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Prézidentielles 2012


Présidentielles 2012  

122 membres ont voté

  1. 1. Si le premier tour des élections présidentielles françaises avait lieu aujourd'hui, pour qui voteriez vous?

    • Nathalie Arthaud (LO)
    • Jean-Luc Mélenchon (ou autre candidat du Front de Gauche)
      0
    • François Hollande (PS)
    • Arnaud Montebourg (PS)
      0
    • Ségolène Royal (PS)
      0
    • Dominique Strauss-Kahn (PS)
    • Jean-Pierre Chevènement (MRC)
    • Nicolas Hulot ou Eva Joly (EE Les Verts)
    • François Bayrou (Modem)
    • Hervé Morin (Nouveau Centre)
    • Jean-Louis Borloo (PR)
      0
    • Autre candidat centriste
    • Christine Boutin (PCD)
      0
    • Dominique de Villepin (RS)
      0
    • Nicolas Sarkozy (UMP)
    • Nicolas Dupont-Aignan (DLR)
    • Marine Le Pen (FN)
    • Frédéric Bastiat
    • Vote blanc
    • Je m'abstiendrai de voter
  2. 2. Comment vous déterminez-vous pour le choix du candidat ?

    • Opinions politiques (le moins éloigné du libéralisme)
    • Sympathie vis-à-vis du candidat
    • Provocation (volonté de perturber le système actuel)
    • Au hasard
    • Le moins pire
    • Autre


Messages recommandés

Je suis pas Belge, je suis Wallon :dentier:

Moi, c'est totalement l'inverse. Je ne me considère absolument pas comme wallon. A la limite, je me sens brabançon.

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Oui mais c'est ptet bien le seul argument qu'un frontiste puisse comprendre. Si l'argument ne passait pas à la télévision, elle ne s'en servirait pas en premier lieu.

Oui, mais m'est avis que même si tu lui prouves noir sur blanc qu'il y gagne financièrement, il te trouvera d'autres excuses. On est plus en Fraaaace m'sieur !

Moi, c'est totalement l'inverse. Je ne me considère absolument pas comme wallon. A la limite, je me sens brabancon.

En fait, j'étais pas sérieux, j'ai vécu de mes 18 à mes 26 ans à Bruxelles, et je me sens très Bruxellois aussi :)

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Le niveau monte un peu chez Atlantico.

Bon portrait de Grhollande par Federbusch, ou pourquoi le notaire de province au charisme d'huître et au discours narcotique est le stade terminal de l'évolution socialiste.

Ne pouvant rien faire, François Hollande a le courage de ne rien dire. Saluons cet exemple de cohérence en politique ! Celles et ceux qui s'énervent à l'écoute et à la lecture de ses discours creux prennent des risques pour leur santé. A quoi bon vouloir frapper un édredon avec un marteau ?

Acceptant d'entrée les contraintes de l'Union européenne, François Hollande, s'il devait devenir président de la République, après un ou deux épisodes psychodramatiques avec madame Merkel tout au plus, rentrera dans le rang. Il l'a déjà dit : il ne pourra rien faire, les Français devront subir au minimum deux ou trois années de rigueur avant d'hypothétiques lendemains qui chantent à voix très basse. Du reste, ses promesses sur l'embauche de fonctionnaires ou la fusion CSG-impôt sur le revenu sont déjà abandonnées.

Dans ces conditions, il est fort logique qu'il n'ait rien à faire espérer ni même à formuler. Son intelligence, presque son génie, consiste à donner à son impuissance le nom d'honnêteté. Il ne prendra pas les Français par surprise : il ne les prendra pas du tout.(…)

La France va mal, elle a besoin de morphine. La narcose collective porte un nom et elle a un visage, le faciès poupin d'un anesthésiste qui se penche sur la table d'opération sans qu'on sache où est passé le chirurgien. Et dire qu'on n'a même plus d'argent pour se faire assurer !

http://www.atlantico…sch-261101.html

Et la gente Anne-Marie Le Pourhiet (qui nous manquait) pourfend méthodiquement les dernières aberrations d'Eva Joly pour instaurer un calendrier new age.

Viseriez-vous la mesure dite de « l’accommodement raisonnable » selon laquelle on tranche les problèmes entre pratiques religieuses au cas par cas ?

