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Les ravages de l'aide sociale à l'enfance


Messages recommandés

Heu, la paranoïa est une psychose : elle contient du délire afaik.

Oui, mais il peut y avoir confusion avec le trouble de la personnalité paranoïaque, qui n'inclue pas nécessairement de délire, et peut être tout à fait compatible (selon le degré) avec une vie à peu près normale…

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Oui, mais il peut y avoir confusion avec le trouble de la personnalité paranoïaque, qui n'inclue pas nécessairement de délire, et peut être tout à fait compatible (selon le degré) avec une vie à peu près normale…

Quand une personne ou un père "à peu près normal" constate que sa fille a été prise en charge par des services d'urgence, que ces services d'urgence ont prescrit une atelle, pour une entorse, mais que les travailleurs sociaux ne l'ont achetée que 15 jours ou 3 semaines après la prescription, et que ce genre de choses ou de bizareries se répètent, qu'est que vous en concluez, que cette personne ou ce parent est parano?

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Quand une personne ou un père "à peu près normal" constate que sa fille a été prise en charge par des services d'urgence, que ces services d'urgence ont prescrit une atelle, pour une entorse, mais que les travailleurs sociaux ne l'ont achetée que 15 jours ou 3 semaines après la prescription, et que ce genre de choses ou de bizareries se répètent, qu'est que vous en concluez, que cette personne ou ce parent est parano?

Cher monsieur,

Votre affaire me semble trop complexe et trop sensible pour pouvoir vous faire ce genre de réponse sur un forum public.

Aussi, je vous prierais de bien vouloir m'éviter d'être dans la situation embarrassante de juger d'une affaire sur laquelle j'ignore à peu près tout.

Tout ce que je peux vous souhaiter, c'est que les choses s'arrangent pour le bien de tous.

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Quand une personne ou un père "à peu près normal" constate que sa fille a été prise en charge par des services d'urgence, que ces services d'urgence ont prescrit une atelle, pour une entorse, mais que les travailleurs sociaux ne l'ont achetée que 15 jours ou 3 semaines après la prescription, et que ce genre de choses ou de bizareries se répètent, qu'est que vous en concluez, que cette personne ou ce parent est parano?

Ne le prenez pas perso, c'était plutôt un petit HS dans le cours de la discussion.

Je n'ai pas d'avis sur vous et je ne comprends pas grand-chose à votre affaire, à vrai dire. Mais je n'ai pas de mal à considérer, en général, que les toubibs sont susceptibles de se planter, comme tout le monde. Y compris les psychiatres.

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Cher monsieur,

Votre affaire me semble trop complexe et trop sensible pour pouvoir vous faire ce genre de réponse sur un forum public.

Aussi, je vous prierais de bien vouloir m'éviter d'être dans la situation embarrassante de juger d'une affaire sur laquelle j'ignore à peu près tout.

Tout ce que je peux vous souhaiter, c'est que les choses s'arrangent pour le bien de tous.

Voilà, d'une certaine façon, on me renvoie donc encore me débrouiller tout seul, vers des tribunaux et des services publics défaillants, en supposant que d'une façon ou d'une autre, ces mêmes tribunaux pourraient un jour réparer ou arranger quelque chose, alors que la Dass a rompu toutes relations de mon ainée avec sa famille naturelle, en 2005, que la Dass et le juge pour enfant ne se sont jamais souciés de la santé de mon ainée, que la Dass a également foiré la scolarité de mon ainée.

En 2005, mon ainée était encore moyenne, en classe. Vers ses 16 ans, ils l'ont orientée et lui ont imposé une formation professionnelle.

Pour moi, ce sont des incapables. Au cours de ces dernières années, tous ces professionnels l'auront largement démontré. Comme je l'ai exposé plus tôt, ils n'ont même pas su protéger Xavier Serrier :toufou:

La mère de mon ainée est décédée aux urgences, en 1999. Elle est restée tout une nuit, sans examens et sans soins appropriés. Le lendemain, elle était morte. Une instruction a conclu au non-lieu d'un homicide involontaire. Mais l'instruction a cependant mis en lumière des carrences de ce même service d'urgence.

J'ai ensuite saisi le tribunal adiminstratif. Un expert a estimé qu'il y avait en effet eu des problèmes au cours de cette nuit là, en 1999, et qu'un diagnostique aurait du être réajusté, qu'il aurait même fallu l'opérer dans la nuit. La mère de mon ainée aurait alors eu des chances de survirvre… j'en avais aussi parlé au psychiatre.

Vers 2008, le tribunal administratif a établi un simple constat. L'expert désigné par le tribunal administratif n'avait pas pu se faire communiquer le dossier médical par l'instruction. Fin de la procédure. Je suppose que comme de nombreux scellés, le dossier médical de la mère de mon ainée a été détruit ou égaré par l'instruction.

Cher monsieur,

Votre affaire me semble trop complexe et trop sensible pour pouvoir vous faire ce genre de réponse sur un forum public.

