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Nick de Cusa

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En finir avec la violence par arme à feu : le bon sens contre la magie.

 

 

Ce qui passe pour une réflexion sur la prévention de la violence par arme à feu n’est en rien une réflexion. La réflexion (dans le sens de solutionner des problèmes) est une recherche des moyens qui peuvent être raisonnablement mis en place pour atteindre un objectif. Par raisonnablement, j’entends la fourniture d’arguments justifiés pour démontrer à des  personnes raisonnables la connexion entre les moyens et les fins. Ce que nous avons de la part des défenseurs du contrôle des armes n’est en rien cela : à la place, ils se positionnent dans une croyance mystique selon laquelle prononcer certains mots – c’est-à-dire codifier la bonne incantation -  permettra d’atteindre l’objectif.

 

Nous savons que ces derniers croient en la magie plutôt qu’en la logique parce que ceux qui proposent de restreindre les droits individuels concernant la détention d’armes considèrent qu’il n’y a pas besoin d’expliquer pourquoi leur proposition réduirait ou stopperait la violence par arme à feu. Pour eux, il est suffisant de déclarer solennellement que cela sera le cas et d’invoquer des sondages montrant qu’une majorité de gens y croient également, quel que soit ce qui est proposé.

 

Qu’est-ce que la croyance a à voir avec cela ?

 

Faire voter « des lois de bons sens sur les armes à feu » empêcherait des tueries de masse, disent les défenseurs du contrôle des armes. La vérification « universelle » des antécédents des détenteurs d’armes est la proposition la plus populaire. Néanmoins, comment expliquer que cela permettrait d’atteindre l’objectif ? Non seulement ce n’est pas expliqué ; les gens supposément payés pour poser ce type de questions – les journalistes -  ne le font jamais. La plupart opère également sur la base de croyances mystiques.

 

Analysons l’argument relatif à la vérification des antécédents. Le terme indique que tous les acheteurs d’armes à feu en devenir devraient se soumettre à une vérification. Même en laissant de côté les récents meurtriers de masse qui ont validé les vérifications d’antécédents, nous savons que les vérifications universelles sont impossibles quel que soit la législation en place car les acheteurs sur le marché noir, les trafiquants d’armes, et ceux à qui l’on a donné des armes ne seront pas inclus dans le processus.

 

Des objections similaires s’appliquent aux autres propositions mystiques du lobby anti arme à feu. Chacune de ces propositions laisserait sans contrôle ceux qui obtiennent leurs armes par des canaux déjà illégaux. Nous ne pouvons pas raisonnablement attendre que les personnes qui prévoient de commettre des attaques violentes soient découragées par des restrictions supplémentaires relatives à l’achat et à la possession d’armes.  La non-prise en compte obstinée d’une telle évidence est le signe d’une croyance mystique.

 

Nous assistons aux mêmes effets dans l’approche du type « santé mentale » pour empêcher la violence par arme à feu. Certains conservateurs apprécient cette approche probablement parce que cela détourne l’attention des armes. Mais, en proposant, comme Mike Huckabee et d’autres l’ont fait, que le gouvernement «doit faire un meilleur travail sur le sujet de la santé mentale » - quoique cela signifie -, cela ne nous apprend rien sur la façon dont cela empêcherait la violence par arme à feu. Qu’est ce qui justifie la croyance selon laquelle des psychiatres et autres spécialistes du domaine pourraient prédire avec une précision raisonnable qui commettra des meurtres de masse ? (Les psychiatres ne sont pas connus pour être compétents quand il s’agit de prédire qui deviendra violent parmi leurs propres patients). N’est-ce pas plus probable que des personnes qui n’auraient jamais commis  d’actes violents soient droguées et emprisonnées (dans des « hôpitaux »), pendant que d’autres, qui n’ont jamais été suspectées d’être dangereux, commettraient des actes terribles ? En entendant des phrases comme « faire un meilleur job en terme de santé mental », on frémit en pensant aux implications sur les libertés civiles. Voulons-nous que la police ait une unité d’anticipation des crimes ?

 

En opposition avec les incantations proposées par les professionnels de la politique publique mystique, les défenseurs du droit aux armes proposent des mesures qui peuvent être raisonnablement efficaces pour empêcher ou réduire l’étendue des meurtres de masse : par exemple, supprimer les zones, listées par le gouvernement, à l’intérieur desquelles les armes sont interdites (les propriétaires terriens devraient bien sûr être libres d’exclure les armes à feu, sinon c’est stupide). Il est en effet improbable que les personnes malintentionnées respectent les zones avec armes à feu interdites, mais les gens plus tranquilles le feront. C’est pourquoi ces derniers seront sans défense contre des agresseurs. Les zones sans armes à feu seront alors des invitations au meurtre de masse. Le refus de valider cet état de fait est également le signe d’une croyance mystique.

