Aller au contenu

Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


Nick de Cusa

Messages recommandés

il y a 4 minutes, Séverine B a dit :

Qui a proposé ce texte à la traduction SVP ?

C'est vrai que j'aurai pu prévenir avant que j'allais faire celui-ci. C'est ce que tu veux me dire ?

 

 

 

Sinon, Séverine a eu la courtoisie de me montrer d'abord par MP quels sont les types de tournures qui peuvent être changé lors de traductions. Je le remets ici, ça peut aider d'autres contributeurs.

 

il y a 27 minutes, Séverine B a dit :

Les Services nationaux du gouvernement dit "universels" ne sont pas des cadeaux, mais bien des contrats.

Rappel : government = Etat

+ phrase incompréhensible

Ex : Les prestations sociales fournies par l'Etat ne sont pas un cadeau mais un contrat

 

 

C'est bientôt l'heure des cérémonies de diplômes, et bon nombre d'étudiants vont quitter leurs chères écoles pour rentrer dans le monde du travail. Prenons l'exemple d'un étudiant imaginaire qu'on appellera Johnny. Ses parents lui font une surprise suite à son diplôme. Ils ont décidé de prendre en charge les derniers paiements de sa voiture. Quel fantastique cadeau de fin d'études ! Johnny est fou de joie, et toute la famille est ravie.

 

Quelques mois plus tard, Johnny vit toujours à la maison de chez ses parents, mais à un travail. C'est pas extraordinaire, mais c'est un début. Un jour, sa mère lui fait remarquer que la voiture est sale et qu'elle a besoin d'être nettoyée. Hmm. Johnny acquiesce mais n'en tient pas trop rigueur. To blow off : laisser passer/laisser pisser/s'en ficher/ donc "n'en tient pas compte".Plus tard, son père l'interroge sur la dernière fois que l'huile a été changé, Heu ça s'appelle pas "faire la vidange" ?:icon_wink: et suggère qu'il serait temps d'y remédier.

 

Quelques semaines plus tard, le rideau tombe. The veil drops = le voile se lève/lumière est  faite sur...Ses parents lui explique que « puisque nous payons pour cette voiture, tu pourrais quand même en prendre soin ». C'est alors que Johnny réalise que ce que ses parents lui ont offert lors de l'obtention de son diplôme n'était pas vraiment un cadeau. Mais qu'il s'agissait plutôt d'un contrat.

 

(moi et les voitures... :) )

 

 

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

Quelqu'un pour traduire ceci ? C'est pour vendredi ou samedi, donc pas urgentissime. Merci.

 

Institut Français - Centre Saint-Louis & Istituto Acton
 present

Liberté en Amérique
A colloquium on the French Contributions to American Traditions of Freedom
 
Speakers
Dr. Samuel Gregg, Acton Institute (Michigan, USA)
Dr. Jean-Baptiste Noé, Political & Economic Historian (Paris, FRANCE)

Wednesday, 30 May 2018 
 18.00 – 19.30
Brief drinks reception to follow

Centre Saint-Louis
Largo Toniolo, 22  -   Rome (MAP)
(adjacent to the Chiesa San Luigi dei Francesi)

Languages
Lectures will be in French and English
Simultaneous Interpretation provided into Italian
Copies of texts provided in French, English and Italian

Free and Open to the public
 
RSVP
istitutoacton@acton.org

 
This brief colloquium will explore some of the specifically French contributions to the understanding of the nature and growth of freedom in America. It will illustrate how certain French scholars such as Alexis de Tocqueville, Frédéric Bastiat, and Jacques Maritain have penetrated beneath the superficial to deepen our appreciation of the ideas and paradoxes that have informed the tradition of liberty in the United States.
Lien vers le commentaire

https://reason.com/blog/2018/05/17/canadian-city-leaders-declare-anarchy-sy

 

Voilà :

 

Révélation

Une ville canadienne interdit le symbole de l'anarchie pour "haine"

 

Quand on donne à l’État le pouvoir de censurer, il faut s’attendre à ce qu’il l’utilise pour réprimer l’opposition.

 

Un petit groupe d’anarchistes radicaux vandalisant vitrines et voitures pose des problèmes à la ville d’Hamilton au Canada, en Ontario. Lors d’une manifestation en mars, certains d’entre eux ont causé près de 100 000 $ de dégâts.

 

En plus de condamner ces violences et d’essayer d’en traquer les auteurs, les efforts de lutte contre la violence ont pris une étrange et inquiétante tournure. La municipalité a ordonné à un groupe local d’anarchiste de retirer de leur siège le célèbre symbole anarchiste, considérant qu’il incitait à la haine (« hate material »).