Donc, en public ou ici, dans ce forum, il sera donc simplement retenu que je pourrais être parano :mrgreen:

Ne le prenez pas perso, c'était plutôt un petit HS dans le cours de la discussion.

Je n'ai pas d'avis sur vous et je ne comprends pas grand-chose à votre affaire, à vrai dire. Mais je n'ai pas de mal à considérer, en général, que les toubibs sont susceptibles de se planter, comme tout le monde. Y compris les psychiatres.

Nos juges ne se trompent jamais. On devrait leurs confier nos bistouris :)

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Vous n'avez pas songé, tout simplement, à prendre vos cliques, vos claques et vos gamins sous le bras et vous casser de ce pays de merde ? Tant que c'est possible… La fenêtre d'opportunité est en train de se refermer. Dans quelques mois, ce sera plus dur.

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Vous n'avez pas songé, tout simplement, à prendre vos cliques, vos claques et vos gamins sous le bras et vous casser de ce pays de merde ? Tant que c'est possible… La fenêtre d'opportunité est en train de se refermer. Dans quelques mois, ce sera plus dur.

Ceux qui ne vivent que de petits boulots et sans attaches particulières peuvent y songer. Parfois, changer de département, ça suffit. Mais lorsqu'un juge pour enfant est saisi, il peut décider de ne pas lâcher le morceau.

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Je reviens juste sur l'histoire de déprime, moi, on m'a reproché le contraire : je n'étais pas abattue, c'était donc que la situation n'était pas dramatique, alors qu'elle l'était (mais que mon caractère de merde a parfois des avantages)…

Pour avoir rencontré un psy de l'ASE, particulièrement conne, je me méfie de ces gens.

Si effectivement, l'ainée a été placée et la seconde non, c'est que vous n'êtes pas considéré comme dangereux, auquel cas, la placement de la 1ère était peut-être abusif.

Mais maintenant elle est majeure, tout cela devrait donc être terminé…

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Je reviens juste sur l'histoire de déprime, moi, on m'a reproché le contraire : je n'étais pas abattue, c'était donc que la situation n'était pas dramatique, alors qu'elle l'était (mais que mon caractère de merde a parfois des avantages)…

Vous confirmez simplement que dans ce système supposé protéger les enfants, tout et son contraire, n'importe quel prétexte peut être employé pour justifier, pour motiver le travail social. Dites vert… fallait dire bleu.

Pour avoir rencontré un psy de l'ASE, particulièrement conne, je me méfie de ces gens.

Si effectivement, l'ainée a été placée et la seconde non, c'est que vous n'êtes pas considéré comme dangereux, auquel cas, la placement de la 1ère était peut-être abusif.

Mais maintenant elle est majeure, tout cela devrait donc être terminé…

Mon ainée est majeure. Pour elle, c'est fini. Comme sommairement expliqué plus haut, la Dass a foiré son enfance et sa scolarité. C'est maintenant le problème de mon ainée…

Pour moi, ce n'est pas fini. Malgré la majorité de mon ainée, ça continue. J'ai un troisième pourvoi en cassation. Je viens encore de faire appel, il suivra donc peut être un 4ieme pourvoi, encore dans ce cadre de l'assistance éducative.

Je viens par ailleurs de recevoir une toute nouvelle requete, dans le cadre d'une autre affaire, mais qui rappelle que mon ainée a été placé, aidée par des gorets du social. Pour ce qui me concerne, c'est donc loin d'être fini avec cette histoire de "placement". Ca a déjà duré près de 10 ans. Et ca pourrait encore me coller au Q au cours des 10 années qui suivront… j'en aurais pris pour 20 ans d'emmerdes sans jamais un procès digne de ce nom, avec juste une opinion de psychiatre qui vous enfume tous, un psyhciatre selon lequel je serais parano :mrgreen:

D'autre part, je m'intéresse donc toujours à d'autres affaires.

Dans le cadre de l'histoire de Valentine et Arthur, ces enfants qui ne veulent pas être placés ou aidés à leur tour, j'ai retrouvé un "psycholoque" qui est intervenu dans ma propre histoire. Il semblerait que ce "psychologue " exercait illégalement, probablement même sans les diplomes ou le cursus requis pour rendre ses avis ou rapports à des juges. C'est en cours, chez le juge pour enfant et en correctionnelle. J'en parlerais à la cour d'appel; ça ne changera probablement rien, mais au moins, j'en aurais parlé à ces juges-qui-ne-souhaitent-rien-réviser.

Par ailleurs, au cours des années passées, ma fille ainée a été représentée par une avocate. J'ai retrouvé cette avocate dans d'autres dossiers d'assistance éducative. D'ici quelques temps, cette avocate pourrait aussi avoir à fournir quelques explications, comme ce "psychologue". Jen parlerais aussi à la cour d'appel. Pareil, ça ne servira pas à grand chose. En retour, on me traitera encore de parano ou de débile. Mais j'aurais parlé. Je n'aurais pas de problèmes de conscience.

