l’installation de médecins et de services médicaux et paramédicaux dans les zones difficiles. Multiplier les services de crèche et adapter les horaires de façon plus flexible pour faciliter la vie des familles (comme en campagne, il faut tendre à ce que le lieu de travail soit le lieu de vie). Refuser l’Europe fédérale et libérale des technocrates pour construire une Europe des différences.

Anti-fachistes verts disent-ils?

Instaurer une fiscalité incitative pour l’utilisation de matériels et matériaux propres en baissant les taxes et les charges et en agissant sur la baisse de leurs prix et éviter la fiscalité de sanction. Développer les carburants propres (biocarburants) sans surcoût pour les usagers. Favoriser les modes de transport moins polluants notamment pour le fret de marchandises (rail, fluvial, cabotage) et ceux qu’utilisent l’Etat et les collectivités.Promouvoir les énergies renouvelables ne portant pas atteinte à l’environnement (pas les éoliennes, trop destructrices de l’environnement et de la faune !) de façon complémentaire à l’énergie nucléaire, grâce à une fiscalité attractive. Développer l’écoindustrie en soutenant le développement de process peu ou moins polluants. Taxer les importations de produits polluants ou producteurs de déchets polluants ; les interdire pour les plus dangereux bla bla bla.

Pas très glorieux pour le grand soir libéral tout ça, c'est légèrement mieux que l'UMPS quand même, pas suffisant pour avoir mon vote.

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Pas très glorieux pour le grand soir libéral tout ça.

On est indubitablement dans la quête du moindre mal et du signal de vote (aussi appelé ‘vote de protestation’), ce n’est pas comme si il y allait avoir une vague propulsant CPNT au second tour.

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On est indubitablement dans la quête du moindre mal et du signal de vote (aussi appelé ‘vote de protestation’), ce n’est pas comme si il y allait avoir une vague propulsant CPNT au second tour.

Voilà. RAF du grand soir libéral. CPNT n'est pas un parti politique, mais une association de défense des chasseurs et pêcheurs, des traditions et terroirs.

Leur conception d'une écologie non punitive me va très bien, comme celle d'une Europe de la coopération, décentralisée et articulée sur le principe de subsidiarité.

Voir CPNT exige plus de subsidiarité ("mieux d'Europe") :

http://www.cpnt.fr/i…rogramme-europe

l’Europe que veut CPNT : une Europe démocratique et utile !

Fidèle à ses engagements, CPNT défend sans parti pris idéologique une Europe au service des peuples et des Etats, donc une Europe de coopérations et non de politiques intégrées, qui ne sacrifie plus la démocratie à de prétendues exigences d'efficacité synonymes de «fuite en avant ».

Acteur de 1999 à 2004 au sein d'un groupe indépendant au Parlement européen regroupant outre les élus CPNT des élus de gauche comme de droite mais unis sur leur vision de l’Europe, CPNT peut confirmer que la construction communautaire actuelle est incompatible avec le respect des démocraties et des différences. L'Europe supranationale et centralisée est devenue une fin en soi, l'uniformité est la religion des technocrates, l'action en commun est l'alibi du renoncement.

L'Europe devient un Etat au-dessus des Etats, libre de définir ses propres priorités politiques et budgétaires, y compris en allant contre les intérêts vitaux mêmes de ses Etats membres. Ce système se met de plus en plus en place alors que trop de règles lointaines et tatillonnes pèsent déjà sur la vie quotidienne des citoyens et empêchent la gestion des territoires conformément aux aspirations locales et aux intérêts nationaux.

Il faut d’urgence remédier aux dysfonctionnements d'une part, et à l'échec salutaire du référendum sur la Constitution européenne de 2005 d'autre part, qui imposent de reconsidérer le rôle et le fonctionnement de l'Union européenne dans son ensemble et la place que doivent y occuper les peuples et les Etats.

Pour moi, c'est un bon vote contestataire.

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http://www.irefeurope.org/content/fran%C3%A7ois-hollande-et-la-%C2%AB-constitution-sociale-%C2%BB

François Hollande entre en campagne avec un projet spectaculaire : inscrire dans la Constitution le droit des syndicats de fixer les conditions de travail et de gérer les entreprises. Ce retour à la Constitution marxiste de 1946 est dénoncé par le Professeur Jean Philippe Feldman, administrateur de l’ALEPS.

On pouvait penser que le domaine constitutionnel serait le parent pauvre de la campagne présidentielle. En effet, le projet socialiste 2012 ne comportait rien de révolutionnaire à cet égard et il ne faisait qu’entériner le régime politique qui régit la France. Or, voilà que François Hollande, candidat à la primaire socialiste, veut « inscrire de nouvelles règles entre partenaires sociaux dans la Constitution » (« Il faut avoir confiance en la démocratie sociale », Le Monde, 15 juin 2011). Si on le comprend bien, au-delà de ses propos vagues et confus, il faudrait « élargir » le Préambule de la Constitution de 1946 en reconnaissant un domaine précis à la participation des « travailleurs » à la détermination collective de leurs conditions de travail et à la gestion des entreprises, si bien que le Gouvernement et le Parlement seraient liés par les conventions signées entre les partenaires sociaux sur des sujets précis.