 

Sur les contreplaqués recouvrant les fenêtre brisées de The Tower, un lieu de rencontre pour anarchiste à Hamilton, était affiché le symbole anarchiste (un A majuscule encerclé) accompagné d’une paraphrase d’une citation de l’anarchiste espagnol Buenaventura Durruti : « Nous n’avons pas peur des ruines car nous portons un monde nouveau dans nos cœurs ».

 

C’est le symbole et non la citation qui a suscité la colère de la municipalité, ce qui est déjà surprenant en soi étant donné que c’est plutôt la citation qui semble encourager les actes de vandalisme. La Ville a demandé à The Tower de retirer le symbole dérangeant pour haine. Contrairement aux États-Unis, le Canada dispose de lois destinées à censurer les discours de haine. Ces lois requièrent spécifiquement du discours offensant qu’il prône le génocide ou incite à la haine d’un « groupe identifiable ». Les groupes reconnus par ces lois sont définis par « la couleur de peau, la religion, l’origine ethnique, le sexe, le genre ou le handicap mental ou physique ».

 

Vous vous demandez lequel de ces groupes identifiables est visé par le symbole anarchiste ? La police aussi. Les responsables municipaux invoquent la police pour justifier leur demande de censure, affirmant qu’elle dispose d’une liste de symboles haineux parmi lesquels se trouve le symbole anarchiste. Mais d’après le média canadien CBC, la police fournit bien à la Ville une liste de symboles et d’images haineux mais le symbole anarchiste n’en fait pas partie.

 

Il y a pourtant bien un « groupe identifiable » que les anarchistes ont dans le viseur et qui pourrait expliquer l’attitude de la municipalité. On peut lire dans l’article de CBC :

 

Le chef du nouveau centre anti-racisme d’Hamilton, Princewill Ogban, à déclaré à CBC News qu’il n’a jamais vraiment entendu dire que le symbole anarchiste était haineux. Il a mentionné le cas en Californie d’un groupe d’anarchistes liés au nationalisme blanc, mais a précisé que ce groupe était fondamentalement un cas particulier.

 

« Jusqu’à aujourd’hui, la plupart des groupes anarchistes sont considérés comme anti-racistes et anti-haine », dit-il. « Ils sont pro-individus et anti-État. »

 

Tiens, ils sont anti-État ! D’où la volonté du maire d’Hamilton, Fred Eisenberg, cité par le Hamilton Spectator, de classer le symbole anarchiste comme discours de haine en dépit de ce que dit la loi canadienne :

 

« Les anarchistes qui étaient présents ont à l’évidence fait des choses inappropriées, donc si on fait le lien, je dirais que le symbole anarchiste est un symbole de destruction et de désordre et qui cause une crise dans une certaine région », dit Eisenberg. « Est-ce haineux ? Je pense que oui. »

 

Et cette citation est l’une des nombreuses raisons pour lesquelles les lois contre les discours de haine sont si dangereuses. La tendance naturelle de nombreux responsables politiques, lorsqu'on leur donne le pouvoir de décider quel type de discours et de communication est illégal, est de tourner le système à leur avantage pour se protéger des critiques et des adversaires idéologiques.

 

  • Ancap 1
Lien vers le commentaire
Le 20/05/2018 à 21:08, Tipiak a dit :

https://reason.com/blog/2018/05/17/canadian-city-leaders-declare-anarchy-sy

 

Voilà :

 

  Révéler le contenu masqué

Une ville canadienne interdit le symbole de l'anarchie pour "haine"

 

Quand on donne à l’État le pouvoir de censurer, il faut s’attendre à ce qu’il l’utilise pour réprimer l’opposition.

 

Un petit groupe d’anarchistes radicaux vandalisant vitrines et voitures pose des problèmes à la ville d’Hamilton au Canada, en Ontario. Lors d’une manifestation en mars, certains d’entre eux ont causé près de 100 000 $ de dégâts.

 

En plus de condamner ces violences et d’essayer d’en traquer les auteurs, les efforts de lutte contre la violence ont pris une étrange et inquiétante tournure. La municipalité a ordonné à un groupe local d’anarchiste de retirer de leur siège le célèbre symbole anarchiste, considérant qu’il incitait à la haine (« hate material »).

 

Sur les contreplaqués recouvrant les fenêtre brisées de The Tower, un lieu de rencontre pour anarchiste à Hamilton, était affiché le symbole anarchiste (un A majuscule encerclé) accompagné d’une paraphrase d’une citation de l’anarchiste espagnol Buenaventura Durruti : « Nous n’avons pas peur des ruines car nous portons un monde nouveau dans nos cœurs ».