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Ceux qui ne vivent que de petits boulots et sans attaches particulières peuvent y songer. Parfois, changer de département, ça suffit. Mais lorsqu'un juge pour enfant est saisi, il peut décider de ne pas lâcher le morceau.

Je n'ai pas parlé d'expatriation propre et légale.

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Je reviens juste sur l'histoire de déprime, moi, on m'a reproché le contraire : je n'étais pas abattue, c'était donc que la situation n'était pas dramatique, alors qu'elle l'était (mais que mon caractère de merde a parfois des avantages)…

Vous confirmez simplement que dans ce système supposé protéger les enfants, tout et son contraire, n'importe quel prétexte peut être employé pour justifier, pour motiver le travail social. Dites vert… fallait dire bleu.

Pour avoir rencontré un psy de l'ASE, particulièrement conne, je me méfie de ces gens.

Si effectivement, l'ainée a été placée et la seconde non, c'est que vous n'êtes pas considéré comme dangereux, auquel cas, la placement de la 1ère était peut-être abusif.

Mais maintenant elle est majeure, tout cela devrait donc être terminé…

Mon ainée est majeure. Pour elle, c'est fini. Comme sommairement expliqué plus haut, la Dass a foiré son enfance et sa scolarité. C'est maintenant le problème de mon ainée…

Pour moi, ce n'est pas fini. Malgré la majorité de mon ainée, ça continue. J'ai un troisième pourvoi en cassation. Je viens encore de faire appel, il suivra donc peut être un 4ieme pourvoi, encore dans ce cadre de l'assistance éducative.

Je viens par ailleurs de recevoir une toute nouvelle requete, dans le cadre d'une autre affaire, mais qui rappelle que mon ainée a été placé, aidée par des gorets du social. Pour ce qui me concerne, c'est donc loin d'être fini avec cette histoire de "placement". Ca a déjà duré près de 10 ans. Et ca pourrait encore me coller au Q au cours des 10 années qui suivront… j'en aurais pris pour 20 ans d'emmerdes sans jamais un procès digne de ce nom, avec juste une opinion de psychiatre qui vous enfume tous, un psyhciatre selon lequel je serais parano :mrgreen:

D'autre part, je m'intéresse donc toujours à d'autres affaires.

Dans le cadre de l'histoire de Valentine et Arthur, ces enfants qui ne veulent pas être placés ou aidés à leur tour, j'ai retrouvé un "psycholoque" qui est intervenu dans ma propre histoire. Il semblerait que ce "psychologue " exercait illégalement, probablement en tous cas sans les diplomes ou le cursus requis pour rendre ses avis ou rapports à des juges. C'est en cours, chez le juge pour enfant et en correctionnelle. J'en parlerais à la cour d'appel; ça ne changera probablement rien, mais au moins, j'en aurais parlé à ces juges-qui-ne-souhaitent-rien-réviser.

Par ailleurs, au cours des années passées, ma fille ainée a été représentée par une avocate. J'ai retrouvé cette avocate dans d'autres dossiers d'assistance éducative. D'ici quelques temps, cette avocate pourrait aussi avoir à fournir quelques explications, comme ce "psychologue". Jen parlerais aussi à la cour d'appel. Pareil, ça ne servira pas à grand chose. En retour, on me traitera encore de parano ou de débile. Mais j'aurais parlé. Je n'aurais pas de problèmes de conscience.

Je n'ai pas parlé d'expatriation propre et légale.

Vous voulez dire "fuir", faire les valises et partir, sans laisser de traces derrière soi? Je suis français, né en France, j'y travaille depuis toujours. Seriez vous en train de nous expliquer que lorsque des tribunaux français sont saisis, il vaut mieux fuir, tout abandonner, surtout lorsqu'on a rien à se repprocher? Vous avez raison :toufou:

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Vous voulez dire "fuir", faire les valises et partir, sans laisser de traces derrière soi? Je suis français, né en France, j'y travaille depuis toujours. Seriez vous en train de nous expliquer que lorsque des tribunaux français sont saisis, il vaut mieux fuir, tout abandonner, surtout lorsqu'on a rien à se repprocher? Vous avez raison :toufou:

Je me borne à constater que le système judiciaire français est complètement pourri, et que vous obtiendrez gain de cause sur votre lit de mort, au mieux.

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Je me borne à constater que le système judiciaire français est complètement pourri, et que vous obtiendrez gain de cause sur votre lit de mort, au mieux.

Ah, et j'oubliais peut-être l'essentiel alors que je sais depuis longtemps que ce système judiciaire est pourri jusqu'à la moelle.