C’est l’enfer du juriste ! Prenons le cas d’une copropriété qui interdit la présence d’objet – autres que les plantes vertes – sur les balcons. Des juifs orthodoxes y installent pourtant des tentes utilisées pour leur religion. Un procès s’en suit puisqu’ils dérogent aux règles de copropriété. Au nom de la liberté de religion, et de l’accommodement raisonnable, la Cour suprême canadienne a tranché en faveur des juifs orthodoxes alors que le contrat était bafoué. La Cour suprême a également admis que dans la Police montée, les Sikhs étaient dispensés du chapeau (lors des défilés, on remarque des trous maintenant…). De même, elle a jugé normal que des enfant sikhs puissent aller à l’école avec un poignard traditionnel… pourvu qu’il soit cousu dans le pantalon. Sans oublier l’université de MacGill qui tolère des toilettes ni-« homme », ni-« femme », mais « sans genre »…

http://www.atlantico…8.html?page=0,0

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Invité rogermila

La rumeur importante quoique à prendre avec d'extrèmes réserves, vu son égo, c'est que Sarko pourrait ne pas se représenter.

J.M Le Pen l'annonce déjà.

Dans les milieux UMP beaucoup préfèreraient voir Fillon le remplacer car la haine anti-sarko a commencé à se déchainer depuis hier avec la perte du AAA.

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La rumeur importante quoique à prendre avec d'extrèmes réserves, vu son égo, c'est que Sarko pourrait ne pas se représenter.

J.M Le Pen l'annonce déjà.

Dans les milieux UMP beaucoup préfèreraient voir Fillon le remplacer car la haine anti-sarko a commencé à se déchainer depuis hier avec la perte du AAA.

De fait, Sarkozy est coincé entre l'enclume Le Pen qui fera probablement près de 25 % et le marteau Bayrou qui va continuer à progresser tranquillement pendant la campagne. Si Sarko s'en sort sur ce coup-là je lui tire mon chapeau. Il a commis trop d'erreurs, la dernière en date étant la bêtise d'avoir fait du triple A un enjeu.

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La rumeur importante quoique à prendre avec d'extrèmes réserves, vu son égo, c'est que Sarko pourrait ne pas se représenter.

J.M Le Pen l'annonce déjà.

Dans les milieux UMP beaucoup préfèreraient voir Fillon le remplacer car la haine anti-sarko a commencé à se déchainer depuis hier avec la perte du AAA.

Marrant. Le pire c'est qu'il a ses chances, vu que l'antisarkozysme fait office de programme commun de la gauche.

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http://lelab.europe1…rine-le-pen-591

Je ne suis pas sur que Lapix se rend compte qu'elle fait des remarques libérale à Lepen…

Finalement comme les journalistes détestent Le Pen et tentent de la contredire sur tout même sur d'autres sujets que l'immigration, et que celle-ci a pris un virage clairement ultra-socialiste, ils en sont arrivés à prendre un ton plutôt libéral pour la contredire.

Finalement que Le Pen soit maintenant d'extrême gauche c'est plutôt une aubaine pour les idées libérales, elle va faire aimer nos idées. :P

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Ah, mon dieu, un bon article du NYT/CourrierInternational

Quel pays serait la France si elle renonçait aux 35 heures (qui détruisent de l'emploi), mettait en place une politique de discrimination positive pour ses immigrés musulmans (tout en pratiquant la tolérance zéro pour favoriser leur assimilation) et assignait à l'Europe des objectifs plus réalistes en tant que puissance mondiale ?

Réponse : ce serait un pays imaginaire, car rien de tout cela ne semble près d'arriver.

A moins de cent jours du premier tour de la présidentielle, les candidats se contentent d'esquisser diverses variations possibles autour du confortable quotidien des Français. Ils se contentent de bricoler, de rafistoler ou simplement de passer une nouvelle couche de peinture sur des aspects bien connus et peu risqués de la vie publique française.

Cette situation a quelque chose de surréaliste. Car ni Nicolas Sarkozy, qui préside le pays tambour battant depuis cinq ans, ni François Hollande, son rival socialiste et candidat présumé insipide, ne parlent de douloureux changements à venir.