 

Lorsque cette objection aux zones sans armes est développée, les défenseurs du contrôle des armes répondent typiquement que la réponse à la violence des armes ne peut pas être « plus d’armes ». Mais quand les agresseurs sont les seuls avec des armes, qu’est ce qui serait nocif dans l’idée d’avoir plus d’armes si ces dernières sont entre de bonnes mains ? Supprimer les zones sans armes aurait pour effet  de mettre des armes dans les mains des innocents présents sur la scène de l’attaque. Alors qu’aujourd’hui, les seules personnes avec des armes sont les tueurs et la police, qui peut être à des kilomètres (trop souvent, les tueurs sont de la police). La connexion logique entre les moyens et les fins est ici claire. Si des tueurs de masse en devenir suspectait qu’il rencontrerait de la résistance plus tôt, ils seraient peut-être découragés à l’idée de lancer leurs attaques. Et même si ce n’est pas le cas, les chances de minimiser une attaque seraient objectivement meilleures si certaines cibles du tueur étaient armées.

 

Une autre mesure raisonnable serait de supprimer toutes les restrictions, comme les permis exigés, sur le port visible ou invisible d’armes à feu. Encore une fois, le lien entre les moyens et les fins est ici très clair. Le port invisible peut être identifié à un passager clandestin : quand les gens sont libres de porter des armes non visibles, les agresseurs, qui préfèrent clairement les victimes désarmées, ne sauront pas qui porte une arme et qui n’en porte pas. Cette mesure de dissuasion – cette externalité positive - pourrait sauver des vies humaines.

Les partisans du contrôle magique des armes refusent de reconnaitre que l’on ne peut pas efficacement déléguer son droit à l’auto-défense ou sa responsabilité associée. Avec assez d’argent, on pourrait mettre en place une assistance à l’auto-défense, mais peu de gens seront en capacité de s’offrir une défense 24h/24. L’idée selon laquelle le gouvernement serait responsable de notre sécurité est un mythe, puisque il ne promet pas une protection personnelle à toute heure et ses officiers ne sont légalement pas obligés de vous protéger même si une attaque se passe sous leurs yeux. Le seul défenseur dont vous avez la garantie qu’il sera présent pendant une attaque à votre encontre est vous-même.

 

Ceux qui croient dans le droit de porter des armes ont le bon sens de leur côté quand il s’agit de réduire les meurtres de masse. Ceux qui font preuve d’une croyance mystique ne l’ont pas. 

 

https://reason.com/archives/2015/10/04/ending-gun-violence-common-sense-versus

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http://notrickszone.com/2015/10/10/inconvenient-truths-2014-global-natural-disasters-down-massively-no-trend-in-tornadocyclones-since-1950/#sthash.kn9QmWNd.ZFPNVOVj.dpbs

 

 

Vérités génantes : les catastrophes naturelles sont en chute libre en 2014 !.... Aucune tendance ne se dégage concernant les cyclones et tornades depuis 1950.

 

Plus de gens, plus de richesse et moins de pertes. C’est ce que nous disent les dernières statistiques recensant les catastrophes naturelles de l’année 2014. C’est une mauvaise nouvelle pour les tenants de la théorie de l’apocalypse.

La Fédération Internationale de Croix-Rouge basée à Genève en Suisse a récemment fait paraitre son rapport 2014 sur les catastrophes naturelles, nous apprend le journal en ligne allemand Bild. Les nouvelles sont bonnes – notamment des pertes moins importantes que les années précédentes.

 

De plus, l’activité des tornades aux Etats-Unis reste à l’équilibre depuis 1950. Quant à celle des cyclones, elle décroit.

Une copie des résultats du rapport est disponible ici. La synthèse est la suivante (les points importants sont en gras) :

 

« Encore à la baisse : les pertes financières causées par des catastrophes naturelles en 2014 sont en dessous de la moyenne.

 

La totalité des catastrophes naturelles en 2014 ont engendré une perte financière de 132 Md$, soit 37% de moins que la moyenne des 10 années précédentes (211 Md$). Ces pertes concernaient 258 évènements différents, à comparer avec une moyenne de 260 pour les 10 années précédentes.  Ces catastrophes ont causé des pertes estimés à 39 Md$ pour les biens assurés, soit 38% de moins que la moyenne des 10 années précédentes (63 Md$). Cela représente les pertes les plus faibles depuis 2009. 2014 a été la seconde année consécutive avec des pertes en-dessous de la moyenne. Nous pouvons citer comme incidents majeurs en 2014 :

-          les inondations importantes en inde, Pakistan, Chine et Europe du Sud ;

-          les orages convectifs aux Etats-Unis, en France et Allemagne, dont les dégâts ont couté des milliards de dollars ;

-           des tempêtes hivernales au Japon et aux Etats-Unis ;

-          Des sécheresses étendues aux Etats-Unis et au Brésil.

