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Université d'été du Parti Libéral Démocrate du 2 au 4 septembre


Aurel

Messages recommandés

Invité Berti

Ce n'est pas la faute à pas de chance ou à un peuple décidement très bête.

Je pense au contraire que les libéraux ont des gros examens de conscience à faire sur la manière dont ils ont défendu le libéralisme pendant plusieurs dizaines d'années en France.

Oué !

C'est la faute à Jacques Garello, Jacques de Guénin, Pascal Salin…

Pendons les haut et court une fois qu'il auront expié leurs fautes en place publique.

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Oué !

C'est la faute à Jacques Garello, Jacques de Guénin, Pascal Salin…

Pendons les haut et court une fois qu'il auront expié leurs fautes en place publique.

J'adore ta demi mesure… A part déformé les propos des autres tu fais quoi ? Et toi qui parlait de critique constructive !

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Invité Berti

J'adore ta demi mesure… A part déformé les propos des autres tu fais quoi ? Et toi qui parlait de critique constructive !

Je plaisantais.

Daniel aime beaucoup plaisanter également.

Je pense que les propos de Daniel étaient excessifs donc je m'en moquais (gentiment, je ne pense pas que Daniel prendra mal mes propos, je l'espères du moins).

Que les libéraux des années 1970, 1980, 1990 n'aient pas eu tout bon c'est normal.

Nous n'aurons pas tout bon non plus.

Et nous n'aurons pas à faire notre autocritique pour autant.

où as-tu entendu ça ?

Nulle part.

Copeau non plus.

Neuneuk non plus.

Nous entendons des voix, comme Jeanne, c'est tout.

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Invité Berti

Et toi qui parlait de critique constructive !

Plus sérieusement, mes critiques (qui se veulent) constructives encore une fois.

Pour que les gens aient envie d'adhérer au PLD en particulier (ou à un parti libéral en général) il faut à mon avis :

1 - dire clairement dans les statuts que toute alliance ne pourra se faire qu'avec l'accord des adhérents (la majorité d'entre eux)

2 - définir un programme libéral minimal concret, les premières mesures libérales que nous souhaitons voir mises en oeuvre, mesures qui seront intégrés dans le programme commun en cas d'alliance. (Par exemple : la vraie promotion au mérite dans la FP et la suppression de l'Etat providence)

Comme ça on sait ou on va et ça donne envie de s'impliquer.

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Que les libéraux des années 1970, 1980, 1990 n'aient pas eu tout bon c'est normal.

Nous n'aurons pas tout bon non plus.

Et nous n'aurons pas à faire notre autocritique pour autant.

Ma formulation était peut être maladroite, mais il ne s'agissait pas de "personnaliser" des erreurs -et certainement pas ceux que tu cites-. Il me semble qu'il s'agit d'un phénomène global et je m'incluais dans "les" libéraux, ayant moi-même apprécié la propagande libérale lorsque j'avais 17 ans (je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans….)

Si on n'apprend pas des erreurs, on ne risque pas de progresser. Donc on peut et on doit réfléchir à ce qui a foiré chez les libéraux dans la défense de leur doctrine depuis 30 ou 40 ans.

Les explications, on a contre nous l'éducation nationale, l'alliance gaullo-communiste à la sortie de guerre etc… sont exactes, mais sont aussi assez confortables pour éviter que nous libéraux, nous réfléchissions à notre façon de défendre nos idées compte tenu de notre public.

Il ne suffit pas de dire les Français sont des cons, ce pays est génétiquement étatiste, nous sommes supérieurs et c'est pour ça qu'on perd donc je me casse de ce pays.

Un commercial qui reviendrait en disant "notre produit est excellent, mais j'ai gagné aucun marché. Il faut dire que les clients sont bêtes. En plus nous avons des concurrents et, incroyable, ils disent du mal de notre produit, les méchants" serait sans doute vu comme un peu léger par son employeur.

Maintenant si ce travail t'agace parce qu'il risque manquer de respect pour les grands anciens et leur héritage, c'est dommage.