Pourtant, leur nécessité ne fait pourtant aucun doute. En 2012, la France est un pays où :

– le taux de chômage atteint les 9,8 %, la récession est imminente et la note AAA+ n'est plus qu'un souvenir ;

– un rapport de l'année dernière pointait l'émergence de communautés musulmanes semblables à des sociétés parallèles, et un sondage du journal Le Monde révélait que 61 % des Français mettaient l'échec de l'intégration sur le compte de la mauvaise volonté des immigrés musulmans ;

– la crise de la dette européenne renforce le sentiment de subordination à l'Allemagne.

Tous les succès et le caractère unique de la France ne suffisent plus à cacher un sentiment de déclin et de perte d'identité. Alors que le pays semble confronté à un choix existentiel, les candidats répliquent par des demi-mesures et des calculs petit bras*, restant sur de timides actions quand ils devraient s'engager pleinement. Leurs programmes se contentent d'égrener des généralités et des idées isolées (littéralement : vérité, espoir, justice et détermination) plutôt que de proposer une refonte cohérente à l'échelle nationale.

En rejetant toute idée de changement structurel, les deux finalistes probables renforcent l'idée qu'en France toute réforme du système est perçue comme une menace du fait que presque tout le monde a intérêt à préserver le statu quo du rôle de l'Etat. La question de la réforme du marché du travail est ainsi la grande absente de cette campagne.

Allant à contre-courant d'une décennie où les pays d'Europe du Nord et l'Allemagne s'efforçaient de créer des cadres plus flexibles pour les dirigeants et les salariés, le gouvernement socialiste a instauré la semaine des 35 heures en l'an 2000. Aucun pays n'a suivi l'exemple français, mais cette loi, qui décourage en réalité le recrutement, est considérée comme un grand progrès. Et Nicolas Sarkozy n'a jamais tenté de toucher à ce symbole.

La deuxième grande question absente de cette campagne concerne l'islam et la société française. En 2007, Nicolas Sarkozy, alors candidat, avait reconnu que la rupture avec les immigrés musulmans nuisait à la cohésion sociale du pays et avait défendu l'idée d'une politique de discrimination positive. Cette promesse n'a été ni tenue ni réitérée. Une telle initiative serait en fait malvenue pour le président sortant, qui espère récupérer les voix des électeurs du Front national au second tour. Même les socialistes, inquiets du désamour de la classe ouvrière blanche, ne soutiennent pas le principe de la discrimination positive.

Enfin, pour ce qui est de la place de la France dans le monde et du rôle de l'Europe comme caisse de résonance de Paris – un argument récurrent en période de campagne –, la crise de la dette rend pour le moins improbable toute perspective d'un monde multipolaire avec l'Europe parmi ses principaux piliers. Les dirigeants français n'en démordent pourtant pas et ne s'intéressent à aucune alternative raisonnable, comme une aire commerciale transatlantique capable de faire contrepoids à la Chine.

En évitant tout engagement clair, François Hollande croit pouvoir parer tout risque spécifique menaçant de réduire sa marge d'avance dans les sondages. Pendant ce temps, le président sortant s'efforce d'apparaître aux yeux des Français comme un protecteur combatif et charismatique, plutôt que comme un dirigeant prescrivant des réformes pourtant nécessaires. Ce recours massif à des manœuvres dilatoires promet une campagne particulièrement pauvre en terme d'idées et de cohérence. La France, pays d'ordinaire si créatif et si audacieux, ne propose aujourd'hui rien de neuf ou de prometteur et s'apprête à choisir son nouveau président à reculons.

http://www.courrierinternational.com/article/2012/01/16/bon-sang-que-la-campagne-est-pauvre

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La vérité sur la situation de la France sort de la bouche des médias étrangers.

Je suis tout guilleret rien qu'a l'idée de lire les commentaires !

edit : ça y est, Atlantisme, Bildenberg,… la grosse artillerie de contre-argumentation est sortie !