Les trois catastrophes les plus courantes (inondations, cyclone tropical, météo critique) représentent 72% des pertes financières en 2014. Bien que 75% des pertes aient lieu en dehors des Etats-Unis, ces derniers comptent encore pour 53% des pertes sujet à une assurance, en vertu d’une pénétration plus élevée des mécanismes assurantiels dans ce pays. »

Selon les données de la Croix-Rouge, de nombreuses victimes sont dues au froid, dont 505 dans un seul pays – le Pérou ! Parmi les catastrophes les plus meurtrières, il y a en effet les hivers brutaux aux Etats-Unis et au Japon – ce n’est pas ce qu’on pourrait attendre d’un « réchauffement climatique. »

 

Le nombre de victimes en baisse de 90%

 

8186 au total sont morts en 2014 suite à des catastrophes naturelles. BILD rapporte : ‘’ le nombre de victimes de catastrophes naturelles a été de presque 90% inférieur à la moyenne des 10 dernières années (76 500 victimes). C’est une excellente nouvelle, que vous n’auriez jamais entendu dans les média !

 

Au plus bas depuis 10 ans

 

Selon la Croix Rouge, dans 94 pays comptabilisés, il y a eu au total 317 inondations, tremblements de terre, feux de forêts, cyclones et un certain nombre d’autres catastrophes causant des victimes. « Ce fut l’année avec le plus faible nombre de victimes en dix ans », rapporte BILD.

 

Le rapport de la Croix-Rouge insiste également sur le fait que cette nouvelle reste une mauvaise nouvelle, peu importe la tendance, et alerte sur le fait que ces bonnes nouvelles ne dureront pas. Pour appuyer ce point, il indique qu’il y aura plus d’évènements climatiques sévères dans le futur (sans indication de date), à cause du réchauffement climatique.

 

Ouragan : rien à signaler pour les ouragans de catégorie 3 en 9 ans

 

Les données montrent néanmoins le contraire. Par exemple, en termes d’ouragans, le rapport de l’AON mentionne en page 12 :

« Concernant les ouragans sur la côte atlantique, l’année 2014 marque la neuvième année consécutive durant laquelle les Etats-Unis n’ont pas subi d’ouragan de catégorie 3+, ce qui augmente ainsi le record d’une année supplémentaire. Ce fut aussi l’année la plus calme en termes d’orages ‘dénommés‘ depuis 1997. »

 

Il est donc éblouissant que certaines personnes soient en train d’effrayer tout le monde en disant que la situation est pire que tout alors que c’est exactement l’inverse.

 

Tornade : une année parmi les moins actives depuis que le radar à effet Doppler a démarré

 

 En ce qui concerne l’activité des tornades aux Etats-Unis, c’est plus ou moins la même chose. Le rapport précise en page 17 :

« Pour la troisième année consécutive, la saison des tornades aux Etats-Unis a été l’une des moins actives depuis que le radar à effet Doppler a démarré son déploiement au début des années 90.

Voici le graphique des 10 dernières années – il n’y a aucun changement :

 

XXXXXXXXXXXXXX  GRAPH XXXXXXXXXXXXX

 

En page 18, un graphique, qui représente le nombre d’hectares brulées par des feux sauvages, montre que 2014 était proche de la surface la plus faible de la décennie :

L’appendice du rapport fournit aussi des graphiques supplémentaires sur les tendances des ouragans et tornades depuis 1950. Ce qui suit est un graphique montrant les ouragans aux Etats-Unis :

 

XXXXXXXXXXXXXX  GRAPH XXXXXXXXXXXXX

Pas de tendance particulière concernant les ouragans. Source: NOAA IBTrACS historical tropical cyclone database

 

Les tornades violentes en baisse

 

« Depuis 1950, la tendance globale de tornades violentes notées F3/EF3 ou plus est restée presque la même et démontre même une légère baisse annuelle de 0,8%. Une baisse comparable de 1,2% est également visible lorsque nous regardons les données (fiables) depuis la mise en place des radars à effet Doppler en 1990. Lorsque nous décomposons les données sur les dix dernières années seulement, il y a une croissance similaire quasiment neutre de 0,5%. »

Voici le graphique :

 

XXXXXXXXXXXXXX  GRAPH XXXXXXXXXXXXX

 

Nous pouvons noter que les tornades violentes étaient considérablement plus fréquentes entre 1950 et 1975 – pendant la période de l’Age de Glace !

 

Donc, la prochaine fois que des alarmistes hystériques insistent sur le fait que les météos extrêmes empirent, envoyez leur le lien du rapport et dites-leur de regarder les chiffres pour une fois.

 

j'ai simplement traduit "hurricane landfall" par ouragan car je crois comprendre qu'un ouragan touche forcément terre (ie. landfall). Il n'y aurait donc pas besoin de traduire "landfall".