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Invité Berti

Maintenant si ce travail t'agace parce qu'il risque manquer de respect pour les grands anciens et leur héritage, c'est dommage.

Rassure toi.

Je suis tout à fait d'accord avec toi pour dire que l'on peut TOUT critiquer (on peut d'ailleurs respecter et néanmoins critiquer donc…).

Mais comme les termes que tu employais étaient forts, je n'ai pas résisté à l'envie de faire une blague.

Il n'y aucun militant libéral qui doive faire un "gros examen de conscience".

Les militants libéraux utilisent leur temps, leur énergie, leur argent pour essayer de faire avancer les idées libérales.

Au pire, malgré leurs efforts, ils n'agissent pas au mieux.

Pas de quoi avoir mauvaise conscience et s'autoflageller.

Nous en sommes tous là.

Et pour (re)prendre un exemple concret.

La direction de AL avait parfaitement le droit de penser en 2007 que l'alliance avec Bayrou était la bonne solution et je ne vais pas leur demander de faire leur "examen de conscience" pour cela.

Elle n'avait cependant pas le droit de l'imposer aux adhérents de AL (vu que la feuille de route n'était pas du tout celle là).

Là pour le coup, "le gros examen de conscience" est peut-être approprié.

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Invité Berti

Sinon Daniel, j'ai relu l'excellent article que tu avais écrit en juin 2010 sur ce que devrait être la stratégie d'un parti libéral selon toi et j'en conseille la lecture à ceux qui ne l'aurait pas lu :

http://danieltourre….du-nc-mode.html

Tu y disais déjà que les libéraux viendront dans un parti libéral s'ils ont la certitude de ne pas se faire cocufier à nouveau (pas d'alliance/soutien au Bayrou du moment).

Il ne reste plus donc qu'à leur en donner la certitude.

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Avant toute chose je précise que je suis un adhérent du PLD depuis début 2009, et que je suis admiratif des efforts déployés dans le but d'organiser des évènements de cette envergure.

Je ne serai pas présent à l'université, faute de temps. Comme malheureusement à la plupart des RDV organisés par le Parti Libéral Démocrate.

Les constats d'Aurélien sont lucides, je loue les efforts qui sont consacrés à la reconnaissance politique du mouvement libéral, et mon adhésion est en cela plus un modeste soutien financier qu'une participation active dans la vie de "l'écosystème" (d'autant que j'estime et espère que le PLD sera enfin le parti libéral qui n'ira pas tapiner à la première élection venue et perpétuer la tradition putassière de ses prédécesseurs). Je ne partage néanmoins pas son optimisme. 2017 c'est loin. Très loin. Si crise majeure il y a, le libéralisme sera accusé sans même qu'un avocat ne puisse le défendre. Ce ne sont pourtant pas les efforts des Salin, Lepage, Laurent, Nemo, des think tanks, des blogs ou la nouvelle formule de contrepoints qui manquent. Non, décidément les medias franchoulles seront toujours sourds et jugeront sans contrepartie. A moins d'un retournement insensé.

Je ne vois donc que quatre possibilités pour les libéraux :

- Peu importe de faire 0,001% aux élections pourvu que le libéralisme soit le fil de pensée de l'individu (comme le sont aujourd'hui le marxisme et l'idéologie écologique dominante). Mais je n'y crois pas. J'y crois encore moins que l'émergence d'une communauté anarcho-capitaliste en France. C'est dire.

- Arrêter de parler de libéralisme et se reconstruire une image autour du libertarianisme, peu connu en France. Like a virgin, touched for the very first time, toussa.

- L'agorisme

- La fuite

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Changer de nom ne changera rien à notre image. Ceux qui nous suivent pour attaquer nos valeurs et nos propositions continueront à nous haïr, et s'attaqueront à l'étiquette et l'image de nos fleurons quels qu'ils soient. En revanche, nous devons sans doute nous préparer à des clivages plus musclés à l'avenir. Le consensus mou social démocrate qui a longtemps distingué le PS de l'UMP d'une simple feuille à cigarette, est en train de disparaître avec la crise.

