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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


Nick de Cusa

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Je pars à Rome donc pas de pc jusqu'à lundi. Donc ça risque d'être un peu compliqué.

Ps: dites c'est un bug récurrent que quand on écrit sur la version mobile la boîte de texte fasse comme une machine à écrire en se décalant vers la droite ou c'est juste chez moi ?

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Et au cas où tu aurais la permission de l'auteur et de l'organe.

 

L'auteur m'a communiqué son adresse e-mail, je viens de lui envoyer ma demande, avec une copie à la rédaction de CP.

 

Edit : Ca y est :

 

 

Yeah you can do a translation so long as there's a link to the original and I'm still credited as the author. 

 

As for a bio you can just use something like:

 

"Ron Cruz is a Consultant, PMP, writer and gamer from Sacramento, California. Follow him at :https://twitter.com/ronito_cruz " Or just sum up what's in the about page. As for a pic just use what's on the about page. 

 

Could you please provide me a link when it's posted? Thanks,

Ron

 

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Dans "Give people power and no responsibility and many will turn into project landmines", comment vous traduiriez "project landmines" ? Dans l'idée, il s'agit de faire foirer lamentablement un projet, mais je ne trouve pas d'expression adéquate. J'ai pensé à "boulet" mais ça ne rend pas suffisamment l'idée de sabotage. "Danger public" ?

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Dans "Give people power and no responsibility and many will turn into project landmines", comment vous traduiriez "project landmines" ? Dans l'idée, il s'agit de faire foirer lamentablement un projet, mais je ne trouve pas d'expression adéquate. J'ai pensé à "boulet" mais ça ne rend pas suffisamment l'idée de sabotage. "Danger public" ?

Bombe à retardement?

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Comment vous traduiriez "post-mortem" (au sens de "Any investigation after something considered unsuccessful, especially used of meetings, games and sports, software development, and projects of any kind") ?

 

On peut dire "post-mortem" en français ? Faute de mieux, j'ai mis "débriefing".

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Cet article bitcoinotrollesque est parfait pour CP : http://www.coindesk.com/cash-invented-seen-media-today/

 

L'article original est là : http://ledracapital.com/blog/2014/2/17/bitcoin-series-19-bizarre-shadowy-paper-based-payment-system-being-rolled-out-worldwide

 

Il faudrait peut-être contacter l'auteur pour pouvoir traduire : https://twitter.com/polemitis

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Très court :

Chute de la production pétrolière du Venezuela : http://www.cato.org/blog/venezuelas-plunging-petroleum-production

 

 

Les mots en gras sont a vérifier rapidement.

Effondrement de la production de pétrole au Venezuela

Par  STEVE H. HANKE

 

L'une des caractéristiques du socialisme et de l'interventionnisme est l'échec. Le Venezuela en est la preuve patente, après avoir passé le dernier demi-siècle à s'enfoncer dans la pauvreté. En effet, dans les années 1950, il était l'un des pays les plus développés de l'Amérique latine. Cette époque est révolue. Maintenant, c'est un cas désespéré - un État défaillant sombrant dans le chaos.

 

Comment cela se fait il ? Après tout, les réserves additionnées de pétrole et de gaz du Venezuela ne sont dépassées que par celles de l'Iran. Eh bien, il peut avoir des réserves, mais grâce à la politique malavisée du président Hugo Chavez, le Venezuela est le seul producteur majeur d'énergie qui a vu sa production chuter durant les vingt-cinq dernières années. Le tableau suivant nous raconte cette triste histoire:

venezuelan_oil_and_gas_production.jpg

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Les médias taisent-ils une répression politique violente au Venezuela ? http://reason.com/blog/2014/02/20/is-western-media-ignoring-a-violent-poli

 

Idem pour les mots en gras.

 

Les médias occidentaux tairaient la violente répression politique du Venezuela ?

