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La compétition, c'est le mal ?


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Longtemps louée comme un puissant moteur de progression, la rivalité est de plus en plus remise en question.

Jacques Lecomte, chargé de cours à l'université Paris-Ouest-Nanterre et auteur de La Résilience. Se reconstruire après un traumatisme (Éd. Rue d'Ulm), mène actuellement des recherches sur les liens entre générosité, altruisme et bien-être. Il explique comment fonctionnent les ­zones cérébrales de la récompense chez l'humain: «Dans une étude, on a présenté à des personnes les photographies successives de différents produits attirants (par exemple une boîte de chocolats) en leur demandant si elles souhaitaient l'acheter; ceci stimule l'activité du noyau accumbens, zone cérébrale faisant partie du système de récompense, explique le chercheur. En revanche, si on leur indique alors que le prix du produit est élevé, c'est l'insula qui est activée, une zone associée à la douleur et au dégoût.» Or il a été démontré que la stimulation des zones de la récompense se produit également en cas de plaisirs «supérieurs». «C'est-à-dire tout autant lors de plaisirs artistiques, musicaux que lorsqu'on est en situation de coopération, précise Jacques Lecomte. Les zones du dégoût sont également activées face à l'injustice, et quand la personne est engagée dans une compétition.»

Comment, en utilisant des analyses et méta-analyses bien particulières, on en arrive à des conclusions à interpréter dans un cadre spécifique, bien vite oublié par la journaliste qui en fait un cas d'école contre la méchante compétition (et le libéral qui sommeille en nous).

RT : http://twitter.com/#!/_h16/status/86692225983053824

punu : http://h16free.com/2011/07/01/9165-lesprit-de-non-competition-est-il-si-con

wikio : (badurl) http://www.wikio.fr/vote?url=http://h16free.com/2011/07/01/9165-lesprit-de-non-competition-est-il-si-con (badurl)

Franchement, qu'en pensez-vous ?

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Je ne comprend rien. Un plaisir 'supérieur' ? C'est quoi un plaisir inférieur ? Au niveau de la ceinture ?

Puis le lien entre : compétition -> génère activité dans une zone associée aux prix élevés , ok mais après

activité dans une zone associé aux prix élevés -> Moteur de progression de la compétition remis en cause.

Là je ne vois pas où est la démonstration.

Enfin, s'ils disent que je peux améliorer mes performances en me masturbant, je veux bien essayer mais j'ai quelques doutes.

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Comment, en utilisant des analyses et méta-analyses bien particulières, on en arrive à des conclusions à interpréter dans un cadre spécifique, bien vite oublié par la journaliste qui en fait un cas d'école contre la méchante compétition (et le libéral qui sommeille en nous).

Les termes utilisés sont des jugements de valeurs. Le terme de "dégoût" concerne la répulsion d'une chose, d'un fait, liée à un tabou ou quelque chose considéré comme sale physiquement ou moralement (par exemple si j'écris "je viens de lécher l'anus d'un clochard" celui qui lit ceci, me connait, et imagine la scène ressentira du dégoût). Là oui utiliser le mot "dégoût" a un sens.

Si on parle juste de "répulsion", alors dire que le cerveau, dans le cs général, réagit de manière répulsive face à la compétition c'est enfoncer une porte ouverte. Au minimum on doit dire que la rivalité n'est pas le seul moteur de l'existence ou la seule manière de progresser.

Il faudrait creuser plus, mais on dirait ce qui se passe dans 100% des cas en France avec une étude de ce type : elle peut être intéressante, mais le journaliste l'analyse avec une grille de lecture telle qu'elle perd son sens.

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A ce propos : Does competition increase or reduce creativity?

We explored how competition affects the quality of musical improvisation, as well as the intrinsic motivation and stress reported by improvisers. Amateur musicians improvised on a keyboard in one of two conditions: induced competition and no competition. Employing the consensual assessment technique, improvisations were assessed for creativity and technical goodness by 10 expert judges. Findings indicate that improvisations were judged as more creative under competitive than non-competitive conditions. Moreover, improvisers in the competition condition were more intrinsically motivated, as well as more stressed, than improvisers in the no competition condition. The creativity and technical goodness dimensions of improvisations were positively related to each other. The findings are discussed in light of the intense debate over the effects of extrinsic motivators on intrinsic motivation and creativity and offer mechanisms through which competition may affect creative performance as well as discuss the role of stress in affecting motivation and creativity

Source: "The Effects of Competition on Improvisers' Motivation, Stress, and Creative Performance" from Creativity Research Journal, Volume 23, Issue 2, 2011, Pages 129 - 136

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L'article est bizarre, je comprend pas trop non plus le plaisir "superieur" a part si on le categorise comme ayant un rapport a la creativité, mais ce n'est pas explicitement clair.