Pour motiver la prorogation de ce placement, la suspension de tous mes droits sur ma fille, les juges m'ont aussi beaucoup reproché d'avoir un blog, d'écrire sur Internet, d'avoir parlé à des journalistes de Maxi et d'avoir contribué puis autorisé la diffusion d'un reportage, sur France 2. Quand le juge pour enfant est saisi, il faut se taire… En juillet 2005, alors que mes droits sur Justine allaient être suspendus, qu'elle allait disparaitre chez ses tantes maternelles, les travailleurs sociaux m'avaient reproché de m'être exprimé dans le forum du Monde. C'est interdit par la Dass :toufou:

Savez vous ce qu'est la liberté d'expression, et quelles sont ses limites? En France, on ne peut pas raconter ou publier n'importe quoi. La liberté d'expression est un outil plutôt redoutable, et assez bien encadrée par les tribunaux. Je pense que parmi ceux dont j'ai fait l'éloge dans mon blog, plus d'un professionnel de la Dass vous le confirmera.

Au cours de ces dernières années, on m'a un peu enquiquiné pour des articles dans mon blog. Parfois j'ai du répondre à la police ou au procureur. Mais ce n'est jamais allé très loin. Depuis 2005, je n'ai jamais été censuré ou condamné pour un quelconque billet ou contenu de mon blog.

Contrairement à des sites tels que Copwatch, mon blog est hébergé en France, à Paris. Je ne suis pas anonyme - ici, j'utilise d'ailleurs mon nom.

J'ai encore publié un billet hier soir. Je pense que comme la plupart de mes précédents billets, plus d'un professionnel de la Dass a été touché, sera ému ou éclaboussé par cette publication, mais qu'aucun d'entre eux n'osera répondre, contester ou critiquer ces écrits.

Bonne lecture: http://justice.cloppy.net

Pour ma part, je retourne me soucier et faire soigner ma supposée parano :D

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Heu, la paranoïa est une psychose : elle contient du délire afaik.

La vraie paranoïa complète, oui. Je n'avais pas distingué la personnalité à tendance paranoïaque de la paranoïa à proprement parler.

Edit : Grillé par POE.

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[…]

Puisque ça en est à ce point et que visiblement ça n'est pas près de s'arrêter, pourquoi ne pas écrire (ou trouver un journaliste qui écrira) un livre pour continuer le combat sur le front médiatique et que le plus grand nombre possible profite de cette expérience accumulée ?

Monter ou rejoindre une association d'entraide est aussi envisageable (c'est peut être déjà fait).

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Il y a déjà plusieurs assos dont le fil d'ariane et sos parents abusés me semble-t-il.

Puisque ça en est à ce point et que visiblement ça n'est pas près de s'arrêter, pourquoi ne pas écrire (ou trouver un journaliste qui écrira) un livre pour continuer le combat sur le front médiatique et que le plus grand nombre possible profite de cette expérience accumulée ?

Monter ou rejoindre une association d'entraide est aussi envisageable (c'est peut être déjà fait).

Je ne vois pas ce qu'un livre changerait alors qu'il en existe déjà plus d'un, y compris des livres rédigés par des professionnels (journalistes, professionnels de l'ASE, enseignante détachée, …). Il y a L'enfant proie, Maltraitance sociale à l'enfance, etc… Mais je crois que ça n'intéresse personne, ces sujets là. Les plus affreux vous répondront que de toute façon, il ne s'agit que de momes de la Dass, des momes de parents maltraitants ou des momes de parents beaucoup trop débiles pour s'en occuper eux même.

Vous supposez que je pourrais être parano, pourquoi pas. Chez Maxi, ils ont conclu que j'étais juste coupable d'aimer ma fille.

Maxi1114.jpg

Cet article de Maxi a aussi été beaucoup critiqué par les juges et les travailleurs sociaux :D

Par le passé, une mère s'est adressée à moi parce que ses affaires d'ordre privées ne progressaient pas, bien au contraire. Sa fratrie avait été éclatée, et ses momes souffraient. Plus d'un était déjà parti à la dérive, c'était évident et pour certains, c'était déjà désastreux.

J'ai aidé cette mère. Elle n'arrivait pas à accéder au dossier administratif, c'est élémentaire pour se défendre, pour prendre connaissance de ce qu'ont versé les travailleurs sociaux et pour leurs répondre. La CADA (commission d'accès au dossier administratif) que cette mère avait déjà sollicité lui avait donné raison. L'ASE devait permettre à cette mère de prendre connaissance de ces dossiers. Mais malgré l'avis de la CADA, l'ASE ne lui a pas permis de consulter les dossiers administratifs de ses enfants.

Cette mère et moi avons remué la merde, en insistant principalement pour avoir accès à ces dossiers, puis pour qu'il suive une audience. L'ASE n'a pas bougé d'un iota. Le juge pour enfant était saisi. Le juge pour enfant reportait aux calendes grecques, prétextant qu'il attendait l'avis d'un pédo-psy, pour l'un de ces enfants. Le juge attendait ce rapport psy depuis des lustres…. La mère a insisté pour une audience, critiquant le travail de ces gorets, et réclamant de pouvoir consulter le dossier, réclamant aussi que ses enfants soient rapprochés d'elle.