Si une vague dramatique frappait la France avec, dans son sillage, une remontée des mouvements nationalistes antilibéraux et d'un socialisme virulent, je ne serais pas partisan de tendre la joue en attendant les baffes.

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Invité Berti

Sinon Daniel,

Je suis d'accord avec toi que l'on peut et que l'on doit s'autoriser à TOUT critiquer encore une fois.

Mais le PLD fait partie du TOUT et ne doit pas être mis sur un piédestal plus que le reste.

Or à chaque fois que l'on emet une critique sur le PLD (son programme, sa campagne sur les retraites, ou ici ses statuts), on a droit à un tir de barrage.

Donc…

Cette critique ne te vise pas. Tu es parfaitement ouvert à la critique autant que je sache.

Mais est ce que le PLD l'est suffisamment ? Je ne pense pas.

Sinon, d'une manière générale, est ce que ce que fait le PLD pour faire avancer les idées libérales est bien ?

Oui.

Je pense même encore une fois que c'est "exactement" ce qu'il faut faire (aux critiques près donc).

Il faut investir la scène politique, il faut y défendre ouvertement nos idées, etc… (je précise tout de suite que je ne dis pas qu'il faut que nous fassions TOUS ça. Les associations, les blogs, etc… c'est très bien aussi. Mais je pense qu'il faut passer à l'étape suivante).

Alors pourquoi je ne rejoins pas le PLD diront certains ?

Pourquoi je n'en fait pas la promotion et que je le critique ?

Parce que je suis jaloux, prétentieux, que je n'ai pas le courage de m'engager, gnagnagna, etc… ?

La réponse est dans le texte que tu as écrit en juin 2010.

Militer dans un parti libéral, c'est ce que je veux.

Mais militer pour qu'au final le parti en question chante les louanges de Bayrou ou Morin, leur donne une aura libérale (qu'ils n'ont pas) sans qu'aucune avancée libérale concrète ne figure au programme, je n'en vois pas l'utilité.

Bref s'engager en politique, oui, il faut le faire.

Mais s'engager en politique sans garanties suffisantes que l'on ne va pas "se faire rouler", c'est une perte de temps (et tant mieux si je me trompe sur le PLD et que finalement, vous ne vous ferez pas "rouler").

D'ou les propositions d'améliorations des statuts et de l'instauration d'un programme libéral minimum concret que j'ai fait dans ce fil (qui permettraient selon moi de ne pas "se faire rouler").

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Mais le PLD fait partie du TOUT et ne doit pas être mis sur un piédestal plus que le reste.

je ne sais pas très bien ce qu'est ce "TOUT" dont tu parles, mais si ce que tu veux dire, c'est qu'il ne faut pas se prosterner devant la statuette du PLD (bientôt en vente) matin et soir, nous sommes d'accord. Le PLD propose une orientation militante parmi d'autres.

Or à chaque fois que l'on emet une critique sur le PLD (son programme, sa campagne sur les retraites, ou ici ses statuts), on a droit à un tir de barrage.

Avons-nous le droit d'avoir des divergences avec toi ? Rappelle-moi ces fameux "tirs de barrage" autres que des différences de point de vue ? Par ailleurs, l'engagement militant (politique ou non) est souvent un engagement combattif. Ceci explique peut-être un niveau un peu plus élevé que la moyenne de taux de testostérone.

Je te signale que Daniel et moi-même sommes aussi parfois l'objet de critiques internes sur des prises de position qui ne font pas l'unanimité. Ainsi va la vie associative.

Mais est ce que le PLD l'est suffisamment ? Je ne pense pas.

Le PLD n'est qu'une association d'individus, chacun ayant ses vues et sa personnalité.

Mais s'engager en politique sans garanties suffisantes que l'on ne va pas "se faire rouler", c'est une perte de temps (et tant mieux si je me trompe sur le PLD et que finalement, vous ne vous ferez pas "rouler").