 

C’est le symbole et non la citation qui a suscité la colère de la municipalité, ce qui est déjà surprenant en soi étant donné que c’est plutôt la citation qui semble encourager les actes de vandalisme. La Ville a demandé à The Tower de retirer le symbole dérangeant pour haine. Contrairement aux États-Unis, le Canada dispose de lois destinées à censurer les discours de haine. Ces lois requièrent spécifiquement du discours offensant qu’il prône le génocide ou incite à la haine d’un « groupe identifiable ». Les groupes reconnus par ces lois sont définis par « la couleur de peau, la religion, l’origine ethnique, le sexe, le genre ou le handicap mental ou physique ».

 

Vous vous demandez lequel de ces groupes identifiables est visé par le symbole anarchiste ? La police aussi. Les responsables municipaux invoquent la police pour justifier leur demande de censure, affirmant qu’elle dispose d’une liste de symboles haineux parmi lesquels se trouve le symbole anarchiste. Mais d’après le média canadien CBC, la police fournit bien à la Ville une liste de symboles et d’images haineux mais le symbole anarchiste n’en fait pas partie.

 

Il y a pourtant bien un « groupe identifiable » que les anarchistes ont dans le viseur et qui pourrait expliquer l’attitude de la municipalité. On peut lire dans l’article de CBC :

 

Le chef du nouveau centre anti-racisme d’Hamilton, Princewill Ogban, à déclaré à CBC News qu’il n’a jamais vraiment entendu dire que le symbole anarchiste était haineux. Il a mentionné le cas en Californie d’un groupe d’anarchistes liés au nationalisme blanc, mais a précisé que ce groupe était fondamentalement un cas particulier.

 

« Jusqu’à aujourd’hui, la plupart des groupes anarchistes sont considérés comme anti-racistes et anti-haine », dit-il. « Ils sont pro-individus et anti-État. »

 

Tiens, ils sont anti-État ! D’où la volonté du maire d’Hamilton, Fred Eisenberg, cité par le Hamilton Spectator, de classer le symbole anarchiste comme discours de haine en dépit de ce que dit la loi canadienne :

 

« Les anarchistes qui étaient présents ont à l’évidence fait des choses inappropriées, donc si on fait le lien, je dirais que le symbole anarchiste est un symbole de destruction et de désordre et qui cause une crise dans une certaine région », dit Eisenberg. « Est-ce haineux ? Je pense que oui. »

 

Et cette citation est l’une des nombreuses raisons pour lesquelles les lois contre les discours de haine sont si dangereuses. La tendance naturelle de nombreux responsables politiques, lorsqu'on leur donne le pouvoir de décider quel type de discours et de communication est illégal, est de tourner le système à leur avantage pour se protéger des critiques et des adversaires idéologiques.

 

Merci Tipiak ! Un petit nom pour être crédité (pas obligatoire) ?

Lien vers le commentaire
  • 2 weeks later...

Acceptez-le, les pays scandinaves ne sont pas socialistes

 

par Daniel Lacalle, le 8 Juin 2018

 

 

L'une des idées reçues les plus souvent entendue de la part des politiciens est que leur programme se rapproche des modèles scandinaves, et que ces pays sont les meilleurs exemples de réussite du socialisme.

 

Lorsque j'ai évoqué cela à Petteri Orpo - le ministre des Finances Finlandais - durant un dîner, il n'en revenait pas.

 

Expropriations, forte augmentation des impôts, main mise sur l'économie et subordinating the growth model est la politique défendue par les populistes et autres démagogues. C'est ce même modèle, dont beaucoup ont fait l'éloge - de Bernie Sanders à Owen Jones, Corbyn ou encore Chomsky - que l'on a entrevue au Venezuela, avant que le pays s'effondre. Ils sont depuis passés au fameux « modèle scandinave ».

 

Savez-vous ce que ces friands interventionnistes ignorent vis-à-vis des pays nordiques ?

 

Ces pays sont au top de l'indice des libertés économiques, et de la facilité à faire des affaires si on en croit la banque mondiale.

 

La propriété privée est protégée par la loi, et le capital de chacun des citoyens est entièrement privé et à l'abri de tout contrôle par l’état. Chacun des pays nordiques a réduits ses impôts, et possédait par ailleurs un taux plus bas d'imposition que les États-Unis (jusqu'à l'annonce des récentes baisses budgétaires amorcées par ces derniers).

 

L’État n'impose pas la scolarisation ou un système de santé (la plupart fonctionne via un système de franchise). Son rôle se limite à gérer et faciliter le choix entre les différents services, publics et privés.