Et cet article me surprend en fait. J'en avais discuté avec divers artistes, des musiciens (orchestres symphoniques) etc et ils me disaient a peu pres la meme chose. La creativité est a l'antipode de la competition. En competition, il y a un gagnant et des perdants, en creation, il n'y a jamais de mauvaises idées, il n'y a que des idées plus ou moins abouties.

Dire qu'une idée est mauvaise (donc la mettre en competition si ce n'est par rapport a d'autre au moins a un baréme de valeur), implique qu'elle sera omise, oubliée. Alors qu'au final elle ne demande certainement qu'a etre revue, corrigée, améliorée, pour tendre vers une finalité idéale.

Et dans la meme "fibre", on ne peut pas dire que la compet c'est mal, on peu dire qu'elle n'est pas adequate avec certains domaines de creation.

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C'est pas étonnant de voir la compétition dénigrée dans un pays ou l'élite vomit le sport, mais devient supportrice quand on gagne!

+1

Quand on est dans une compétition ce n'est jamais si agréable que ça, y'a un stress, comme par exemple dans un concours ou un exam, mais de là à parler de "dégout" et à dire que c'est mauvais pour l'humanité, c'est une grosse plaisanterie.

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Sans compter qu'en testant des produits de luxe, on aurait vraisemblablement des réactions qui associent "prix élevés" et "plaisir".

On ne comprend quasiment rien au fonctionnement cérébral et depuis que l'IRM fonctionnelle existe, les neurosciences tentent de tirer des relations de causalité là où il n'est démontré qu'une corrélation entre l'image des zones activées du cerveau et son activité à ce moment là. C'est un peu limite et cela permet de raconter à peu près tout et son contraire.

J'avais lu un bouquin qui comparait l'IRM fonctionnelle à la phrénologie (science dépassée qui tentait de mettre en relation les bosses du crâne avec certaines fonctions cérébrales). Les neurosciences d'aujourd'hui reproduisent peut-être un peu les erreurs d'hier avec les outils d'aujourd'hui.

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Franchement, qu'en pensez-vous ?

J'en pense que c'est le genre de caca de taureau qui décrédibilise complètement la recherche en psychologie (que ce soit parce que les expériences sont mal fagotées ou mal comprises par le journaleux).

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Sans compétition, pas d'évolution (désolé pour les créationnistes, hein ^^), pas d'inspiration, pas d'impulsion.. rien..

Pas de compétition: pas de moteur donc faut déjà être haut pour pouvoir éventuellement rouler en roue libre. On a l'impression d'avancer, mais on ne fait que descendre une pente… et quand on est en bas de la pente, on n'avance plus sans moteur (ou énergie).

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"Se reconstruire après un traumatisme"

Le mien, ça a été quand on m'a annoncé qu'avec les notes que j'avais en redoublant la seconde, j'allais finir en lycée technique. Bizarrement, six mois plus tard, j'étais premier de la classe et les deux années suivantes aussi. Comme quoi…

On a bien compris que derrière le refus de la compétition se cache un égalitarisme forcené et un mépris pour ceux qui ne sont pas en haut de l'affiche.

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A force de vouloir rogner les compétitions naturelles, ces idéologues à la graisse de hérisson vont nous anéantir le corollaire de la rivalité, à savoir la compassion. Ce sentiment éminemment moral et noble qui pousse le fort, conscient de sa force, à épargner le faible voire à lui tendre la main pour le relever.

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A force de vouloir rogner les compétitions naturelles, ces idéologues à la graisse de hérisson vont nous anéantir le corollaire de la rivalité, à savoir la compassion. Ce sentiment éminemment moral et noble qui pousse le fort, conscient de sa force, à épargner le faible voire à lui tendre la main pour le relever.

Je crois que ça, c'est déjà fait: l'impôt pour la solidarité a foutu dehors la charité.

Prochaine étape: plus personne ne va vouloir donner son sang. ^^

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Prochaine étape: plus personne ne va vouloir donner son sang.

