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L'identité sexuelle des enfants


Messages recommandés

Je viens de regarder la fiche wiki de la physiognomonie et celle de la phrénologie. Il s'agit effectivement de deux pratiques à peu près contemporaines. Je dirai plutôt que c'est bien là une manifestation du scientisme ambiant de la fin du 19ème plus qu'un charlatanisme en bon et due forme.

On a aussi la cryptozoologie, la telekinesie, etc. Cette dernière pseudo science est probablement la pire : soi disant, la télékinésie serait basée sur l'action de la force psi. Seulement, cette force a ceci de particulier qu'elle disparaît Quand on cherche à l'étudier. :online2long: pratique non?

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Mais non. Mais non…

Depuis les Grecs anciens, on sait que les moches racontent que des conneries. La sale gueule et les vilaines pensées, ça fait qu'un.

(Hein, Chitah…)

Oui, c'est la doctrine de la convertibilité des transcendantaux, qui date je crois de la scolastique espagnole - du moins sous cette identification.

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Je viens de regarder la fiche wiki de la physiognomonie et celle de la phrénologie. Il s'agit effectivement de deux pratiques à peu près contemporaines. Je dirai plutôt que c'est bien là une manifestation du scientisme ambiant de la fin du 19ème plus qu'un charlatanisme en bon et due forme.

Je ne crois pas.

Si on parle de la pratique consistant à lier le corps de l'individu à son caractère, et son tempérament, il s'agit d'un phénomène bien plus ancien et pratiqué par toutes les civilisations, ce qui témoigne sans doute d'un fond certain de vérité.

Je ferais le lien ici avec la théorie des signatures de Paracelse, et toute cette école qui consiste à lier la forme d'un être et l'âme qui l'anime.

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Je ne crois pas.

Si on parle de la pratique consistant à lier le corps de l'individu à son caractère, et son tempérament, il s'agit d'un phénomène bien plus ancien et pratiqué par toutes les civilisations, ce qui témoigne sans doute d'un fond certain de vérité.

Je ferais le lien ici avec la théorie des signatures de Paracelse, et toute cette école qui consiste à lier la forme d'un être et l'âme qui l'anime.

Je suis d'accord, et ce n'est pas en opposition radicale avec ce que j'affirme. La filiation est ancienne, même très ancienne. Ce qui change, c'est la méthode, qui s'inspire des sciences naturelles (de la zoologie) pour classer les types humains, et tout cela dans un but pratique (par exemple repérer les criminels en leur mesurant le crâne). C'est l'exemple type de l'"idéologie scientifique" dont parlait Canguilhem : une pratique politique qui se pare de l'autorité de la science pour s'imposer.

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Une petite ville du très traditionnel Etat de l'Ohio assiste actuellement à une histoire de famille pour le moins inhabituel. John et Jennifer, parents de Jack, 10 ans, viennent d'accepter la demande de leur fils qui souhaite devenir une fille. Depuis l'âge de 18 mois, l'enfant s'est toujours comporté et vu comme une fille. A l'âge de 10 ans, il est finalement allé parler à sa mère pour lui expliquer que "cela ne pouvait plus continuer comme ça", et qu'il était bien une fille

Les parents ont donc accepté la transformation et désignent leur enfant avec des pronoms féminins et le prénom "Jackie". La décision a été un peu dure à avaler pour le grand-père, qui la trouve très prématurée. Mais tous les membres de la famille, quelles que soient leurs opinions, ont décidé de soutenir Jackie et de continuer à l'aimer de la même façon. La chaîne américaine ABC a suivi la famille dans ce processus de transformation.

Un peu perturbés par l'arrivée de la puberté dans quelques mois, John et Jennifer envisagent à présent de faire prescrire un traitement hormonal à Jackie.

:popcorn:

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Ce sont quand même des histoires très marginales…

Il n'y a pas si longtemps, il n'y avait que les féministes pour nier les différences biologiques H/F, mince alors, l'ADN, les chromosomes, les hormones… c'est pas de l'astrologie !

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Les parents ont donc accepté la transformation et désignent leur enfant avec des pronoms féminins et le prénom "Jackie". La décision a été un peu dure à avaler pour le grand-père, qui la trouve très prématurée. Mais tous les membres de la famille, quelles que soient leurs opinions, ont décidé de soutenir Jackie et de continuer à l'aimer de la même façon

mondieumondieumondieu

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Mais sur le fond, :facepalm: quoi

Psychologue pour enfants à l'Université de Californie, Jay Belsky se demande si c'est la bonne façon de procéder. "Le genre de choses que les garçons aiment faire -courir et transformer des bâtons en épées- sera bientôt désapprouvé", estime-t-il. "Alors, la neutralité de genre émascule au pire la masculinité".

