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Traductions pour Contrepoints, Wikiberal et autres


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Tiré du Financial Times : « Personne n’a confiance en Washington en ce qui concerne le réchauffement climatique. »

        

           Les 841 pages de l’évaluation nationale sur le climat publiées par le gouvernement américain la semaine dernière ont été décrites comme « sérieuses », néanmoins les américains ne semblent pas convaincus.

 

Texte de l’image : Personne ne croit Washington concernant le réchauffement climatique.

Avec la guerre en Irak et l’Obamacare, le gouvernement devient une entité de moins en moins digne de confiance.

 

Information révélée par Eric Worrall

 

Le Financial Times, journal économique d’envergure internationale, et principal concurrent du Wall Street Journal, vient de publier un article mettant en valeur l’insignifiance de l’impact de l’évaluation nationale sur le climat, défendue par Obama, sur l’opinion publique.

 

D’après le journal,

 

Les américains reçoivent ce genre d’alerte depuis des décennies. Aucune n’a réussi à réveiller le pays de son apparente indifférence.

 

… Les auteurs semblent avoir oublié que le temps n’est pas la même chose que le climat.

 

L’ancien ambassadeur américain en Chine, Jon Huntsman, a écrit dernièrement qu’au cour d’un débat il s’est aperçu que « tous les candidats républicains gloussèrent en réponse à une question portant sur le changement climatique – comme si on leur avait demandé leur avis à propos de la petite souris cherchant les dents des enfants sous leurs oreillers. »

 

www.ft.com/cms/s/0/31320b68-d6ae-11e3-b251-00144feabdc0.html#ixzz31OwBG0TQ 

 

(Note – vous ne pourrez consulter qu’une partie du document à cause des pratiques éditoriales du FT. Si vous essayez de cliquer à nouveau sur le lien, le site vous demandera certainement de vous abonnez à celui-ci)

 

Le Wall Street Journal a résumé cette tendance de la sorte :

 

La bombe climatique d’Obama.

 

Il porte sur le devant de la scène des scénarios catastrophiques pour promouvoir sa personne.

 

Paru le 8 mai 2014

 

Superviser le climat terrestre – ou du moins avoir la prétention de croire que ce miracle soit possible – semble être le seul projet politique grandiose à la portée d’Obama. De ce fait il ne devrait pas être surprenant qu’après avoir réformé la santé et augmenté les taxes, la Maison Blanche se focalise de nouveau sur le péril encouru à cause du réchauffement climatique, même si celle-ci continue de jouer avec la création d’un effet de panique sans fondement scientifique.

 

Mercredi l’institution évoquée a délivré son évaluation du climat national trimestriel, faisant 829 pages.

 

http://online.wsj.com/news/articles/SB10001424052702304885404579548453104239932

 

Source : http://wattsupwiththat.com/2014/05/11/ft-no-one-trusts-washington-on-climate-change/#more-108980

 

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Pour ZH, je pense qu'on peut traduire direct ; vu leur audience, je doute qu'ils prennent la peine de répondre à tout demande d'autorisation et je crois qu'ils s'en foutent. Et je vois mal le VMI dire non à CP... Donc go.

Sinon, j'ai ceci en stock qui pourrait être pas mal :

http://www.policymic.com/articles/89165/3-months-since-legalizing-marijuana-here-s-what-colorado-looks-like

L'auteur est contactable sur Twitter à @thetomzone ; je pense qu'il serait ok pour une trad.

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@ JLouis, si tu souhaites, jette un coup d'oeil aux traductions publiées aujourd'hui, sur les quelques modifs comparées à tes soumissions, pour voir. Il n'y en a pas beaucoup.

 

Des fois c'est subtil, comme "draw" le dernier mot de l'article sur l'étiquetage de la viande, dans ce cas précis, l'image est celle d'un duel, et j'ai mis affrontement (on peut discuter du meilleur mot à mettre)

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@ JLouis, si tu souhaites, jette un coup d'oeil aux traductions publiées aujourd'hui, sur les quelques modifs comparées à tes soumissions, pour voir. Il n'y en a pas beaucoup.

 

Des fois c'est subtil, comme "draw" le dernier mot de l'article sur l'étiquetage de la viande, dans ce cas précis, l'image est celle d'un duel, et j'ai mis affrontement (on peut discuter du meilleur mot à mettre)

 

Entendu. Je suis moins actif en ce moment, j'ai mes révisions d'examen...

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J'ai réalisé la traduction ce matin d'un trait, le texte m'intéressant.

Une petite vérification s'impose comme toujours de votre part mais je pense ne pas avoir fait d'erreur après 2 relectures.

 

 

Actualité politique au Royaume Uni : Que faire de l’UKIP ?