A prendre avec des pincettes, je ne suis pas un spécialiste.  :(

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Yes ! Si tu traduis, on prend ;)

 

https://reason.com/blog/2015/10/15/a-new-whistleblower-exposes-americas-dro

 

Un nouveau lanceur d'alerte expose les assassinats commis par les drones américains.

Des victimes non-ciblées listées comme des «ennemis tués au combat» sans aucune preuve réelle.

 

Voilà qu'apparait un nouvel Edward Snowden, et celui-ci a eu assez de la façon dont l'Amérique tue des gens avec ses drones.  La source s'est révélée avec un nouveau paquet d'informations classifiées qui soulignent le véritable risque des frappes de drones et rend clair que les responsables américains savent très bien qu'ils sont en train de faire des centaines de victimes qui ne sont pas leurs objectifs réels.

 

Jeremy Scahill et les journalistes de 'The  Intercept' (NdT: Connu pour relayer les révélations d'E. Snowden) ont reçu toutes les données de la part de cette personne anonyme qu'ils nomment leur «source». Dans une série d'articles intitulée ‘The Drone Papers’, 'The  Intercept' décrit l'énorme bureaucratie, les erreurs techniques, et les rouages internes des frappes de drones meurtrières des Etats Unis.

 

La série d'articles est très importante ainsi je recommande aux gens trop occupés de lire au moins la première section, ‘The Assassination Complex’ qui résume excellemment bien tous les problèmes du programme. Les autres chapitres approfondissent chaque composante:

 

La source a souligné le manque de fiabilité des métadonnées, le plus souvent issues d'interceptions de communications téléphoniques et informatiques. Ces sources d'information, identifiées par ce qu'on appelle des 'sélecteurs' tels qu'un numéro de téléphone ou une adresse e-mail, sont les principaux outils utilisés par l'armée pour trouver, localiser et détruire ses cibles. "Il faut une foi énorme dans la technologie qu'on utilise" a dit la source. "J'ai rencontré d'innombrables cas dans le renseignement où c'était une erreur". Ceci, dit-il, est un facteur primaire dans les meurtres de civils. "Il est impressionnant de voir le nombre de cas où les 'sélecteurs' sont attribués par mégarde à certaines personnes. Et ce n'est que plusieurs mois ou années plus tard qu'on se rend compte que tout le temps où on avait pensé se rapprocher d'une cible majeure,  c'était à chaque fois du téléphone de sa mère."

 

Dans le monde des opérations spéciales, poursuit la source, le sentiment interne sur les gens traqués par les Etats-Unis en vue d'une éventuelle mort par frappe de drone est: "Ils n'ont aucun droit. Ils n'ont aucune dignité. Ils n'ont pas d'humanité. Ils sont juste un 'sélecteur' pour un analyste. Si on saisit finalement le cycle de vie de la cible  qu'on suit, on ne la mentionne même pas par son nom réel." Cette pratique, dit-il, contribue à "déshumaniser les gens avant même d'avoir à se poser la question morale de 'est-ce un assassinat légitime ou pas?'"

 

De l'aveu même de l'étude ISR (NdT: Audit interne du Pentagone, qui fait partie des révélations), tuer des terroristes présumés, même si elles sont des cibles «légitimes», entrave encore plus le renseignement.  L'étude secrète affirme sans ambages: "Les opérations d'assassinat réduisent de manière significative les renseignements disponibles." Un graphique montre que les actions des opérations spéciales dans la Corne de l'Afrique ont donné lieu à des captures seulement 25 pour cent du temps, indiquant un lourd penchant vers les frappes mortelles...

 

La Maison Blanche et le Pentagone se vantent que le ciblage du programme de frappe létale est précis et que les morts de civils sont minimes. Toutefois, les documents détaillant une campagne d'opérations spéciales dans le nord-est de l'Afghanistan, Opération Haymaker, montre que, entre Janvier 2012 et Février 2013, les frappes aériennes des opérations spéciales US ont tué plus de 200 personnes. Dans ce nombre, seulement 35 étaient les cibles visées. Pendant une période de 5 mois de l'opération, selon les documents, près de 90 pour cent des personnes tuées dans les frappes aériennes n'étaient pas les cibles visées. Au Yémen et en Somalie, où les Etats-Unis a des capacités de renseignement beaucoup plus limitées pour confirmer que les personnes tuées sont les cibles visées, les ratios pourraient bien être bien pire.

 

"Toute personne surprise dans le voisinage est coupable par association", dit la source. Lorsqu'"une frappe de drone tue plus d'une personne, il n'y a aucune garantie que ces personnes méritaient leur sort. ... C'est donc un pari hallucinant."

 

Il y aura sans doute plus à venir.

 

 

 

 

Un peu galère les citations dans les citations d'une citation 

 

 

 

A+

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