Je mettrai jamais mon gosse dans ce genre d'école, et financer ça par l'argent public, c'est presque scandaleux.

J'ai du mal à imaginer comment, par la suite, un parent peut mettre en garde une jeune fille contre les agissements de certains garçons (les filles qui violent d'autres filles, c'est pas légion) par ex.

Ils vont aller jusqu'où ?? Supprimer la procréation par le sexe, couper les zizis et tout le monde pareil ?!

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L'état nounou s'occupe de tout messieurs, alors allez jouer à la dinette !

Ce genre d'école immonde est la conséquence logique d'une société emasculée et pacifiste. Qu'elle soit financée par l'argent publique ajoute la colère au dégout.

Etant donné que les caractéristiques masculines (force physique, rationalisme, ambition) sont ridiculisées voir meme bannies, ils devient alors logique de vouloir éviter à son gosse de devenir un has been ou pire… un mec de droite :ninja: .

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L'état nounou s'occupe de tout messieurs, alors allez jouer à la dinette !

Ce genre d'école immonde est la conséquence logique d'une société emasculée et pacifiste. Qu'elle soit financée par l'argent publique ajoute la colère au dégout.

Etant donné que les caractéristiques masculines (force physique, rationalisme, ambition) sont ridiculisées voir meme bannies, ils devient alors logique de vouloir éviter à son gosse de devenir un has been ou pire… un mec de droite :ninja: .

Le jour mon JR II se battra dans la cours de récré je sais que je serai convoqué mais j'en ai rein à foutre, le respect dans la cours de récré ça c'est toujours gagné à coups de poing et ça ne changera pas.

Putain de merde c'est des gosses il faut bien qu'ils se battent un jour.

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La philosophe Sylviane Agacinski a eu l’occasion de s’exprimer sur cette question dans une tribune du Monde du 26 juin 2007 : « On ne semble pas remarquer que la revendication du « mariage homosexuel » ou de l’« homoparentalité » n’a pu se formuler qu’à partir de la construction ou de la fiction de sujets de droit qui n’ont jamais existé : les « hétérosexuels ». C’est en posant comme une donnée réelle cette classe illusoire de sujets que la question de l’égalité des droits entre « homosexuels » et « hétérosexuels » a pu se poser. Il s’agit cependant d’une fiction, car ce n’est pas la sexualité des individus qui a jamais fondé le mariage, ni la parenté, mais d’abord le sexe, c’est-à-dire la distinction anthropologique des hommes et des femmes ».

sur Atlantico

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Identité sexuelle: un député UMP saisit l'organe anti-secte

Jean-Marc Nesme, député de l'UMP, assimile la théorie du genre enseignée dans les manuels de SVT de 1e à une dérive sectaire. Il vient de saisir la Miviludes.

Un député UMP a écrit à la mission interministérielle de lutte et de vigilance contre les dérives sectaires pour dénoncer "la promotion de l'idéologie du gender dans les manuels scolaires", a-t-il annoncé mercredi.

"Derrière l'utilisation de l'expression 'genre' au lieu du mot 'sexe' se cache une idéologie qui cherche à éliminer l'idée que les êtres humains se divisent en deux sexes, c'est-à-dire en deux identités sexuelles distinctes", écrit Jean-Marc Nesme dans son courrier au président de la Miviludes, George Fenech.

"Les dérives peuvent être très graves pour la société"

Le député veut "saisir" la Miviludes de cette "affaire" qui s'apparente "à une dérive sectaire" et à "une instrumentalisation dont les dérives peuvent être très graves pour la société, le lien et la cohésion sociales notamment pour les jeunes et les adolescents et toutes personnes vulnérables", indique-t-il dans son courrier. "L'emprise mentale de l'action par les promoteurs (de cette théorie, ndlr), soit à titre individuel soit en micro-groupes est d'autant plus grave qu'elle risque de déstabiliser, notamment les jeunes et les adolescents, et d'altérer leur développement comme le soulignent des psychologues, des pédopsychiatres et des sociologues", affirme l'élu de Saône-et-Loire.

Après les organisations catholiques au printemps, 80 députés UMP avaient demandé fin août le retrait de certains manuels scolaires de biologie de première abordant la théorie du genre sur l'orientation sexuelle alors que des enseignants crient à la censure depuis près de deux mois. La théorie du genre, apparue au début des années 1990 aux Etats-Unis, réfute l'idée préconçue d'un déterminisme génétique de la préférence sexuelle et soutient que celle-ci est liée à des normes sociales susceptibles d'évoluer.