 

            Il n’est pas facile de travailler précisément sur ce qui arrive mais il n’y a pas motifs à démentir les faits. L’année dernière, l’UKIP obtenait 6,1% des sièges. Cette année, il n’en acquière que 4%. L’année précédente, l’UKIP devait gagner 20% du total des voix (d’après la commission électorale). La BBC avançait même le chiffre de 23%. Néanmoins, la même chaîne promet un gain de 17% des voix à présent.

 

Face à cette évolution, nous ne pouvons que constater un déclin de la popularité du parti. Nous avons été également informés que l’UKIP a envoyé deux fois plus de candidats, sans toutefois avoir vérifié indépendamment cette nouvelle, mais de toute façon, il n’y a de prétendants que pour ¼ des sièges londoniens.

 

Toutes choses étant égales, la croissance des sièges auraient dû permettre l’élévation de la part des votes, puisque le nombre de sièges contestés n’a pas doublé. Cependant, les choses ne se sont pas égalisées. A l’inverse de la dernière fois, les sièges londoniens ont été disputés, un domaine dans lequel l’UKIP ne fait traditionnellement pas bonne affaire.

De plus, il apparaît que, globalement, la participation aurait été un peu supérieur à la normale, et sans aller dans les intérêts de l’UKIP. Plus l’abstention est grande, et mieux cela vaut pour l’UKIP, puisque ses supporters semblent s’investir d’avantage que ceux des autres partis. Pourtant, d’un autre côté, les élections locales et européennes coïncident. Ceci aurait dû jouer en la faveur du parti.

Avec toutes ces complications, il n’est pas aisé de l’affirmer catégoriquement mais l’UKIP a moins séduit que l’année dernière. Avec les informations déjà disponibles dans le domaine public, nous ne pouvons prétendre qu’il y a eu une vague électorale en faveur de l’UKIP, ou que Farage ait accompli son « tremblement de terre » politique. Malgré ce que certains médias insinuent, il n’y a tout simplement pas de preuves permettant de confirmer cette prévision.

D’ailleurs, quand vous cherchez à constater lucidement la situation, vous conviendrez que le seul réel impact dont Farage est l’auteur est d’avoir atteint aussi bien l’esprit que le cœur des médias et partis politiques traditionnels. L’importance de l’UKIP  dépend de cet effet.

Ed Miliband, par exemple, a affirmé que les résultats montrent par dessus tout « un fort sentiment de mécontentement » et un « désir de changement ». Nonobstant, lorsque l’on s’intéresse aux faits, c’est d’avantage un déclin de la colère que l’on peut remarquer ainsi qu’un retour sans surprise à la politique habituelle. 

Tel que les choses se profilent, sans politique cohérente et une incapacité indubitable de répondre aux attentes des électeurs, il n’y a à l’heure actuelle aucun risque pour l’ordre politique établit de prendre au sérieux l’UKIP et l’envisager comme une menace. Le parti risqué même éventuellement de contribuer à sa propre ruine comme l’on déjà vécu tous ces partis évoluant à travers la notoriété d’un seul homme. L’expérience de Mr Mosley est un exemple à cet effet.  

 

Où l’UKIP marque des points et peut encore en marquer, c’est en créant un décalage face à l’hybris politicienne ordinaire. D’ailleurs, voici à mon sens la meilleure citation concernant ces élections, et elle fut prononcée par Pat Roberts, leader conservateur du Runnymede Borough Council (RBC).

Notez que la plus forte participation électorale de la soirée pour le Council s’activa à Foxhills avec 37,7%, et le plus faible gain s’enregistra à Englefield Green East, avec 26,4%. Roberts se montra, comme il le confesse : « satisfait des résultats. » Il est d’ailleurs à pointer que Mr Roberts vient tout juste de maintenir son siège à Englefield Green East.

Aussi longtemps que la victoire est finalement ce qui compte, l’UKIP a encore le potentiel pour déstabiliser le système. L’UKIP sert de miroir reflétant la stupidité et l’inadéquation du système entier. Ce n’est pas un remplaçant ou une alternative, mais un parfait perturbateur.

En outre, pour traiter avec l’UKIP, le système doit d’abord s’examiner. Il doit changer, et alors ce parfait perturbateur perdra son utilité. Mais puisque qu’il semble que le système est incapable d’entreprendre sa réforme, ou même simplement tenter de repérer ses faiblesses, il reste un important travail à faire pour l’UKIP.

 

Source : http://eureferendum.com/blogview.aspx?blogno=84963

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n'en acquieRT

en la faveur du parti <- en faveur du parti

supérieurE à la normale

l’ordre politique établit  <- l’ordre politique établi

Le parti risqué même éventuellement  <- Le parti risquE même éventuellement

 

 

Merci JLouis pour cette nième traduction. Révise quand même hein !

Edited by Vincent Andrès
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