Ed Krayewski | 20 Février 2014

 

Le Venezuela a assisté ces dernières semaines à des manifestations contre le gouvernement défaillant de Nicolas Maduro, et lesquelles se sont radicalisées après que le leader de l'opposition Leopoldo Lopez se soit rendu aux autorités gouvernementales, étant inculpé pour incitation à la violence.

 

Francisco Toro des Caracas Chronicles écrit qu'une campagne (vague?) de violence organisée par l’État du Venezuela la nuit dernière a changé la nature de ce qu'y est train de se dérouler dans ce pays :

 

 

Ce sont désormais des dizaines de graves violations des droits de l'homme : la Garde Nationale tire des grenades lacrymogènes directement dans les immeubles résidentiels. Nous avons des vidéos de soldats tirant sur les civils dans les rues. Et ce n'est que ce qui sort au jour le jour, sur Twitter et YouTube, avant même que la moindre enquête soit menée. Les médias en ligne sont les suivants: une ville de 645 000 habitants a été coupée d'Internet durant la répression, et ce blog lui-même a fait l'objet d'une campagne de blocage (censure?) sur Facebook.

 

Ce à quoi nous assistons, ce ne sont pas des affrontements de rue. Ce à quoi nous assistons, c'est à l'offensive d'un État pour réprimer et terroriser ses opposants.

 

Après la grande vague de répression dans les rues des grandes (et petites) villes du Venezuela la nuit dernière, je m'attendais à une réponse des grands médias internationaux ce matin. Je comprends qu'avec un freakout encore plus important et plus photogénique dans un pays d'une plus grand importance stratégique, nous ne nous retrouvions pas en tête de la une, mais je suis sidéré, en me levant ce matin, de survoler la presse et de trouver...

 

Rien.

 

 

L'article complet avec les liens ici.

 

D'après Reuters, une reine de beauté de 17 ans abattue hier constituait la cinquième victime des évènements. Le président Obama a condamné hier depuis le Mexique, l'arrestation de manifestants par le gouvernement vénézuélien et a appelé le gouvernement to address “legitimate grievances.”.

 

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Warren Buffett s'enrichit aux dépens des contribuables. http://reason.com/archives/2014/02/24/warren-buffetts-boast-at-the-expense-of

 

 

 

Warren Buffett s'enrichit aux dépens des contribuables

Comment Warren Buffet obtient t'il des propriétés si bon marché ? Facile ! Vous payez pour lui.

 

Le deuxième homme le plus riche d'Amérique, le PDG de Berkshire Hathaway, Warren Buffett, a donné dans le numéro du 17 Mars de la revue Fortune un extrait de sa prochaine lettre annuelle aux investisseurs. Le récit de deux acquisitions réussies de Warren Buffet est éclairant, mais pas tout à fait de la manière que Buffet l'entendait.

 

Les éditeurs de Fortune l'ont publié sous le titre : «lettre annuelle de Warren Buffett: Qu'est-ce que vous pouvez apprendre de mes investissements immobiliers ».

 

Buffett explique que ces achats - une ferme de 400 acres dans le Nebraska et un immeuble commercial à Manhattan "à côté de l'Université de New York" - "illustrent certains principes fondamentaux de l'investissement."

 

He goes for several hundred words, en nommant cinq points qui sont censés être illustrés par ses transactions immobilières. «Gardez les choses simples et ne tentez pas le diable », «Concentrez-vous sur la productivité future du bien que vous examinez ».

 

Ils sont tous plus ou moins fondés, mais ils occultent aussi un élément important que tous les investissements immobiliers ont en commun — Buffett les a achetés au gouvernement américain, c'est à dire à nous les contribuables, à des prix qui, rétrospectivement, semblent ridiculement faibles.

 

La lettre de Buffett révèle qu'il a acheté la ferme du Nebraska à la Federal Deposit Insurance Corporation en 1986. La Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC), appartenant au gouvernement fédéral, l'avait obtenue d'une banque reprise par celui-ci.