La protection de l'enfance a décrété que cette mère pourrait être parano, elle aussi. Le travail qu'accomplissent les professionnels de la Dass est forcément fabuleux, cette mère ne pouvait être que parno aussi, n'est-ce pas? C'est bizarre, dès qu'on cherche à se défendre et qu'on commence à critiquer de facon pertiente, on vire parano ou malade mental, selon l'ASE et ces juges pour enfants :mrgreen:

A force de médiatiser et de remuer la merde, elle a aussi attiré l'attention de l'association SOS Villages d'Enfants, celle qui lui avait éclaté la fratrie. Cette assocation aurait souhaité la museler, lui faire fermer ou supprimer son blog, "sos village de Marly", une association plus connue sous le nom SOS ParentsAbusés. Quoi que ce blog contienne aujourd'hui, il est toujours en ligne malgré les menaces et les intimidations de SOS Villages d'Enfants:

http://www.sos-villages-de-marly.com/

Je pense que la suite finira par me donner raison. Auprès de la cour d'appel de Versailles, j'ai déjà affirmé et maintenu que ces juges trichent et trompent, notamment en s'aidant de rapports de psychologues ou de charlatants. Ce n'est pas anodin. Je n'ai pas été sanctionné pour avoir dit et écrit cela, bien au contraire. J'ai affirmé cela et dans la foulée, des juges ont désavoué deux juges des tutelles. C'est ce qui s'appelle tordre le bras à la justice pour qu'elle se ressaisisse :mrgreen:

J'en ai fait bien plus. J'ai même traité des juges de proxénètes, en les incitant à mieux lire le dossier de mon ainée. La fois là, les juges ont appris ou ont été obliges de compter jusqu'à deux. Et j'ai pas fini, je retourne les voir.

Si vous pensez qu'un livre ou que des associations peuvent être utiles lorsqu'on souhaiterait s'extraire de ces bourbiers, vous vous trompez.

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Vous supposez que je pourrais être parano, pourquoi pas.

Je ne suppose rien du tout. Par contre, attention, voir des suppositions dans des posts anodins, ça fait parano ;)

Si vous pensez qu'un livre ou que des associations peuvent être utiles lorsqu'on souhaiterait s'extraire de ces bourbiers, vous vous trompez.

C'est bien possible. J'imaginais qu'un buzz médiatique pourrait attirer l'attention en haut lieu, et avec la période électorale qui arrive…

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Je ne suppose rien du tout. Par contre, attention, voir des suppositions dans des posts anodins, ça fait parano ;)

C'est bien possible. J'imaginais qu'un buzz médiatique pourrait attirer l'attention en haut lieu, et avec la période électorale qui arrive…

Je m'inscrits dans ces échanges avec vous, c'est tout. Plus tôt, quelqu'un affirmait qu'on ne peut rien prouver dans ce genre d'histoires. J'ai avancé quelques élements. Je pense que Legifrance et le Journal Officiel francais ainsi que le bulletin de la cour de cassation constituent d'assez bonnes preuves, des source pertinentes, crédibles.

Puis quelqu'un a voulu en savoir plus. J'ai répondu et j'ai parlé de ces opinions de psys, d'experts ou prétendus tels. Suite à ces échanges, quelqu'un a répondu qu'il ne souhaitait plus se prononcer… d'ici quelques temps, j'espère qu'une "psycholoque" de la Dass sera clouée au piloris, ca s'inscrira dans la suite de cette discussion :mrgreen:

Ensuite, quelqu'un a parlé du Fil d'Arianne et de SOS Parents Abusés, des associations que je connais très bien. Puis on a parlé d'écrire des livres qui existent déjà.

Maintenant, vous parlez de buzz médiatiques… En près de 10 ans, j'ai vu passer un peu de tout, y compris des buzz médiatiques. Mais du changement dans ces sphères, la protection de l'enfance, je n'en ai pas perçu.

On nous parle parfois de couacs, par exemple, d'un enfant pas placé à temps, et qui meurt, ou d'un enfant qui meurt, où il était placé (difficile de dissimuler un cadavre). On ne nous parle que plus rarement, voire même jamais des fautes ou des abus que commettent plus régulièrement et plus systématiquement les professionnels de la Dass. Pas de cadavre, pas de problème…

En cas de buzz, si c'est nécessaire, les professionnels de la Dass commenceront par répondre en niant, ou par faire intervenir des assistantes sociales, des juges et des psychiatres. Puis s'il faut vraiment faire quelque chose, parfois ils n'ont pas le choix et doivent admettre qu'une remise en cause s'impose, ils s'éloigneront des médias, et tendront à résoudre les problèmes entre eux, de la façon la plus consensuelle possible, en préservant principalement la planche sur laquelle ils trouvent leur pain quotidien.