Tiens, pourquoi on n'instaurerait pas une prise de sang obligatoire avant chaque consultation de médecin (ou pharmacien) ? C'est tellement con et dans l'air du temps que je m'étonne que ça n'ait pas encore été proposé.

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Je crois que ça, c'est déjà fait: l'impôt pour la solidarité a foutu dehors la charité.

Je ne pensais pas qu'à la charité matérielle.

Tiens, pourquoi on n'instaurerait pas une prise de sang obligatoire avant chaque consultation de médecin (ou pharmacien) ? C'est tellement con et dans l'air du temps que je m'étonne que ça n'ait pas encore été proposé.

Pour quoi faire ?

Une analyse exhaustive du sang ? :blink:

Mieux vaut cibler ce qu'on cherche.

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A force de vouloir rogner les compétitions naturelles, ces idéologues à la graisse de hérisson vont nous anéantir le corollaire de la rivalité, à savoir la compassion. Ce sentiment éminemment moral et noble qui pousse le fort, conscient de sa force, à épargner le faible voire à lui tendre la main pour le relever.

Susciter la compassion c'est quelque chose qui pousse à vous suicider si vous avez un peu d'honneur.

Sans rire accepter la compassion c'est reconnaitre que l'on est qu'une larve.

Certes certains peuvent vivre comme ça, pas tout le monde, et heureusement.

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Susciter la compassion c'est quelque chose qui pousse à vous suicider si vous avez un peu d'honneur.

Sans rire accepter la compassion c'est reconnaitre que l'on est qu'une larve.

Certes certains peuvent vivre comme ça, pas tout le monde, et heureusement.

C'est du trolling bête et méchant hein ? :mrgreen:

Préférer crever par "sens de l'honneur" parce qu'on est trop grippé pour les tâches ordinaires et qu'un ami propose de menus services temporaires, je n'appelle plus ça de l'amour-propre mais de la stupidité. Certains peuvent opter pour ce choix ridicule, la majorité ne le fait pas, et heureusement.

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Une analyse exhaustive du sang ? :blink:

Mieux vaut cibler ce qu'on cherche.

Non, parce qu'il n'y a pas assez de donneurs de sang, donc l'Etat t'oblige à donner ton sang pour les autres.

Il t'oblige déjà à donner ta sueur pour les autres via les prélèvements obligatoires.

" Quand je donne 4 coups de pédale, il y en a 3 pour le fisc. "

Bernard Hinaud.

source CP/FB.

Alors pourquoi pas un jour des prélèvements obligatoires de sang "par solidarité" ?

Et ensuite sur deux reins, t'es obligé d'en donner un, un peu comme pour l'argent qui est aussi ta propriété: on t'en prend la moitié par les impôts. Ce serait l'impôt rénal.

..et qu'un ami propose de menus services temporaires, ..

Ca, ça s'appelle de la charité. ^^

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Voui, non matérielle.

Le temps c'est de l'argent, si l'ami perd du temps à aider son pote nécessiteux, c'est autant d'argent qu'il perd en ne pratiquant pas pendant ce temps l'activité qui le fait vivre. Mais c'est vrai que c'est son choix. D'ailleurs la charité est un choix contrairement à l'impôt "de solidarité"..

On se comprend, saycoule, honorable et maléfique professeur.

Hinhinhin.. :mrgreen:

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Le temps c'est de l'argent, si l'ami perd du temps à aider son pote nécessiteux, c'est autant d'argent qu'il perd en ne pratiquant pas pendant ce temps l'activité qui le fait vivre. Mais c'est vrai que c'est son choix. D'ailleurs la charité est un choix contrairement à l'impôt "de solidarité"..

Les humains ne vivent pas que d'activité commerciale mais aussi de besoins affectifs ou intellectuels puissants. Beaucoup de gens gagnent (ou veulent gagner) du pognon au-delà des strictes nécessités de leur survie et s'offrir du confort, pour eux-mêmes et souvent aussi pour leurs enfants / amis / voisins / couple / etc.

Par ailleurs, on peut y opposer une logique comptable : on devient tous le faible puis le fort de quelqu'un tôt ou tard, n'est-ce pas ?

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A force de vouloir rogner les compétitions naturelles, ces idéologues à la graisse de hérisson vont nous anéantir le corollaire de la rivalité, à savoir la compassion. Ce sentiment éminemment moral et noble qui pousse le fort, conscient de sa force, à épargner le faible voire à lui tendre la main pour le relever.