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Qui prend le pari avec moi : à mon avis, Eva Mochy ne va pas aller au bout de sa candidature,

mmh, après 5 minutes de réflexion intensive, je me range derrière ton avis : les verts ont besoin d'un candidat pour faire un score acceptable aux présidentielles histoire de pouvoir négocier des postes aux législatives (qui sont les seules élections, avec les européennes, où ils peuvent espérer scorer un peu). Ils ont pris efa parce qu'elle ne menaçait pas son entourage (Duflot et consorts) qui lui vise les législatives. Malheureusement, la pofre efa plonche dans les sondaches, ce qui commence à les inquiéter un peu : pour négocier avec les socialistes, il faut quand même faire un score acceptable, sinon on finit par se faire traiter comme le pcf, c'est-à-dire comme plus grand chose. Alors effectivement, plutôt que de révéler son poids politique réel, les verts ont sans doute tout intérêt à se retirer pour pouvoir encore apparaître en relative relation de force avec l'appareil socialiste.

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C'est marrant, c'est mon sujet de billet demain dites donc, où j'arrive à la conclusion qu'elle accumule les gaffes pour aider les socialauds.

Roooh.

Ah tiens ! Je pense plutôt que plus elle fait des conneries, plus elle incite les socialistes à ignorer les revendications des verts en termes d'alliance politique, sans que ça ne soit voulu : le fonctionnement interne du parti vert est tellement pourri, divisé en factions prêtes à tout pour un maroquin qu'ils ont fait le choix de la candidature la plus nulle histoire d'emmerder personne en interne toujours (tout en espérant engranger un capital de sympathie auprès des électeurs pour négocier avec les socialistes).

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Je ne crois pas personnellement pour cause de politique interne au parti. Duflot a déjà négocié sa circonscription et Joly à 0,5% ça va lui permettre de se poser en seule vraie patronne.

Quelque soit l'issue de l'élection, Duflot est à mon avis la vraie patronne : Joly a été désigné parce qu'elle n'est affiliée à aucun courant interne menaçant, et une fois les élections passées, elle pourra retourner bouffer du tofu en Norvège ou prendre des vacances à Madagascar. Seulement, si elle fait un score de merde, les socialistes ne prendront peut être pas le risque de lâcher à Duflot une circonscription, parce qu'il n'y aura pas eu réserve de voix comme promis (implicitement) : une promesse est certes une promesse, mais dans le milieu politique, elles n'engagent que ceux qui les reçoivent. Dans ce cas, l'hypothèse d'un retrait de la candidature verte n'est pas impossible.

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Mmmmmmh et si on considère que le PS avait prévu l'effondrement de Joly, et que l'accord était plutôt "des circonscriptions contre une candidature inoffensive" ?

Qui vivra verra, mais je vois mal les écolos rappeler Hulot ou envoyer un de leur wannabe-ministre.

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Mmmmmmh et si on considère que le PS avait prévu l'effondrement de Joly, et que l'accord était plutôt "des circonscriptions contre une candidature innofensive" ?

Effectivement, ça paraît tout aussi plausible.

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On découvre que le FN grignote méchamment l'UMP. Bien plus que ce que les sondages et la téloche en disent. Je ne suis pas surpris.

Pas possible de voir la vidéo au boulot, j'espère que mon commentaire ne sera pas hors-sujet. Ayant passé un an à l'UMP, je me contenterais d'un avis simple.

Beaucoup de militants de base sont des sympathisants qui rejoignent bénévolement l'UMP pour promouvoir des actions plus libérales, plus réac ou plus conservatrices. Attirés par des slogans genre "Travailler + pour gagner +" ou "Les mairies de gauche gaspillent l'argent public". Les dirigeants de l'UMP sont issus de la haute (para)administration et appliquent des politiques socialistes et/ou clientélistes. C'est eux qui pèsent (et bèsent la France aussi, mais ceci n'est pas le sujet).

Le sympathisant/militant UMP est donc beaucoup moins socialiste (pas forcément libéral, y a aussi de purs conservateurs, des réacs, des clientélistes, des décmocratechrétins…). Pas étonnant que les engagés UMP ne se reconnaissent pas dans le gouvernement UMP et veulent un truc plus à droite.