De très gros buzz, il y en a déjà eu. Une association de magistrats français a répondu qu'il n'y avait pas de problème, jamais:

http://justice.cloppy.net/index.php/references/2009/02/12/le-catalogue-des-horreurs

La même chose, sans critique, sur le site de ces magistrats:

http://www.afmjf.fr/Le-catalogue-des-horreurs-de-l.html

C'est bien possible. J'imaginais qu'un buzz médiatique pourrait attirer l'attention en haut lieu, et avec la période électorale qui arrive…

Je pense que ces placements arrangent la droite. La Dass est un outil permettant d'extraire des momes de cités, familles ou de recoins à problèmes, ou supposés tels, pour placer ces momes, les faire élever autre part.

La gauche, je pense que ça les arrange aussi. Ca fait du travail pour de nombreux professionnels de la Dass et des familles d'acceuil.

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:chine:

Voilà pourquoi l'anacarpisme est si difficile à vendre: les esprits faibles ont besoin de réponses toute prêtes et ont besoin d'être rassurés même s'il est évident que les propositions qu'on leur fait ne tiennent pas la route.

C'est sûr que même en général c'est plus facile de vendre le socialisme que le libéralisme. Le libéralisme c'est un sacrifice sur le court-terme voire le moyen-terme pour un progrès sur le long terme. Le socialisme c'est le captation de richesses des agents productifs redistribué de façon clientéliste qui amène un bien être sur le court-terme et moyen-terme , mais une décadence tragique sur le long terme.

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Le socialisme c'est le captation de richesses des agents productifs redistribué de façon clientéliste qui amène un bien être sur le court-terme et moyen-terme , mais une décadence tragique sur le long terme.

On dirait que vous parlez de la Protection de l'Enfance. Capter des richesses pour les redistribuer, ça fait souvent grincer des dents. Captez des momes pour les placer autre part, même si ça fait parfois grincer des dents, vous pourrez toujours expliquer que c'est nécessaire, et que des juges confirment d'ailleurs toujours la nécessité (voir l'article de l'AFMJF, "le catalogue des horreurs").

La Protection de l'Enfance, c'est assez touffu. Au cours de ces dernières années, je n'ai pas toujours entendu les mêmes chiffres. On parle souvent de 5 milliards d'euro, pour l'ASE ou des PME du social (des associations, le secteur privé, qui contribue à la Protectio nde l'Enfance dans le cadre de délagations de missions du service public). On nous a aussi déjà parlé du budget de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, ce sont encore quelques milliards de plus. En 2005, on pouvait raisonnablement parler d'environ 12 milliards d'euro "dont des enfants pouvaient bénéficier, au titre de mesures de protection ou de traitement et de réinsertion".

Pour des chiffres et des précisions, voir un très bon dossier de iFRAP:

http://www.ifrap.org/Enfants-places,132.html

L'ensemble du dossier est très engagé, souvent explicite, grincant, irritant. Comme le décrit une mère, "j’ai eu le malheur de parler de mes difficultés financières à l’assistante sociale. Tous les services sociaux se sont mis sur mon dos. On me reproche de ne pas bien nourrir mes enfants, de ne pas leur acheter des habits neufs, de ne pas les emmener chez le coiffeur. D’où le signalement, puis le placement. Pourquoi l’Etat donne-t-il 150 € par jour à mes gamins en les séparant de leur maman ?".

130 à 150 € / jour, c'est le prix de journée par enfant dans un foyer. Dans des structures spécialisées (psychiatrie ou prison pour mineurs), ces prix s'envollent. Plus un enfant va mal, et plus "il profite[nt]"… ca grimpe jusqu'à 450 € / jour en psychiatrie, peut-être même plus. En famille d'accueil, c'est moins onéreux. En France, environ 140 000 enfants sont placés (ou ces places sont financées, budgetées et disponibles, "pour un enfant, en cas de nécessité"). La répartition foyer/famille d'accueil est de l'ordre de 50%.

Les centres Défense 2ième Chance s'efforcent aussi de contribuer à ce fiasco, lorsqu'en amont, l'ASE, ces PME et la PJJ ont échoué ou fait n'importe quoi. Une présentation officielle de ces centres pour les collectivités locales était explicite, Défense 2ième Chance constitue un véritable "poumon" pour l'économie locale, du fait des emplois crées dans des secteurs où des casernes étaient désaffectées ou du fait d'emplois maintenus lors de désaffection des casernes, par les militaires.

Lorsque vous prélevez un enfant en ville, que vous le placez dans un village, ou que vous l'incarcerez, pour quelques mois ou plusieurs années, à la campagne, l'économie locale va "respirer". On entend parfois dire que "il faut tout un village pour élever un enfant". C'est assez pertinent, il faut une école, une boulangerie, entretenir des infrastructures sportives, blanchir le linge, etc.