Ta description de la compassion me fait plus penser à la pitié.

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Les humains ne vivent pas que d'activité commerciale mais aussi de besoins affectifs ou intellectuels puissants.

Oui, d'ailleurs on me souffle que c'est exactement ce que DSK a dit à la femme de ménage avant de lui balancer dans la tronche un billet de $100 et ses gamètes. :mrgreen:

Puis ils se sont dits "je t'aime, bisouuuu, à bientôt mon amour, tu vas me manquer ". :mrgreen: :mrgreen:

Beaucoup de gens gagnent (ou veulent gagner) du pognon au-delà des strictes nécessités de leur survie et s'offrir du confort, pour eux-mêmes..

Oui.

.. et souvent aussi pour leurs enfants / amis / voisins / couple / etc.

Revoir la définition de la charité au sens large ou absolu: tu donnes selon tes envies (liberté) à quelqu'un qui en a plus besoin que toi.

Ce que tu donnes peut être de l'argent (ce que tu appelles il me semble 'charité matérielle'), mais ce peut être du temps (soeur Teresa ne donne pas d'argent, mais elle fait de la charité aux nécessiteux dont elle s'occupe(ait) -elle est morte-), ce peut être des compétences, de l'écoute etc, mais c'est de toute façon du temps.

Et chaque unité de temps passé à ne pas pratiquer ton activité rémunératrice, celle qui te fait vivre, est de l'argent -de cette activité- perdu, mais tu peux très bien choisir de perdre de l'argent (ne pas travailler, famille, proches, loisirs, bisous etc..)

J'oppose juste ici le fait de transmettre un bien (matériel, spirituel, ce que tu veux) de façon libre (charité) ou de façon obligatoire et forcée (impôts, prélèvements etc..)

Par ailleurs, on peut y opposer une logique comptable : on devient tous le faible puis le fort de quelqu'un tôt ou tard, n'est-ce pas ?

Avant de le devenir, on l'est. Richesse et pauvreté sont des valeurs relatives, c'est d'ailleurs pour ça que je dis souvent que la plupart des Fraôançais qui se plaignent pleurent la bouche pleine.

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Le mien, ça a été quand on m'a annoncé qu'avec les notes que j'avais en redoublant la seconde, j'allais finir en lycée technique. Bizarrement, six mois plus tard, j'étais premier de la classe et les deux années suivantes aussi. Comme quoi…

Ouais, enfin moi une prof m'avait dit au collège que si déjà j'avais le brevet ce serait un miracle, résultat, quelques années plus tard non seulement j'ai eu le brevet, mais aussi le bac avec mention, puis j'ai fait une prépa et réussi les concours d'entrée en école d'ingé avec une école pas trop mal.

Non mais cette bande de tocards qu'on trouve chez les profs, prompts à humilier les élèves, il faudrait s'en débarrasser au plus vite.

Et au passage, j'ai été dans un lycée général et technologique. Cette haine pour la technique, qui fait passer les lycées techniques pour des usines à loosers me donne envie non seulement de gerber, mais aussi de frapper. "Tu crois que ce sont des forts en histoire-géo ou en latin qui ont construit ta Clio espèce de connasse" est la phrase qui me vient le plus souvent à l'esprit.

:angry3:

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Oui, d'ailleurs on me souffle que c'est exactement ce que DSK a dit à la femme de ménage avant de lui balancer dans la tronche un billet de $100 et ses gamètes. :mrgreen:

Puis ils se sont dits "je t'aime, bisouuuu, à bientôt mon amour, tu vas me manquer ". :mrgreen: :mrgreen:

Je n'ai pas compris la vanne. :blushing:

Revoir la définition de la charité au sens large ou absolu: tu donnes selon tes envies (liberté) à quelqu'un qui en a plus besoin que toi.

Ce que tu donnes peut être de l'argent (ce que tu appelles il me semble 'charité matérielle'), mais ce peut être du temps (soeur Teresa ne donne pas d'argent, mais elle fait de la charité aux nécessiteux dont elle s'occupe(ait) -elle est morte-), ce peut être des compétences, de l'écoute etc, mais c'est de toute façon du temps.

Et chaque unité de temps passer à ne pas pratiquer ton activité rémunératrice, celle qui te fait vivre est de l'argent -de cette activité- perdu, mais tu peux très bien choisir de perdre de l'argent (ne pas travailler, famille, proches, loisirs, bisous etc..)

Bien sûr.