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/education/identite-sexuelle-un-depute-ump-saisit-l-organe-anti-secte_1027834.html#xtor=AL-447

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Lesbian couple 'dressed adopted son in girl's clothes and posted photo on Facebook'

By Richard Shears

Last updated at 10:14 AM on 12th September 2011

A six-year-old boy was dressed in girl's clothes by his lesbian foster parents and the humiliating photo was posted on Facebook, court documents have revealed.

One of the Australian women was preparing for a sex change to become a man - while her girlfriend was having fertility treatment, according to a Sydney newspaper.

The boy, given the pseudonym Campbell by the New South Wales Children's Court, has since been taken away from the couple and the Facebook picture removed.

When she learned of the boy who had been dressed in girl's clothes, former Children's Court magistrate Barbara Holborow declared: 'Oh my God - what are we doing?'

She told Sydney's Daily Telegraph that she had called for a full inquiry into the decision to place the boy with the lesbian women.

The case has caused outrage among same-sex women who said it gave the impression that lesbians were bad parents.

But Families Minister Pru Goward has demanded a full explanation from child welfare service Barnardos, which had arranged for the two women to become foster parents for the boy and his older sister.

'I am seeking advice from Barnardos to confirm that care arrangements were appropriate and the well-being of the children was paramount', she said.

The paper said the boy's story, described as one of the saddest in New South Wales, was revealed in a Supreme Court judgement posted in a document called Childlren's Law News.

The boy's birth mother had tried but failed in the Supreme Court to win back custody of her son.

But it has been learned that the new foster parents who now have him in their care have said they want to adopt him.

Campbell was 18 months old in 2006 when he was taken into care with his four stepbrothers and two stepsisters after complaints of physical and mental abuse by their parents.

In 2009 Campbell and his sister 'Abby' aged 12, were placed with the lesbian couple.

Because things did not work out for Abby she was moved from the couple and it was later that Campbell was dressed in girl's clothing and his photo posted on Facebook..

As the controversy grew in Australia yesterday, one supporter of the lesbian couple said the insinuation appeared to be that simply placing the children with a lesbian couple was the problem and that the foster care agency should have known that any woman crazy enough to be a lesbian was likely to 'humiliate' a child.

In a separate recent controversial case in Australia a man who became a donor father so a lesbian couple could have a child had his name removed from the youngster's birth certificate following the women's break-up.

A judge agreed to remove the father's name from the little girl's birth certificate after the birth mother's former partner asked a court to replace his name with her own.

http://www.dailymail.co.uk/news/article-2036384/Lesbian-couple-dressed-adopted-son-girls-clothes-posted-photo-Facebook.html#

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Si il n'y a vraiment que ça à leur reprocher, ça me choque beaucoup moins que bien d'autres choses dans ce fil. C'est certes pas très malin mais je ne comprends pas que la justice s'en mêle.

As the controversy grew in Australia yesterday, one supporter of the lesbian couple said the insinuation appeared to be that simply placing the children with a lesbian couple was the problem and that the foster care agency should have known that any woman crazy enough to be a lesbian was likely to 'humiliate' a child.

:icon_ptdr::popcorn:

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Si il n'y a vraiment que ça à leur reprocher, ça me choque beaucoup moins que bien d'autres choses dans ce fil. C'est certes pas très malin mais je ne comprends pas que la justice s'en mêle.

:icon_ptdr::popcorn:

Que la justice s'en mêle est une grosse connerie effectivement, mais une claque dans leur tronche est un moindre mal.

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C'est de la maltraitance, habiller un petit mec en gonzesse, non mais. Comment on appelle ça ? Ah oui, une humiliation.

Salope :angry3:

Je ne sais pas si c'est de l'ironie comme le pense JackieV, mais c'est ce que j'aurais dit (avec sérieux pour ma part). Si le gosse a eu l'idée lui-même de la mascarade, pour un pari avec des potes, une blague, un test, un fantasme (à 12 ans?), ok . Si c'est ses "parents" qui lui ont proposé, je trouve ça grave. Déjà si l'idée vient de lui, je trouverais ça très irresponsable de leur part de le laisser poster ça sur facebook…

12 ans, c'est le début de l'adolescence, donc un moment où c'est très important dans la tête d'un gosse de savoir s'il est une fille ou un garçon, et encore plus de savoir comment les autres le perçoivent. Alors, oui, "humiliation", ça me paraît juste comme terme. Comment foutre la merde dans la vie d'un gosse pour justifier son idéologie et l'"éduquer" différemment (ou pour son propre amusement?)