C'est le propre de tout engagement dans une association, politique ou non. La vie collective est porteuse de ce type de risques. Si le bilan de nos 3 ans d'existence ne te rassure pas, je ne vois pas grand chose qui puisse s'y substituer.

D'ou les propositions d'améliorations des statuts et de l'instauration d'un programme libéral minimum concret que j'ai fait dans ce fil (qui permettraient selon moi de ne pas "se faire rouler").

C'est la responsabilité des conseillers nationaux qui représentent les membres, et ce sont eux qui sont légitimes pour ce type de décision. Nous en avons débattu et la question a été tranchée pour le moment. Une organisation a ses règles de fonctionnement, elles sont transparentes et ont été respectées jusqu'ici.

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Mais s'engager en politique sans garanties suffisantes que l'on ne va pas "se faire rouler", c'est une perte de temps (et tant mieux si je me trompe sur le PLD et que finalement, vous ne vous ferez pas "rouler").

D'ou les propositions d'améliorations des statuts et de l'instauration d'un programme libéral minimum concret que j'ai fait dans ce fil (qui permettraient selon moi de ne pas "se faire rouler").

Berti, je pense que tu ne réalises pas une chose : un parti à des statuts, une vie démocratique interne et des décisions réservées aux adhérents.

Il se trouve que tous échaudé par l'expérience AL, nous faisons en sorte que cette vie soit le plus démocratique et transparente possible sur le forum interne (http://p-l-d.fr/forum/ reversé aux adhérents) comme par contact direct. Tout le monde joue le jeu y compris pour gérer les divergences qui apparaissent.

Modifier les statuts d'un parti n'est pas une chose simple, c'est normal, cela protège des modifications express d'une majorité. Donc de toute manière cela prend du temps, une AG, des votes formels etc…

Il se trouve que d'une part, personne en interne n'a réclamé les modifications de statut que tu souhaites. J'y suis favorable, mais je n'ai pas pris le temps de le faire en mai dernier. Je ne pense pas que cela retienne beaucoup de gens d'adhérer aujourd’hui. Mais je me trompe peut être.

L'année 2012 est déjà "verrouillée" au niveau des protections. D'une part la nécessité de consulter les adhérents pour la position du PLD au présidentielle, d'autre part le nouveau conseil élu en mai dernier est très méfiant vis à vis des autres partis. A ma connaissance, à part un conseiller sur les 15, personne n'a fait campagne pour une alliance nationale avec qui que ce soit.

De plus, comme beaucoup de libéraux, on n'a pas envie de soutenir un morin ou un boorlo. Donc pour moi cette modif de statuts n'est pas urgente.

Ensuite nous avons beaucoup d'autres chats à fouetter.

Une université d'été 2011 à Tours, des tas de gens qui travaillent pour trouver le local, préparer l'arrivée des intervenants, faire des ateliers, préparer la logistique etc..

Une campagne législative à préparer, un programme à établir, une communication, la préparation des démarches administratives,

Un nouveau site web à mettre en place, des cahiers des charges, des dev etc…

Organiser les comités locaux etc…

Plus la vie habituelle du parti :

Rédiger des communiqués de presse, des tribunes etc… contact avec les médias

Organiser les débats internes sur les forums.

Donc oui, avec cette charge de travail + personne en interne n'a souhaité se lancer dans une procédure de modification de statuts + pas de nécessité en 2012 = On ne va pas mettre une demande externe, même insistante, même intéressante au dessus de cette grosse pile de taches urgentes. C'est comme ça. On verra si on en a l'occasion se présente une fois que cette pile de boulot sera évacuée.

Quant à mettre un programme parmi d'autres dans les statuts, c'est justement pas très respectueux des militants qui en interne travaillent à l'élaboration du programme, militants qui savent déjà bien ce qu'est le libéralisme et qui présenteront leur travail au conseil national au cours de l'année.