Je pense seulement que les aspirations affectives, sociales, etc. relèvent plus d'une nécessité inhérente à la nature humaine que d'un choix réel.

J'oppose juste ici le fait de transmettre un bien (matériel, spirituel, ce que tu veux) de façon libre (charité) ou de façon obligatoire et forcée (impôts, prélèvements etc..)

Je ne crois pas qu'il y ait besoin de longuement s'étendre sur ce point. La coercition dénature le mérite des choix… et leur qualité. L'impôt n'enseigne pas l'élan du don, avec la réflexion qui accompagne cette démarche et l'exercice de la volonté.

Avant de le devenir, on l'est. Richesse et pauvreté sont des valeurs relatives, c'est d'ailleurs pour ça que je dis souvent que la plupart des Fraôançais qui se plaignent pleurent la bouche pleine.

C'est la faute à l'Etat qui ne taxe pas assez les sales riches. :mrgreen:

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Préférer crever par "sens de l'honneur" parce qu'on est trop grippé pour les tâches ordinaires et qu'un ami propose de menus services temporaires, je n'appelle plus ça de l'amour-propre mais de la stupidité. Certains peuvent opter pour ce choix ridicule, la majorité ne le fait pas, et heureusement.

Si la personne fait ça par compassion je l'envoie ch… .

Elle me fait sentir sa supériorité, et ça, désolé j'en veut pas.

Si mon amie par contre, accepte pas gentillesse de me décharger de certaines tâches car je suis malade, j'accepterais.

En sachant en échange que cela réciproque le jour où elle sera malade.

Dans un cas on a une relation d'échange, de l'autre de supérieur à inférieur.

Beaucoup d'handicapé disent que ce qui les dérangent le plus c'est justement cette compassion qu'ils peuvent susciter quand ils croisent des inconnus.

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Non mais cette bande de tocards qu'on trouve chez les profs, prompts à humilier les élèves, il faudrait s'en débarrasser au plus vite.

+1000…

Seuls 3 profs m'ont motivé, donc ont mis un peu quelques coups de moteur dans mon sens et même donné envie d'aller tous les jours plus loin dans ce qu'ils enseignaient au jour le jour, voire d'avoir un certain plaisir à la reconnaissance de mes (relatives) compétences par eux: dans le secondaire, un prof de math en première/terminale, un prof de physique pareil, première terminale (donc avant bac peu de profs m'ont stimulé et excité, seulement 2) et mon directeur de thèse qui lui m'a permis de me procurer/offrir pas mal de moyens, sources d'intérêts, plaisirs à faire ma thèse dans de bonnes conditions voire une certaine complicité avec lui et ce grâce à lui, un mec excellent, mais tout ce qu'il y a en dehors de ça n'est la plupart du temps qu'un ensemble de tocards branleurs qui viennent faire des vacations.

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+1000…

Seuls 3 profs m'ont motivé, donc ont mis un peu quelques coups de pédale dans mon sens et même donné envie d'aller tous les jours plus loin dans ce qu'ils enseignaient au jour le jour, voire d'avoir un certain plaisir à la reconnaissance de mes (relatives) compétences par eux: dans le secondaire, un prof de math en première/terminale, un prof de physique pareil, première terminale (donc avant bac peu de profs m'ont stimulé et excité, seulement 2) et mon directeur de thèse qui lui m'a permis de me procurer/offrir pas mal de moyens, sources d'intérêts, plaisirs à faire ma thèse dans de bonnes conditions voire une certaine complicité avec lui et ce grâce à lui, un mec excellent, mais tout ce qu'il y a en dehors de ça n'est qu'un ensemble de tocards branleurs qui viennent faire des vacations

Pour ma part des profs motivants et passionnés par leur métier, qui voyaient en moi l'adulte en devenir, etc, je m'en rappelle d'une ou deux bonnes dizaines (ce n'est toujours pas la majorité, mais toujours plus que deux ou trois).

:online2long: Vous n'avez pas eu de bol Chitah et vous.

Ça doit être pour ça que vous êtes devenu le jumeau maléfique :mrgreen:

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C'est une méthode d'éducation, le dénigrement systématique.

Elle consiste à penser qu'en disant à des élèves que ce sont des merdes, ils vont avoir un sursaut pour prouver que non, ils ne sont pas des merdes et vont donc donner le meilleur d'eux même.

Cela peut marcher, des fois par contre c'est dévastateur.

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