 

Et Buffett et ses partenaires ont acheté la propriété de New York en 1993 à la Resolution Trust Corp, un organisme gouvernemental créé pour, comme Buffett le dit, "disposer des biens des institutions bancaires ayant fait faillite."

 

Buffett continue ainsi et se vante de ses grands investissement qu'il a fait en achetant ces deux propriétés. « Maintenant, 28 ans plus tard, la ferme a triplé ses gains et vaut cinq fois -ou plus encore- ce que j'ai payé », écrit-il. Quant à l'établissement de New York, « Les distributions annuelles dépassent maintenant 35% de nos investissement initiaux en capitaux propres. De plus, notre hypothèque initiale a été refinancé en 1996 et encore une fois en 1999, ce qui a permis de réaliser plusieurs distributions spéciales totalisant plus de 150% de ce que nous avions investi. »

 

Il écrit que «les deux investissements feront un patrimoine solide et satisfaisant jusqu'à la fin de mes jours, et par la suite, pour mes enfants et petits-enfants ».

 

Il me semble que les "principes fondamentaux" de l'investissement à la Buffet que ces deux histoires illustrent sont «acheter des choses à l’État, parce que vous pouvez parfois obtenir de bonnes affaires des bureaucrates qui n'ont aucune idée de la valeur de ce qu'ils vendent, et qui ont un mandat (qui ont pour consigne de vendre ça rapidement?) pour vendre ça rapidement. »

 

En d'autres termes, tandis que Buffett se vante de ses bonnes affaires immobilières, ceux qui paient les factures sont les contribuables. Les renflouements des banques ont coûtés aux contribuables une somme estimée à 130 milliards de dollars. Les primes d'assurance que les banques paient pour la FDIC afin couvrir les faillites signifient que les banques paient moins en dividendes imposables aux actionnaires et moins en intérêts imposables aux déposants.

 

Ce qui nous amène à une autre vérité fondamentale des politiques publiques, peut-être aussi fondamentale que les fondamentaux de Buffet sur l'investissement. Le gouvernement devrait éviter le marché immobilier. Il finit par vendre des biens à des gens comme Buffet alors même que les prix sont bas.

 

L'histoire révèle également un autre point fondamental lié au premier, et également occulté par Buffet : les biens sont mieux valorisés dans des mains privées que dans celles de l'Etat.

 

Enfin, il est intéressant de noter que ces deux investissements immobiliers vanté par Buffett dans sa lettre aux actionnaires de Berkshire Hathaway ont apparemment été faits par lui personnellement, plutôt que par Berkshire Hathaway, la société publique dont il est un actionnaire important. Dans une autre affaire conclue avec le gouvernement, Buffett a mêlé les deux. Dans sa lettre du 8 Octobre 2008 au secrétaire du Trésor Henry Paulson, « Cher Hank », Buffet dessine les grandes lignes d'un accord dans lequel, selon les termes de la lettre, « la société que je dirige, Berkshire Hathaway, serait heureuse d'investir 500 millions de dollars» et “I would be willing to personally buy $100 million of stock in this public offering. (This constitutes about 20 percent of my net worth outside of my Berkshire holdings, which as you know are promised to charity.)

 

 

Je ne jalouse pas le succès que connaît Buffet dans les investissements immobiliers. En fait, je suis heureux qu'il réussisse. Mais ce sentiment est mitigé par une certaine déception lorsque je réalise que, en tant que citoyen et contribuable américain, je suis l'une des personne qui lui a vendu cette propriété à un prix si ridiculement faible.

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Fonce :) !

 

@Polemitis est ok : https://twitter.com/polemitis/status/438311540404793344

 

J'ai quasiment fini et j'ai plus trop le temps : https://docs.google.com/document/d/1EqJkFLYCxraVJgiQPAgO1GY7KU9wv4hbqBqQvaHIHnM/edit?usp=sharing

 

Au départ j'ai traduit les références « culturelles » puis en cours de route j'ai remplacé ça par des références française, je ne sais pas ce qui est le mieux. Il reste des points à corriger par ailleurs.

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