Ensuite chacun est bien sur libre d'adhérer ou non, de critiquer ou pas le PLD de l’intérieur ou de l’extérieur.

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Invité Berti

Quant à mettre un programme parmi d'autres dans les statuts, c'est justement pas très respectueux des militants qui en interne travaillent à l'élaboration du programme, militants qui savent déjà bien ce qu'est le libéralisme et qui présenteront leur travail au conseil national au cours de l'année.

Oui.

Mais ce n'est pas ce que j'ai dit.

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Il me semble que c'est aussi difficile pour un parti politique en france de ne pas etre un tout petit peu socialiste. Je parle avec énormément de monde et ils trouvent tous normal l'éducation nationale; la sécurité sociale, bref pour eux l'etat providence c'est toute leur vie. Je vois le PLD comme une bonne transition vers un pays plus libéral.

J'attends beaucoup de ce parti. Et il ya de fortes chances pour que j'adhere et/ou donne apres l'université d'été.

Tous mes encouragements

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Il me semble que c'est aussi difficile pour un parti politique en france de ne pas etre un tout petit peu socialiste. Je parle avec énormément de monde et ils trouvent tous normal l'éducation nationale; la sécurité sociale, bref pour eux l'etat providence c'est toute leur vie.

Oh mais il y a aussi des mesures étatiques qui ulcèrent la plupart des gens, surtout quand une bonne partie de la population est concernée, typiquement les radars et les taxes sur les clopes. Un parti libéral pourrait surfer sur ces questions mais en ayant l'originalité de montrer que le véritable problème c'est l'étatisme rampant qui veut contrôler votre compteur de vitesse et l'état de vos poumons.

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Je me suis fortement intéressé à la politique locale ces derniers temps, par le biais de stage et d'entretiens, et je me demande si en réalité le fait d'avoir un parti derrière soi qui ne soit pas l'UMP ou le PS n'est pas un handicap plus qu'un avantage dans certains cas de figure… Un parti libéral c'est très bien pour faire entendre la voix des libéraux au plan national, pour les mandats locaux je m'interroge. Quoiqu'il en soit je suis enchanté par la tournure que prend le PLD, et cela me donne envie de m'y rendre utile. Malheureusement je serai hors de France pour la période de l'université d'été du parti.

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Question audacieuse vu la météo.

La météo ? Elle sera excellente, mon cher Aurel.

Pour deux raisons : premièrement, on peut compter sur le micro-climat enveloppant le domaine de TODA. Car il est tout simplement inconcevable que quelqu'un qui soit toujours d'aussi bonne humeur ne bénéficie pas de conditions météorologiques optimales au quotidien. Deuxièmement, afin d'accélérer le réchauffement climatique, je ne me nourris plus qu'exclusivement de flageolets depuis maintenant deux semaines. Et vu l'ampleur que cela prends, je vous promet une arrière-saison des plus chaudes.

.. aucun problème pour le camping…

Merci beaucoup de nous accueillir, c'est éminemment sympathique de ta part.

Pour information, lors des années précédentes, quel était le nombre (approximatif) de campeurs ? J'aimerai ne pas être trop seul, puisque j'ai choisi cet option en présumant que j'aurai la possibilité de rencontrer bien plus de monde par ce biais qu'en séjournant dans un des nombreux hôtels où seront dispatchés les autres membres présents.

Si tu es sur Paris, il y a aussi des événements liborg en chair et en os ;)

Auxquels j'aurai été effectivement présents si je ne vivais pas aussi loin de la Capitale. Mais, si des événements d'ampleur sont organisés, je me déplacerai assurément : c'est juste que devoir se farcir de nombreuses heures de trajet aller-retour est relativement ennuyeux si l'événement en question ne dure que peu de temps.

J'aimerais voir débarquer toutes ces bombes qui s'affichent officiellement libertariennes sur facebook.

J'approuve ce message.