Après, savoir si la justice doit s'en mêler, je ne suis pas bien sûre qu'elle n'ait pas dépassé son domaine en choisissant qui serait digne de l'élever au départ…

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Ten-year-old boy returns to school after summer holidays as a GIRL as 'he believes he is trapped in the wrong body'

A boy of ten has returned to school dressed as a girl because he believes he was born the wrong sex, it was revealed yesterday.

The year six pupil was born a boy physically but has suffered from gender dysphoria, a disorder that makes a person unhappy with the gender they were born with.

His mother is supporting his decision. She has allowed him to dress as a girl and says he will start hormone blocker therapy – the first step to changing gender – when he is 12.

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The boy, who wishes to remain anonymous, wanted to be a girl from the age of two-and-a-half and would play with Barbie dolls rather than Action Man.

The headteacher at his primary school in Worcester gave a special assembly – attended by his parents and a police officer – to explain the change to other children and prevent bullying.

But the boy’s mother said other pupils have been more understanding than adults since he ‘came out’ as a girl over the summer holidays.

The 36-year-old said neighbours and parents had branded her son a ‘freak child’ and reduced him to tears by heckling him.

She said of her son: ‘She is within her mind a girl but she has a boy’s body. She is the same as everybody else apart from the fact she doesn’t feel right in her own body.

‘She would rather play with a doll than a car. She is a girlie girl. She wants all the latest fashions. There is nothing about her which is male.

‘It wasn’t a problem until she got to primary school at the age of seven-and-a-half. Then she would have to lie about what she got for Christmas and say a football or an Action Man when in fact she got a pair of sparkly shoes and a Barbie. Everything she was having to do was a lie.’

WHAT IS GENDER DYSPHORIA?

People with gender dysphoria, which is also known as gender identity disorder and transgenderism, experience anxiety and discomfort about the gender they were born with.

It is rare, but the number of those diagnosed is increasing due to growing public awareness.

Symptoms can begin at a very young age. Children may refuse to wear the clothes typically worn by those of their gender, or may dislike taking part in the usual games and activities.

While the cause of gender dysphoria is unknown, it is classed as a psychiatric condition.

Research into its causes is ongoing, with recent studies suggesting it has much to do with biological development.

Treatment is varied and aims to help people become content with their gender identity.

Some choose to dress and live as their preferred gender, while others take hormones that change their physical appearance.

Most transsexuals – those who have long-lasting and extreme gender dysphoria – seek to have surgery to permanently alter their sex.

In 2009, a German teenager became the youngest person to undergo Gender Reassignment Surgery for the condition – at the age of 16.

Kim Petras – born Tim - started hormone replacement therapy as part of her gender transition at age 12.

She added that her son had known he wanted to be a girl since he was two-and-a-half but was forced to act like a boy at school.

He would then act and dress like a girl when he got home but became a target for abuse as more and more people realised his secret.

His mother added: ‘We went to a performance at the school and my daughter (the boy) went as herself. Some of the parents were unhappy she was allowed to go into the school.

'They were walking past, coughing and saying: “That’s that freak family. That’s that freak child”. It’s not a phase. It’s not a choice – what child would choose to be completely miserable?

‘I don’t expect people to understand. I just don’t want people abusing my child. I don’t want her to be called a freak. I want her to be left alone. Some people need glasses. Some people are required to go in wheelchairs. My daughter needs to dress like a girl because she is a girl.’

The mother added that the school had been very understanding, as had many of her son’s classmates.

But some parents said they should have been consulted before an announcement was made to the pupils on their first day back.

One parent with a child at the school said: ‘The headteacher told all the kids that there was a kid at the school who was a girl trapped in a boy’s body.

The parents we spoke to are absolutely outraged that they weren’t consulted about this. This kid is just going to be bullied now. Why didn’t the school send us a letter?’

The school head said: ‘We operate an inclusive policy and work hard to ensure all our pupils have the support they need.

‘As part of this, we feel it is important to encourage discussion and promote understanding. We strive to make sure that all our children get the most possible out of their time here and a key part of this is helping pupils understand that all their peers are unique.’

According to the NHS, an estimated one in 4,000 people is receiving medical help for gender dysphoria. On average, men are five times more likely to be diagnosed with the condition than women.

http://www.dailymail.co.uk/health/article-2036545/Mother-sends-son-10-school-GIRL-believes-hes-trapped-wrong-body.html#

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