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mmh, après 5 minutes de réflexion intensive, je me range derrière ton avis : les verts ont besoin d'un candidat pour faire un score acceptable aux présidentielles histoire de pouvoir négocier des postes aux législatives (qui sont les seules élections, avec les européennes, où ils peuvent espérer scorer un peu). Ils ont pris efa parce qu'elle ne menaçait pas son entourage (Duflot et consorts) qui lui vise les législatives. Malheureusement, la pofre efa plonche dans les sondaches, ce qui commence à les inquiéter un peu : pour négocier avec les socialistes, il faut quand même faire un score acceptable, sinon on finit par se faire traiter comme le pcf, c'est-à-dire comme plus grand chose. Alors effectivement, plutôt que de révéler son poids politique réel, les verts ont sans doute tout intérêt à se retirer pour pouvoir encore apparaître en relative relation de force avec l'appareil socialiste.

Voilà, c'est exactement mon raisonnement, sachant que l'enjeu va selon moi au-delà des législatives, il y a aussi les municipales prochaines (cf. soucis de Delanoe avec Duflot à Paris, etc.).

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Par ses propos débiles et agressifs, Eva Joly est utile en ce qu'elle résume le caractère répressif du mouvement vert, son envie de flicage comportemental, son sectarisme, son autoritarisme et le goût des combinaisons d'appareil. Pratiques disciplinaires apparemment contradictoires avec l'affichage d'un programme axé sur le gauchisme culturel le plus cucul visant une cientèle urbaine et bobo - humanitaire, mariage gay (la grande priorité de notre temps), abolition des prisons, droit au logement, immigrationnisme, multiculturalisme, etc.

Sous un mince vernis écologique, les questions environnentales ne les intéressent pas, du moins sous l'angle de la conservation, il ne s'agit que d'une dérivation pour donner à leurs prescriptions et potions sociétales une autorité morale, ou encore de prétextes pour créer de nouvelles taxes. Ils poussent le ridicule jusqu'à préconiser des politiques d'allocations tout en lançant des imprécations contre le consumérisme, mais se donnent une conscience planétaire en cultivant des courges bio dans des quartiers gentrifiés.

De ce point de vue, la figure d'Eva Joly confirme que l'écologie politique est une arnaque, assez éloignée d'une écologie enracinée et responsable, à resituer dans l'épidémie plus générale de charlatanisme exploitant la crédulité des contemporains et leur besoin de narcotiques.

  • Yea 1
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Par ses propos débiles et agressifs, Eva Joly est utile en ce qu'elle résume le caractère répressif du mouvement vert, son envie de flicage comportemental, son sectarisme, son autoritarisme et le goût des combinaisons d'appareil. Pratiques disciplinaires apparemment contradictoires avec l'affichage d'un programme axé sur le gauchisme culturel le plus cucul visant une cientèle urbaine et bobo - humanitaire, mariage gay (la grande priorité de notre temps), abolition des prisons, droit au logement, immigrationnisme, multiculturalisme, etc.

Sous un mince vernis écologique, les questions environnentales ne les intéressent pas, du moins sous l'angle de la conservation, il ne s'agit que d'une dérivation pour donner à leurs prescriptions et potions sociétales une autorité morale, ou encore de prétextes pour créer de nouvelles taxes. Ils poussent le ridicule jusqu'à préconiser des politiques d'allocations tout en lançant des imprécations contre le consumérisme, mais se donnent une conscience planétaire en cultivant des courges bio dans des quartiers gentrifiés.

De ce point de vue, la figure d'Eva Joly confirme que l'écologie politique est une arnaque, assez éloignée d'une écologie enracinée et responsable, à resituer dans l'épidémie plus générale de charlatanisme exploitant la crédulité des contemporains et leur besoin de narcotiques.

+1 Les verts sont avant tous à la gauche de la gauche avant d'être des écologistes, et EELV est un parti d'appoint du PS pour attirer les bobos qui veulent se donner bonne conscience, repaire d'ex-soixantehuitards opportunistes ayant trouvé un nouveau créneau politique à exploiter. A la limite les vrais écologistes responsables sont plutôt à aller chercher du côté des ruraux/pêcheurs/chasseurs que chez ces bobos.

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Ah, mon dieu, un bon article du NYT/CourrierInternational

http://www.courrieri…agne-est-pauvre

Autant je suis d'accord sur les 35h, autant la discrimination positive, j'y suis allergique. En plus d'être inefficace, je pense que ça ne ferait que renforcer un sentiment de racisme envers les immigrés qui sont censés prendre avantage du système.

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