Dans nos campagnes (et dans nos villes), on trouve des foyers publics ou privés ainsi que des services territoriaux ou des associations, des PME du social, qui chaperonnent des familles d'acceuil. On peut parler d'un archipel de la protection de l'enfance, réparti sur toute la France. En cherchant bien, on devrait pouvoir trouver un village structuré autour du bowling, du bistro et de la pizzeria, remplis, le week end, par des adultes qui s'occupent quotidiennement d'enfants des villes placés là.

Exploiter les humains, c'est illégal. S'occuper ainsi d'enfants des autres, c'est tout à fait légitime… Ces "places", ces "ilots" ou cette industrie de la Protection de l'Enfance sont subventionnés par nos collectivités.

Par le passé, j'avais essayé d'en discuter avec des représentants d'ATTAC. Mais pour eux, 5 ou 12 milliards d'euro, c'est peanuts, et ces sujets ne méritent pas qu'on s'y attarde.

L'ensemble des prestations sociales des départements s'élève à environ 500 milliards d'euro par an, des prélèvements ou des prestations dont des familles ou des jeunes peuvent parfois "profiter", notament lorsqu'ils ont été déssocialisés par la Dass… Je pense que le budget de l'administration carcérale n'est pas inclu dans ces 500 milliards d'euro. La prison est une autre "prestation" dont peuvent aussi bénéficier des familles et des jeunes, une fois désocialisés par la Dass et lorsqu'ils n'ont pas pu être réinsérés par les centres Défense 2ième Chance.

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En résumé, si l'on suit un peu, vous avez perdu tous vos procès sur le fond mais c'est parce que la justice est pourrie et que les juges ne vous aiment pas, l'enfant est confié à ses tantes mais c'est parce que celles-ci font partie en secret de l'assistance sociale, les psychologues vous accablent mais c'est parce qu'ils sont incompétents et l'un d'entre eux a certainement menti sur ses qualifications, d'ailleurs mêmes les avocats adverses doivent avoir qqch à se reprocher. Pour étayer vos positions vous produisez des décisions de justice, et une fois qu'on se rend compte qu'elles ne montrent rien en votre faveur et que la lecture que vous en faites est erronée, vous ajoutez qu'il faut connaitre le contexte et le non-dit pour les comprendre. Je ne souhaite pas polémiquer donc je ne conclurais pas.

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En résumé, si l'on suit un peu, vous avez perdu tous vos procès sur le fond mais c'est parce que la justice est pourrie et que les juges ne vous aiment pas, l'enfant est confié à ses tantes mais c'est parce que celles-ci font partie en secret de l'assistance sociale, les psychologues vous accablent mais c'est parce qu'ils sont incompétents et l'un d'entre eux a certainement menti sur ses qualifications, d'ailleurs mêmes les avocats adverses doivent avoir qqch à se reprocher. Pour étayer vos positions vous produisez des décisions de justice, et une fois qu'on se rend compte qu'elles ne montrent rien en votre faveur et que la lecture que vous en faites est erronée, vous ajoutez qu'il faut connaitre le contexte et le non-dit pour les comprendre. Je ne souhaite pas polémiquer donc je ne conclurais pas.

C'est pas secret, l'une des tantes de ma fille aînée est bel et bien tata de la Dass, et c'est public. Téléphonez à Carole Bulow, elle confirmera. Vous trouverez son nom et ses coordonnées ainsi que les horaires de ses permanences sur le site de la mairie de Saint Avold (57):

http://www.mairie-saint-avold.fr/solidarite-sante/assistantes-sociales.html

Vous affirmez que les décisions que j'ai exposées ne montrent rien en ma faveur. C'est bizarre. J'ai plutot le sentiment que la décision d'octobre 2010 cassait et annulait une décision de la cour d'appel de Versailles (78). J'ai pu mal lire, Dalloz, LexisNexis et les juges de Versailles aussi ont pu mal lire…

Quand à la décision du 6 janvier 2011, rendue par une chambre civile de la cour d'appel de Versailles, elle infirmait bel et bien une ou deux décisions du juge des tutelles d'Antony (92). Téléphonez à l'étude de Maître Charles Halter, notaire, à Saint Avold (57), vous trouverez ses coordonnées dans les pages jaunes. Je pense que son étude confirmera.

Vous voulez parler de la procédure de prise à partie? Appellez le conseil qui représentait Xavier Serrier, son avocat à la cour de cassation. Dans ce que j'ai publié ici, le lien vers un mémoire en défense, vous trouverez facilement son nom.

Je ne souhaite pas polémiquer donc je ne conclurais pas.

Téléphonez plutôt que de troller. Puis si vous repassiez et souhaitiez polémiquer, je vous répondrais.