Une telle proposition ne manque pas de surprendre. D’abord, elle confirme la légitimité du Préambule de la Constitution de 1946, qui a valeur constitutionnelle selon les institutions de la Ve République. C’est oublier les conditions dans lesquelles il a été adopté. La Constitution de la IVe République a été inspirée par les socialistes et les communistes, alors nourris au lait marxiste, et son Préambule est totalement contradictoire avec les valeurs libérales exposées dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. S’il fallait toucher à ce texte, on serait bien inspiré de le supprimer plutôt que de l’« élargir ».

Ensuite, alors même que la dernière réforme constitutionnelle, la révision du 23 juillet 2008 voulue par Nicolas Sarkozy, a entendu étendre les droits du Parlement, la proposition de François Hollande réussirait l’exploit de les limiter plus encore. En effet, il serait étrange de soumettre la volonté des représentants de la Nation au corporatisme.

Enfin et surtout, la proposition entend promouvoir les syndicats. Or, ceux-ci sont négligeables dans le secteur privé pour la simple et bonne raison que la quasi-intégralité des salariés ne voit pas l’intérêt d’y adhérer. Si les syndicats remplissaient leur rôle, comme c’est le cas dans certains pays du nord de l’Europe, en rendant un véritable service aux « travailleurs » plutôt qu’en stigmatisant les entreprises comme le lieu de leur exploitation et en fomentant grève sur grève, ils seraient véritablement représentatifs et ils n’auraient pas besoin de vivre sous perfusion publique.

Ce n’est certainement pas en gravant dans le marbre de la Constitution une extension de la « démocratie sociale » que l’on améliorera la situation des salariés en France, mais en laissant respirer les entrepreneurs et les créateurs de richesses.

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Invité rogermila

Devant des militants UMP, Fillon joue avec la peur, en décrivant Sarko comme un "surhomme" quasi irremplaçable dans la situation actuelle. :paris:

"Quand vous avez quelques jours pour stopper la spirale de tout un système économique et financier qui part en vrille (…) quand vous décidez de passer de l'ultimatum au déclenchement des opérations militaires en Libye, quand vous devez résister à plusieurs centaines de milliers de manifestants qui réclament l'abandon de la réforme pourtant vitale des retraites (…) quand vous êtes au centre de tout cela, eh bien, vous ne pouvez pas et vous ne devez pas être l'homme du quotidien", a fait valoir François Fillon dans son discours

http://www.liberation.fr/politiques/01012345478-fillon-attaque-hollande-sur-sa-presidence-normale

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Voilà. RAF du grand soir libéral. CPNT n'est pas un parti politique, mais une association de défense des chasseurs et pêcheurs, des traditions et terroirs.

Leur conception d'une écologie non punitive me va très bien, comme celle d'une Europe de la coopération, décentralisée et articulée sur le principe de subsidiarité.

Voir CPNT exige plus de subsidiarité ("mieux d'Europe") :

http://www.cpnt.fr/i…rogramme-europe

Pour moi, c'est un bon vote contestataire.

C'est une vision du fonctionnement de l'usine à gaz Europe qui me convient. Même si par ailleurs le programme n'est pas libéral, je vois mal un parti se présenter à l'heure actuelle avec comme programme le désengagement de l'État du domaine économique et social. Il faut en effet, considérer la moindre mal. Et de toutes façons, trouver un candidat avec lequel on est d'accord sur TOUS les points du programme est impossible. À ce jour, si je vois un parti qui annonce qu'il fera maigrir l'État et le privera de ses goinfreries, même un peu, je vote pour lui. L'idéal serait un candidat qui dise que le seul programme qu'il a c'est de ne pas en avoir parce qu'on sait bien qu'un programme ça coute des millions d'euros aux contribuables, et que, justement sans programme, ce seront obligatoirement des économies et qu'il va laisser la machine en roues libres

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Invité rogermila

Martine Aubry est candidate officiellement depuis ce matin.

C'est là qu'on va se rendre compte que le débat sur les "35 heures" qui sont son "oeuvre" est loin d'être enterré.

Il va ressurgir de plus belle coté UMP comme argument massue pour la démolir.

Sans mettre en avant de point spécifique de son programme, Martine Aubry a évoqué les grandes lignes du programme socialiste. "Je veux relever le défi d'une France innovante, compétitive et écologique", a lancé la maire de Lille. "Droit au logement", "sécurité", "retraite décente", "accès aux soins et au logement", "égalité des droits", "fiscalité rénovée"…

Martine Aubry a estimé qu'il faut "une présidente qui préside, un gouvernement qui gouverne". S'inscrivant dans une logique de "rassemblement", elle a conclu en prenant "l'engagement de la victoire en 2012".

http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/06/28/la-declaration-de-candidature-de-martine-aubry-en-direct_1541811_823448.html#ens_id=1402952

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