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De toute évidence la plupart sont des fake. Drole de façon de promouvoir le libéralisme…

La rumeur sur le passage éclair surprise de Javier Pastore, par contre, ne serait pas un faux, mais on n'est pas sûr. Le mieux est d'y aller pour voir par soi même.

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. Si crise majeure il y a, le libéralisme sera accusé sans même qu'un avocat ne puisse le défendre. Ce ne sont pourtant pas les efforts des Salin, Lepage, Laurent, Nemo, des think tanks, des blogs ou la nouvelle formule de contrepoints qui manquent. Non, décidément les medias franchoulles seront toujours sourds et jugeront sans contrepartie. A moins d'un retournement insensé.

Les "médias" regardent de plus en plus eux aussi internet. Et des initiatives comme contrepoints et des blogs doivent commencer à être suivies par des journalistes. Cela ne fera pas la différence mais cela permettra de prendre date.

L'express a écrit un article sur les "conseils" de H16 :

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique/etats-unis-mais-ou-est-ron-paul_1021493.html

Et d'une manière générale, si Ron Paul se maintient à un haut niveau, il devrait y avoir moyen de profiter de sa notoriété pour expliquer sa démarche. Pour l'instant c'est un OVNI complet pour les journalistes français, mais ils vont tout de même commencer à chercher qui c'est au delà du "hyperconservateur…"

Bien sur, il n'y aura pas de conversion massive des médias au libéralisme demain. Mais sur cette crise, on doit pouvoir faire passer des idées, surtout si on prend à contrepied certaines idées reçues sur le libéralisme avec l'école autrichienne.

http://www.liberation.fr/economie/01012350306-a-bas-les-monnaies-payons-en-lingots

http://eco.rue89.com/2011/06/22/cri-du-coeur-dun-liberal-creons-citoyens-nos-propres-monnaies-210400

Je ne vois donc que quatre possibilités pour les libéraux :

- Peu importe de faire 0,001% aux élections pourvu que le libéralisme soit le fil de pensée de l'individu (comme le sont aujourd'hui le marxisme et l'idéologie écologique dominante). Mais je n'y crois pas. J'y crois encore moins que l'émergence d'une communauté anarcho-capitaliste en France. C'est dire.

- Arrêter de parler de libéralisme et se reconstruire une image autour du libertarianisme, peu connu en France. Like a virgin, touched for the very first time, toussa.

A mon avis, non, ne surtout pas abandonner le mot de "libéralisme". Il est très bien. C'est notre drapeau et il couvre facilement aussi le mouvement "libertarian" (Sauf l'anarchocapitalisme).

S'il s'agit d'un Etat minimal, Frédéric Bastiat est "libertarian".

Si les américains sont obligés d'utiliser "capitalisme" ou "libertarian" pour dire libéralisme, c'est parceque la gauche étatiste leur a piqué le mot de libéral.

En France, au moins pour l'instant personne ne nous le conteste, autant le garder pour nous et le défendre. Je ne vois aucun intérêt à utilise le mot libertarian à part marquer l'idée fausse que le libéralisme serait un truc d'importation américaine.

Il faut revendiquer le terme libéral sans se cacher derrière son petit doigt comme l'on beaucoup fait des politiques libéraux au cours des dernières decennies : 'Je suis juste pragmatique, les Français doivent comprendre que…." ce qui ne veut rien dire.

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J'attends beaucoup de ce parti. Et il ya de fortes chances pour que j'adhere et/ou donne apres l'université d'été.

Voilà une idée qu'elle est bonne : http://www.partilibe…rer&a=12930&b=0 :)

L'argent est bien utilisé. Aurel suit le budget avec rigueur. Pas de dépenses somptuaires ou administratives.

Les petits ruisseaux font les grands fleuves… Avec 400 euros on peut faire une campagne d'affichage ou donner un coup de pouce à un candidat sur le terrain.

Avec tout l'argent que vous lachez à l'Etat-nounou pour qu'il se couvre de fleurs, n'hésitez pas à donner 10, 20 ou 50 euros pour qu'un parti lui balance quelques cailloux.