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En résumé, si l'on suit un peu, vous avez perdu tous vos procès sur le fond mais c'est parce que la justice est pourrie et que les juges ne vous aiment pas, l'enfant est confié à ses tantes mais c'est parce que celles-ci font partie en secret de l'assistance sociale, les psychologues vous accablent mais c'est parce qu'ils sont incompétents et l'un d'entre eux a certainement menti sur ses qualifications, d'ailleurs mêmes les avocats adverses doivent avoir qqch à se reprocher.

C'est un résumé présenté de façon malhonnête.

Je ne souhaite pas polémiquer donc je ne conclurais pas.

Et cette conclusion après le paragraphe qui précède, c'est malhonnête aussi :)

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:fleur: Je trouve qu'Apollon fait son gros coquinou, là. :fleur:

La réaction d'Apollon ne me surprend pas trop. Je suis vacciné, immunisé.

Je présente souvent des choses de façon lapidaire, caricaturale, en grossissant certains traits ou travers. Ca peut agacer. Pour compenser, je renvoie cependant souvent et volontier à d'autres lectures, moins excessives, mais tout aussi explicites, comme L'enfant proie ou ce dossier de iFRAP. Dans mon blog, c'est pareil, il est truffé de liens et de coupons de presse qui rééquilibrent un peu ce que je publie.

Je pars du principe que ceux qui me lisent ont un esprit suffisamment critique, qu'ils feront un tri, qu'ils se documentent ou s'informent également par ailleurs. Et je suppose que tout le monde a bien conscience de la réalité du terrain, qu'elle peut être très constrastée. Récemment, un étudiant, quelqu'un de bien inséré, a avoué avoir tué gratuitement un SDF qui roupillait dans un buisson.

J'irrite souvent, y compris des juges. En 2006, j'emportais un livre à la cour d'appel, Le sanglot judiciaire, un contenu qui désacralise, qui démystifie, un ouvrage publié par des professionnels, accessibles à des néophytes. La Cour m'a invité à ranger cet "ouvrage à scandales". A cette période, nous parlions plutôt du fiasco d'Outreau…

Depuis quelques temps et puisque la Cour me refuse toute contre-expertise psychiatrique, puisque l'autorité de choses jugées s'impose à tous, je me présente devant la Cour avec un entonnoir sur la tête, coiffé du chapeau du plus fou. Parfois je scandalise ou j'agace, y compris des juges.

Je me situe plutôt parmi les illisibles ou les inaudibles, pour beaucoup. Serge Paugam, sociologue, est illisible. Paugam a publié La dysqualification sociale, décrivant comment l'action sociale ou les travailleurs de ces milieux peuvent contribuer à l'exclusion, à la mise au ban de plus nécessiteux.

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Serge Paugam, sociologue, est illisible.

Bof. Par les juristes ou par les politiciens ?

[hs]C'est pas nouveau. La plupart des gens qui parlent de sociologie et/ou du travail des sociologues n'en ont retenu que ce qu'ils voulaient bien, hors contexte la plupart du temps, et pire encore, en ayant lu un résumé sur Wikipédia. Je soupçonne fortement nos élus (et nos journalistes) de n'avoir que des résumé du travail des scientifiques du social, avant de proclamer un ou deux trucs en disant "c'est sociologique" et faire passer l'ensemble de la profession pour une bande de guignols. A leur décharge, la sociologie (spécialement française et spécialement ces 20 dernières années) à tendu le baobab pour se faire battre, mais bon… [/hs]

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Bof. Par les juristes ou par les politiciens ?

[hs]C'est pas nouveau. La plupart des gens qui parlent de sociologie et/ou du travail des sociologues n'en ont retenu que ce qu'ils voulaient bien, hors contexte la plupart du temps, et pire encore, en ayant lu un résumé sur Wikipédia. Je soupçonne fortement nos élus (et nos journalistes) de n'avoir que des résumé du travail des scientifiques du social, avant de proclamer un ou deux trucs en disant "c'est sociologique" et faire passer l'ensemble de la profession pour une bande de guignols. A leur décharge, la sociologie (spécialement française et spécialement ces 20 dernières années) à tendu le baobab pour se faire battre, mais bon… [/hs]

Sous ce fil, "les ravages de l'ASE", en parlant de Paugam, je pensais principalement à des travailleurs sociaux, ils peuvent avoir du mal à lire La disqualification sociale.

Pour répondre à votre HS et pour rester dans le cadre de ces échanges, l'ASE, ses ravages, il y a quelques temps, une ministre de la famille s'est en effet emparée de constats ou d'études réalisés par des sociologues, spécialisés dans l'exclusion et la rue. La ministre faisait alors la promotion de l'adoption. Pour la ministre et ceux qui l'entouraient, l'adoption constituait une solution évidente permettant d'endiguer ou de limiter ces mêmes ravages, bien décrits par des sociologues…

En nous écartant plus du sujet initial, nous pourrions parler de Ghetto urbain, un ouvrage de sociologie, un baobab. Nous serions susceptible d'irriter ou d'embarrasser des sociologues, des juristes et des politiciens, sans faire passer personne pour un guignol.

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