 

Ils sont leaders dans le secteur de la banque privée, qui finance la majorité de l'activité économique (80%).

 

Ils sont leaders dans la capacité à attirer les flux de capitaux, garantissant legal security et l'investissement privé.

 

Les pays scandinaves sont également des références en matière de privatisation des organismes publics inefficaces et dans l'application d'une gestion d'entreprise privée de classe mondiale, ainsi que dans la défense des intérêts des actionnaires dans les entreprises semi-publiques (Statoil, etc.).

 

Le secteur publique n'intervient pas dans la gestion de l'économie, tout cela est laissé aux entreprises du secteur privé, qui finance notamment plus de 60% des parts dans la recherche et le développement, l’État s'appuie ensuite sur les meilleures méthodes du secteur privée en matière d’efficacité et de transparence pour les services publiques. De plus, les fonctionnaires n'occupent pas leur poste à vie. Tout l'inverse des politiques de contrôle défendues par les populistes.

 

Les pays scandinaves ont privatisé avec succès certains pans du secteur public, des télécommunications à la production et la distribution d'électricité. Même le service postal et la gestion de certaines forêts ont aussi été privatisés.

 

Il est certain qu'il est virtuellement impossible de copier aux États-Unis tout un modèle utilisé dans des pays qui possèdent moins d'habitants que la seule ville de New-York, mais le point important à retenir est que le choix, la liberté et les initiatives privées sont la pierre angulaire des sociétés scandinaves, les piliers d'une société qu'aucun démagogue ne souhaite mettre en place.

 

Alors non, le socialisme n'est pas la base du modèle scandinave. Et tous ces interventionnistes qui se servent de ces pays comme exemple, ont un modèle de gestion totalement différent en tête. Le contrôle par l’État.

 

""Les pays nordiques ne reposent pas sur le contrôle de l'économie par l'état, mais sur un système permettant à la société civile la liberté, l''initiative individuelle et la responsabilité.""

 

Je vous recommande la lecture du livre de Nima Sanandaji « Scandinavian Unexceptionalism » ou encore The secret of their success, article paru dans le journal The Economist.

 

Le succès de ces pays se fonde sur des politiques qui sont favorables au marché, qui privatisent des secteurs inefficaces, et qui garantissent la propriété privée, la création de richesse et la sécurité des investissements.

 

Ces pays savent qu'il n'existe pas d’État providence sans l'existence d'une secteur privé dynamique, d'une liberté économique et d’investissement privé, et aussi que le secteur publique soit là non pas pour absorber toute l'activité économique du pays mais pour plutôt faciliter cette activité. Ils savent qu'il n'y a pas de recettes fiscales sans un secteur privé prospère. Et ils savent, parce qu'ils ont fait l'erreur dans le passé, que la multiplication des domaines d'interventions de l'État ne conduit qu'à l'échec. C'est pourquoi ils ont rejeté le socialisme.

 

Il n'y a rien de socialiste dans les nations scandinaves. Être leader en matière de liberté économique, de libre entreprise, de défense de la propriété privée, de banque privée et de promotion de l'esprit d'entreprise est l'opposé du socialisme. Les interventionnistes veulent volontiers que l'on confonde un système de prestation sociale dans une société capitaliste avec le socialisme.

 

Le socialisme est la théorie politique et économique qui défend que les moyens de production, de distribution et de financement devraient être détenus ou contrôlés par l'État. Les pays scandinaves ne sont PAS socialistes. Ce sont des sociétés capitalistes avec un État-providence, comme la plupart des nations capitalistes l'ont fait, soit dit en passant. Les États-Unis aussi. Et ce sont les premiers qui ont compris ce que nous savons tous : le socialisme ne fonctionne jamais.

 

 

Article source Face It, Nordic Countries Aren't Socialist (Mises.org)

 

 

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

je demanderai un peu d'indulgence pour cette traduction. Y a un certain nombre de termes que j'ai laissé en rouge car ils sont spécifiques à l'économie ; certains que j'ai essayé de traduire, d'autres non. Si j'essaie pas de m'y mettre, je le ferai jamais donc..

 

Autrement, sur l'article source, il y a un graphique, mais sans source. J'ai contacté l'auteur pour en savoir un peu plus, mais si ça parle à quelqu'un ?

 

Face It, Nordic Countries Are Not Socialist

 

 

par ailleurs, l'article sur l'origine commune du nazisme et communisme est aussi en court.

 

@Mister_Bretzel sorry, on en a parlé ce matin sur un autre fil. J'aurai dû annoncer ici avant que je l'avais débuté..

  • Yea 1
Lien vers le commentaire

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
×
×
  • Créer...