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A mon avis, non, ne surtout pas abandonner le mot de "libéralisme". Il est très bien. C'est notre drapeau et il couvre facilement aussi le mouvement "libertarian" (Sauf l'anarchocapitalisme).

Pourquoi pas les anarcaps?
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Je me suis fortement intéressé à la politique locale ces derniers, par le biais de stage et d'entretiens, et je me demande si en réalité le fait d'avoir un parti derrière soit qui ne soit pas l'UMP ou le PS n'est pas un handicap plus qu'un avantage dans certains cas de figure…

D'abord autant sur le plan national nous ne souhaitons pas à l'heure actuelle faire des alliances avec qui que ce soit, autant au niveau local, cela se peut se discuter.

C'est à voir selon la configuration de chaque circonscription. Mais une double/triple étiquette est envisageable (enfin le PS cela reste un peu hard…:) )

Mais compte tenu du ras le bol d'une partie de la population contre l'UMPS, il doit y avoir des choses à faire avec une étiquette PLD pure.

Nous n'avons pas à convaincre toute la population, ni chercher à être "présentable" aux yeux des étatistes, nous devons d'abord nous adresser à notre public. Des libéraux, ou des non libéraux qui ont en ras le bol des impots, gaspillages, charges sociales, classe politique pléthorique et inutile. Ces gens ne savent plus pour qui voter. Ils s'abstiennent souvent.

On a une niche de 3 à 6% à capter. Pas besoin dans un premier temps de convaincre les 94% qui restent, c'est à vrai dire plus le boulot des essayistes, des associations en amont.

Si AL n'avait pas déconné avec Bayrou, nous pourrions déjà avoir un parti libéral avec une notoriété suffisante.

Et un parti libéral à 3-6%, je vous garantis que cela suffira à rendre l'atmosphère du pays un peu plus respirable pour les libéraux, ne serait ce que parceque le discours libéral existe à nouveau dans l'arêne politique.

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Pourquoi pas les anarcaps?

Le libéralisme admet à minima la légitimité de l'Etat pour les fonctions régaliennes. Au délà, c'est l'ultime frontière, les cousins turbulents, l'univers de l'anarchie.

A ma connaissance, beaucoup de ceux qui se disent "libertarian" sont des liberaux, minarchistes ou même classiques.

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D'abord autant sur le plan national nous ne souhaitons pas à l'heure actuelle faire des alliances avec qui que ce soit, autant au niveau local, cela se peut se discuter.

C'est à voir selon la configuration de chaque circonscription. Mais une double/triple étiquette est envisageable (enfin le PS cela reste un peu hard…:) )

Mais compte tenu du ras le bol d'une partie de la population contre l'UMPS, il doit y avoir des choses à faire avec une étiquette PLD pure.

Nous n'avons pas à convaincre toute la population, ni chercher à être "présentable" aux yeux des étatistes, nous devons d'abord nous adresser à notre public. Des libéraux, ou des non libéraux qui ont en ras le bol des impots, gaspillages, charges sociales, classe politique pléthorique et inutile. Ces gens ne savent plus pour qui voter. Ils s'abstiennent souvent.

On a une niche de 3 à 6% à capter. Pas besoin dans un premier temps de convaincre les 94% qui restent, c'est à vrai dire plus le boulot des essayistes, des associations en amont.

Si AL n'avait pas déconné avec Bayrou, nous pourrions déjà avoir un parti libéral avec une notoriété suffisante.

Et un parti libéral à 3-6%, je vous garantis que cela suffira à rendre l'atmosphère du pays un peu plus respirable pour les libéraux, ne serait ce que parceque le discours libéral existe à nouveau dans l'arêne politique.

Oui, dans le cadre de la stratégie du PLD je vois plus la politique locale comme un genre de tribune publicitaire visant à préparer les élections nationales ou de plus grande importance. Il me semble aussi que le parti a une chance dans tous les scrutins de liste (municpales, régionales, européennes).

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